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Dans cette section dédiée aux fantasmes du candaulisme et du cuckolding, nous vous invitons à partager avec la communauté du forum vos envies et aspirations les plus secrètes en matière d'épanouissement sexuel au sein de votre couple.

Le candaulisme et le cuckolding, bien que tabous et méconnus, représentent pour de nombreux couples un puissant stimulant de leur vie intime et amoureuse. Il s'agit d'explorer, au-delà des sentiers battus de la sexualité à deux, de nouveaux horizons riches en sensations fortes et en plaisir recherché.

Que ce soit le fait de voir son conjoint avec un ou une autre partenaire, de l'imaginer dans les bras d'un amant fictif, de partager vos ébats avec un voyeur consentant ou d'assister en simple observateur aux étreintes de votre moitié avec un tiers, les variations possibles offrent un vaste champ d'expression aux penchants plus ou moins exhibitionnistes de chacun.

Les membres de notre communauté sont invités à s'exprimer sans tabou ni retenue sur les scénarios, images mentales ou souvenirs qui titillent leur libido et alimentent leurs jeux de séduction à deux. Qu'il s'agisse de confidence, de témoignage, de questionnement ou de recherche de conseils avisés, cet espace se veut un lieu d'échange privilégié sur ces pratiques parfois mal comprises.

N'hésitez pas à partager avec nous, dans le détail suggestif ou cru de votre choix, ces petites « perversions » intimes qui subliment votre complicité de couple et boostent votre épanouissement sexuel. Car, il faut bien le reconnaître, le fantasme reste le meilleur moteur d'une sexualité épanouie !
#18623
mon collègue m’avait envoyer un mail , pour me demander d’être disponible vendredi soir , et surtout d’être seule sans nos enfants , il souhaitait passer boire un café et baisser sa putain , il m’avait également demander que sa putain soi déjà nue a son arriver ,.mon collègue et arrivé , mais pas tous seul il était avec son cousin un certain Romuald , qui était en visite avec sa famille chez mon collègue , ils avaient inventer auprès de la famille une envie d’aller boire un coup dans un bar, enfaîte mon collègue avait déjà parler a son cousin qu’il allait lui présenter son vide couille , nous serions donc trois hommes et la putain . Sa putain était particulièrement jolie, toute nue, mais rouge de honte que le maître soi venu avec un étranger sans nous prévenir, ils ne se privaient pas de la mater et je surprenais souvent leurs regards dirigés vers l’entrecuisse de sa putain .Nous nous somme assis dans le divan après les présentation , et sa putain nous offris a boire et fit le service toute nue , pendant l’apéro et tous en discutent , mon collègue me dit que se soir il allait baisser son vide couille avec son cousin , son cousin avait déjà le sourire au lèvre et ils attendaient notre réaction , moi je leurs confirma que sa putain était au service du maître et que c désire serai exécuter , j’ordonna a la putain du maître de venir s'asseoir a mes coter , je mis mes doigts dans son vagin , elle a serré les cuisses dessus, elle était trempée. Silencieux, ils assistaient au spectacle que nous leur offrions, sa putain, la chatte à l’air et mes doigts qui s’activaient dedans. Ils se sont levés pour s’approcher de nous et ils ont commencé par caresser les seins de sa putain. mon collègue ma ordonner de m' éloigné et m’asseoir dans un fauteuil, en spectateur, et les laisser libres de faire ce qu’ils voulaient du vide couille. Elle se laissait faire, en me regardant de temps en temps. Romuald lui avait rentré des doigts dans la vulve et dans le cul, le maître lui palpait les seins et les fesses. Ils se sont installés tous les trois dans le divan, en face de moi, et ils se relayaient pour lui enfoncer leurs doigts dans la chatte et dans le cul ou les lui mettre en même temps. Elle avait leur queue dressée dans chaque main. Je ne répondis pas et elle retira sa main, en libérant le sexe du maître qui, impatient, la pénétra de toute sa longueur. J’ai vu la vulve de ma femme s’ouvrir sous la poussée et la queue de mon collègue s’enfoncer entièrement. Elle a frémi en poussant un « Ah ! » Elle