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Dans cette section dédiée aux fantasmes du candaulisme et du cuckolding, nous vous invitons à partager avec la communauté du forum vos envies et aspirations les plus secrètes en matière d'épanouissement sexuel au sein de votre couple.

Le candaulisme et le cuckolding, bien que tabous et méconnus, représentent pour de nombreux couples un puissant stimulant de leur vie intime et amoureuse. Il s'agit d'explorer, au-delà des sentiers battus de la sexualité à deux, de nouveaux horizons riches en sensations fortes et en plaisir recherché.

Que ce soit le fait de voir son conjoint avec un ou une autre partenaire, de l'imaginer dans les bras d'un amant fictif, de partager vos ébats avec un voyeur consentant ou d'assister en simple observateur aux étreintes de votre moitié avec un tiers, les variations possibles offrent un vaste champ d'expression aux penchants plus ou moins exhibitionnistes de chacun.

Les membres de notre communauté sont invités à s'exprimer sans tabou ni retenue sur les scénarios, images mentales ou souvenirs qui titillent leur libido et alimentent leurs jeux de séduction à deux. Qu'il s'agisse de confidence, de témoignage, de questionnement ou de recherche de conseils avisés, cet espace se veut un lieu d'échange privilégié sur ces pratiques parfois mal comprises.

N'hésitez pas à partager avec nous, dans le détail suggestif ou cru de votre choix, ces petites « perversions » intimes qui subliment votre complicité de couple et boostent votre épanouissement sexuel. Car, il faut bien le reconnaître, le fantasme reste le meilleur moteur d'une sexualité épanouie !
#1576872
J'ai trouvé cela récemment, qui me semble assez en rapport avec le post.
J'espère que cela plaira ...


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Ma Femme et ses Petits Vieux
Je m’appelle Raphaël Siouffi, je suis franco-libanais, et je vais raconter ici les frasques sexuelles que
j’ai découvertes chez ma nouvelle épouse, Aïssatou, pour mon plus grand plaisir. Nous nous sommes
mariés en décembre 2009, et pour tous les deux il s’agissait d’un remariage, étant chacun divorcé
d’une union précédente. Nous vivons actuellement à Angers (Maine-et-Loire, 49), où je travaille
comme bibliothécaire à l’Université Catholique de l’Ouest, et elle comme assistante sociale et
formatrice pour adultes au Centre Communal d’Action Sociale (CCAS). Ses trois garçons de son
précédent mariage vivent avec nous : Chérif (17 ans, né en 1997), Mokhtar (15 ans, né en 1999) et
Ibrahima (13 ans, né en 2001) – Chérif possède sa chambre propre, alors que Mokhtar et Ibrahima en
partagent une.
J’avais souvent fantasmé de voir Cécile, ma première épouse, faire l’amour à d’autres hommes, mais
sans succès. Nous avons divorcé après 10 ans de mariage, et elle habite maintenant à Nice avec nos
deux filles : Ysée (19 ans, née en 1995) et Flore (16 ans, née en 1998). Je n’ai plus de contacts avec
mon ex-femme, et je ne vois mes filles qu’occasionnellement. L’ironie du sort veut que je sois tombé
par hasard l’année dernière sur des photos osées de Cécile postées sur un site porno de rencontres
pour adultes. Elle y montre allégrement son beau cul de métisse Mauricienne, sodomisée par un
énorme gode, le visage à peine caché par un loup noir en dentelle. Apparemment, elle monnaierait
ses charmes à quelques clients pour arrondir ses fins de mois. Je la soupçonne également d’avoir
entraîné nos filles dans ses turpitudes prostitutionnelles, car je crois les avoir reconnues sur d’autres
photos du même site. Je compte investiguer un peu plus, mais tout ceci est le sujet une autre histoire.
Sur le plan de mes fantasmes libertins, de voir ma femme souillée par d’autres hommes, j’ai
découvert qu’Aïssatou satisfaisait ceux-ci d’elle-même, sans même que je lui demande, et de
manière absolument innocente. Tout en estimant que c’est une bonne action d’aider les personnes
âgées même à un niveau très intime, elle se comporte avec celles-ci en vraie pute nymphomane et
adultère. Quel spectacle jouissif ! Elle croit que les services spéciaux qu’elle rend à ses petits vieux
constituent des activités sexuelles totalement normales – même si légèrement marginales – et
qu’elle reste toujours une épouse fidèle et une bonne musulmane. Mais le meilleur c’est qu’elle
pense que j’accepte – de mauvais coeur, spécule-t-elle – tout ce qu’elle fait avec eux uniquement
parce que je l’aime (alors qu’elle assouvit sans le savoir mon fantasme secret bien au-delà de mes
expectations) – et je compte bien la laisser dans cette conviction erronée.
Laissez-moi vous décrire ma femme : Aïssatou est d’origine sénégalaise, elle est née à Dakar le 16
février 1967, mais elle a grandi en France. De taille moyenne, elle possède une peau noire de teinte
plutôt marron semi-foncé, témoignant d’un métissage ancien d’origine mauritanienne. Son visage est
beau, ses cuisses musclées, ses jambes harmonieuses, ses seins fournis et équilibrés, et ses fesses
rondes et fermes. Aïssatou ne fait pas physiquement son âge, mais en parait facilement dix ans de
moins. Elle se rase soigneusement le pubis et les aisselles, et n’a pas besoin de s’épiler les jambes,
grâce à sa glabreté naturelle courante chez les Ouest-Africains. Très féminine, elle s’enduit
quotidiennement le corps de diverses crèmes qui la rendent parfumée et très douce au toucher. Elle
souffre de constipation chronique (comme beaucoup de femmes), et se retient d’aller aux toilettes
quand elle se trouve hors de chez elle. Très sociable, elle est généreuse en amitié et possède de
nombreuses amies fidèles.
