- 26 oct. 2011, 23:37
#823401
Ce récit est celui de mes conversations avec une jeune femme du prénom de Sophie. J'ai fait sa connaissance sur internet. Je cherchais des confidences, elle avait envie de parler d'elle et de ses aventures. Nous avons ainsi eu de longs échanges avant même de nous rencontrer.
Besoin de se confier ou exhibitionnisme? Réalité ou fiction?
Au moment où débutent ces échanges, Sophie est une très jolie brune de 32 ans. Elle est mariée et maman d'un petit garçon de neuf ans
CHAPITRE I
1ère partie
Bonsoir Sophie. Alors tu n'as pas eu peur de m'appeler ?
Peur? Non. Pourquoi, je devrais? Ca m'amuse et toi ça t'excite, je suppose
Ainsi-tu trompes ton mari ?
Oui et non.
Comment ça ?
J'ai des aventures avec d'autres hommes, mais je ne lui cache pas.
Souvent ?
Assez, oui.
Et il l'accepte ?
C'est lui qui, au début, m'a poussée vers d'autres hommes. Ça ne s'est pas arrêté là où il croyait.
Il n’est pas jaloux ?
Il me dit que non, mais je crois bien qu’il l’est un peu.
Comment en es-tu arrivée à prendre des amants ?
C’est une longue histoire. Quand je mes suis mariée, j’avais 22 ans. J’étais très éprise de mon mari. Il était beau, gentil, attentionné, tendre. Mon enfance n’avait pas été très drôle et je découvrais avec lui la quiétude et la stabilité.
C’était ton premier homme ?
(Rire) Non, bien sûr. J’avais connu six hommes avant lui. Le premier était un copain du lycée l’année du bac. Puis des amis de fac. J’ai vécu un an avec un homme plus âgé que moi. C’est le premier qui m’a vraiment fait découvrir le plaisir. Mais il était instable et coureur. Il me trompait et je n’ai pas accepté.
Et avec ton mari, comment c’est ?
Quand je l’ai rencontré, j’étais folle amoureuse. Physiquement c’était bien moins fort qu’avec l’homme que je venais de quitter, mais il était si affectueux, si sensuel. Je n’ai pas hésité quand il m’a proposé de l’épouser. Aujourd’hui, il est toujours aussi attentionné et je me sens bien avec lui.
Alors pourquoi le tromper ?
Les choses ont été progressives. Nous avons eu un enfant qui m’a pleinement occupé. Quand il est allé à l’école, il y a eu comme une rupture. Mon mari était souvent en voyage pour son travail et je me suis sentie seule. J’avais une amie d’enfance avec qui je partageais tout. Elle venait de divorcer car son mari était violent. Elle s’est mise à la recherche d’un autre homme. Elle multipliait les aventures et me racontait toutes ses découvertes. Au début, j’écoutais sans plus. Puis je mes suis rendu compte que ça ne me laissait pas indifférente. Magali, c’est le nom de ma copine, n’était pas une très jolie fille. Pourtant elle rayonnait et les hommes lui tournaient tous autour. C’est à ce moment que j’ai pris l’habitude de me caresser en m’imaginant à sa place. Lorsque mon mari était là, nous faisions l’amour. J’y prenais de moins en moins de plaisir et j’en venais à regretter les soirs où j’étais seule et où je me caressais longuement.
Ton mari s’en rendait compte ?
Oui. Il me disait que je n’étais pas satisfaite. Depuis quelques temps, il me parlait de son fantasme de me voir faire l’amour avec un autre homme. Il m’avait demandé de lui raconter mes aventures avant de le connaître et ça l’excitait. Lorsque je lui ai raconté les aventures de Magali, il a été très troublé. Lui qui ne la supportait pas est devenu très attentionné. Il voulait tout le temps que je l’invite. J’ai fait une petite crise de jalousie. C’est là qu’il m’a confié sa fascination pour les femmes qui ont des amants. Il m’a proposé de sortir avec elle.
Tu as accepté ?
Je n’avais pas envie de tenir la chandelle ! Et il n’était pas question que je prenne un amant. J’étais mariée, donc fidèle… Pourtant nous faisions de moins en moins l’amour. Mon mari n’arrêtait pas de me dire qu’il ne mes satisfaisait pas, qu’il me fallait un homme plus endurant. C’est vrai que mon mari savait me caresser, me donner du plaisir avec sa langue, mais il était trop rapide pour me faire jouir avec son sexe. Il en était presque plus malheureux que moi.
Comment en es-tu venue à avoir un amant ?
C'était pendant les vacances, il y a deux ans. Nous étions assez proche sur le plan sexuel pendant cette période et nous avons parlé de nos fantasmes et de notre plaisir. C'est là qu'il m'a reparlé de son désir de me voir avec un autre homme et que je lui ai confié que je me masturbais en m’imaginant à la place de Magali
Que t'a proposé ton mari ?
Rien directement. Il m’a seulement dit qu’il avait plaisir à m’imaginer me rendant avec lui un soir dans une boîte, habillée très sexy. Dans son fantasme, j’allumais les hommes qui me plaisaient. Lui était là, mais comme s'il ne me connaissait pas. Lorsque je trouvais un homme qui me plaisait vraiment, je devais le vamper à mort et j'avais carte blanche pour la suite. Si je voulais, il aimerait voir.
Tu as réagi comment ?
Je lui ai dit que je me doutais qu’il aimait que je provoque le désir d’autres hommes. Dès que nous sortons, il me pousse toujours à porter des tenues suggestives. Mes jupes ne sont jamais assez courtes ou mes seins assez moulés ! Mais, de là à me voir faire l’amour avec un autre, il y a un grand pas. Je lui ai demandé s’il serait sûr de le supporter.
Et alors ?
Il m’a répondu que son désir était si fort qu’il surpasserait ses éventuelles réactions de jalousie.
Et toi, cette idée te plaisait ?
Elle faisait son chemin. Mais je n’imaginais pas faire l’amour avec un homme sans qu’il y ait une dimension sentimentale. Tu te doutes que je me fais souvent draguer. A cette époque, j’étais souvent troublée lorsque des hommes me faisaient des avances. J’aimais minauder avec eux avant de les éconduire au nom de la fidélité conjugale. Mais après, je continuais à penser à eux. Je m’imaginais faisant l’amour avec eux.
Et tu l'as faite cette sortie en boîte ?
