- 02 févr. 2012, 13:12
#982575
voici un petit fantasme que j'ai écrit pour émoustiller ma femme et qui l'a bien faite mouiller quand elle l'a lu
bonne lecture...
Nous étions dans le train pour Paris un jour d’été, il faisait chaud ce jour là, mon mari assis en face de moi s’avança et me dit :
« Tu es très désirable aujourd’hui si nous n’étions pas entourés de monde, je crois que je te prendrais là sur la banquette »
Je souris suite à ce compliment et lui répondit machinalement :
« Tant pis, tu devras attendre notre arrivée à l’hôtel pour me prendre sauvagement …».
Il ignorait tout de ce fantasme que j’avais depuis l’adolescence :
-faire l’amour avec un inconnu dans un train-
Je me serais bien satisfaite de passer un moment tendre avec lui ici, même si je dû fermer les yeux pour m’imaginer dans les bras d’un inconnu afin de m’exciter encore plus.
Combien de fois je m’étais fait jouir en pensant à une situation similaire
C’est vrai qu’aujourd’hui, je me trouvais très sexy dans ma petite jupe ample, mon chemisier légèrement transparent et mes talons hauts et j’aurais bien été disposée pour me laisser faire s’il avait insisté un peu, mais il avait repris sa lecture et on en était resté là. Dommage !
La chaleur aidant je commençais à avoir un peu soif
Ayant demandé à mon mari s’il voulait boire quelque chose il avait refusé ; je me levai donc pour aller chercher une boisson au wagon restaurant
Après avoir traversé un autre wagons traditionnel j’arrivais dans un wagon au couloir latéral et cabines 8 places sur l’autre coté’
A l’autre bout du couloir deux jeunes hommes ayant environ la trentaine discutaient
Ils me dévisagèrent de la tête aux pieds dés que j’entrai dans la coursive et tout le temps que j’arrive jusqu’à leur hauteur, je titubais aux grés des secousses du train
Cette situation me troubla un peu d’autant plus qu’ils obstruaient le passage
« Pardon ! » Leurs dis je en arrivant à leur hauteur
« Bonjour jolie Madame» me répondirent-ils en se déplaçant et en me souriant
J’entrepris alors de passer tout en les remerciant
Mais à la faveur d’une secousse du train plus forte et de mes talons haut, je fus déséquilibrée et tomba vers un des beaux jeunes hommes.
Celui ci me rattrapa de justesse passant ses bras sous mes aisselles et ses mains se posant naturellement et généreusement sur mes seins
Je rougis et m’excusa tout en essayant de reprendre appuis sur mes jambes.
Mais il resta ainsi à me tenir et penchant désormais sa tête vers mon cou il dit:
« Tout le plaisir est pour moi de sauver une si charmante personne d’une chute promise »
Je sentis son souffle chaud à travers mes cheveux puis sa bouche humide venir poser un baiser dans mon cou.
Cette situation déclencha en moi une vague de frissons qui par réflexe, me fit fermer les yeux et lâcher un soupir.
Ce relâchement fût remarqué et je pense qu’il fût le déclencheur de la suite des événements.
Je sentis alors une main, me frôler, puis me toucher le visage.et l’homme en face de moi me dit.
« Que vous êtes belle Madame, que votre peau est douce »
J’ai vite essayée de repousser ces mains trop proches mais l’homme derrière moi me tenait fermement et l’autre en face commença à me caresser alternativement avec chacune de ses mains qui redevenaient libre
Je ne pouvais pas faire grand-chose et en même temps, ces mains baladeuses étaient si douces…
Je ne pouvais pas crier non plus car l'émotion doublée de ce plaisir caché et interdit me paralysaient ;
C’est alors que je vis un troisième jeune homme sortir de la cabine et sans un mot venir se joindre à ses 2 camarades pour les aider dans leur douce conquête de mon corps.
J’eue un geste de recul mais cet homme derrière continuait à me tenir fermement et m’embrasser langoureusement le cou.
