La mine de plomb libérée a vite fait de jalonner sur le papier les contours de la femme sur canapé...

Tandis que notre hôte s'affaire pour une dernière coupe, la miss s'allonge, je la sens alanguie, faussement impassible et vraiment en attente... Peut être l'heure n'est elle plus aux coups de crayons...

Elle s'ennuie alors?
Et lui qui ne perd pas une occasion pour aller boire un coup...

L'histoire dira-t-elle
Si pour la belle
Seuls les crayons
Furent mis à contribution ?

"et puis je sens qu'il est temps de vérifier l'exactitude des courbes tracées sur le papier"
Et donc, il vient vérifier...

Ainsi apres les fusains
Qui noircirent la page
Ce furent les mains
Qui devinrent moins sages.

jolis dessins, joli modèle, jolis seins (entres autres..) mais avec sans doute d'autres desseins a suivre....

Que de jolis souvenirs... ce moment où, posant mes crayons j'ai fait un pas, le premier vers ce canapé où elle se lovait innocemment, courbes alanguies... je croyais (un peu) à un moment de fatigue, à un désir d'abandon solitaire... mais vous n'étiez pas dupe et heureusement je lisais un peu dans vos pensées ....

Jeanmedium

Très joli croisé entre le récit de la rencontre agrémenté des esquisses de jeanrp et le compte-rendu du mari, appuyé par ses photos.
Belle photo très érotique que celle où l'on voit l'artiste croquer son modèle avec sa coupe à la main...

Merci à toi GV pour ces quelques mots sympathiques
Si un jour j'organise un atelier de dessin, je penserai à toi
Gentiljeanvoyeur

Les mains, libérées de l'interface du crayon et du voile du Canson ne tardent pas à explorer d'autres contrées... Et elle comme pensive, alanguie tout à l'heure, soudain se tend et s'écarte, accueillant les doigts bienveillants de l'hôte qui promettent déjà de faire preuve d'une autre forme d'art...

Si des doutes avaient pu subsister sur les dispositions du modèle, ils sont littéralement écartés, et les doigts de Jean prennent un plaisir savant à titiller le nid du désir de la belle. Les lieux, tout à l'heure emplis d'un silence ouaté tout juste rompu par de courtois échanges, résonnent soudain des premiers gémissements de plaisir féminin...

Mais puisqu'il s'agit de la croquer désormais au sens propre, l'entreprenant hôte y va de sa bouche et de sa langue et l'amplitude de la cambrure comme l'intensité dés gémissements en sont décuplés... Sans ambivalence le geste de la belle vers le postérieur de son cunnilingueur dit le plaisir qu'il lui donne et le désir qu'il lui inspire...

Mais puisqu'il s'agit de la croquer désormais au sens propre, l'entreprenant hôte y va de sa bouche et de sa langue et l'amplitude de la cambrure comme l'intensité dés gémissements en sont décuplés... Sans ambivalence le geste de la belle vers le postérieur de son cunnilingueur dit le plaisir qu'il lui donne et le désir qu'il lui inspire...

Eh ba dis donc...Quel artiste ce Jeanpoète ....
Toujours bien connaître son "sujet" pour travailler correctement

De l'art et du cochon, langoureux linguiste lapant ce modèle déposé.

Qui de mieux pour croquer le fruit défendu (mais tant convoité) qu'un maître du maniement de la langue française...?

Mais ainsi va ma belle qui ne saurait trop longtemps recevoir sans donner à son tour et elle le signifie à l'hôte d'un geste sans équivoque de la main. Tandis que son minou continue d'être cajolé, elle désigne et vient flatter l'oiseau à faire grandir et libérer...

La condition de photomateur fait passer par des états d’âme anarchiques. Et face au spectacle à la restitution duquel manquent ici les gémissements soutenus du plaisir de la miss qui s'abandonne, votre serviteur narrateur a bien du mal à rester stoïque. Aussi libère-t-il derechef la raideur que lui inspirent les ébats sur canapé...

Alors....Jeanasortisoncrayonintegré ?

Ce n'est plus un canapé c'est un ascensceur pour le 7ème ciel... A chaque coup de langue Jean comme ancré au plus pfofond des lèvres de la belle fait mouche, et elle, se tend se cambre gémit et laisse s'exprimer les vagues de plaisir qui montent sans discontinuer La tension monte elle aussi sur le sofa et la miss entretient celle de notre hôte à pleine main. La connaissant, je sais qu'elle ne devrait pas longtemps en rester là...

Je savais qu'elle attendait ce moment qui la voit, gourmande gourgandine, prendre à pleine bouche la verge tendue de l'artiste aussi habile de la langue que du crayon. Elle s'en délecte et s'en remplit lui signifiant ainsi qu'elle s'offre à lui à la mesure du plaisir qu'il lui donne, qu'elle veut à son tour flatter ses désirs masculins et se délecter de sa queue aussi intensément qu'il a dégusté et fait vibrer son entre cuisses...

Très belle photo, avec madame qui taille le crayon de l'artiste...

Jeanpeuplus !

lecavalier a écrit :...les photos d'une grande intensité, aussi petite qu'elle soit...

Tu exagères!

...Bon OK j'ai arrangé l'orthographe de la citation...

Merci pour ce délicieux partage

Elle l'a, elle la tient, elle la suce, l'avale, ne la lâche plus et s'en délecte avec ardeur et envie, déterminée à la sentir grossir et raidir sous a langue....

bravo mon cher jean je reconnais bien ton talent dans tous les domaines et bravo à vous dialaproposdelle pour ce moment

bravo mon cher jean je reconnais bien ton talent dans tous les domaines et bravo à vous dialaproposdelle pour ce moment

Sur la table de l'artiste, crayons et dessins rappellent que peu de temps auparavant, la belle posait, sourire léger et regard lointain, face à l'hôte concentré sur son trait, devisant sagement avec son modèle. La voilà qui maintenant se tend, se cabre, s'accroche, geint, gémit, souffle, glisse et s'écarte toujours plus pour le laisser dévorer le fruit de son intimité et le siège de son plaisir. Elle jouit de lui aussi profondément qu'elle restait à peine alanguie sur les dessins. L'inconfort de positions sur le canapé de leurs transes ne s'oppose en rien à sa jouissance et si elle pouvait elle glisserait encore d'avantage sous les coups de boutoir de la bouche de Jean.

Sur la table de l'artiste, crayons et dessins rappellent que peu de temps auparavant, la belle posait, sourire léger et regard lointain, face à l'hôte concentré sur son trait, devisant sagement avec son modèle. La voilà qui maintenant se tend, se cabre, s'accroche, geint, gémit, souffle, glisse et s'écarte toujours plus pour le laisser dévorer le fruit de son intimité et le siège de son plaisir. Elle jouit de lui aussi profondément qu'elle restait à peine alanguie sur les dessins. L'inconfort de positions sur le canapé de leurs transes ne s'oppose en rien à sa jouissance et si elle pouvait elle glisserait encore d'avantage sous les coups de boutoir de la bouche de Jean.