Oui, nous l'avons fait. Nous étions très proche à ce moment et c'était un jeu qui se promettait d'être agréable. Nous étions très excités en le mettant au point. Nous n’avions pas fixé de limite. Je pensais que si je trouvais un homme à mon goût, je l’allumerais devant mon mari. Peut-être même que je le laisserais me tripoter comme le fait Magali. Et un soir nous y sommes allés. Il faisait très chaud. J'avais choisi avec lui une petite robe blanche à bretelles très légère et très très courte et des chaussures à talons.
Tu étais nue dessous?
Non, je portais une toute petite culotte blanche. Par contre, mes seins étaient libres et très provocants sous ma robe.
Comment cela s'est-il passé dans la boîte?
Nous sommes entrés séparément comme si nous ne nous connaissions pas. Il y avait du monde. Je suis vite allée sur la piste pour danser. Pas mal de mecs me regardaient et plus ils me regardaient, plus je bougeais. Quand sont venues des danses plus "intimes", je n'ai eu que l'embarras du choix. J'ai fait traîner les choses, donner des signes de disponibilité à plusieurs.
Tu dansais serrée, serrée?
Pour ça oui ! Et tu sais, dans cette situation, les mecs ont du mal à cacher ce qu'ils ressentent (rire). Il y en avait deux particulièrement "virils" lorsqu'ils me tenaient dans leurs bras. Moi, je ne faisais rien pour calmer le jeu, au contraire. De temps en temps je croisais le regard de mon mari qui se doutait de la situation.
Et alors ?
J'ai accepté de boire un verre avec le plus grand. Il s'appelait Gilles et était super beau. Il m'a sérieusement draguée. Je n'étais pas insensible à son charme. Il était très masculin, tu vois, très sûr de lui. Nous sommes retournés danser. C'était très rythmé, et je bougeais pour lui. Je savais que mes seins se balançaient, que mes hanches provoquaient, que ma robe n'était pas assez longue pour cacher mes cuisses bronzées et que de temps en temps elle remontait bien trop haut... Bref il était fasciné.
La musique a ensuite changé de rythme ?
Bien sûr... C'est la règle dans ce genre de boite. Alors là, je ne le tenais plus. Il m'aurait fait l'amour sur la piste. Ses mains étaient partout sur moi et je sentais son sexe si dur et si gros contre moi. Je fondais. A un moment il a fait glisser la bretelle de ma robe et me caressait carrément un sein dénudé. Heureusement qu'autour de nous ça chauffait aussi !
Et quand la musique s'est arrêtée ?
On s'embrassait sans aucune retenue. La piste s'est vidée, il m'a prise par la main et m'a entraînée à l'écart. On s'est retrouvé dans un coin sombre où il n'y avait que des couples qui, comme nous, recherchaient un peu d'intimité.
Là, je suppose que vous n'avez pas été sages ?
Pas vraiment, non. Il a recommencé à m'embrasser et à me caresser. J'étais bien. Je me suis vite trouvée à nouveau avec un sein à l'air. Il l'a porté à sa bouche. Ses mains étaient partout. Elles se sont faites plus insistantes sous ma robe, je sentais avec délice ses doigts à travers le coton humide de ma culotte. J'espérais que mon mari pouvait me voir ainsi abandonnée. Nous nous sommes laisser aller comme ça pendant un long moment. Durant ces étreintes ma main s'est retrouvée posée sur la bosse que faisait son sexe. Ca m'a fait comme un choc et je me suis mise à mouiller terriblement. Je palpais son sexe à travers son pantalon, pensant que s'il était dans cet état c'était pour moi... Cette caresse ne l'empêchait pas d'être de plus en plus entreprenant et un de ses doigts s'est glissé en moi, titillant avec habileté mon petit bouton. Son geste se faisait plus précis, plus rapide et moi je me laissais aller sans retenue. Je ne sais pas combien de temps ça a duré, tout ce dont je me souviens c'est que mon ventre s'est embrasé et que je me suis mise à jouir. J'ai dû crier car il m'a donné son doigt à mordre. Je suis revenue à moi doucement, sur son épaule, en me laissant câliner comme un bébé.
Et après ?
Je suis restée un long moment dans cette position. La musique était loin, j'étais si bien. Je me suis aperçue que ma main droite était crispée sur son sexe toujours aussi dur. Il ne m'avait pas accompagnée. Un peu gênée, j'ai regardé autour de moi. Juste en face, à l'ombre d'un pilier, j'ai croisé le regard de mon mari. Il était apparemment le seul à s'être aperçu de nos caresses. Cela m'a fait sourire. Revenue tout à fait sur terre, je me suis excusée auprès de Gilles et me suis dirigée vers les toilettes. Je titubais un peu. Je sentais ma culotte trempée entres mes cuisses et j'avais l'impression que tout ceux qui me regardaient se rendaient compte de mon état!
Et ton mari ?
Il m'a suivi. Je me suis enfermée dans les WC avant qu’il me rejoigne. J’ai retiré complètement ma culotte l’ai glissée dans ma pochette, fait un petit pipi et suis ressortie sans rien sous ma robe. Je l'ai retrouvé dans le couloir. Il m'a prise dans ses bras, m'a embrassée et m'a demandé si j'étais bien. Lui aussi était terriblement excité. Je lui ai dit que oui. Il m'a alors demandé si je voulais continuer et j'ai répondu que j'en avais très envie. Alors j’ai fait un truc que je savais fatal pour lui. Je lui ai donné ma culotte en lui disant que je n’en avais plus besoin pour ce que j’allais faire ! Il l'a portée à ses lèvres et a voulu m’attirer à lui. Je lui ai dit "tu l'as voulu" et me suis échappée.
Pour retrouver Gilles ?
Oui, bien sûr. Il m'attendait.
Qu'avez-vous fait alors ?
Il m'a regardée m'approcher. Son regard était toujours aussi brillant... Il s'est levé, m'a enlacée et longuement embrassée. Puis il m'a à nouveau entraînée sur la piste.
Vous avez à nouveau dansé ?
Oui. C'était une série très douce. Je me suis retrouvée collée à lui, sentant à nouveau son désir contre moi. La piste était devenue très sombre et les couples autour de nous n'étaient pas plus sages que nous. Il me serrait, me murmurait des mots gentils. Son attitude a changé quand il a glissé sa main sous ma robe, en remontant lentement le long de ma cuisse. Il s'est aperçu que je n'avais plus de culotte, a rapidement vérifié que rien ne protégeait mon intimité. Sa main a enveloppé ma chatte trempée et il a dit, je m'en souviens parfaitement tant c'était intense "tu es une sacrée salope toi !". Ca venait du fond du cœur !