ne me quitta pas des yeux pendant qu’il la pénétrait et moi, j’étais fasciné par cette bite qui la violait. Maintenant, il allait et venait en elle, je voyais sa verge entrer et presque sortir du vagin et les lèvres du con de sa putain, l’entourer, la sucer, la retenir et s’étirer en l’accompagnant. Je voyais son clitoris gonflé qu’il limait à chaque va-et-vient. Il baisait la putain et il allait jouir en elle, le vide couille se fessait ramoner sous mes yeux. étendue sur ce divan, avec les cuisses écartelées dans une posture obscène, qui se faisait besogner, qui gémissait de plaisir sous les coups de boutoir du maître et qui allait en jouir. Il la bourrait ardemment, il lui fouillait le con que je connaissais si bien. . Elle me cocufiait et cela m’excitait , et je bandais comme jamais, à avoir mal. Elle cria pendant que son orgasme l’emportait, elle haletait :(… Je suis ta salope… j’aime qu’on me baise … donne-moi… Je suis ta pute…), Romuald s’impatientait et il m’observait, un peu inquiet. Il s’approcha de son cousin pour lui dire ( dépêche-toi, dom, merde ! J’ai envie de la baiser moi aussi ! Je n’en peux plus)! Il lui répondis (t’inquiète pas, tu pourras la farcir aussi ! ma putain), mon collègue la besognait de plus en plus vite, elle râlait. Il poussa un grognement en jouissant, il lui déchargea tout son sperme dans le con, Après avoir longuement juté au fond d’elle, il s’est retiré. Les yeux rivés sur la chatte béante de ma femme, pleine du foutre crémeux
Romuald qui ne put attendre plus longtemps. Sans plus s’occuper de moi, il enleva son pantalon et son slip, il la prit dans ses bras et la porta jusqu’au petit lit qui nous sert de canapé, la queue dressée. Il la déposa, lui écarta les cuisses. Nous la contemplions tous les trois, elle s’offrait sans pudeur, consciente que nos deux amis allaient la prendre et de la perversité de la situation. Romuald se pencha sur elle et il pointa son nœud en face de l’entrée du vagin. Il voulait la prendre de la même manière que mon collègue, la putain, étendue sur le dos et lui par-dessus, en "missionnaire". Mais la putain l’a fait se coucher, lui, sur le dos, elle est montée sur lui à califourchon, elle a pris sa bite dans la main droite et l’a introduite elle-même en elle. Elle s’est assise sur elle, elle s’est penchée en avant et, présenta ses fesses à son maître, Je voyais la bite de mon collègue s’enfoncée dans son cul , planté au fond d’elle, il la limait doucement. Puis Romuald après l’avoir pénétrée de toute sa longueur. Et l’avoir bien limée, il sortie sa verge qu’il pointa sur l’anus et il poussa pour l’enculer a son tour et je voyais ses deux belles queues qui s’enfonçaient aussi bien dans le cul de la putain, fou de désir, ils l’on bourrée à fond, ils lui arrachaient des cris de douleurs et de plaisirs, mon collègue la défoncée brutalement dans un rythme frénétique, et Romuald suivait le mouvement, elle hurlait de jouissances. Ils la traitaient de tous les noms Secouée de partout, empalée par deux bites qui la défonçaient, elle s’abandonnait entièrement, je l’entendais grogner et gémir, ils l’enculais violemment, sans retenue, ils la baisaient comme des fous, je les aient entendu gueuler qu’il lui foutaient toute la sauce au fond du con en la traitant de putain de salope. Elle n’était plus qu’une femelle prise de partout, dont ils jouissaient en se vidant les couilles dans tous ses orifices. Mon collègue et Romuald l’ont bourrée dans tous les sens, en alternant les positions, jusqu’à trois heures du matin, jusqu’à ce qu’ils n’en pouvaient plus. Avant de partir Mon collègue et Romuald on pris une bonne douche et ordonner a leurs putain de bien vouloir nettoyer leurs queue en les suçant, se quelle fi tète baisser comme toute putain soumise, moi J’avais sorti mon sexe et je me masturbai. Je n’en revenais pas de la facilité avec laquelle elle acceptait ce jeu pervers. Cela me faisait un effet curieux, de la voir ainsi offerte, Mon collègue et Romuald partis, la putain et moi, nous nous sommes écroulés de fatigue et de plaisir et nous avons dormi jusqu’à midi. C’est ma femme qui m’a réveillé. Elle était en pleine forme et de très bonne humeur !!!!