Aïssatou est musulmane pratiquante (elle prie les cinq ṣalawât, mange ḥalâl, jeûne ramaḍân, évite
les rapports vaginaux durant ses menstrues, etc.), mais ne se couvre pas les cheveux (elle tond ses
cheveux très courts et porte par-dessus une perruque longue). Elle s’habille toujours avec bon goût,
portant des tenues coquettes aux couleurs assorties, sexy mais pudique. Elle est sportive : elle jogge
pendant une heure trois fois par semaine, et nous marchons durant trois heures également trois fois
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par semaine, dans la campagne autours d’Angers. Comme beaucoup de femmes ouest-africaines,
mon épouse possède une grande résistance à la douleur, à la limite du masochisme.
Devant être régulièrement en état d’ablution pour sa pratique religieuse, Aïssatou est très propre au
niveau intime. Cependant, sa vulve dégage quand même ces odeurs féminines musquées qui en font
tout l’attrait pour le connaisseur. Mon épouse possède un sentiment de culpabilité exacerbé qui la
fait se questionner sur la licité religieuse de tous ses actes, mais sans vraiment la retenir de les faire
et de transgresser, comme elle l’a démontré avec ses petits vieux. Sous son apparence de femme
forte et déterminée, elle est en fait de nature fragile et sensible, évitant les conflits pour se protéger
mentalement.
Aïssatou est une femme étonnamment très sexuelle, malgré le fait qu’elle soit excisée (elle n’a ni
clitoris, ni petites lèvres – qui lui ont été retirés à ses douze ans). Elle mouille très facilement, et est
très sensible à mes caresses. Elle adore se faire peloter les seins et les fesses, même quand elle dort.
Elle ressent énormément de plaisir lors de la manipulation de son anus, et arrive rapidement à
l’orgasme par un cunnilingus accompagné d’une stimulation anale. Elle retire de la sodomie un plaisir
coupable, mais réel. Un léger vaginisme d’origine psychologique présent au début de nos relations,
qui engendrait des irritations au niveau de sa vulve, a disparu définitivement. Sa position favorite est
la levrette, et elle se laisse facilement enculer. Ma femme apprécie quand je lui glisse mon pénis
entre les fesses lorsque nous dormons enlacés en cuillère, et que je lui caresse les fesses durant son
sommeil (signes d’affection et d’amour). Elle prodigue la fellation avec plaisir. Elle aime se faire belle
pour moi en portant de la lingerie fine.
Exhibitionniste refoulée, Aïssatou n’hésite pas à se promener dénudée dans notre appartement
vêtue d’une simple petite culotte, devant moi, ou même devant ses garçons maintenant adolescents,
et ce malgré le fait qu’on peut très bien la voir par la fenêtre depuis la rue. Elle retire également
beaucoup de plaisir alors que je lui fais parfois l’amour le soir dans des pièces suffisamment éclairées
pour être clairement aperçus depuis l’extérieur à travers les rideaux.
Quand nous avons fait connaissance, bien avant notre mariage, Aïssatou m’a dit : « Je m’occupe
personnellement de quelques vieux, ici sur Anger, j’espère que ça ne te pose pas de problèmes ? »
J’ai répondu qu’au contraire, j’étais fier qu’elle consacre de son temps pour des personnes âgées,
surtout quand elles n’ont plus de famille. Elle en fut rassurée.
Peu de temps avant notre mariage, Aïssatou me déclara : « Ouf ! Je suis soulagée. J’avais peur des
réactions de mes petits vieux quand j’ai annoncé à chacun d’eux que j’allais me remarier. Que ce soit
Papa Régis, Papa Jean-Marie ou Papa André, ils ont chacun été contents pour moi, et m’ont souhaité
beaucoup de bonheur avec toi. Je les ai également rassurés que je continuerai à m’occuper d’eux, et
que le fait que je sois mariée à toi n’allait rien y changer. » Sur le moment, je n’avais pas remarqué la
tournure spéciale de sa phrase : c’était eux qui risquaient d’être jaloux de moi, et non le contraire.
Bizarre, non ? J’ai compris plus tard pourquoi quand j’ai découvert de quelle manière ma femme
s’occupait d’eux.
Incidemment, du fait de sa culture sénégalaise, Aïssatou appelle ses vieux « Papa Untel », ou tout
simplement « Papa ». C’est sa marque de respect envers les personnes âgées, mais ça sonne toujours
bizarre aux oreilles des Français.
Les petits vieux de ma femme se nomment André Poirier, Régis Baudoin et Jean-Marie Massé. Je
considère qu’il n’est pas besoin de changer leur nom ici, car je doute qu’ils lisent un jour ce texte-ci
sur Internet. Je vais vous décrire, chacun dans un chapitre différent, la manière spéciale avec laquelle
ma femme s’occupe d’eux – qui me comble au-delà de toutes mes espérances – et qui doit répondre
à son désir inconscient d’objectisation sexuelle. Considérez ces chapitres comme des témoignages
d’amour envers ma merveilleuse épouse.
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Premier Vieux : André Poirier
Tous les samedis matin, André vient se faire tailler une pipe royale par ma femme dans notre salon.