Vous êtes restés comme ça longtemps ?
Non, on en pouvait plus tous les deux. Il m'a dit "si on sortait". Et, sans me laisser le temps de répondre, il m'a entraînée. Nous sommes sortis de la boîte. Il faisait un peu frais dehors, mais mon cavalier me serrait si fort que je ne m'en rendais presque pas compte. On s'est éloigné vers la plage.
Tu savais que tu allais y passer ?
Jusque là, je dois te dire que tout cela allait si vite et étais si excitant que je ne pensais à rien. J'ai réalisé quand nous nous sommes retrouvés un peu à l'écart et que nos gestes n'ont plus eu d'ambiguïté. Il avait troussé ma robe et m'embrassait goulûment en me palpant mes fesses nues.
Et ton mari ?
Je l’avais complètement oublié ! J’ai pensé à lui en pensant qu’il aimerait voir la main de Gilles palper ainsi mes fesses. Je me suis arrêtée à la fois pour me serrer contre Gilles en l’embrassant et pour regarder si mon mari nous avait suivi. Il était à une quinzaine de mètre. J’ai pensé qu’il n’allait pas être déçu…
Gilles te caressait les fesses, et toi ?
Moi, je m'étais attaquée à son pantalon et avais glissé ma main sous son slip. Je tenais sa queue chaude et battante. A ce moment j'ai réalisé qu'il allait me prendre comme çà et que je n'arriverais pas à résister.
Parce que tu pensais résister ?
Non, mais j'ai eu peur à cause des maladies. Je lui ai demandé s'il avait des préservatifs. Il m'a dit non, pas sur lui. Alors j'ai dit que je ne voulais pas aller plus loin. Nous avons marché encore un peu et je me suis assise sur un petit banc de pierre
Comment a-t-il réagi ?
Il a souri et s'est agenouillé devant moi. Et là, il a enfoui son visage entre mes cuisses et sa langue s'est mise à me fouiller, à me lécher. Il m'a aspirée, mangée... Je devenais folle et m’ouvrait de plus en plus. J'ai hurlé quand mon plaisir est venu, mais il continuait encore... Et une nouvelle fois j'ai joui... Alors il s'est redressé, a approché son visage encore tout barbouillé de moi et m'a murmuré "c'est si bon" et m'a embrassée.
Vous en êtes resté là ?
Non, il n'était pas rassasié évidemment. Il m'a dit "suces moi". Tous les mêmes ! Je ne pouvais pas lui refuser ça, il avait été tellement efficace avec sa langue... Il s’est appuyé contre un mur. J'ai dégrafé son pantalon et libéré son sexe. Une belle queue bien dure, bien plus grosse que celle de mon mari. En me faisant cette remarque j'ai pensé à lui. Il ne devait pas être loin, et même s'il faisait noir, la pleine lune nous éclairait suffisamment pour qu'il suive nos étreintes. J’espérais qu’il m’avait entendu crier sous les caresses de Gilles.
Tu l'as sucé ?
Ah ça oui. Quand j'ai eu cette queue devant moi, si grosse, si dure, je l'ai prise à pleines mains. Ca faisait si longtemps que j'avais envie d'un autre sexe que celui de mon mari. Et là, j'avais pour moi un sexe magnifique. Je l'ai léché et embrassé partout, d'abord doucement, puis de plus en plus frénétiquement. Puis, lentement, je l'ai pris dans ma bouche. Son désir sentait fort et cela m'excitait encore plus. Je l'ai doucement enveloppé et commencé un mouvement de va et vient. Il était vraiment énorme et je n'arrivais pas à l'engloutir totalement.
Tu l'as pompé jusqu'au bout ?
Oui. Je l'ai pompé longtemps. Plus je l'avalais, plus je sentais l'excitation monter en moi. Je poussais des cris de satisfaction et lui rythmait le mouvement de ma bouche, ses mains dans mes cheveux. Il me murmurait des mots crus, me disait que j'étais une suceuse, que j'aimais la bite, me traitait de salope, de chienne. Et moi je redoublais d'ardeur dans mes sucions et mes mouvements. Je l'avalais, le léchais, le pompais. J'étais comme folle quand je l'ai senti se tendre encore plus. Il criait "je vais gicler", "avale salope, avale tout". Et j'ai senti son premier jet chaud dans ma bouche. Les jets se succédaient au rythme de ses spasmes et moi, j'avalais! Je n'ai laissé échapper aucune goutte. Quand j'ai été sûre qu'il n'y en avait plus, je me suis redressé et l'ai embrassé longuement, la bouche encore pleine de lui !
Ca ne s'est pas terminé comme ça?
Je crois que nous n'en avions pas vraiment envie. Il m'a proposé de l'accompagner jusqu'à son hôtel et je n'ai pas dit non. On a regagné le parking de la boîte pour prendre sa voiture. Lorsque nous avons quitté notre petit refuge, j’ai vu mon mari un peu en retrait. Nous sommes passé assez près de lui. Nos regards se sont croisés. Même s’il n’avait pas tout vu, il savait ce que nous venions de faire. Je me suis resserrée contre Gilles. Sa main, qui était toujours sur mes fesses, s’est faite plus entreprenante. J’ai pensé que ça devrait plaire à mon mari. Nous sommes arrivé à la voiture et nous sommes partis. Je ne savais pas si mon mari avait pu nous suivre.
Il t’a emmenée chez lui ?
Pas chez lui, à son hôtel car il était lui aussi en vacances. Ce n’était pas tout près et nous avons roulé dans la nuit. Gilles n’était pas très attentif à la conduite. Mes cuisses offertes l’intéressaient plus que la route. A un moment j’ai cru que nous allions dans le décor. Je lui demandé de s’arrêter.
Pourquoi ?
Parce que je suis soucieuse de la sécurité routière… Nous nous sommes embrassés, il a promené ses mains partout sur moi. C’était reparti. Il bandait joliment ! Il a ouvert son pantalon et m’a attiré vers sa queue. Décidemment il appréciait ma bouche.
Tu as remis ça ?