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Dominik57 a liké
#18717
Une très belle relation à trois, pleinenement assumée où chacun est à sa place.
Je regrette de ne pas être ton collègue, quand je vois la soumission dont vous êtes capable tous les deux, je suis sur de pouvoir vous amener à un niveau de plaisir cérébral intense.
#21927
ce cul plein de sperme est un vrai régal.
Vous allez très loin dans le candaulisme, mais ça me plait, et j'espère que ma maitresse va bientot me permettre d'assister à mon cocufiage.
Mais pour ma part, je préfère etre attaché pour ne pas etre tenté de me toucher ma petite nouille.
Elle m'a dit que plus tard, je devrais etre en mesure de préparer son amant.
Préparer veut dire évidemment lui faire avoir une bonne érection, sois avec mes mains ou mieux avec ma bouche.
#24760
Vendredi dernier vers 22 h 00 la sonnerie retentit. Je vais ouvrir. Mon collègue et un copain a lui d’une trentaine d’années sont devant moi.
- « Oui, c’est pour quoi ? »
- « slt on vient voir ma putain , je lui est téléphoné tout à l’heure pour venir la baiser »
- « Ah heu oui ( j’était surpris que ma femme ne mais pas prévenue , et cela me dérangeait un peut d’être a la merci de mon collègue de boulot et du copain qui avait un sourire moqueur ), et bien entrez
mon collègue me dit
- « vient, tu peux venir voir comme on s’y prend pour faire jouir ta femme »
A l’étage, sa putain était déjà sur le lit dans une tenue que je ne lui avais jamais vu porter : des talons de 15 cm terminaient ses jambes gainées de noir (les mêmes bas couture de la semaine passée), un peu plus haut une mini jupe en cuir à ras des fesses, un juste au corps transparent ne cachait rien de sa poitrine généreuse, une bouche bien rouge, les yeux très maquillés avec cerise SM sur le gâteau, une casquette en cuir sur la tête. Elle nous regardait, offerte et impudique, les cuisses légèrement entrouvertes.
- « je vous attendais, mon cocu aussi, lol ,et sa la fait rire , il était impatient de voir ça, vous allez lui montrer que je ne suis pas frigide mais que je suis bonne à enfiler, c’est pour ça que je me suis habillé comme une pute, pour lui donner une bonne leçon »
mon collègue et son copain s’approchent du lit, jettent leur veste par terre.
- « Qui c’est qui veut commencer ? » demande la putain
mon collègue passe le premier, « je vais calmer les chaleurs de la dame, pendant ce temps tu pourras te faire sucer gaby »
- « D’accord, on va bien lui remplir ses trous, à cette salope en cuir, son cocu de mari verra ainsi quelle pute elle fait sa femme »
la putain regarde l’homme qu’elle va prendre en bouche en tirant la langue lascivement. L’homme déboucle sa ceinture et baisse son pantalon.la putain est déjà à quatre pattes sur le lit prête à sucer. Pendant ce temps mon collègue s’est retrouvé tout nu derrière elle, au garde à vous, sans préservatif sur son sexe énorme et s’est approché de son postérieur en lui mettant la main aux fesses, en relevant sa jupe en cuir et en me lançant :
- « Regarde, ma putain va prendre ça dans son beau cul, car ta femme ce n’est qu’un trou du cul, elle a adoré la dernière fois, elle ne voulait pas au début et depuis elle ne peut plus s’en passer, tu vas voir comme elle va tortiller du cul dans quelques minutes »
ma femme , enfin sa putain se trémoussait en se retournant :
- « Oui, mettez la moi comme la dernière fois, je suis une chienne en chaleur qui attend son chien, je n’en peux plus, il me faut votre queue »
mon collègue s’est enfoncé d’un seul coup dans ma femme en s’agrippant à ses hanches. Elle a crié puis gémi très rapidement.