« Papa » André est un retraité de 71 ans qui vit seul et n’a jamais été marié. Il passe ses journées à
tourner dans Angers à bord de sa voiture pour passer le temps, et à chasser les promotions dans les
hypermarchés, quand il ne joue pas aux cartes certains après-midi dans un club de retraités comme
lui. Réservé et très serviable, engagé dans plusieurs associations caritatives locales, il rend souvent
service à des femmes immigrées qui élèvent seules leurs enfants, en les véhiculant pour leurs courses
ou leurs démarches administratives.
Ma femme et André se sont rencontrés alors qu’Aïssatou, encore mariée à l’époque avec son
précédent mari, faisait son jogging. Ayant l’habitude de se croiser sur la route, lui en voiture et elle à
pied, puis de se saluer, ils ont fini par faire connaissance et se sont liés d’amitié.
André a beaucoup aidé Aïssatou quand elle a eu ses problèmes de divorce, qu’elle s’est retrouvée
sans un sou, démunie et déprimée. Il a été une présence réconfortante quotidienne à ses côtés
pendant plus de trois ans (jusqu’à notre rencontre), la véhiculant pour tous ses besoins, l’aidant pour
ses enfants, et même n’hésitant pas à lui prêter de grosses sommes d’argent (pour l’avocat et
l’appartement, entre autres). Du coup, ma femme lui est d’une reconnaissance éternelle – et moi
aussi d’ailleurs. Même encore maintenant, André la conduit le matin à son travail, la ramène le soir,
mange avec elle à midi, l’accompagne pour ses courses, et amène ses garçons à leurs activités
diverses quand nous ne pouvons pas le faire. Certains jours, ce vieux retraité voit mon épouse plus
que moi, à tel point que certaines personnes croient que c’est lui son mari.
Quelle que peu soupçonneuse de la pureté des motivations d’André la concernant, Aïssatou lui avait
demandé il y a quelques années (après son divorce) : « Papa André, pourquoi fais-tu tout cela pour
moi ? Quelles sont tes motivations ? Est-ce que tu voudrais que je couche avec toi ? » Il lui avait
répondu, choqué d’ailleurs qu’elle ait pu penser ça de lui : « Aïssatou, je te considère comme ma fille.
Il n’y a rien de sexuel entre nous. Tu es ma petite fille, celle que j’aurais aimé avoir. » Du coup, il
l’appelle « ma fille » ou « ma petite fille ».
Peu avant qu’Aïssatou fasse ma connaissance, devant les refus constants d’André d’accepter son
offre de fellation, elle lui avait fait une sorte de chantage : « Papa André, ou bien tu me laisses te
remercier convenablement, ou bien tu ne me revois plus jamais ! » C’était très important pour elle
de lui prouver sa gratitude, tout en remédiant à l’abstinence sexuelle de son Papa si serviable. Du
coup, c’est pratiquement forcé qu’André s’est laissé fellationner par sa fille de coeur. Il a eu du mal à
éjaculer la première fois, parait-il, mais ça s’est arrangé ensuite, surtout qu’Aïssatou a pris l’habitude
de n’être vêtue que d’une petite culotte afin de l’exciter correctement. Depuis, tous les samedis
matins, il se vide les bourses dans la bouche de ma tendre épouse. De plus, elle aime le sperme –
qu’André possède en abondance – alors que moi, je n’éjacule pratiquement pas, ce qui frustre ma
femme et l’oblige à chercher sa dose ailleurs. Apparemment, en Afrique de l’Ouest, le sperme est
considéré comme un réjuvénant féminin, tant ingéré qu’en application sur la peau.
André est très pudique, et il était très gêné par sa situation avec Aïssatou lors de notre première
rencontre. Mais je l’ai rassuré, et nous avons fini par devenir de bons amis et d’en sourire. Il est un
peu voyeur et aime la lingerie sur le corps des femmes – je l’ai déjà vu passer des heures devant les
devantures des magasins de sous-vêtements féminins. Des fois, pour nous faire plaisir, André achète
à Aïssatou de la lingerie fine, et cela finit à la maison par un essayage sexy quand elle défile devant lui
et moi vêtue seulement de son cadeau. Elle prend devant nous des poses aguichantes, et montrant la
bosse tendue du pantalon d’André, elle lui dit : « Garde-moi bien tout ça pour samedi matin, Papa
André, comme ça il y en aura plus. »
Ce matin, c’est un samedi, André sonne à notre porte, il est 9H. Ma femme va lui ouvrir la tête
découverte (sans sa perruque), les seins nus, vêtue seulement d’une petite culotte de dentelle rouge
mise en valeur sur sa peau noire. « Bonjour, ma petite fille ! » « Bonjour Papa André ! » Ils se font la
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bise. Je reste dans notre chambre, alors qu’il pénètre dans notre salon et s’assoit sur le canapé, et
qu’Aïssatou s’agenouille devant lui. André est trop pudique pour accepter ma présence lors de sa
fellation, il a bien trop honte – j’en suis donc réduit à les observer derrière la porte entrebâillée à leur
insu. Je commence à me masturber doucement.