Je l’ai un peu sucé, mais je ne voulais pas qu’il ait du plaisir. Je le voulais autrement. Je lui ai demandé de nous amener à son hôtel sans quitter la route des yeux. J’ai serré mes jambes et tirer sur ma petite robe pour qu’elle dissimule (un peu) le haut de mes cuisses. Quand il a voulu y replacer sa main, il a eu droit à une tape. « Sage » je lui ai dit… Nous avons alors rejoint son hôtel assez vite. Il a récupéré sa clé et nous sommes montés au sixième. Dans l'ascenseur, il m'a serrée avec fougue contre lui et j'ai senti que son désir était toujours aussi très fort.
Et la nuit fut chaude ?
Ce qui restait de la nuit, oui, très chaude. Il avait des préservatifs, alors plus rien ne nous retenait.
Il t'a beaucoup fait jouir ?
Je ne saurais te dire combien de fois. Il a été très vaillant! Le matin, nous avons ri en voyant les préservatifs qui jonchaient le sol. J'en ai compté trois !
Comment ça s'est passé le matin ?
Après tant d'ardeur, nous nous sommes endormis. C'est lui qui m'a réveillée vers 9h en me caressant les fesses. Il était prêt. Je me suis offerte, et la journée a commencé comme la nuit avait terminé. Tu sais, j'étais comblée. Jamais je n'avais connu des moments aussi intenses, jamais je n'avais autant joui. Ca m'a beaucoup troublée par la suite et c'est sans doute cela qui m'a conduite à multiplier les aventures.
Et ton mari, tu as pensé à lui ?
Je sais que ce n’est pas bien, mais non. Je l’ai complètement oublié durant cette folle nuit. J’étais toute à mes sensations, mes découvertes, mon plaisir. Je me sentais libre et repue.
Tu l'as quitté facilement ?
Non, évidemment. Je savais que c'était une aventure sans lendemain, mais j'étais si bien. J'ai pris une longue douche, j'ai passé ma petite robe toute chiffonnée et lui ai demandé de me raccompagner. Il avait encore envie, mais je n'ai plus voulu. C’est à se moment qu’il m’a proposé qu’on se revoit. Ce n’était pas évident car c’était mon dernier jour de vacances et il fallait remettre la villa en ordre et faire les bagages. D’un autre coté, je me disais que ce serait dommage de ne pas en profiter. C’est seulement à ce moment que j’ai pensé à mon mari en me demandant ce qu’il penserait si je le laissais encore une fois. Je ma suis demandée quel état j’allais le retrouver. J’ai dit à Gilles que je lui passerai un texto, mais que je ne pensais pas qu’on se reverrait. Il m'a déposée devant notre villa après un très long baiser et des caresses qui m'ont fait regretter de la laisser comme ça. J'étais toute excitée quand je me suis arrachée à ses bras.
Et tu es rentrée comme si rien ne s'était passé ?
Non, pas vraiment. Mon mari m'attendait…
Comment ça c'est passé?
Il m'a carrément sauté dessus, il était comme fou. Il a glissé une main entre mes cuisses et l'a plaquée sur ma chatte. Il me questionnait sans me laisser répondre, avec des mots, des phrases que je ne lui connaissais pas. Habituellement il est très réservé.
Quels mots?
"Alors tu t'es bien fait sauter?", "Tu es une vraie salope", "Tu es encore trempée de lui, hein? ", "Tu l’as laissé fourrer sa queue partout » et plein de trucs comme ça. Il était terriblement excité. Il m’a inspectée de partout. Il a soulevé ma robe et a regardé ma chatte. Ca lui a fait comme un choc.
Pourquoi ?
Il a dit qu’elle était toute gonflée, qu’il ne l’avait jamais vue dans cet état. Perverse, j’ai dit que c’était normal vu ce qu’elle avait enduré. Puis il a vu une tache suspecte sur ma robe et m’a demandé ce que c’était. Je lui ai répondu ce qu’il avait envie d’entendre et qui était probablement vrai.
C'est-à-dire ?
Que Gilles avait frotté sa queue contre moi et qu’il devait avoir très envie…
Et puis ?
Tout cela le rendait fou. Il a dégrafé son pantalon et m'a plaquée contre le mur.
Tu l’as laissé faire ?
Je lui ai dit que je ne voulais pas, que j’étais trop fatiguée. Je comprenais son envie, mais le souvenir du sexe de Gilles était encore si présent et je n’avais aucun désir pour lui à ce moment. Et puis ma chatte était effectivement un peu irritée. Je crois que j’avais trop baisé.
Alors ?
J’ai vu sa déception. Il voulait m’enfiler sans ménagement. Alors je me suis forcée, je l’ai pris dans ma main et en quelques mouvements je l’ai fait jouir. Ma petite robe en était trempée, mais de lui cette fois ! Il m'a couvert de baisers, m'a dit des dizaines de fois qu'il m'aimait. Nous sommes allés nous coucher. Lui non plus n'avait pas dormi de la nuit. Il s'était branlé plusieurs fois en m'imaginant avec mon amant...
Et après, que s'est-il passé ?
Nous avons dormi jusqu’en début d’après-midi. Dès que nous nous sommes réveillés, il m'a demandé de lui raconter. Il voulait tout savoir dans les moindres détails
Quel genre de détails ?
Comment il m'avait prise, combien de fois nous avions joui, si j'avais avalé son sperme la première fois..., tous nos gestes les plus intimes. Moi je lui ai tout dit, c'était notre accord. Ça l'excitait terriblement. Il bandait à mort et moi je le branlais en parlant. Il y a un truc qui le chagrinait et sur lequel il revenait tout le temps.
Lequel?
Le sexe de mon amant. Je lui avais dit qu'il était assez gros. Alors il a voulu savoir s'il était plus gros que le sien. Là j'ai hésité car il était vraiment beaucoup plus gros et je ne voulais pas lui faire de peine. Comme il insistait, alors je lui ai dit. Il a accusé le coup, puis m'a demandé de lui montrer la taille, de lui dire ce que ça me faisait lorsqu'il me prenait, si la taille avait vraiment une importance...
Et que lui as-tu répondu ?
Ce que les femmes répondent toujours dans ce cas, que la taille n'a pas d'importance... Il n'a pas été vraiment convaincu. Je ne pouvais pas être convaincante car c’était tout le contraire. Son sexe m’avait impressionné visuellement et bien plus encore quand il m’avait pénétrée.
Il en a été affecté ? Vous en avez reparlé ?
Oui, je crois. Nous avons souvent reparlé de ma rencontre avec Gilles. Lorsque nous faisions l'amour, il lui arrivait de me dire, lorsqu'il me prenait, "dis moi si tu jouis aussi bien qu'avec Gilles". A chaque fois il était excité, mais il fallait aussi que je le rassure sur sa virilité. Il voulait que je compare, mais vivait mal que le résultat ne lui soit pas favorable.
