- 07 janv. 2011, 15:19
#184785
Du son sans la Lumière
...J’étais donc là, à la fois fasciné et penaud, enfoncé dans le fauteuil de cette chambre du Méridien, à admirer les prouesses de ma chère épouse, et surtout les vocalises dont elle les accompagnait...
Mais après ce 69 interminable auquel je venais d’assister, une minute de repos s’imposait sans doute. Le mec en profita pour en venir au coeur du sujet : cet exemplaire du Kama-Sutra que ma chère Anne s’était mis en tête de m’offrir pour mon anniversaire et qui traînait à présent près du lit. Et d’ailleurs si j’étais là, moi, c’était semblait-t-il uniquement parce que ma femme avait eut la charmante idée de joindre à son cadeau une « illustration » personnelle de quelques positions et parce que ce type lui avait suggéré qu’il était plus simple que j’assiste « en direct » à l’illustration, plutôt que par photos interposées.
Toujours en faisant comme si je n’étais pas là, Anne et lui se mirent donc à feuilleter l’ouvrage, non sans en pousser des « oh ! » des « ah ! » et des « hmmmmmmm » sur pratiquement chacune des pages. Cela devenait énervant, vous l’imaginez bien :
Elle : Et pourquoi pas celle-ci (rire) ?
Lui : Moi je préférai la première...
Elle : Oui, mais celle-là, il y a écrit : pour « pénétration profonde par le... le quoi ? Le « Lingam » de l’éléphant... C’est vrai que tu as un côté éléphant, de ce côté là....
En même temps, distraite, elle lui caressait doucement la queue. Et puis, pensive : « Remarque... il n'y a qu’à faire les deux (rire gêné) ! »
Lui : Mais sans problème, Madame... !
Bref, je rongeais mon frein, dans l’attente de leurs nouveaux ébats. Ebats qui vinrent bien trop tôt, fatalement. On imagine en fait connaître l’essentiel de ces acrobaties, je m’aperçus ce jour-là que ça n’était pas le cas, enfin, en ce qui me concerne ! Je m’aperçus aussi, durant l’heure et demie qui s’ensuivit, que les positions choisies par ma belle avaient toutes une dimension de véritable soumission. Comme quoi, on ne connaît pas forcément son épouse non plus !
Je ne vais pas vous importuner ici par une fastidieuse description de ces positions, j’ai simplement relevé leurs noms, le lendemain, en feuilletant mon « cadeau » avec elle. Le pire c’est qu’on ne s’est pas mis d’accord tout de suite sur celles quelle avait pratiquées ou cru pratiquer avec ce mec... vous imaginez le style de notre conversation! Du genre :
Moi : « tiens, c’est celle-là ! »
Il s’agissait d’une position par derrière, un peu compliquée.
Elle : « Non, non... je me souviens très bien qu’il m’aggripait à la taille, comme un fou... tout en me... heu... martelant. Il avait des ongles, j’ai encore les marques... »
Elle eut un silevce rêveur, et ajouta, hésitante : « Et puis tu sais... heu... en fait, là, il m’a... il m’a... sodomisée, hein ? Tu n’avais pas compris ? »
Non, je n’avais pas compris ! Le plus drôle, c’est qu’elle avait l’air gênée !
Ou bien encore :
Moi : « L’enclume ! Oui, celle là, vous l’avez faite ! »
Elle : « Ah oui, mes jambes sur ses épaules, les fesses un peu en l’air !!! Si, si, tu as raison. Là, justement, il ne m’a pas quittée des yeux un seul instant... j’ai joui comme une folle.... c’était dingue ! »
C’était dingue, oui. Elle avait tellement hurlé, sur tous les tons, des tas de trucs à la noix que je me suis demandé combien de chambres sur les 1000 que comporte l’hôtel allaient se souvenir de ses orgasmes à répétition !
Finalement, on s’est quand même mis d’accord sur « l’union du Lotus » : ils étaient restés une éternité assis l’un dans l’autre, elle ryhtmant la mesure, tantôt douce, tantot frénétique, un coup incrustée contre lui, les seins écrasés, un coup se laissant aller en arrière, apendue à son cou, l’air alanguie, amoureuse...
Ils réussirent même un dernier orgasme synchrone, complètement en phase, un feu d’artifice accompagné d’un nouveau concert de cris incontrôlés.
Et là, quand même, alors qu’ils redescendaient tous les deux sur terre, nous entendîmes un concert de protestations, en provenance du couloir... des voisins étaient sortis, on frappa même à la porte de la chambre !!! C’était le bouquet ! Allez, pour la route, je vous livre juste la fin.....