Mon épouse défait la ceinture de son petit vieux, déboutonne son pantalon, ouvre sa braguette et
fait descendre légèrement son slip pour libérer son gros pénis tendu et décalotté (qu’il a légèrement
plus long et large que le mien). « Oh, qu’il est beau ton sexe, mon Papa, » s’exclame-t-elle. Elle le
regarde avec convoitise, comme un enfant à qui on a donné une friandise, et l’engloutit
sensuellement dans sa bouche. Elle m’a dit plusieurs fois que l’hygiène intime d’André laissait à
désirer, que son pénis incirconcis était « fromageux » et sentait assez fort, mais qu’au goût ce n’était
pas plus désagréable que du Camembert, et qu’elle en profitait pour bien lui nettoyer.
Aïssatou s’applique lascivement sur le sexe d’André, de sa bouche et de ses mains, lui caressant les
testicules pendant que sa tête le pompe de bas en haut. « Oh ma fille, c’est si bon ce que tu me
fais ! » s’exclame-t-il de temps à autres. Il a posé ses mains sur les seins de ma femme qu’il pelote
maladroitement. D’habitude, c’est dans cette position qu’il jouit, mais aujourd’hui dans le feu de son
excitation, voici qu’à force de pencher vers sa gauche, il se retrouve allongé sur le canapé. Profitant
de la station couchée d’André, sans cesser sa fellation endiablée, Aïssatou se déplace et s’installe
voluptueusement sur lui à l’envers (en 69), le cul sur son visage, lui offrant la vue (et l’accès) à son
intimité. C’est la première fois qu’elle lui fait ça, je suis comblé ! Je me masturbe compulsivement
caché derrière la porte.
André, apparemment aux anges, masse les fesses noires de ma femme, puis les écarte pour dévoiler
sa fente cachée par la dentelle rouge. Il pousse de côté l’entrejambe de sa culotte afin de plonger son
nez dans sa vulve odorante, ruisselante de mouille. Je l’entends suçoter le sexe excisé d’Aïssatou qui
soupire de plus en plus fort. Elle agite sa croupe comme une chienne en chaleur. Elle jouit ! Quelle
salope ! Qu’est-ce que je l’aime ! La vue de cette scène obscène me fait jouir violement, mais je ne
produis qu’une seule petite goutte.
André éjacule soudainement dans un râle en se cambrant. Mon épouse, toujours sur lui en 69, avale
goulûment sa purée abondante qu’il crache en saccades pendant de longs moments. Puis elle dévale
de lui pour se remettre à genoux devant le canapé. Elle recueille dans ses mains le reste de sperme
qui jaillit encore du sexe d’André – je n’ai jamais vu un homme en produire autant – et s’en enduit
copieusement le visage et les seins. « Oh ma petite fille ! Qu’est-ce que j’ai joui ! Merci pour ton beau
cadeau, » lui dit-il reconnaissant. « Je ne sais pas ce qui m’a pris, Papa André, mais l’essentiel c’est
que tu te sois bien soulagé, » lui répond-elle dans un grand sourire, toute barbouillée de son foutre
frais et odorant.
« Mon chéri, nous avons fini. Tu peux venir maintenant, » me crie Aïssatou depuis le salon. André
s’est déjà resapé ; je lui dis bonjour en l’embrassant (son visage est luisant de cyprine), et nous
pénétrons tous dans la cuisine pour y prendre notre petit-déjeuner. L’heureux retraité nous a amené
du pain tout frais et des croissants encore chauds. Il boit son café avec nous, puis il s’en va en nous
disant : « Je vous laisse les amoureux, passez un bon week-end, et embrassez les garçons de ma
part. »
Ma femme a l’air totalement rassasiée, et reste parfaitement calme durant le reste de la collation, où
nous discutons de choses et d’autres, sans jamais évoquer ce qu’elle vient de faire avec André. Elle
laisse échapper de temps en temps un petit rot qui pue le foutre. Quand ses garçons se lèvent et
viennent embrasser leur mère – toujours revêtue de sa seule culotte de dentelle rouge – pour lui
souhaiter le bonjour, je suis sûr qu’ils ne peuvent s’empêcher d’identifier la nature de cette crème
blanchâtre la recouvrant, par l’odeur forte qui s’en dégage. Ça doit leur donner une gaule d’enfer.
Ma chérie garde le sperme fétide sur sa peau noire encore une heure, jusqu’à ce qu’il soit bien sec,
puis part prendre sa douche matinale pour pouvoir prier. Aïssatou s’habille ensuite juste d’une petite
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robe d’intérieur, courte et transparente, qui laisse paraître ses cuisses jusqu’à sa culotte quand elle
s’assoit, et ses seins par la longue fente sur le côté.
Additionnellement à sa fellation hebdomadaire, des fois André reçoit plus de ma femme. Depuis
deux ans, Aïssatou a décidé de lui offrir une sodomie exceptionnelle pour son anniversaire. Elle m’en
avait parlé avant en me demandant : « Mon amour, tu crois que ça ferait plaisir à Papa André si je lui
proposais mon cul pour fêter un évènement spécial ? Il est si seul, le pauvre, et il doit commencer à
trouver mes gâteries monotones. J’espère que ça ne te gêne pas !? Et puis, il est ton ami également,
n’est-ce pas ? » Je ne pouvais qu’acquiescer à sa proposition, totalement excité à l’idée, tout en lui
faisant croire que tout cela ne m’enchantait pas vraiment. Elle en fut ravie.