Tu as revu Gilles ce jour là ?
Besoin de se confier ou exhibitionnisme? Réalité ou fiction?
Au moment où débutent ces échanges, Sophie est une très jolie brune de 32 ans. Elle est mariée et maman d'un petit garçon de neuf ans
CHAPITRE I
1ère partie
Bonsoir Sophie. Alors tu n'as pas eu peur de m'appeler ?
Peur? Non. Pourquoi, je devrais? Ca m'amuse et toi ça t'excite, je suppose
Ainsi-tu trompes ton mari ?
Oui et non.
Comment ça ?
J'ai des aventures avec d'autres hommes, mais je ne lui cache pas.
Souvent ?
Assez, oui.
Et il l'accepte ?
C'est lui qui, au début, m'a poussée vers d'autres hommes. Ça ne s'est pas arrêté là où il croyait.
Il n’est pas jaloux ?
Il me dit que non, mais je crois bien qu’il l’est un peu.
Comment en es-tu arrivée à prendre des amants ?
C’est une longue histoire. Quand je mes suis mariée, j’avais 22 ans. J’étais très éprise de mon mari. Il était beau, gentil, attentionné, tendre. Mon enfance n’avait pas été très drôle et je découvrais avec lui la quiétude et la stabilité.
C’était ton premier homme ?
(Rire) Non, bien sûr. J’avais connu six hommes avant lui. Le premier était un copain du lycée l’année du bac. Puis des amis de fac. J’ai vécu un an avec un homme plus âgé que moi. C’est le premier qui m’a vraiment fait découvrir le plaisir. Mais il était instable et coureur. Il me trompait et je n’ai pas accepté.
Et avec ton mari, comment c’est ?
Quand je l’ai rencontré, j’étais folle amoureuse. Physiquement c’était bien moins fort qu’avec l’homme que je venais de quitter, mais il était si affectueux, si sensuel. Je n’ai pas hésité quand il m’a proposé de l’épouser. Aujourd’hui, il est toujours aussi attentionné et je me sens bien avec lui.
Alors pourquoi le tromper ?
Les choses ont été progressives. Nous avons eu un enfant qui m’a pleinement occupé. Quand il est allé à l’école, il y a eu comme une rupture. Mon mari était souvent en voyage pour son travail et je me suis sentie seule. J’avais une amie d’enfance avec qui je partageais tout. Elle venait de divorcer car son mari était violent. Elle s’est mise à la recherche d’un autre homme. Elle multipliait les aventures et me racontait toutes ses découvertes. Au début, j’écoutais sans plus. Puis je mes suis rendu compte que ça ne me laissait pas indifférente. Magali, c’est le nom de ma copine, n’était pas une très jolie fille. Pourtant elle rayonnait et les hommes lui tournaient tous autour. C’est à ce moment que j’ai pris l’habitude de me caresser en m’imaginant à sa place. Lorsque mon mari était là, nous faisions l’amour. J’y prenais de moins en moins de plaisir et j’en venais à regretter les soirs où j’étais seule et où je me caressais longuement.
Ton mari s’en rendait compte ?
Oui. Il me disait que je n’étais pas satisfaite. Depuis quelques temps, il me parlait de son fantasme de me voir faire l’amour avec un autre homme. Il m’avait demandé de lui raconter mes aventures avant de le connaître et ça l’excitait. Lorsque je lui ai raconté les aventures de Magali, il a été très troublé. Lui qui ne la supportait pas est devenu très attentionné. Il voulait tout le temps que je l’invite. J’ai fait une petite crise de jalousie. C’est là qu’il m’a confié sa fascination pour les femmes qui ont des amants. Il m’a proposé de sortir avec elle.
Tu as accepté ?
Je n’avais pas envie de tenir la chandelle ! Et il n’était pas question que je prenne un amant. J’étais mariée, donc fidèle… Pourtant nous faisions de moins en moins l’amour. Mon mari n’arrêtait pas de me dire qu’il ne mes satisfaisait pas, qu’il me fallait un homme plus endurant. C’est vrai que mon mari savait me caresser, me donner du plaisir avec sa langue, mais il était trop rapide pour me faire jouir avec son sexe. Il en était presque plus malheureux que moi.
Comment en es-tu venue à avoir un amant ?
C'était pendant les vacances, il y a deux ans. Nous étions assez proche sur le plan sexuel pendant cette période et nous avons parlé de nos fantasmes et de notre plaisir. C'est là qu'il m'a reparlé de son désir de me voir avec un autre homme et que je lui ai confié que je me masturbais en m’imaginant à la place de Magali
Que t'a proposé ton mari ?
Rien directement. Il m’a seulement dit qu’il avait plaisir à m’imaginer me rendant avec lui un soir dans une boîte, habillée très sexy. Dans son fantasme, j’allumais les hommes qui me plaisaient. Lui était là, mais comme s'il ne me connaissait pas. Lorsque je trouvais un homme qui me plaisait vraiment, je devais le vamper à mort et j'avais carte blanche pour la suite. Si je voulais, il aimerait voir.
Tu as réagi comment ?
Je lui ai dit que je me doutais qu’il aimait que je provoque le désir d’autres hommes. Dès que nous sortons, il me pousse toujours à porter des tenues suggestives. Mes jupes ne sont jamais assez courtes ou mes seins assez moulés ! Mais, de là à me voir faire l’amour avec un autre, il y a un grand pas. Je lui ai demandé s’il serait sûr de le supporter.
Et alors ?
Il m’a répondu que son désir était si fort qu’il surpasserait ses éventuelles réactions de jalousie.
Et toi, cette idée te plaisait ?
Elle faisait son chemin. Mais je n’imaginais pas faire l’amour avec un homme sans qu’il y ait une dimension sentimentale. Tu te doutes que je me fais souvent draguer. A cette époque, j’étais souvent troublée lorsque des hommes me faisaient des avances. J’aimais minauder avec eux avant de les éconduire au nom de la fidélité conjugale. Mais après, je continuais à penser à eux. Je m’imaginais faisant l’amour avec eux.
Et tu l'as faite cette sortie en boîte ?
