- 18 déc. 2013, 13:57
#1482722
Bonjour !
Je lisais non sans plaisir quelques récits quand l'envie m'a prise de raconter l'histoire de loin la plus déjantée qui me soit arrivée. Je n'en ai encore parlé à personne, pas même à mon désormais ex-copine (désolé pour le spoiler mais je pense que cela ne gâche rien), c'est en quelque sorte un exutoire.
Veuillez à l'avance excuser la brièveté de l'histoire, il ne s'agit pas d'un récit en plusieurs actes malheureusement. De plus j'imagine que le point de vue de la demoiselle serait bien plus excitant, mais venons-en aux faits :
C'était il y a 4 ans maintenant, j'avais 24 ans, elle 21, nous étions tout deux étudiants dans la même ville mais dans des facs différentes. En fait nous ne nous croisions qu'une seule fois par semaine durant notre activité sportive commune (je ne rentre pas dans les détails inutiles je ne voudrais pas qu'on la reconnaisse). Il faut savoir que c'était une fille super canon, de celles qui attirent les regards d'absolument tous les mecs de la salle à chaque session, alors moi avec mon physique banal (bien que pas mal musclé à l'époque) j'étais bien loin de m'imaginer pouvoir finir avec elle. Et c'est pourtant ce qui est arrivé ! On s'est croisé dans un bar le dernier weekend avant les exams, on a sympathisé et on a conclu l'affaire, c'était top. Voilà... ça vous a plu ? Non je plaisante !
Le hic, c'était que les exams duraient deux semaines pour chacun et se chevauchaient sur une semaine, ce qui donnait donc si vous faites le calcul trois semaines sans vraiment pouvoir profiter de notre relation, sachant que par la suite je devais bosser deux mois à 150 km d'elle et qu'en août je devais partir deux semaines en Espagne avec des amis (oui le plan étudiant-beauf par excellence). Il se trouve qu'elle a accepté de me rejoindre une semaine à Barcelone à l'issue de mes vacs entre potes, ce qui fut au final le moment que j'attendais le plus impatiemment durant ces 2 mois et demi qui me séparaient de nos retrouvailles.
Ces vacances entre Malaga, Marbella, Séville et Cordoue se sont super bien passées, ça dragouillait un peu à droite à gauche mais de mon côté j'ai été sage comme une image, de toute manière je ne suis pas un tombeur, et puis la perspective de retrouver ma belle m'ôtais toute envie de déraper. Est venu le moment tant attendu où je suis remonté seul sur Barcelone, on avait réservé une chambre dans une auberge de jeunesse pour 4 nuits, pour la suite nous avions prévu de squatter quelques jours chez l'ami d'un ami qui voulait bien nous héberger, et contrairement à ce qu'on pourrait croire c'est avant de rencontrer cet "ami" que le scénario bascule, j'y-viens donc :
Notre première nuit a été incroyable, on avait certes couché (pardonnez-moi mon langage de jeune) trois fois ensemble par le passé mais jamais nous ne nous étions senti libéré comme ce soir là. Bref on l'a fait, refait et re-refait, je vous épargne les détails salaces ce n'est pas le plus important. Ce qui est intéressant est arrivé durant la deuxième nuit. Il y avait quatre allemands dans une chambre mitoyenne à la notre, assez branchouilles genre crêtes blondes et piercings mais pas attirants pour autant. Il se trouve qu'on les avait croisé dans le hall en récupérant nos clefs de chambre et que le les avait entendu parler ouvertement de ma copine dans des termes assez crus (je parle allemand, elle pas du tout), ce qui ne me dérangeait pas puisque comme je le disais elle était et est toujours vraiment magnifique, et je pensais d'avantage à ma chance inouïe de partager mon lit avec une telle créature qu'aux gens qui la reluquaient.
Donc ce deuxième soir, après avoir éjaculé cinq fois en une quinzaines d'heures et s'être baladé toute l'après-midi et la soirée dans Barcelone pour remettre le contexte, je suis rentré complètement claqué et nous nous sommes couchés bon amis si je puis dire ainsi. Seulement les allemands d'à côté en ont décidé autrement et se sont mis à écouter une sorte de rap allemand à fond à 3h du matin passé. J'étais tellement fatigué que j'ai laissé ma copine aller taper à leur porte et je me suis endormi peu après. Bon gré mal gré, ils remettent la sauce 30 minutes plus tard, ou alors est-ce que le tapage ne s'était pas arrêté, mais il m'était en tout cas difficile de trouver le sommeil. Par ailleurs, ma copine n'était plus dans la chambre, pourtant j'étais persuadé de l'avoir entendu revenir juste avant de m'endormir.