Le samedi qui suit l’anniversaire d’André (le 27 mai), à la place de sa fellation matinale, Aïssatou lui a
proposé qu’il l’encule en levrette sur le canapé. Elle s’était lubrifiée l’anus préalablement en
prévision de sa sodomie. Je les épiais à leur insu comme d’habitude depuis la porte entrebâillée de
notre chambre, la main sur mon sexe tendu. « Joyeux anniversaire ! Viens te faire plaisir dans ta fille,
Papa, » lui a dit ma femme, agenouillée sur le canapé, la culotte descendue à ses genoux, et sa
croupe dénudée obscènement arquée. Qu’elle était belle ! Après une forte surprise et une légère
hésitation, André introduisit son gros sexe dans le fondement d’Aïssatou et commença son pilonnage.
« Vas-y Papa, jouis dans ta fille ! » lui cria ma femme. « Oh ma fille ! Oh ma fille ! » répétait son petit
vieux comme une litanie. Je me branlais comme un forcené, éjaculant dans ma main. « Oui Papa,
défonce-moi le cul ! Fais-toi plaisir ! Encule ta petite fille ! » ajouta-t-elle. Quel spectacle magnifique !
André fut rapide à jouir dans le rectum d’Aïssatou, et celle-ci se décula rapidement pour recueillir
dans sa bouche le reste de la semence de son vieux jaillissant par saccades, et s’étaler les dernières
gouttes sur sa face et sa poitrine. Ça ne l’a pas dégoûté de sucer la bite merdeuse d’André
barbouillée de ses propres fèces – chose qu’elle n’a jamais faite avec moi. Apaisé et souriant, le
visage de ma femme rayonna toute la journée d’un éclat particulier, comme si une grâce spéciale
était descendue sur elle, et elle me fit l’amour comme une diablesse le soir même. Dommage que les
anniversaires ne se fêtent qu’une fois l’an !
Bien que ma femme nie retirer un quelconque plaisir des faveurs anales qu’elle octroie à André (par
culpabilité certainement), j’ai remarqué récemment qu’elle trouve de plus en plus de prétextes pour
se laisser sodomiser par lui. Sa fête (la Saint André, le 30 novembre), l’anniversaire de son accident
de voiture (le 24 février), et même maintenant dès qu’il lui offre un beau cadeau (c’est-à-dire cher,
du genre bijoux). Je suis loin de m’en plaindre, au contraire. Bien entendu, je ne suis pas censé le
savoir, vu qu’Aïssatou ignore que je l’espionne avec son vieux. Toutefois, il ne lui ramone pas le cul
suffisamment longtemps pour qu’elle atteigne un orgasme, mais elle semble en retirer quand même
beaucoup de plaisir – plus qu’avec moi, peut-être – du fait que le sexe d’André soit plus gros que le
mien.
Deuxième Vieux : Régis Baudoin
Tous les dimanches matin, ma femme va branler Régis chez lui, sous sa douche.
« Papa » Régis est un vieux retraité de 83 ans, ancien communiste, athée, et veuf depuis dix ans. Il
habite une maison à l’orée de la campagne, entourée d’un grand verger-potager. Comme André,
Régis a également été d’une grande aide pour Aïssatou lors de son divorce douloureux, surtout du
point de vue financier, ce pour quoi elle lui est éternellement reconnaissante. Ma femme (alors pas
encore séparée de son premier mari) et lui avaient lié connaissance en tant que voisins, n’habitant
qu’à quelques carrefours l’un de l’autre. Il y a quatre ans, elle lui a sauvé la vie alors qu’il avait eu un
malaise vagal dans son jardin, en venant à son secours et en appelant les urgences – sa gratitude
pour elle est désormais sans bornes, lui payant des cadeaux les plus chers et la couchant même sur
son testament.
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Régis est un bavard invétéré, plutôt médisant, raffolant de ragots qu’il partage allègrement avec tous
ses voisins, des vieux comme lui en général. Il est très confiant – trop même – et ouvre sa porte à
n’importe qui, ce qui lui a déjà valu quelques ennuis. Jaloux de nature, il n’a pas digéré mon mariage
avec Aïssatou, et bien que content pour elle, ses rapports avec moi restent très distants. Pour ne pas
arranger la situation entre lui et moi, il est fan de foot, et peux passer des heures à commenter un
match – ce qui m’est particulièrement insupportable.
Régis est un peu handicapé par un léger Parkinson qui le restreint physiquement en l’empêchant de
fonctionner comme avant – il ne peut plus jardiner, faire le ménage de sa maison, cuisiner, se laver
correctement, ni même se masturber, par exemple. Comme c’est une grande gueule, plus têtu
qu’une mule, les assistantes à domicile ne veulent plus s’occuper de lui, et Aïssatou reste la seule qui
puisse lui faire entendre raison. Elle fait un peu de ménage dans sa maison, lave son linge,
débroussaille son jardin et lui fait prendre sa douche, avec une branlette en prime.
Ce dimanche matin, peu après 10H, j’accompagne ma femme en voiture chez Régis. « Bonjour
Aïssatou. Bonjour Raphaël, » nous accueille-t-il sur le pas de sa porte. « Bonjour Papa Régis, » lui dit
ma femme en l’embrassant délicatement sur la bouche. De tous ses petits vieux, il est celui avec
lequel elle est le plus intime. Nous pénétrons dans le salon où je m’installe dans un fauteuil à côté de
celui où s’assoit Régis. « Soyez sages, mes amours, pendant que je fais le ménage. À tout à l’heure, »
nous dit Aïssatou. Elle part se changer dans l’une des chambres, et réapparait dans toute la
splendeur de son corps noir, sans sa perruque, vêtue seulement d’une paire de baskets bleues, d’une
petite culotte blanche et d’un tablier de cuisine qui cache à peine ses seins. Pour elle, très innocente,
c’est juste une tenue confortable pour travailler, alors que pour nous, c’est d’un érotisme torride à
faire bander un mort.