Alors certaines mains plus insistantes commencèrent à me peloter
puis rapidement, ils passaient maintenant leurs six mains un peu partout, c’était une invasion, je les sentais courir leurs doigts sur mes reins, mes fesses, sous ma jupe, glissant le long de mes jambes d’autres caressaient et remontaient mes bras s’approchant de mes épaules, mes seins, mon ventre,
Je ressentais tout ça à travers mes vêtements ou sur ma peau, ils ne laissaient vraiment maintenant aucune partie de mon corps sans caresses.
Tout en me caressant, ils me faisaient entrer lentement, pas à pas, dans leur cabine.
Quand j’entendis la porte se refermer derrière moi et les rideaux être tirés, je compris alors que j’étais partie pour vivre un grand moment d’érotisme torride.
J’allais vivre plus que je n’avais imaginée dans tous mes rêves érotiques nocturnes.
J’eue une brève pensée pour mon mari, mais le plaisir naissant me le fit vite oublier.
A cet instant, ils commencèrent à dégrafer délicatement mon chemisier puis s’attaquèrent à mon soutien gorge, passant les mains dessous pour peloter mes seins, puis je sentis maintenant une main aventureuse se glisser dans ma petite culotte par derrière, puis devant
malgré mes vaines tentatives pour empêcher cela, deux autres mains me faisaient alors délicatement glisser ma culotte.
C’était affolant et pourtant si délicieux.
Je sentis le tissu de ma culotte s’éloigner doucement de mon sexe pour descendre jusqu'aux genoux puis finalement, je la sentis tomber sur mes escarpins
alors le plaisir étant de plus en plus fort, je commençais vraiment à m’abandonner à leurs caresses trouvant finalement beaucoup de plaisir à la situation, me laissant fouiller dans le moindre recoin de mon intimité.
Un des hommes s'agenouilla alors face à moi, passa la tête sous ma jupe et je sentis alors sa langue humide et chaude sur mon clito.
Cette petite langue délicate, humide et nerveuse se promenait sur cette pointe à plaisir, je sentais aussi son souffle chaud glisser sur mon sexe humide.
Cette séquence ajoutée à toutes ces mains qui continuaient de me caresser et me masser me rendait folle de plaisir, j’écartai alors les jambes le plus possible posant mon pied sur un siège pour m’abandonner totalement à mon plaisir
Cet homme qui me broutait toute ma chatte devenue en feu, pendant que les autres me caressaient partout entre les jambes, sur les fesses et mes seins qui pointaient tant qu’ils pouvaient. Tout mon corps vibrait désormais sous leurs caresses.
Je sentis alors monter en moi des spasmes et me mis à jouir intensément et plusieurs fois, l’homme derrière moi me maintenant debout pour ne pas que je m’effondre de plaisir
J’aurais tellement aimé crier ce plaisir qui m’envahit mais je me mordais les lèvres pour me retenir
Puis le plus jeune d’entre eux monta sur la banquette sur laquelle mon pied était posé, il fit glisser son pantalon et son boxer découvrant ainsi une forte érection.
Par un geste, il m’invita à m’occuper de lui
Ce sexe tendu pour moi était très attractif et je ne me faisais pas prier pour le prendre à pleine mains
Je l’englobai dans ma bouche et me mis à le sucer tandis que je massais ses boules avec mes mains. Ceci eu pour effet de lui déclencher un râle de satisfaction.
Dans cette position, ou j’étais très ouverte et penchée en avant, je sentis alors le sexe chaud et tendu de l’homme positionné derrière moi pénétrer profondément à l’intérieur de mon vagin…
Après quelques va et viens ; cette position ou tous les muscles de mes jambes étaient tendus par mes talons hauts, ou ma chatte était largement offerte, ou mon clito était doucement brouté, ou ma bouche et mes main étaient occupées sur un sexe turgescent déclencha en moi un nouvel orgasme violent.
Je gémissais de plaisir et mon orgasme semblait ne plus s’arrêter.