- « Mets lui ton silencieux gaby , elle est trop bruyante, elle va alerter tout le quartier et son cocu n’a peut-être pas envie qu’on sache sur tous les toits que sa femme est une vraie salope »
je lui répondit « Cela m’est égal maintenant, vous pouvez vous la faire comme bon vous semble,
- gaby lui dit « Il a raison le cocu, tu m’as allumé fringuée comme tu es, alors maintenant tu vas pomper pendant que mon copain te défonce le cul, je m’occuperai après de ta chatte »- « Elle est vraiment bonne ta femelle, »
- «lui, il n’a le droit que de regarder » envoya mon collègue à son copain
puis il dit à sa putain - « Puisque c’est comme ça, , je vais te violer, au point où tu en est, tu vas me vider les couilles, ça t’apprendra à être aussi provocante et salope, quand je vient avec un copain , voilà ce qu’il te faut pour te remettre les idées en place »

le copain gaby
- « Ta femme, elle nous excite, tu nous la laisse pour la nuit , Je crois qu’elle n’attend que ça, montrer à quel point elle est devenue cochonne avec sa jupe en cuir, ses bottes et son coup de langue » « Tu ne vas pas être déçue, salope, on a pris les outils qu’il faut pour te ramoner le cul et tes conduits de cheminée »
- « Regarde ta femme, me dit mon collègue , elle a la cuisse légère qui s’ouvre déjà quand on la touche, elle a une bouche à baiser, tu trouves pas, avec ses lèvres charnues bien rouges et ses joues creusées, on dirait qu’elle est faite pour tailler des gros crayons, profites-en on va te montrer ce qu’on peut tirer de ta femme, des pipes et une bonne bourre »…
la putain à son maître se laisse embrasser et répond avec la langue au baiser fougueux des homme. Elle ferme les yeux pendant que l’autre lui glisse la main sous son string noir. Elle écarte les cuisses, impudique.
- « Dis donc, elle mouille ta femme, son petit buisson coule comme une fontaine, on dirait que la situation l’excite, ta garce… »
la putain avait la jupe relevée sur ses cuisses dénudées en haut de ses jambes gainées de noir, ouvertes au désir de ces mâles. Elle me regarde en me disant d’une voix provocante :
- « C’est ce que tu voulais, non, voir ta femme se conduire comme une salope, alors tu vas voir que je suis plus bandante , n’est-ce pas messieurs ? »
- « C’est pas une bouche qu’elle a ta meuf, c’est un garage à bites » me lança gaby
- « Oui, je suis un garage à bites, baisez-moi maintenant avec ma ficelle et mes talons hauts, je n’en peux plus et montrez à mon connard de mari que je suis une bonne pute qui aime les coups de bâtons » je n’en revenait pas de l’entendre m’insulter comme cela , enfaîte depuis qu’elle est devenue la putain a mon collègue de boulot elle a complètement changer dans sa vie sexuelle ,
Ils lui on donné ce qu’elle voulait, ils l’on longuement possédé, en la traitant devant moi de « putain , vide couille », de « bonne pute , salope »...
, moi J’avais sorti mon sexe et je me masturbai. Je n’en revenais pas de la facilité avec laquelle elle acceptait ce jeu pervers. Cela me faisait un effet curieux, de la voir ainsi offerte, Mon collègue et son copain partis, la putain et moi, nous nous sommes écroulés de fatigue et de plaisir et nous avons dormi jusqu’à midi. C’est ma femme qui m’a réveillé. Elle était en pleine forme et de très bonne humeur !!!!
#28357
coupledu67 a écrit :quelque photos du vide couille ( ma femme ) que j'ai offert à mon collègue de boulot ,

slt et bien ta femme et tres appétissante vraiment elle des rondeur qui m'excite surtout la derniers photo merci
#28677
effectivement toujours aussi attirante ta femme et en nette progrès ;

Parfaite, bonne travailleuse et méritante en plus.

