- 15 févr. 2015, 12:27
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Il me semble que la relation candauliste/cuckold n'est viable que si il y a une complémentarité entre l'amant et le mari. Pour ce qui nous concerne, je n'ai pas assez de dialogue avec ma femme, mais une bonne communication avec son amant. L'idée est que chacun y trouve plus ou moins son propre équilibre.
Il est bien évident que l'amant a la part belle. Si on l'accepte non pas comme une simple fatalité, on peut s'en sortir en tant que Candaule ou Cuckold. Il faut donc, comme vous l'avez fait, accepter ses propres limites. Pour ma part je n'ai eut conscience de ce que ma femme ne jouirait jamais avec mon pénis...que quand je l'ai vue jouir pour la première fois de sa vie avec le pénis d'un autre. La différence entre le mien et celui de cet homme était si considérable que cela a été un véritable "choc" psychologique. J'ai, à la première jouissance qu'elle a eut devant moi, dans un premier temps pensé qu'elle était "libérée", et que "décoincée" elle allait désormais jouir avec moi. C'est à cet instant précis, alors que je ne suis pas éjacyulateur précoce, et qu'alors j'étais plutot "résistant" que j'ai perdu confiance en moi. Ce moment a plus de 20 ans mais je m'en souviens comme si c'était hier soir. A l'instant où je n'ai pas pu davantage contrôler, retenir, mon éjaculation j'ai compris que la partie était perdue définitivement. Ma femme avait jouit devant moi avec cet homme qui restait à côté à regarder. Je remplissais ma capote sans que ma femme n'ait avec moi davantage réagit que depuis des années et des années. J'avais tenu longtemps. Je bandais bien. Elle n'avait pas jouit et manifesté aucune satisfaction. A nouveau cet homme allait la répénétrer. J'étais maintenant mou. Lui était dur, énorme. Sa queue m'excita. Je venais d'éjaculer mais j'avais encore envie. Mais non... je ne pouvais pas manifester mon envie, c'est lui qui maintenant la pénétrait à nouveau. Ma femme avait envie de cet homme et pas de moi. Ce fut je crois la première chose que je ressentais. Ensuite elle rejouit avec lui. C'était complètement nouveau. Je découvrais une seconde fois en direct, en gros plan, le visage de ma femme en train d'avoir du plaisir. C'est en fait un véritable traumatisme.
J'avais 2 options. Ne pas accepter qu'elle ait du plaisir avec cet homme et quitter le club où cela se passait. L'accepter. C'est cette seconde option pour laquelle j'ai opté. Au coit suivant qu'elle eut avec cet homme, j'étais devenu incapable de retenir mon éjaculation. J'éjaculais contre son dos pendant que l'homme la pénétrait en missionnaire, elle allongée sur moi.
Des années donc après ce premier épisode, finalement comme vous le fait que je me masturbe arrange tout le monde. Ma femme fait un lien entre "éjaculation" et "mérite". En shématisant son amant peut éjaculer en elle en raison de ce qu'il la fait jouir avec son pénis. Je ne lui donne pas de plaisir, donc c'est elle qui me fait une faveur si elle accepte que je jouisse en elle, "sans contrepartie", c'est à dire sans lui donner de plaisir. De fait, son amant fait "éjaculer" ma femme plusieurs fois par heure. Il est donc parfaitement légitime pour elle qu'elle accepte sa semence en elle. Elle parle de son "foutre", qu'elle lui réclame pendant leurs ébats sexuels. Elle ne désigne pas ma semence. Elle ne l'appelle pas, et elle ne la recherche pas. Ce n'est pas un dégout pour elle, mais c'est assurément une gêne. Elle me fait donc éjaculer sur elle, ou près d'elle, et si j'éjacule sur elle elle ne nettoie avec une serviette. Si elle a du sperme de son amant sur elle, le plus souvent elle le récupère avec ses doigts et le mange. Bref, le candaule/cuckold est là encore dans une situation d'infériorité pour une même chose ! Le sperme de l'amant a plus de "valeur" que celui du "cocu"...
(sommes cpl les 2 bi. Ch. Mâle pour elle...et lui)