Oui, nous l'avons fait. Nous étions très proche à ce moment et c'était un jeu qui se promettait d'être agréable. Nous étions très excités en le mettant au point. Nous n’avions pas fixé de limite. Je pensais que si je trouvais un homme à mon goût, je l’allumerais devant mon mari. Peut-être même que je le laisserais me tripoter comme le fait Magali. Et un soir nous y sommes allés. Il faisait très chaud. J'avais choisi avec lui une petite robe blanche à bretelles très légère et très très courte et des chaussures à talons.
Tu étais nue dessous?
Non, je portais une toute petite culotte blanche. Par contre, mes seins étaient libres et très provocants sous ma robe.
Comment cela s'est-il passé dans la boîte?
Nous sommes entrés séparément comme si nous ne nous connaissions pas. Il y avait du monde. Je suis vite allée sur la piste pour danser. Pas mal de mecs me regardaient et plus ils me regardaient, plus je bougeais. Quand sont venues des danses plus "intimes", je n'ai eu que l'embarras du choix. J'ai fait traîner les choses, donner des signes de disponibilité à plusieurs.
Tu dansais serrée, serrée?
Pour ça oui ! Et tu sais, dans cette situation, les mecs ont du mal à cacher ce qu'ils ressentent (rire). Il y en avait deux particulièrement "virils" lorsqu'ils me tenaient dans leurs bras. Moi, je ne faisais rien pour calmer le jeu, au contraire. De temps en temps je croisais le regard de mon mari qui se doutait de la situation.
Et alors ?
J'ai accepté de boire un verre avec le plus grand. Il s'appelait Gilles et était super beau. Il m'a sérieusement draguée. Je n'étais pas insensible à son charme. Il était très masculin, tu vois, très sûr de lui. Nous sommes retournés danser. C'était très rythmé, et je bougeais pour lui. Je savais que mes seins se balançaient, que mes hanches provoquaient, que ma robe n'était pas assez longue pour cacher mes cuisses bronzées et que de temps en temps elle remontait bien trop haut... Bref il était fasciné.
La musique a ensuite changé de rythme ?
Bien sûr... C'est la règle dans ce genre de boite. Alors là, je ne le tenais plus. Il m'aurait fait l'amour sur la piste. Ses mains étaient partout sur moi et je sentais son sexe si dur et si gros contre moi. Je fondais. A un moment il a fait glisser la bretelle de ma robe et me caressait carrément un sein dénudé. Heureusement qu'autour de nous ça chauffait aussi !
Et quand la musique s'est arrêtée ?
On s'embrassait sans aucune retenue. La piste s'est vidée, il m'a prise par la main et m'a entraînée à l'écart. On s'est retrouvé dans un coin sombre où il n'y avait que des couples qui, comme nous, recherchaient un peu d'intimité.
Là, je suppose que vous n'avez pas été sages ?
Pas vraiment, non. Il a recommencé à m'embrasser et à me caresser. J'étais bien. Je me suis vite trouvée à nouveau avec un sein à l'air. Il l'a porté à sa bouche. Ses mains étaient partout. Elles se sont faites plus insistantes sous ma robe, je sentais avec délice ses doigts à travers le coton humide de ma culotte. J'espérais que mon mari pouvait me voir ainsi abandonnée. Nous nous sommes laisser aller comme ça pendant un long moment. Durant ces étreintes ma main s'est retrouvée posée sur la bosse que faisait son sexe. Ca m'a fait comme un choc et je me suis mise à mouiller terriblement. Je palpais son sexe à travers son pantalon, pensant que s'il était dans cet état c'était pour moi... Cette caresse ne l'empêchait pas d'être de plus en plus entreprenant et un de ses doigts s'est glissé en moi, titillant avec habileté mon petit bouton. Son geste se faisait plus précis, plus rapide et moi je me laissais aller sans retenue. Je ne sais pas combien de temps ça a duré, tout ce dont je me souviens c'est que mon ventre s'est embrasé et que je me suis mise à jouir. J'ai dû crier car il m'a donné son doigt à mordre. Je suis revenue à moi doucement, sur son épaule, en me laissant câliner comme un bébé.
Et après ?
Je suis restée un long moment dans cette position. La musique était loin, j'étais si bien. Je me suis aperçue que ma main droite était crispée sur son sexe toujours aussi dur. Il ne m'avait pas accompagnée. Un peu gênée, j'ai regardé autour de moi. Juste en face, à l'ombre d'un pilier, j'ai croisé le regard de mon mari. Il était apparemment le seul à s'être aperçu de nos caresses. Cela m'a fait sourire. Revenue tout à fait sur terre, je me suis excusée auprès de Gilles et me suis dirigée vers les toilettes. Je titubais un peu. Je sentais ma culotte trempée entres mes cuisses et j'avais l'impression que tout ceux qui me regardaient se rendaient compte de mon état!
Et ton mari ?
Il m'a suivi. Je me suis enfermée dans les WC avant qu’il me rejoigne. J’ai retiré complètement ma culotte l’ai glissée dans ma pochette, fait un petit pipi et suis ressortie sans rien sous ma robe. Je l'ai retrouvé dans le couloir. Il m'a prise dans ses bras, m'a embrassée et m'a demandé si j'étais bien. Lui aussi était terriblement excité. Je lui ai dit que oui. Il m'a alors demandé si je voulais continuer et j'ai répondu que j'en avais très envie. Alors j’ai fait un truc que je savais fatal pour lui. Je lui ai donné ma culotte en lui disant que je n’en avais plus besoin pour ce que j’allais faire ! Il l'a portée à ses lèvres et a voulu m’attirer à lui. Je lui ai dit "tu l'as voulu" et me suis échappée.
Pour retrouver Gilles ?
Oui, bien sûr. Il m'attendait.
Qu'avez-vous fait alors ?
Il m'a regardée m'approcher. Son regard était toujours aussi brillant... Il s'est levé, m'a enlacée et longuement embrassée. Puis il m'a à nouveau entraînée sur la piste.
Vous avez à nouveau dansé ?
Oui. C'était une série très douce. Je me suis retrouvée collée à lui, sentant à nouveau son désir contre moi. La piste était devenue très sombre et les couples autour de nous n'étaient pas plus sages que nous. Il me serrait, me murmurait des mots gentils. Son attitude a changé quand il a glissé sa main sous ma robe, en remontant lentement le long de ma cuisse. Il s'est aperçu que je n'avais plus de culotte, a rapidement vérifié que rien ne protégeait mon intimité. Sa main a enveloppé ma chatte trempée et il a dit, je m'en souviens parfaitement tant c'était intense "tu es une sacrée salope toi !". Ca venait du fond du cœur !
Vous êtes restés comme ça longtemps ?