Je me lève, m'habille et vais jeter un œil dans le couloir, croisant un voisin qui tapait justement à la porte des mangeurs de saucisse (sans offense), je descend jusque dans le hall, je jette un rapide coup d’œil dehors... personne. Je ne m'inquiète pas pour autant, ma copine m'a tout l'air d'une fille fiable et sérieuse et je me dis qu'elle est probablement en train de fumer dans une rue proche ou dans un parc. Donc je remonte me coucher mais une fois déshabillé et couché je me rend compte que je n'arriverais jamais à me rendormir avec un tel vacarme. J'entreprends d'aller leur faire couper la musique, en caleçon à environ 4h du matin. Je frappe mais je me doute qu'ils n'entendent rien alors je décide d'ouvrir moi-même la porte, tout doucement histoire de ne pas non plus en faire des tonnes.
Et là, dans l'embrasure de la porte, dos à moi, ma petite amie se fait enfiler en levrette par un de ces messieurs, sa jupe est à terre, son string encore accroché a l'un de ses pieds et elle a gardé son débardeur. Un deuxième se masturbe a quelques centimètres de son visage avec sa main gauche laissant penser qu'il lui caresse les seins via son décolleté. Peut-être qu'elle le suçait juste avant et/ou après que j'assiste à la scène. Un troisième sort de la salle de bain nu comme un ver 5 ou 10 secondes après que j'ai entrouvert la porte (on perd assez facilement la notion du temps dans ces moments-là), me voit et vient fermer tranquillement la porte sans dire mot à personne comme si c'était une scène banale de la vie courante, et c'est peut-être finalement ce sentiment d'étonnement total qui m'a dissuadé d'intervenir.
J'étais tétanisé et excité à la fois, je crois que je suis resté plusieurs minutes sur le palier avant de me décider à bouger. Pour l'anecdote, je me suis habillé en vitesse, suis sorti faire un tour et ai croisé le quatrième larron avec qui j'ai partagé une clope en tapant la causette. On a parlé foot et voyages parce qu'il ne savait pas que j'étais le mec de la salope (sans offense là non plus), lui n'a pas participé aux ébats parce qu'il était en couple, je l'ai su bien plus tard parce que nous sommes resté en contact via facebook durant un temps. Elle n'a jamais su que je l'ai surpris sur le fait ce soir-là.
Voilà pour la petite histoire, je ne tiens pas forcément à m'épancher sur mes sentiments mitigés et compagnie mais juste à relater cette aventure cocasse. Malheureusement nous nous sommes séparés environ deux mois plus tard et je ne suis pas au courant des péripéties sexuelles de mademoiselle depuis lors, et c'est bien dommage parce que ça pourrait être croustillant.
Je lisais non sans plaisir quelques récits quand l'envie m'a prise de raconter l'histoire de loin la plus déjantée qui me soit arrivée. Je n'en ai encore parlé à personne, pas même à mon désormais ex-copine (désolé pour le spoiler mais je pense que cela ne gâche rien), c'est en quelque sorte un exutoire.
Veuillez à l'avance excuser la brièveté de l'histoire, il ne s'agit pas d'un récit en plusieurs actes malheureusement. De plus j'imagine que le point de vue de la demoiselle serait bien plus excitant, mais venons-en aux faits :
C'était il y a 4 ans maintenant, j'avais 24 ans, elle 21, nous étions tout deux étudiants dans la même ville mais dans des facs différentes. En fait nous ne nous croisions qu'une seule fois par semaine durant notre activité sportive commune (je ne rentre pas dans les détails inutiles je ne voudrais pas qu'on la reconnaisse). Il faut savoir que c'était une fille super canon, de celles qui attirent les regards d'absolument tous les mecs de la salle à chaque session, alors moi avec mon physique banal (bien que pas mal musclé à l'époque) j'étais bien loin de m'imaginer pouvoir finir avec elle. Et c'est pourtant ce qui est arrivé ! On s'est croisé dans un bar le dernier weekend avant les exams, on a sympathisé et on a conclu l'affaire, c'était top. Voilà... ça vous a plu ? Non je plaisante !

Le hic, c'était que les exams duraient deux semaines pour chacun et se chevauchaient sur une semaine, ce qui donnait donc si vous faites le calcul trois semaines sans vraiment pouvoir profiter de notre relation, sachant que par la suite je devais bosser deux mois à 150 km d'elle et qu'en août je devais partir deux semaines en Espagne avec des amis (oui le plan étudiant-beauf par excellence). Il se trouve qu'elle a accepté de me rejoindre une semaine à Barcelone à l'issue de mes vacs entre potes, ce qui fut au final le moment que j'attendais le plus impatiemment durant ces 2 mois et demi qui me séparaient de nos retrouvailles.