Après quelques minutes dans cette position, ils décidèrent de changer de place
Le brouteur passa derrière pour me pénétrer à son tour alors que celui de derrière passa devant pour me brouter, seul le jeune homme me demanda de continuer à le pomper et lui peloter les boules. Il trouvait visiblement du plaisir à ce que je le suce et c’était réciproque.
Nous avons continués quelques minutes ainsi, c’était toujours aussi bon de voir ces 3 jeunes et beaux garçons s’occuper de moi. Mais….
Soudain, le train se mit à ralentir et le micro annonça la gare d’Orléans.
A ces mots, ils m’annoncèrent qu’ils devaient descendre ici ; à leur grand regret…
Ils se retirèrent tous de leurs occupations et se rhabillèrent, ce que j’entrepris alors également
Puis le train s’arrêtant ils quittèrent la cabine en me disant simplement
« Merci beaucoup Madame pour ce moment, c’était vraiment délicieux !… »
Voulant quitter la cabine à mon tour, je m’aperçu que ma petite culotte avait disparue
Je cherchais en vain mais un d’entre eux avait dû l’emporter comme trophée ou souvenir
Lorsque je revins m’asseoir plus d’une demi-heure après mon départ, mon mari absorbé par sa lecture me demanda machinalement si cela allait mieux maintenant que j’étais désaltérée ...
Je lui répondis par l’affirmative en réalisant que j’avais finalement complètement oubliée ma soif qui fût à l’origine de mon départ ; ce qui me redonnai immédiatement soif, évidement !....
J’étais heureuse et détendue, me demandant si je ne venais pas de faire un rêve érotique éveillée.
Une seule chose m’angoissait, comment allais-je expliquer à mon mari en arrivant à l’hôtel que je ne portais plus ma culotte ; De plus, j’avais l’entre jambe humide car j’étais encore terriblement excitée.
J’avais une heure pour réfléchir mais j’étais rassurée car les femmes sont assez fortes pour rouler les hommes dans la farine en inventant des scénarios qu’ils gobent sans se poser de question…..
bonne lecture...
Nous étions dans le train pour Paris un jour d’été, il faisait chaud ce jour là, mon mari assis en face de moi s’avança et me dit :
« Tu es très désirable aujourd’hui si nous n’étions pas entourés de monde, je crois que je te prendrais là sur la banquette »
Je souris suite à ce compliment et lui répondit machinalement :
« Tant pis, tu devras attendre notre arrivée à l’hôtel pour me prendre sauvagement …».
Il ignorait tout de ce fantasme que j’avais depuis l’adolescence :
-faire l’amour avec un inconnu dans un train-
Je me serais bien satisfaite de passer un moment tendre avec lui ici, même si je dû fermer les yeux pour m’imaginer dans les bras d’un inconnu afin de m’exciter encore plus.
Combien de fois je m’étais fait jouir en pensant à une situation similaire
C’est vrai qu’aujourd’hui, je me trouvais très sexy dans ma petite jupe ample, mon chemisier légèrement transparent et mes talons hauts et j’aurais bien été disposée pour me laisser faire s’il avait insisté un peu, mais il avait repris sa lecture et on en était resté là. Dommage !
La chaleur aidant je commençais à avoir un peu soif
Ayant demandé à mon mari s’il voulait boire quelque chose il avait refusé ; je me levai donc pour aller chercher une boisson au wagon restaurant
Après avoir traversé un autre wagons traditionnel j’arrivais dans un wagon au couloir latéral et cabines 8 places sur l’autre coté’
A l’autre bout du couloir deux jeunes hommes ayant environ la trentaine discutaient
Ils me dévisagèrent de la tête aux pieds dés que j’entrai dans la coursive et tout le temps que j’arrive jusqu’à leur hauteur, je titubais aux grés des secousses du train
Cette situation me troubla un peu d’autant plus qu’ils obstruaient le passage
« Pardon ! » Leurs dis je en arrivant à leur hauteur
« Bonjour jolie Madame» me répondirent-ils en se déplaçant et en me souriant
J’entrepris alors de passer tout en les remerciant
Mais à la faveur d’une secousse du train plus forte et de mes talons haut, je fus déséquilibrée et tomba vers un des beaux jeunes hommes.