Non, on en pouvait plus tous les deux. Il m'a dit "si on sortait". Et, sans me laisser le temps de répondre, il m'a entraînée. Nous sommes sortis de la boîte. Il faisait un peu frais dehors, mais mon cavalier me serrait si fort que je ne m'en rendais presque pas compte. On s'est éloigné vers la plage.
Tu savais que tu allais y passer ?
Jusque là, je dois te dire que tout cela allait si vite et étais si excitant que je ne pensais à rien. J'ai réalisé quand nous nous sommes retrouvés un peu à l'écart et que nos gestes n'ont plus eu d'ambiguïté. Il avait troussé ma robe et m'embrassait goulûment en me palpant mes fesses nues.
Et ton mari ?
Je l’avais complètement oublié ! J’ai pensé à lui en pensant qu’il aimerait voir la main de Gilles palper ainsi mes fesses. Je me suis arrêtée à la fois pour me serrer contre Gilles en l’embrassant et pour regarder si mon mari nous avait suivi. Il était à une quinzaine de mètre. J’ai pensé qu’il n’allait pas être déçu…
Gilles te caressait les fesses, et toi ?
Moi, je m'étais attaquée à son pantalon et avais glissé ma main sous son slip. Je tenais sa queue chaude et battante. A ce moment j'ai réalisé qu'il allait me prendre comme çà et que je n'arriverais pas à résister.
Parce que tu pensais résister ?
Non, mais j'ai eu peur à cause des maladies. Je lui ai demandé s'il avait des préservatifs. Il m'a dit non, pas sur lui. Alors j'ai dit que je ne voulais pas aller plus loin. Nous avons marché encore un peu et je me suis assise sur un petit banc de pierre
Comment a-t-il réagi ?
Il a souri et s'est agenouillé devant moi. Et là, il a enfoui son visage entre mes cuisses et sa langue s'est mise à me fouiller, à me lécher. Il m'a aspirée, mangée... Je devenais folle et m’ouvrait de plus en plus. J'ai hurlé quand mon plaisir est venu, mais il continuait encore... Et une nouvelle fois j'ai joui... Alors il s'est redressé, a approché son visage encore tout barbouillé de moi et m'a murmuré "c'est si bon" et m'a embrassée.
Vous en êtes resté là ?
Non, il n'était pas rassasié évidemment. Il m'a dit "suces moi". Tous les mêmes ! Je ne pouvais pas lui refuser ça, il avait été tellement efficace avec sa langue... Il s’est appuyé contre un mur. J'ai dégrafé son pantalon et libéré son sexe. Une belle queue bien dure, bien plus grosse que celle de mon mari. En me faisant cette remarque j'ai pensé à lui. Il ne devait pas être loin, et même s'il faisait noir, la pleine lune nous éclairait suffisamment pour qu'il suive nos étreintes. J’espérais qu’il m’avait entendu crier sous les caresses de Gilles.
Tu l'as sucé ?
Ah ça oui. Quand j'ai eu cette queue devant moi, si grosse, si dure, je l'ai prise à pleines mains. Ca faisait si longtemps que j'avais envie d'un autre sexe que celui de mon mari. Et là, j'avais pour moi un sexe magnifique. Je l'ai léché et embrassé partout, d'abord doucement, puis de plus en plus frénétiquement. Puis, lentement, je l'ai pris dans ma bouche. Son désir sentait fort et cela m'excitait encore plus. Je l'ai doucement enveloppé et commencé un mouvement de va et vient. Il était vraiment énorme et je n'arrivais pas à l'engloutir totalement.
Tu l'as pompé jusqu'au bout ?
Oui. Je l'ai pompé longtemps. Plus je l'avalais, plus je sentais l'excitation monter en moi. Je poussais des cris de satisfaction et lui rythmait le mouvement de ma bouche, ses mains dans mes cheveux. Il me murmurait des mots crus, me disait que j'étais une suceuse, que j'aimais la bite, me traitait de salope, de chienne. Et moi je redoublais d'ardeur dans mes sucions et mes mouvements. Je l'avalais, le léchais, le pompais. J'étais comme folle quand je l'ai senti se tendre encore plus. Il criait "je vais gicler", "avale salope, avale tout". Et j'ai senti son premier jet chaud dans ma bouche. Les jets se succédaient au rythme de ses spasmes et moi, j'avalais! Je n'ai laissé échapper aucune goutte. Quand j'ai été sûre qu'il n'y en avait plus, je me suis redressé et l'ai embrassé longuement, la bouche encore pleine de lui !
Ca ne s'est pas terminé comme ça?
Je crois que nous n'en avions pas vraiment envie. Il m'a proposé de l'accompagner jusqu'à son hôtel et je n'ai pas dit non. On a regagné le parking de la boîte pour prendre sa voiture. Lorsque nous avons quitté notre petit refuge, j’ai vu mon mari un peu en retrait. Nous sommes passé assez près de lui. Nos regards se sont croisés. Même s’il n’avait pas tout vu, il savait ce que nous venions de faire. Je me suis resserrée contre Gilles. Sa main, qui était toujours sur mes fesses, s’est faite plus entreprenante. J’ai pensé que ça devrait plaire à mon mari. Nous sommes arrivé à la voiture et nous sommes partis. Je ne savais pas si mon mari avait pu nous suivre.
Il t’a emmenée chez lui ?
Pas chez lui, à son hôtel car il était lui aussi en vacances. Ce n’était pas tout près et nous avons roulé dans la nuit. Gilles n’était pas très attentif à la conduite. Mes cuisses offertes l’intéressaient plus que la route. A un moment j’ai cru que nous allions dans le décor. Je lui demandé de s’arrêter.
Pourquoi ?
Parce que je suis soucieuse de la sécurité routière… Nous nous sommes embrassés, il a promené ses mains partout sur moi. C’était reparti. Il bandait joliment ! Il a ouvert son pantalon et m’a attiré vers sa queue. Décidemment il appréciait ma bouche.
Tu as remis ça ?
Je l’ai un peu sucé, mais je ne voulais pas qu’il ait du plaisir. Je le voulais autrement. Je lui ai demandé de nous amener à son hôtel sans quitter la route des yeux. J’ai serré mes jambes et tirer sur ma petite robe pour qu’elle dissimule (un peu) le haut de mes cuisses. Quand il a voulu y replacer sa main, il a eu droit à une tape. « Sage » je lui ai dit… Nous avons alors rejoint son hôtel assez vite. Il a récupéré sa clé et nous sommes montés au sixième. Dans l'ascenseur, il m'a serrée avec fougue contre lui et j'ai senti que son désir était toujours aussi très fort.