Ma femme nettoie la maison de Régis dans cette petite tenue pendant plus d’une heure, à grands
coups de chiffons et de serpillières, passant et repassant devant nous au gré de son activité, de plus
en plus recouverte de sueur à chaque passage. La transpiration a tellement mouillé sa culotte, qu’elle
en est devenue transparente, et lui colle à la peau, se coinçant entre ses fesses et dans sa fente, nous
révélant tous les détails de son intimité. Quel spectacle ! J’ai fait du café entretemps, et Régis et moimême
sirotons nos tasses, bavardant poliment en attendant qu’Aïssatou ait terminé.
Comme il fait bon dehors, ma femme en profite pour sortir jardiner, toujours dans la même tenue, se
fichant pas mal de ceux qui pourraient la voir. Elle revient une demi-heure plus tard, couverte de
terre et encore plus suante. Sa transpiration sent le sexe ! « Papa Régis, à la douche maintenant, » lui
annonce-t-elle. « Je n’en ai plus pour longtemps, mon chéri, » me dit-elle en souriant, « nous
rentrons à la maison dans un quart d’heure, promis. Excuse-moi pour tout ça. » Elle accompagne son
petit vieux vers sa salle de bains.
Je me lève pour les épier à leur insu, l’entrebâillement de la porte de la salle de bains m’offrant une
vue imprenable sur la douche. Ma femme, entièrement nue, a déjà déshabillé Régis, et ils se glissent
tous les deux sous le jet d’eau tiède. Je sors mon sexe et commence à me masturber. « Laisse-toi
faire, Papa, je vais bien te savonner, » dit Aïssatou à son vieux, dont l’érection est évidente. Elle
l’enduit sensuellement de mousse, s’attardant spécialement sur son derrière et son pénis, pendant
qu’il en profite pour la peloter maladroitement, une main glissée dans son entrejambe pour lui
caresser la chatte. Sa bite est légèrement plus volumineuse que la mienne, mais il bande un peu mou.
Ma femme commence à branler vigoureusement Régis pendant plusieurs minutes, afin de l’amener
proche de l’éjaculation. « Ah, ça fait du bien, ma chérie, ça m’avait tellement manqué, » s’exclame-til.
« Je vais te sucer maintenant, Papa Régis, » lui informe Aïssatou en s’agenouillant devant lui et en
prenant son sexe dans sa bouche. « Attends, ma chérie, » lui dit-il, « j’ai envie de pisser avant. » Il se
met à uriner sur ma femme – fait dont il a l’habitude, invoquant sa prostate (mais je suis sûr que ça
l’excite de pisser sur une fille, le pervers !) – qui semble apprécier le traitement, s’offrant lascivement
au jet nauséabond, chaud et doré, en se caressant les seins et la chatte. Quelle salope ! « Ça y est, tu
as fini, Papa ? » dit-elle en reprenant sa fellation goulue.
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« Ma chérie, j’ai très envie de te baiser, j’ai pris du Viagra rien que pour ça, » lui prévient Régis au
bout de quelques minutes. Mon épouse n’a pas l’air surprise, en effet il lui fait le coup de temps à
autres, et elle s’exécute diligemment. Comme son érection n’est pas suffisamment dure, il ne peut
pas l’enculer, mais se contente d’une pénétration vaginale. « Bien sûr, Papa, » lui dit Aïssatou en se
retournant, « viens te faire plaisir en moi. » Il se met à la prendre par derrière, debout sous la douche.
Le pilonnage de Régis s’accélère, il est au bord de la jouissance. « Jouis en moi, Papa, vas-y ! » lui crie
affectueusement ma femme. Qu’elle est belle ! C’est à ce moment que j’éjacule, n’émettant qu’une
petite goutte dans ma main.
Régis grogne et se met à jouir dans le vagin d’Aïssatou, qui lui braille : « Oui, Papa ! Oui ! C’est ça !
Remplis-moi de ton sperme ! Baise ta chérie ! Oui ! Jouis en moi ! Inonde ma chatte, Papa ! » J’en
profite pour retourner silencieusement dans le salon, et à les attendre comme si de rien n’était. Le
bruit d’eau cesse, et je peux distinguer leur voix. « Ça t’a plu, ma chérie ? » demande Régis à mon
épouse. « Oui, Papa, » répond-elle, « mais chut, pas si fort, mon mari va entendre ! » Peu après, les
voici qui arrivent, rhabillés, tout propres et souriants.
Ma femme, radieuse, dit au revoir à son vieux avec un petit baiser sur les lèvres, et nous voici
repartis en voiture chez nous. En chemin, elle me dit : « Papa Régis a voulu me baiser sous la douche
cette fois-ci encore, mon amour. Je l’ai laissé faire, il est si seul, le pauvre. » Je joue l’innocent étonné.
Elle ajoute : « Enfin, heureusement qu’il y a l’eau de la douche pour me lubrifier. Papa Régis ne me
fait pas du tout mouiller, il me dégoûte plutôt. Si tu sentais comment il pue quand je le déshabille ! Je
ne fais ça que pour lui rendre service, parce que je lui dois bien ça. » Je n’en crois pas un mot –
Aïssatou me donnait plus l’impression d’être excitée que dégoûtée tout à l’heure avec son petit vieux
– mais je la félicite pour son sacrifice désintéressé. Qu’est-ce que je l’aime !