Celui ci me rattrapa de justesse passant ses bras sous mes aisselles et ses mains se posant naturellement et généreusement sur mes seins
Je rougis et m’excusa tout en essayant de reprendre appuis sur mes jambes.
Mais il resta ainsi à me tenir et penchant désormais sa tête vers mon cou il dit:
« Tout le plaisir est pour moi de sauver une si charmante personne d’une chute promise »
Je sentis son souffle chaud à travers mes cheveux puis sa bouche humide venir poser un baiser dans mon cou.
Cette situation déclencha en moi une vague de frissons qui par réflexe, me fit fermer les yeux et lâcher un soupir.
Ce relâchement fût remarqué et je pense qu’il fût le déclencheur de la suite des événements.
Je sentis alors une main, me frôler, puis me toucher le visage.et l’homme en face de moi me dit.
« Que vous êtes belle Madame, que votre peau est douce »
J’ai vite essayée de repousser ces mains trop proches mais l’homme derrière moi me tenait fermement et l’autre en face commença à me caresser alternativement avec chacune de ses mains qui redevenaient libre
Je ne pouvais pas faire grand-chose et en même temps, ces mains baladeuses étaient si douces…
Je ne pouvais pas crier non plus car l'émotion doublée de ce plaisir caché et interdit me paralysaient ;
C’est alors que je vis un troisième jeune homme sortir de la cabine et sans un mot venir se joindre à ses 2 camarades pour les aider dans leur douce conquête de mon corps.
J’eue un geste de recul mais cet homme derrière continuait à me tenir fermement et m’embrasser langoureusement le cou.
Alors certaines mains plus insistantes commencèrent à me peloter
puis rapidement, ils passaient maintenant leurs six mains un peu partout, c’était une invasion, je les sentais courir leurs doigts sur mes reins, mes fesses, sous ma jupe, glissant le long de mes jambes d’autres caressaient et remontaient mes bras s’approchant de mes épaules, mes seins, mon ventre,
Je ressentais tout ça à travers mes vêtements ou sur ma peau, ils ne laissaient vraiment maintenant aucune partie de mon corps sans caresses.
Tout en me caressant, ils me faisaient entrer lentement, pas à pas, dans leur cabine.
Quand j’entendis la porte se refermer derrière moi et les rideaux être tirés, je compris alors que j’étais partie pour vivre un grand moment d’érotisme torride.
J’allais vivre plus que je n’avais imaginée dans tous mes rêves érotiques nocturnes.
J’eue une brève pensée pour mon mari, mais le plaisir naissant me le fit vite oublier.
A cet instant, ils commencèrent à dégrafer délicatement mon chemisier puis s’attaquèrent à mon soutien gorge, passant les mains dessous pour peloter mes seins, puis je sentis maintenant une main aventureuse se glisser dans ma petite culotte par derrière, puis devant
malgré mes vaines tentatives pour empêcher cela, deux autres mains me faisaient alors délicatement glisser ma culotte.
C’était affolant et pourtant si délicieux.
Je sentis le tissu de ma culotte s’éloigner doucement de mon sexe pour descendre jusqu'aux genoux puis finalement, je la sentis tomber sur mes escarpins
alors le plaisir étant de plus en plus fort, je commençais vraiment à m’abandonner à leurs caresses trouvant finalement beaucoup de plaisir à la situation, me laissant fouiller dans le moindre recoin de mon intimité.
Un des hommes s'agenouilla alors face à moi, passa la tête sous ma jupe et je sentis alors sa langue humide et chaude sur mon clito.
Cette petite langue délicate, humide et nerveuse se promenait sur cette pointe à plaisir, je sentais aussi son souffle chaud glisser sur mon sexe humide.