Et la nuit fut chaude ?
Ce qui restait de la nuit, oui, très chaude. Il avait des préservatifs, alors plus rien ne nous retenait.
Il t'a beaucoup fait jouir ?
Je ne saurais te dire combien de fois. Il a été très vaillant! Le matin, nous avons ri en voyant les préservatifs qui jonchaient le sol. J'en ai compté trois !
Comment ça s'est passé le matin ?
Après tant d'ardeur, nous nous sommes endormis. C'est lui qui m'a réveillée vers 9h en me caressant les fesses. Il était prêt. Je me suis offerte, et la journée a commencé comme la nuit avait terminé. Tu sais, j'étais comblée. Jamais je n'avais connu des moments aussi intenses, jamais je n'avais autant joui. Ca m'a beaucoup troublée par la suite et c'est sans doute cela qui m'a conduite à multiplier les aventures.
Et ton mari, tu as pensé à lui ?
Je sais que ce n’est pas bien, mais non. Je l’ai complètement oublié durant cette folle nuit. J’étais toute à mes sensations, mes découvertes, mon plaisir. Je me sentais libre et repue.
Tu l'as quitté facilement ?
Non, évidemment. Je savais que c'était une aventure sans lendemain, mais j'étais si bien. J'ai pris une longue douche, j'ai passé ma petite robe toute chiffonnée et lui ai demandé de me raccompagner. Il avait encore envie, mais je n'ai plus voulu. C’est à se moment qu’il m’a proposé qu’on se revoit. Ce n’était pas évident car c’était mon dernier jour de vacances et il fallait remettre la villa en ordre et faire les bagages. D’un autre coté, je me disais que ce serait dommage de ne pas en profiter. C’est seulement à ce moment que j’ai pensé à mon mari en me demandant ce qu’il penserait si je le laissais encore une fois. Je ma suis demandée quel état j’allais le retrouver. J’ai dit à Gilles que je lui passerai un texto, mais que je ne pensais pas qu’on se reverrait. Il m'a déposée devant notre villa après un très long baiser et des caresses qui m'ont fait regretter de la laisser comme ça. J'étais toute excitée quand je me suis arrachée à ses bras.
Et tu es rentrée comme si rien ne s'était passé ?
Non, pas vraiment. Mon mari m'attendait…
Comment ça c'est passé?
Il m'a carrément sauté dessus, il était comme fou. Il a glissé une main entre mes cuisses et l'a plaquée sur ma chatte. Il me questionnait sans me laisser répondre, avec des mots, des phrases que je ne lui connaissais pas. Habituellement il est très réservé.
Quels mots?
"Alors tu t'es bien fait sauter?", "Tu es une vraie salope", "Tu es encore trempée de lui, hein? ", "Tu l’as laissé fourrer sa queue partout » et plein de trucs comme ça. Il était terriblement excité. Il m’a inspectée de partout. Il a soulevé ma robe et a regardé ma chatte. Ca lui a fait comme un choc.
Pourquoi ?
Il a dit qu’elle était toute gonflée, qu’il ne l’avait jamais vue dans cet état. Perverse, j’ai dit que c’était normal vu ce qu’elle avait enduré. Puis il a vu une tache suspecte sur ma robe et m’a demandé ce que c’était. Je lui ai répondu ce qu’il avait envie d’entendre et qui était probablement vrai.
C'est-à-dire ?
Que Gilles avait frotté sa queue contre moi et qu’il devait avoir très envie…
Et puis ?
Tout cela le rendait fou. Il a dégrafé son pantalon et m'a plaquée contre le mur.
Tu l’as laissé faire ?
Je lui ai dit que je ne voulais pas, que j’étais trop fatiguée. Je comprenais son envie, mais le souvenir du sexe de Gilles était encore si présent et je n’avais aucun désir pour lui à ce moment. Et puis ma chatte était effectivement un peu irritée. Je crois que j’avais trop baisé.
Alors ?
J’ai vu sa déception. Il voulait m’enfiler sans ménagement. Alors je me suis forcée, je l’ai pris dans ma main et en quelques mouvements je l’ai fait jouir. Ma petite robe en était trempée, mais de lui cette fois ! Il m'a couvert de baisers, m'a dit des dizaines de fois qu'il m'aimait. Nous sommes allés nous coucher. Lui non plus n'avait pas dormi de la nuit. Il s'était branlé plusieurs fois en m'imaginant avec mon amant...
Et après, que s'est-il passé ?
Nous avons dormi jusqu’en début d’après-midi. Dès que nous nous sommes réveillés, il m'a demandé de lui raconter. Il voulait tout savoir dans les moindres détails
Quel genre de détails ?
Comment il m'avait prise, combien de fois nous avions joui, si j'avais avalé son sperme la première fois..., tous nos gestes les plus intimes. Moi je lui ai tout dit, c'était notre accord. Ça l'excitait terriblement. Il bandait à mort et moi je le branlais en parlant. Il y a un truc qui le chagrinait et sur lequel il revenait tout le temps.
Lequel?
Le sexe de mon amant. Je lui avais dit qu'il était assez gros. Alors il a voulu savoir s'il était plus gros que le sien. Là j'ai hésité car il était vraiment beaucoup plus gros et je ne voulais pas lui faire de peine. Comme il insistait, alors je lui ai dit. Il a accusé le coup, puis m'a demandé de lui montrer la taille, de lui dire ce que ça me faisait lorsqu'il me prenait, si la taille avait vraiment une importance...
Et que lui as-tu répondu ?
Ce que les femmes répondent toujours dans ce cas, que la taille n'a pas d'importance... Il n'a pas été vraiment convaincu. Je ne pouvais pas être convaincante car c’était tout le contraire. Son sexe m’avait impressionné visuellement et bien plus encore quand il m’avait pénétrée.
Il en a été affecté ? Vous en avez reparlé ?
Oui, je crois. Nous avons souvent reparlé de ma rencontre avec Gilles. Lorsque nous faisions l'amour, il lui arrivait de me dire, lorsqu'il me prenait, "dis moi si tu jouis aussi bien qu'avec Gilles". A chaque fois il était excité, mais il fallait aussi que je le rassure sur sa virilité. Il voulait que je compare, mais vivait mal que le résultat ne lui soit pas favorable.
Tu as revu Gilles ce jour là ?