Troisième Vieux : Jean-Marie Massé
Un dimanche après-midi sur deux, Jean-Marie martyrise les seins de ma femme pour jouir.
« Papa » Jean-Marie est un prêtre retraité de 78 ans qui loge dans une maison de retraite assez
huppée d’Angers (Résidence La Retraite). C’est un vieil homme chauve de petite taille, intelligent, vif,
prévenant, affable et souriant, très cultivé, avec qui la conversation est un plaisir. Toujours
parfaitement valide, sa vue et son ouïe ont quand même baissé, l’obligeant à porter sonotone et
grosses lunettes. D’excellent conseil, sa chambre ne désemplit pas de visiteurs divers venus
s’entretenir avec lui, recherchant sa sagesse.
Ma femme et lui se sont connus, il y a plus de dix ans déjà, en militant dans la même association de
dialogue promouvant la paix et la non-violence, le CERDI (Centre de Rencontres et de Dialogue
Interreligieux). Ils ont fait partie du CA ensemble. Jean-Marie a été d’un grand soutien psychologique
lors du divorce douloureux d’Aïssatou, lui remontant le moral et lui montrant les fruits spirituels de
son épreuve. Sa gratitude pour lui est absolue – et la mienne également. Mon épouse et moi avons
énormément de plaisir à passer du temps avec lui, et il est devenu un véritable mentor pour nous.
C’est d’ailleurs lui qui a concélébré la cérémonie religieuse de notre mariage à l’église Sainte
Madeleine, avec l’imam d’Aïssatou, Aly Ka.
Depuis quatre ans, Jean-Marie souffre d’engorgements douloureux des testicules, lui procurant des
souffrances insupportables. Après de très nombreux examens de cette pathologie extrêmement rare
(orchiépididymite atypique aigüe), les médecins ont décrété son problème inopérable. La
masturbation – médicalement conseillée dans ce cas – ne lui suffit malheureusement pas à apaiser
son supplice, mais seulement à diminuer un peu la pression intolérable de son engorgement. Le vieux
prêtre, qui ne veut pas se gaver d’antidouleurs pour garder la tête claire, a découvert – l’inspiration
divine, sans doute – que seule une émotion forte peut le désengorger.
Connaissant bien Aïssatou, qui lui confie aisément tous les détails intimes de sa vie, Jean-Marie l’a
sollicitée pour résoudre son problème d’engorgement, ce qu’elle a promptement accepté, bien sûr.
8
Le vieux prêtre essaye d’endurer au maximum de ses forces son épreuve douloureuse – sa croix, dit-il
– mais deux semaines sont la limite supportable au-delà de laquelle il n’en peut humainement plus.
C’est ainsi que s’est fixé le rythme des visites thérapeutiques de ma femme chez lui.
Ce dimanche après-midi, c’est le jour de visite d’Aïssatou chez Jean-Marie. J’accompagne celle-ci en
voiture jusqu’à la Résidence La Retraite, où nous montons directement pour rejoindre sa chambre.
Le vieux prêtre nous ouvre en nous souhaitant la bienvenue. Nous avons plaisir à nous retrouver.
« Bonjour Papa Jean-Marie, » lui dit ma femme en l’embrassant, « comment va ton problème ? »
« Intolérable. Je n’arrive plus à dormir depuis quatre nuits. Les antidouleurs ne font plus d’effet, et je
ne supporte plus le contact du tissu, » lui répond-il. En effet, il n’est vêtu que d’une robe de chambre,
et semble ne rien porter en dessous de la ceinture.
« Je vais m’occuper de toi, Papa Jean-Marie, » dit Aïssatou, « assieds-toi pendant que je me
prépare. » Puis se tournant vers moi : « Toi aussi, mon chéri, mets-toi à l’aise. » Je vais préparer du
café dans la petite cuisine pendant que mon épouse se déshabille innocemment devant nous. Elle
enlève tout, des bottes à la perruque, ne gardant que ses bijoux, ses bas DIM-Up semi-opaques et sa
petite culotte de dentelle verte. Elle est magnifique ! « Voilà, je suis prête ! » nous annonce-t-elle
dans un sourire.
Contrairement aux autres prestations de ma femme avec André ou Régis, ici j’assiste à tout. Jean-
Marie, en tant que prêtre militant, insiste sur la transparence – il n’a rien à me cacher, l’opacité ayant
suffisamment nuit à l’Église comme ça. Je m’assois donc sur une chaise légèrement en retrait pour
profiter du spectacle, une tasse de café à la main.
Jean-Marie est assis sur le sofa, et Aïssatou s’agenouille respectueusement devant lui. Elle écarte les
pans de son peignoir pour dévoiler son pénis déjà rigide et décalotté. Son sexe est plus petit que le
mien, mais beaucoup plus dur apparemment. « Oh Papa, » lui dit mon épouse, « tu bandes déjà. »
Elle commence à le branler doucement, en prenant bien soin de ne pas toucher ses bourses. « Vas-y
Papa, tu peux y aller, je suis prête, » lui prévient-elle.
Jean-Marie, la respiration lourde, se met soudainement à gifler les seins de ma femme. Paf ! Paf ! De
ses deux mains, il lui assène de fortes claques qui résonnent dans la pièce. « Oui Papa, baffe-moi les
seins ! » encourage-t-elle le vieux prêtre qui redouble d’ardeur. Paf ! Paf ! Aïssatou accélère le
rythme de sa masturbation. « Vas-y Papa, fais-moi mal ! » l’incite-t-elle, « gifle ma poitrine ! » Paf !