...J’étais donc là, à la fois fasciné et penaud, enfoncé dans le fauteuil de cette chambre du Méridien, à admirer les prouesses de ma chère épouse, et surtout les vocalises dont elle les accompagnait...
Mais après ce 69 interminable auquel je venais d’assister, une minute de repos s’imposait sans doute. Le mec en profita pour en venir au coeur du sujet : cet exemplaire du Kama-Sutra que ma chère Anne s’était mis en tête de m’offrir pour mon anniversaire et qui traînait à présent près du lit. Et d’ailleurs si j’étais là, moi, c’était semblait-t-il uniquement parce que ma femme avait eut la charmante idée de joindre à son cadeau une « illustration » personnelle de quelques positions et parce que ce type lui avait suggéré qu’il était plus simple que j’assiste « en direct » à l’illustration, plutôt que par photos interposées.
Toujours en faisant comme si je n’étais pas là, Anne et lui se mirent donc à feuilleter l’ouvrage, non sans en pousser des « oh ! » des « ah ! » et des « hmmmmmmm » sur pratiquement chacune des pages. Cela devenait énervant, vous l’imaginez bien :
Elle : Et pourquoi pas celle-ci (rire) ?
Lui : Moi je préférai la première...
Elle : Oui, mais celle-là, il y a écrit : pour « pénétration profonde par le... le quoi ? Le « Lingam » de l’éléphant... C’est vrai que tu as un côté éléphant, de ce côté là....
En même temps, distraite, elle lui caressait doucement la queue. Et puis, pensive : « Remarque... il n'y a qu’à faire les deux (rire gêné) ! »
Lui : Mais sans problème, Madame... !
Bref, je rongeais mon frein, dans l’attente de leurs nouveaux ébats. Ebats qui vinrent bien trop tôt, fatalement. On imagine en fait connaître l’essentiel de ces acrobaties, je m’aperçus ce jour-là que ça n’était pas le cas, enfin, en ce qui me concerne ! Je m’aperçus aussi, durant l’heure et demie qui s’ensuivit, que les positions choisies par ma belle avaient toutes une dimension de véritable soumission. Comme quoi, on ne connaît pas forcément son épouse non plus !
Je ne vais pas vous importuner ici par une fastidieuse description de ces positions, j’ai simplement relevé leurs noms, le lendemain, en feuilletant mon « cadeau » avec elle. Le pire c’est qu’on ne s’est pas mis d’accord tout de suite sur celles quelle avait pratiquées ou cru pratiquer avec ce mec... vous imaginez le style de notre conversation! Du genre :
Moi : « tiens, c’est celle-là ! »
Il s’agissait d’une position par derrière, un peu compliquée.
Elle : « Non, non... je me souviens très bien qu’il m’aggripait à la taille, comme un fou... tout en me... heu... martelant. Il avait des ongles, j’ai encore les marques... »
Elle eut un silevce rêveur, et ajouta, hésitante : « Et puis tu sais... heu... en fait, là, il m’a... il m’a... sodomisée, hein ? Tu n’avais pas compris ? »
Non, je n’avais pas compris ! Le plus drôle, c’est qu’elle avait l’air gênée !
Ou bien encore :
Moi : « L’enclume ! Oui, celle là, vous l’avez faite ! »
Elle : « Ah oui, mes jambes sur ses épaules, les fesses un peu en l’air !!! Si, si, tu as raison. Là, justement, il ne m’a pas quittée des yeux un seul instant... j’ai joui comme une folle.... c’était dingue ! »
C’était dingue, oui. Elle avait tellement hurlé, sur tous les tons, des tas de trucs à la noix que je me suis demandé combien de chambres sur les 1000 que comporte l’hôtel allaient se souvenir de ses orgasmes à répétition !
Finalement, on s’est quand même mis d’accord sur « l’union du Lotus » : ils étaient restés une éternité assis l’un dans l’autre, elle ryhtmant la mesure, tantôt douce, tantot frénétique, un coup incrustée contre lui, les seins écrasés, un coup se laissant aller en arrière, apendue à son cou, l’air alanguie, amoureuse...
Ils réussirent même un dernier orgasme synchrone, complètement en phase, un feu d’artifice accompagné d’un nouveau concert de cris incontrôlés.
Et là, quand même, alors qu’ils redescendaient tous les deux sur terre, nous entendîmes un concert de protestations, en provenance du couloir... des voisins étaient sortis, on frappa même à la porte de la chambre !!! C’était le bouquet ! Allez, pour la route, je vous livre juste la fin.....
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Modifié en dernier par CheeseCake le 31 mars 2012, 00:25, modifié 7 fois.