Maintenant il faut passer à trois hommes en même temps et toi tu regardes sans toucher.

Félicitations à sa putain
#31094
Mon collègue de boulot avait organiser une sortie à un concert , il était seul sa femme était en déplacement professionnel et nous avait demander detre disponible pour la soirée , au dernier moment il m’envoie un sms et me demande de prévenir ma femme , oups enfin sa putain que le maître souhaite l’avoir seule pour eux !! il m’informe qu’il à inviter un copain a lui , ma femme était donc partie seule avec Dominique et Rachid, son copain algérien, en camping-car.Le maître m’a prévue une surprise son copain film la soirée ,celui qui filme, dont je ne reconnais pas la voix, présente un bâtiment assez imposant, en site urbain, je suppose Voici le Palais des sports, le concert va commencer dans quelques minutes ,à l’image apparaissent Dominique et sa putain, patientant au milieu de l’énorme file d’attente. C’est Rachid qui filme, et l’image s’attarde sur mon épouse. sa chevelure brune encadre un visage un peu rond et, sans être une beauté fatale, je trouve qu’elle a beaucoup de charme. Elle porte une tunique noire, style oriental, boutonnée sur le devant et dont la transparence trahit l’absence de soutien-gorge. De nombreux regards s’intéressent visiblement aux deux globes généreux qui tendent le léger tissu, sans que cela ne paraisse la gêner. Sa jupe, assez courte, s’arrête à mi-cuisses, dévoilant de belles jambes , au galbe rehaussé par des souliers à talons.Puis l’image se brouille quelques secondes avant le démarrage d’une nouvelle séquence. Ils doivent être dans la salle de concert, c’est plutôt sombre, et on entend jouer la musique du groupe. Rachid filme le maître , assis à côté de lui, sa putain est allongée en travers, la tête posée sur les cuisses de notre copain. La caméra zoom un peu, et malgré la pénombre je découvre l’objet de l’intérêt du cameraman.Mon collègue a passé une main sous la tunique de son vide couille et lui pelote les seins, passant de l’un à l’autre, pas discrètement du tout. Je n’en reviens pas. Quel culot ! Prise par l’ambiance du spectacle, sans doute, mon épouse ne cherche pas à le dissuader, ce qui m’interpelle et m’inquiète… Il a défait les premiers boutons de la tunique, découvrant un mamelon bombé, au volume conséquent, très appétissant, si bien que nombre de leurs voisins se détournent du concert pour apprécier l’alléchant spectacle qui s’offre à eux.Je suis sidéré qu’elle l’ait laissé faire, et commence à me poser des questions. Ma femme finit quand même par repousser la main inquisitrice et referme sa tunique d’un geste agacé. Elle semble dire quelque chose que je ne réussis pas à entendre, mais qui les fait rire tous les deux, et cela m’agace un peu plus.L’image se coupe à nouveau, puis une nouvelle apparaît. La caméra filme maintenant un parking qui parait proche du palais des sports, et on aperçoit effectivement le camping-car de Dominique. L’image du véhicule se rapproche. Par la porte grande ouverte on peut entendre la musique car le volume sonore est plutôt élevé. Le cameraman entre dans l’habitacle, pointant son objectif sur les occupants :
• — Je vous présente mes amis, Dominique et sa putain. Oups… pardon !… il ne faut pas les déranger, je pense !
La voix s’est faite chuchotement car le spectacle qui apparaît est absolument incroyable. Ma femme est assise dans le fond du véhicule, les jambes relevées en appui sur le bord de la banquette, la tête renversée vers l’arrière, tandis que mon collègue est agenouillé devant elle, le visage plaqué contre son bas-ventre. Rachid s’est un peu reculé mais n’est pas sorti du camion, et ne parle plus. Il zoom sur le couple, d’abord sur Virginie, s’attardant bien évidemment sur l’alléchante poitrine partiellement dénudée, puis l’objectif descend vers mon collègue, mais comme il tourne le dos on ne voit rien de ce qu’il fait. Rachid se lève,
car l’image prend subitement de la hauteur et se rapproche du couple. La musique est suffisamment forte pour qu’ils ne l’entendent pas., le cameraman du dimanche se rince l’œil à bon compte, filmant maintenant en plongée le décolleté affolant de mon épouse, puis descendant le long de son ventre.