Paf ! Elle sait qu’il a besoin d’une très forte émotion pour se désengorger convenablement en
éjaculant. Les claques de Jean-Marie lui font grimacer de douleur : « Aïe ! ». Paf ! Paf ! Des larmes
commencent à couler de ses yeux. Elle éclate en gros sanglots. Paf ! Paf ! Quel tableau merveilleux !
Je me caresse discrètement le sexe à travers mon pantalon.
« J’ai été vilaine, Papa, punis-moi fort ! Claque mes seins ! » réussit Aïssatou à balbutier à travers ses
pleurs, tout en continuant de branler Jean-Marie. Paf ! Paf ! Ayant desserré petit à petit ses genoux
depuis le début de son supplice, elle se retrouve maintenant les cuisses bien écartées, offrant une
vue obscène sur l’entrejambe détrempé de sa culotte masquant à peine sa vulve ruisselante. Paf !
Paf ! Elle mouille, la salope ! La respiration du vieux prêtre annonce qu’il va jouir, il frappe ses
derniers coups – Paf ! Paf ! – et s’arque pour éjaculer dans un rugissement digne d’un lion. Ses jets
de foutre aspergent ma femme, qui sanglote à n’en plus finir, le corps secoué de longs spasmes.
Qu’elle est belle ! Je jouis dans mon pantalon sans même me toucher.
« Comment te sens-tu, Papa Jean-Marie ? » l’interroge peu après Aïssatou, le visage noyé de larmes,
mais souriante. Son beau corps noir est couvert de filaments de foutre gluant et particulièrement
nauséabond. « Ah, merci Aïssatou ! Je n’ai plus du tout mal. Je crois que tu m’as fait tout sortir. Merci
pour tout ! Que Dieu te bénisse ! » lui dit-il gêné et reconnaissant. Le vieux prêtre est toujours pris de
remords pour ce qu’il a dû faire subir à ma femme pour désengorger ses testicules. Une fois calmé, il
se sent très coupable et lui demande pardon, encore et encore.
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« J’espère que tu n’as pas trop mal aux seins, Aïssatou, » lui demande plus tard Jean-Marie, une tasse
de café à la main. « Ce n’est rien, Papa, » lui répond-elle enjouée, « tu sais que j’accepte totalement
de souffrir pour que tu ailles mieux. Je te dois bien ça, Papa Jean-Marie, tu as tant fait pour moi, c’est
la moindre des choses. J’ai étudié un peu la psychologie, » ajoute-t-elle, « et je comprends bien que
le choc émotionnel qui doit te faire jouir requiert d’être à l’opposé de tes engagements moraux pour
réussir. » Elle se rhabille sans s’essuyer, enfilant directement ses vêtements sur le sperme visqueux
et putride, en plaisantant sur la torture des Saints (la torture des « seins ») chez les catholiques.
Qu’est-ce que je l’aime !
« À dans quinze jours, » nous dit Jean-Marie en nous raccompagnant à la voiture, après avoir passé
deux bonnes heures de plus en notre compagnie à partager sa sagesse. « Tu sais, mon amour, » me
confie mon épouse sur le chemin du retour, « je supporte mal la douleur. Je ne fais ça que pour
rendre service à Papa Jean-Marie. » Encore l’un de ses déniements – l’entrejambe de sa culotte
trempé de mouille, ostensiblement visible jusqu’à ce qu’elle se rhabille, prouve tout le contraire.
Quelle salope ! Je joue son jeu, et la complimente pour son abnégation. Elle pue le sperme rance.
« Je sais qu’un jour gifler mes seins ne suffira plus à Papa Jean-Marie, » continue-t-elle, « il devra
utiliser une cravache, des pinces, des orties ou même des aiguilles. Mais je suis prête pour lui,
j’accepterai toutes ses tortures pour le soulager. » Je bande déjà dans mon pantalon en espérant que
ce jour béni arrivera vite. Magnifique !

#1696317
cathy73 a écrit :moi j ai 42 ans et lui 60 ans

bravo et ne pense qu'au moment present c'est du bonheur que tu prends et que tu donne ,permet de te dire rempli ta mémoire de bon souvenirs c'est important pour la vie et vive le BONHEUR et j'ajouterai vaut mieux avoir des souvenirs plutot que des regrets................................................robert
#1696374
voir ma femme, belle blonde mure de 62 ans avec deux jeunes blacks qui la prendraient ensemble et la dévergonderai a fond pour en faire une vraie B.A.B. la voici en photo...
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#1696376
amaner ma femme en tenue de pute dans une boite black ou elle rencontrerait deux jeunes blacks qui danseraient avec elle en la pelotant outrageusement et lui roulant des pelles devant tout le monde..puis ensuite elle les suivrait dehors ou ils se feraient sucer a fond en l'obligeant a tout avaler...en fin de soirée retour a la maison avec les blacks qui la deshabilleraient dans la bagnole pour bien la baiser devant et derrière...
Enfin l''amener au bord de l'océan et la faire déambuler a poil, avec juste ses talons aiguilles et les blacks qui lui rouleraient des pelles et la peloteraient...
Je demanderai aux blacks de la faire venir chez eux pour faire le service quand ils invitent des potes a bouffer. elle devrait servir avec une tenue de soubrette cochonne et se laisser faire par les mains balladeuses et sucer les queues de ceux qui en ont envie....
canda a liké

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