Cette séquence ajoutée à toutes ces mains qui continuaient de me caresser et me masser me rendait folle de plaisir, j’écartai alors les jambes le plus possible posant mon pied sur un siège pour m’abandonner totalement à mon plaisir
Cet homme qui me broutait toute ma chatte devenue en feu, pendant que les autres me caressaient partout entre les jambes, sur les fesses et mes seins qui pointaient tant qu’ils pouvaient. Tout mon corps vibrait désormais sous leurs caresses.
Je sentis alors monter en moi des spasmes et me mis à jouir intensément et plusieurs fois, l’homme derrière moi me maintenant debout pour ne pas que je m’effondre de plaisir
J’aurais tellement aimé crier ce plaisir qui m’envahit mais je me mordais les lèvres pour me retenir
Puis le plus jeune d’entre eux monta sur la banquette sur laquelle mon pied était posé, il fit glisser son pantalon et son boxer découvrant ainsi une forte érection.
Par un geste, il m’invita à m’occuper de lui
Ce sexe tendu pour moi était très attractif et je ne me faisais pas prier pour le prendre à pleine mains
Je l’englobai dans ma bouche et me mis à le sucer tandis que je massais ses boules avec mes mains. Ceci eu pour effet de lui déclencher un râle de satisfaction.
Dans cette position, ou j’étais très ouverte et penchée en avant, je sentis alors le sexe chaud et tendu de l’homme positionné derrière moi pénétrer profondément à l’intérieur de mon vagin…
Après quelques va et viens ; cette position ou tous les muscles de mes jambes étaient tendus par mes talons hauts, ou ma chatte était largement offerte, ou mon clito était doucement brouté, ou ma bouche et mes main étaient occupées sur un sexe turgescent déclencha en moi un nouvel orgasme violent.
Je gémissais de plaisir et mon orgasme semblait ne plus s’arrêter.
Après quelques minutes dans cette position, ils décidèrent de changer de place
Le brouteur passa derrière pour me pénétrer à son tour alors que celui de derrière passa devant pour me brouter, seul le jeune homme me demanda de continuer à le pomper et lui peloter les boules. Il trouvait visiblement du plaisir à ce que je le suce et c’était réciproque.
Nous avons continués quelques minutes ainsi, c’était toujours aussi bon de voir ces 3 jeunes et beaux garçons s’occuper de moi. Mais….
Soudain, le train se mit à ralentir et le micro annonça la gare d’Orléans.
A ces mots, ils m’annoncèrent qu’ils devaient descendre ici ; à leur grand regret…
Ils se retirèrent tous de leurs occupations et se rhabillèrent, ce que j’entrepris alors également
Puis le train s’arrêtant ils quittèrent la cabine en me disant simplement
« Merci beaucoup Madame pour ce moment, c’était vraiment délicieux !… »
Voulant quitter la cabine à mon tour, je m’aperçu que ma petite culotte avait disparue
Je cherchais en vain mais un d’entre eux avait dû l’emporter comme trophée ou souvenir
Lorsque je revins m’asseoir plus d’une demi-heure après mon départ, mon mari absorbé par sa lecture me demanda machinalement si cela allait mieux maintenant que j’étais désaltérée ...
Je lui répondis par l’affirmative en réalisant que j’avais finalement complètement oubliée ma soif qui fût à l’origine de mon départ ; ce qui me redonnai immédiatement soif, évidement !....
J’étais heureuse et détendue, me demandant si je ne venais pas de faire un rêve érotique éveillée.
Une seule chose m’angoissait, comment allais-je expliquer à mon mari en arrivant à l’hôtel que je ne portais plus ma culotte ; De plus, j’avais l’entre jambe humide car j’étais encore terriblement excitée.
J’avais une heure pour réfléchir mais j’étais rassurée car les femmes sont assez fortes pour rouler les hommes dans la farine en inventant des scénarios qu’ils gobent sans se poser de question…..