Je découvre en gros plan le visage de mon collègue, enfoui entre les cuisses de sa putain, sa langue dardée qui lui fouille la chatte, léchant les lèvres roses qu’il tient écartées avec deux doigts. La scène m’hypnotise littéralement et, malgré la colère, je sens très vite venir une érection. Ma femme lui caresse doucement les cheveux :Rachid zoom encore un peu plus, jusqu’à voir distinctement le clitoris que la pointe de la langue vient chatouiller. Le petit bouton est dressé, gonflé, et sa putain, qui tire les lèvres de sa vulve vers le haut pour le dégager, frémit à chaque coup de langue dessus. De temps en temps Dominique relève la tête pour vérifier l’effet de son petit traitement.Sa langue glisse le long de la vulve mouillée puis, par petites touches rapides, s’insinue dans le vagin avant de remonter vers le clitoris et de le titiller, faisant trembler sa partenaire. Le salaud sait y faire, il n’y a pas de doute, et il doit se régaler du splendide clito qu’elle lui offre.
Le vide couille du maître , qui a dû sentir la présence de Rachid, ouvre les yeux et, apercevant la caméra qui les filme, se contente de dire en souriant :

• — Tu vas avoir des souvenirs, hein mon cocu !

Elle dégrafe les derniers boutons, révélant à la caméra sa voluptueuse poitrine. Rachid zoome sur les deux superbes melons aux aréoles brunes, rondes et gonflées, qu’elle caresse en regardant la caméra, un petit sourire sur les lèvres.Elle les prend par dessous en les remontant, mettant en valeur leur taille et leur galbe parfait , sa me rend dingue de jalousie mais , surtout, m’excite terriblement.Mon collègue, qui s’est redressé, prend le relais pour filmer la scène. Complètement abasourdi, je vois Rachid ouvrir son pantalon et en extirper un pénis de belle taille, long et droit, avec un gland bien renflé.Il fait glisser son pantalon au sol, met un genou sur la banquette et se rapproche de ma femme qui referme sa bouche sur la verge brune.Rachid sourit, la regardant faire.La vision du vide couille, les seins nus, la chatte à l’air, la bouche déformée par la verge gonflée et bien raide, est surréaliste. Je m’en veux de l’avoir laissée partir avec ces deux lascars, mais comment pouvait on refuser , mon collègue de boulot voulait sa putain , Et il zoom sur le visage de mon épouse, qui s’active sur le membre imposant de son ami. Rachid arbore un pénis plus gros que la moyenne, très veiné, terminé par un gland brun et conique. Je vois distinctement les lèvres qui repoussent la peau, avalant le sexe, puis refluent jusqu’au gland pour le lécher et le sucer. Le maître fait un gros plan sur le gland lisse et brillant que la langue de sa putain excite consciencieusement tout en massant les bourses, pressant les gros testicules entre ses doigts. j’ai une trique de dingue et, dégageant ma queue, je me masturbe en la regardant faire.La putain lance un regard interrogateur à Rachid, qui lui fait signe de continuer. Prise de frénésie, elle se met à branler la verge et à la sucer avec un appétit féroce. Le maître a pris un peu de recul et filme Rachid, les reins cambrés, le bassin projeté vers l’avant, se faisant bouffer la bite par son vide couille. Elle semble s’en régaler, l’avalant presque complètement, sa tête allant et venant sur le pieu de chair hérissé à une cadence endiablée.