Ces vacances entre Malaga, Marbella, Séville et Cordoue se sont super bien passées, ça dragouillait un peu à droite à gauche mais de mon côté j'ai été sage comme une image, de toute manière je ne suis pas un tombeur, et puis la perspective de retrouver ma belle m'ôtais toute envie de déraper. Est venu le moment tant attendu où je suis remonté seul sur Barcelone, on avait réservé une chambre dans une auberge de jeunesse pour 4 nuits, pour la suite nous avions prévu de squatter quelques jours chez l'ami d'un ami qui voulait bien nous héberger, et contrairement à ce qu'on pourrait croire c'est avant de rencontrer cet "ami" que le scénario bascule, j'y-viens donc :
Notre première nuit a été incroyable, on avait certes couché (pardonnez-moi mon langage de jeune) trois fois ensemble par le passé mais jamais nous ne nous étions senti libéré comme ce soir là. Bref on l'a fait, refait et re-refait, je vous épargne les détails salaces ce n'est pas le plus important. Ce qui est intéressant est arrivé durant la deuxième nuit. Il y avait quatre allemands dans une chambre mitoyenne à la notre, assez branchouilles genre crêtes blondes et piercings mais pas attirants pour autant. Il se trouve qu'on les avait croisé dans le hall en récupérant nos clefs de chambre et que le les avait entendu parler ouvertement de ma copine dans des termes assez crus (je parle allemand, elle pas du tout), ce qui ne me dérangeait pas puisque comme je le disais elle était et est toujours vraiment magnifique, et je pensais d'avantage à ma chance inouïe de partager mon lit avec une telle créature qu'aux gens qui la reluquaient.
Donc ce deuxième soir, après avoir éjaculé cinq fois en une quinzaines d'heures et s'être baladé toute l'après-midi et la soirée dans Barcelone pour remettre le contexte, je suis rentré complètement claqué et nous nous sommes couchés bon amis si je puis dire ainsi. Seulement les allemands d'à côté en ont décidé autrement et se sont mis à écouter une sorte de rap allemand à fond à 3h du matin passé. J'étais tellement fatigué que j'ai laissé ma copine aller taper à leur porte et je me suis endormi peu après. Bon gré mal gré, ils remettent la sauce 30 minutes plus tard, ou alors est-ce que le tapage ne s'était pas arrêté, mais il m'était en tout cas difficile de trouver le sommeil. Par ailleurs, ma copine n'était plus dans la chambre, pourtant j'étais persuadé de l'avoir entendu revenir juste avant de m'endormir.
Je me lève, m'habille et vais jeter un œil dans le couloir, croisant un voisin qui tapait justement à la porte des mangeurs de saucisse (sans offense), je descend jusque dans le hall, je jette un rapide coup d’œil dehors... personne. Je ne m'inquiète pas pour autant, ma copine m'a tout l'air d'une fille fiable et sérieuse et je me dis qu'elle est probablement en train de fumer dans une rue proche ou dans un parc. Donc je remonte me coucher mais une fois déshabillé et couché je me rend compte que je n'arriverais jamais à me rendormir avec un tel vacarme. J'entreprends d'aller leur faire couper la musique, en caleçon à environ 4h du matin. Je frappe mais je me doute qu'ils n'entendent rien alors je décide d'ouvrir moi-même la porte, tout doucement histoire de ne pas non plus en faire des tonnes.
Et là, dans l'embrasure de la porte, dos à moi, ma petite amie se fait enfiler en levrette par un de ces messieurs, sa jupe est à terre, son string encore accroché a l'un de ses pieds et elle a gardé son débardeur. Un deuxième se masturbe a quelques centimètres de son visage avec sa main gauche laissant penser qu'il lui caresse les seins via son décolleté. Peut-être qu'elle le suçait juste avant et/ou après que j'assiste à la scène. Un troisième sort de la salle de bain nu comme un ver 5 ou 10 secondes après que j'ai entrouvert la porte (on perd assez facilement la notion du temps dans ces moments-là), me voit et vient fermer tranquillement la porte sans dire mot à personne comme si c'était une scène banale de la vie courante, et c'est peut-être finalement ce sentiment d'étonnement total qui m'a dissuadé d'intervenir.
J'étais tétanisé et excité à la fois, je crois que je suis resté plusieurs minutes sur le palier avant de me décider à bouger. Pour l'anecdote, je me suis habillé en vitesse, suis sorti faire un tour et ai croisé le quatrième larron avec qui j'ai partagé une clope en tapant la causette. On a parlé foot et voyages parce qu'il ne savait pas que j'étais le mec de la salope (sans offense là non plus), lui n'a pas participé aux ébats parce qu'il était en couple, je l'ai su bien plus tard parce que nous sommes resté en contact via facebook durant un temps. Elle n'a jamais su que je l'ai surpris sur le fait ce soir-là.
Voilà pour la petite histoire, je ne tiens pas forcément à m'épancher sur mes sentiments mitigés et compagnie mais juste à relater cette aventure cocasse. Malheureusement nous nous sommes séparés environ deux mois plus tard et je ne suis pas au courant des péripéties sexuelles de mademoiselle depuis lors, et c'est bien dommage parce que ça pourrait être croustillant.