Mon collègue zoom sur le sexe de Rachid qui disparaît presque complètement dans la bouche affamée, et je distingue parfaitement le sursaut de sa partenaire quand il éjacule.Ma femme , oups sa putain a gardé la verge dans sa bouche, regardant Rachid dans les yeux tandis qu’il se décharge longuement, et j’imagine sans peine la semence tiède et épaisse qui coule dans sa gorge. Doucement, elle lèche le membre, le nettoyant de toute trace de sperme, puis elle le libère et tourne la tête vers la caméra, toute souriante.Mon collègue zoom sur le visage de ma femme , filmant le liquide laiteux qui coule le long de son menton. Visiblement ma femme a bu la plus grande partie de l’éjaculation.Tout en parlant il filme mon épouse de haut en bas, offrant au spectateur une vue privilégiée sur une magnifique paire de seins, bien rebondis, aux pointes hérissées, gorgées de désir et sur la vulve bombée, couverte d’une fine toison noire, encadrant des lèvres plissées et brillantes d’humidité. Dominique tend la caméra à son compère, quitte son pantalon, et s’approche de son vide couille, arborant une superbe érection.Sans dire un mot il lui retrousse la jupe sur le ventre, lui relève une jambe, dégageant son bas-ventre.Rachid focalise l’objectif sur le pénis arqué qui caresse la vulve entrouverte, puis fait un gros plan , je vois le gland lisse et brillant s’enfoncer tout doucement entre les lèvres roses, puis la verge tout entière.Il est complètement enfoncé en elle, ses cuisses au contact des fesses rebondis, et lui caresse les hanches.Il se retire doucement puis je vois sa queue bien raide plonger à nouveau dans les entrailles de mon épouse qui l’accueille, les cuisses largement ouvertes. Rachid filme le membre courbe et épais qui se met à aller et venir, d’abord lentement puis le rythme s’accélère. J’entends par moment les râles de plaisir que lâche la putain quand le maître la pénètre un peu plus profondément. il sait utiliser son sexe, à en juger les plaintes de ma femme à chaque pénétration’espace réduit du camping-car ne facilite pas les mouvements, obligeant les occupants à faire de la gymnastique pour changer de place. Le maître lui écarte les fesses et la pénètre d’une seule poussée, presque violemment. Il reste un instant immobile, puis entame un va-et-vient ample et profond, manifestant bruyamment son plaisir.Il la tringle vigoureusement, ce qu’elle a l’air d’apprécier à en juger les cris d’encouragement qui résonnent dans le camping-car. La petite table oscille sous les coups de boutoir encaissés par mon épouse, mais semble malgré tout résister.Je la vois onduler du bassin, la tête baissée, les yeux fermés, cherchant à s’empaler encore plus sur le membre qui la fourrage.Cette vidéo va t-elle restée confidentielle ou bien au contraire va-t-elle faire la joie de dizaines de spectateurs au cours de soirées entre copains de mon collègue de boulot ? Si c’est le cas j’imagine le nombre de gars, peut-être des copains, qui se sont branlés en regardant ma femme se faire sauter. Tout comme moi, qui m‘astique de plus en plus fort en les regardant. Elle apprécie visiblement d’être ramonée de la sorte
Il se retire et, demandant à sa putain de l’aider, il déplie la banquette, laquelle, prenant appui sur la table, se transforme en un clin d’œil en un lit plus spacieux. Le maître se couche sur le dos, invitant son vide couille à le chevaucher. Elle s’exécute et l’enjambe, se positionnant au-dessus de la verge dressée, la guide vers sa chatte et s’empale dessus en gémissant de plaisir. Cambrée, prenant appui sur les cuisses de son partenaire, la poitrine en avant, elle se met à onduler du bassin, cherchant les meilleures sensations.
Il s’est emparé des lourds mamelons qui se dressent fièrement au-dessus de lui, enfonçant ses doigts sans ménagements dans la chair souple et soyeuse, les malaxant avidement, et il en pince les pointes saillantes. Ses mains n’arrivent pas à englober totalement les seins, beaucoup trop gros pour elles.Sa putain se penche vers lui, offrant à la bouche impatiente de son partenaire ses deux magnifiques joyaux, dont il s’empresse de sucer les tétons gonflés. Puis ce que je redoute ne tarde pas à se produire. Rachid, qui a posé la caméra, l’orientant vers le lit, s’approche du vide couille, lui écarte les fesses, dévoilant le sillon d’une croupe magnifique, ronde et bien charnue. Cela me permet de voir distinctement la queue enfoncée dans le vagin, qui va-et-vient lentement, et juste au-dessus la petite rosette brune et plissée de l’anus.Ce qui va suivre est logique, dans l’état d’excitation où ils sont tout les trois, Ils vont la baiser ensemble, la prendre par ses deux orifices et me faire doublement cocu, moi .Ils ont du bien rigoler les salauds !Rachid se rapproche, dépose un filet de salive puis caresse la petite rondelle du bout de l’index, en petits mouvements concentriques. Son érection témoigne de son désir pour ma femme, et je dois reconnaître qu’il a un sacré braquemart, long et épais, formidablement dressé, prêt à s’engouffrer dans la croupe pulpeuse qu’elle lui présente. Il introduit un doigt tout entier, puis deux, fourrageant doucement l’anus qui se détend, allant et venant doucement. Son autre main caresse les fesses nues, les claquant de temps à autre. À l’introduction du doigt ma femme s’est crispée, puis rapidement se détend, embrassée à pleine bouche par mon collègue ,Après lui avoir bien assoupli l’anus, il crache sur son sexe puis, le guidant d’une main, il l’appuie sur le petit orifice qui lentement cède sous la pression du gland, lequel s’enfonce peu à peu entre les fesses rondes.
Il patiente quelques instants, puis progressivement il lui pénètre totalement l’anus, sans qu’elle en souffre, à mon grand étonnement. Elle semble avoir une capacité de dilatation tout à fait étonnante, car l’imposante bite glisse facilement, plongeant dans les profondeurs secrètes jamais dévoilées. Sous mes yeux effarés, ma femme se fait sodomiser, Dominique, qui a stoppé ses mouvements pendant l’introduction, reprend progressivement ses va-et-vient, en alternance avec Rachid qui fouille maintenant vigoureusement dans l’intimité de mon épouse. Je l’entends crier comme jamais elle n’a crié, secouée par les coups de boutoir de ses deux amis.Je contemple les deux bites pleines d’énergie qui vont et viennent en cadence, pilonnant la croupe offerte, dévastant l’intimité de mon épouse. Elle doit le sentir passer, pensé-je, et prendre un pied pas possible. Le plaisir évident qu’elle prend, là, sur l’écran, m’excite terriblement, augmentant mon érection et je me branle de plus belle.en regardant la putain du maître prise en sandwich entre les deux compères, se faire défoncer par leurs formidables pieux de chair, et en même temps j’ai une trique d’enfer. Nue, le corps peloté par les mains fébriles qui pétrissent les seins, claquent ses fesses, elle s’abandonne aux assauts énergiques de ses deux amants, tandis que je me branle frénétiquement en l’écoutant hurler son bonheur.À leurs cris je comprends qu’ils viennent de jouir, presque en même temps, profondément plantés en elle. Ils soufflent comme des bêtes, et j’imagine leur foutre bouillant qui jaillit abondamment, noyant ses orifices intimes. La putain a joui également, car son corps est traversé de tremblements, tandis que ses deux partenaires s’activent encore en elle. Ils doivent lui mettre une sacrée dose !Son orgasme déclenche le mien et j’éjacule copieusement sur le tapis du salon.Finalement Rachid, puis mon collègue se dégagent, s’écroulant de chaque côté de mon épouse, qui se tient à quatre pattes, l’intérieur des cuisses couvert du liquide crémeux qui s’écoule de son vagin et de son anus dilaté.
Je reste assis sur le canapé du salon, mon sexe encore raide, excité par le spectacle auquel je viens d’assister.
le camping-car était rentré au petit matin. J’avais discuté un peu avec mon colègue et Rachid avant qu’ils repartent et me femme s’était couchée, exténuée.!
Les jours suivants elle avait été de très bonne humeur, me parlant sans cesse de cette excellente soirée au concert, ce que je comprends mieux aujourd’hui.

Quand on est bien baisée…

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