- 07 oct. 2010, 06:13
#101039
Histoire du mari cocufié par son âne
On raconte qu’un homme, qui était marié, possédait un âne dont il se servait pour son travail. Sa femme était très grasse et d’une corpulence fort charnue : elle avait une vulve très grande, très fournie en chair, et excessivement large. Son mari au contraire, avait une verge petite et molle. Aussi le détestait-elle à cause des faibles dimensions qu’avait son membre, tant en longueur qu’en grosseur, et surtout parce qu’il remplissait rarement le lit conjugal. Il était assez peu vigoureux pour cette action, tandis qu’elle, avide de coït, ne s’en serait jamais rassasiée, même en s’y adonnant jour et nuit, à ce point qu’aucun homme n’aurait pu la satisfaire et qu’elle aurait tenu tête à tout le genre humain. S’il lui fût arrivé de mettre une bonne fois la main sur un homme, elle ne lui eût plus laissé retirer son membre de sa vulve, même pendant le temps que dure un clignement d’œil.
Cette femme portait toutes les nuits de la nourriture à l’âne. Comme elle faisait souvent attendre son mari, celui-ci, à son tour lui disait : « pourquoi es-tu restée aussi longtemps, ô une telle ? » elle répondait : "je me suis assise à côté de l’âne et j’ai attendu qu’il eût mangé, tellement son état de fatigue m’a causé de peine. "
Cela dura ainsi un certain temps et le mari ne soupçonnait aucun mal. Il rentrait d’ailleurs chaque soir très fatigué de son labeur journalier et allait se coucher de suite, laissant l’âne aux soins de sa femme. Or celle-ci avait pris avec cet animal l’habitude suivante, combien Dieu l’avait rendu abominable ! Lorsque arrivait l’heure de lui donner à manger, elle s’approchait de lui, lui ôtait le bât et se le plaçait sur le dos en serrant les sangles autour de son corps ; puis elle prenait un peu de son crottin et de son urine qu’elle mêlait ensemble et dont elle se frottait l’entrée de la vulve. Cela fait, elle se campait sur les pieds et sur les mains, à portée d’âne, et prenait position, sa vulve en face de lui. Celui-ci s’approchait, flairait sa vulve et, croyant avoir devant lui une bête de somme, sautait sur elle. Dès qu’elle le voyait dans cet état, elle saisissait son membre avec une de ses mains et en introduisait la tête à l’ouverture de sa vulve. Celle-ci s’élargissait de telle sorte que le membre, pénétrant peu à peu, finissait par s’y loger entièrement et provoquait l’arrivée de la jouissance.
Cette femme trouva ainsi pendant assez longtemps ses plaisirs avec le baudet. Mais une certaine nuit que son mari était endormi, il se réveilla tout à coup avec le désir de caresser sa femme. Ne la trouvant pas près de lui, il se leva tout doucement et alla à l’écurie. Quel ne fut pas son étonnement quand il la vit sous l’âne, pendant que ce dernier faisait agir sur elle sa croupe qui se levait et s’abaissait ! Il s’écria : « que signifie cela, Ô une telle ? » mais elle se dégagea avec rapidité de dessous l’âne et se prit à dire : « Que Dieu maudisse celui qui n’a pas pitié de son âne ! » « Mais enfin ! Qu’est ce que tout cela veut dire ? » Reprit le mari. « Voici ! répliqua la femme. Lorsque je suis venue apporter de la nourriture à l’âne, il l’a refusée : j’ai reconnu par là qu’il était très fatigué. Je lui ai passé la main sur le dos pour voir ce qu’il avait : il a fléchi le rein. J’ai supposé alors que c’était son bât qui était trop lourd, ce dont j’ai voulu m’assurer en l’essayant. Je l’ai donc mis sur mon dos et il me paraît excessivement lourd. J’ai trouvé l’explication de sa grande fatigue. Crois-moi, si tu veux conserver ton âne, ne lui fais plus porter de si lourdes charges ».
On raconte qu’un homme, qui était marié, possédait un âne dont il se servait pour son travail. Sa femme était très grasse et d’une corpulence fort charnue : elle avait une vulve très grande, très fournie en chair, et excessivement large. Son mari au contraire, avait une verge petite et molle. Aussi le détestait-elle à cause des faibles dimensions qu’avait son membre, tant en longueur qu’en grosseur, et surtout parce qu’il remplissait rarement le lit conjugal. Il était assez peu vigoureux pour cette action, tandis qu’elle, avide de coït, ne s’en serait jamais rassasiée, même en s’y adonnant jour et nuit, à ce point qu’aucun homme n’aurait pu la satisfaire et qu’elle aurait tenu tête à tout le genre humain. S’il lui fût arrivé de mettre une bonne fois la main sur un homme, elle ne lui eût plus laissé retirer son membre de sa vulve, même pendant le temps que dure un clignement d’œil.
Cette femme portait toutes les nuits de la nourriture à l’âne. Comme elle faisait souvent attendre son mari, celui-ci, à son tour lui disait : « pourquoi es-tu restée aussi longtemps, ô une telle ? » elle répondait : "je me suis assise à côté de l’âne et j’ai attendu qu’il eût mangé, tellement son état de fatigue m’a causé de peine. "
Cela dura ainsi un certain temps et le mari ne soupçonnait aucun mal. Il rentrait d’ailleurs chaque soir très fatigué de son labeur journalier et allait se coucher de suite, laissant l’âne aux soins de sa femme. Or celle-ci avait pris avec cet animal l’habitude suivante, combien Dieu l’avait rendu abominable ! Lorsque arrivait l’heure de lui donner à manger, elle s’approchait de lui, lui ôtait le bât et se le plaçait sur le dos en serrant les sangles autour de son corps ; puis elle prenait un peu de son crottin et de son urine qu’elle mêlait ensemble et dont elle se frottait l’entrée de la vulve. Cela fait, elle se campait sur les pieds et sur les mains, à portée d’âne, et prenait position, sa vulve en face de lui. Celui-ci s’approchait, flairait sa vulve et, croyant avoir devant lui une bête de somme, sautait sur elle. Dès qu’elle le voyait dans cet état, elle saisissait son membre avec une de ses mains et en introduisait la tête à l’ouverture de sa vulve. Celle-ci s’élargissait de telle sorte que le membre, pénétrant peu à peu, finissait par s’y loger entièrement et provoquait l’arrivée de la jouissance.
Cette femme trouva ainsi pendant assez longtemps ses plaisirs avec le baudet. Mais une certaine nuit que son mari était endormi, il se réveilla tout à coup avec le désir de caresser sa femme. Ne la trouvant pas près de lui, il se leva tout doucement et alla à l’écurie. Quel ne fut pas son étonnement quand il la vit sous l’âne, pendant que ce dernier faisait agir sur elle sa croupe qui se levait et s’abaissait ! Il s’écria : « que signifie cela, Ô une telle ? » mais elle se dégagea avec rapidité de dessous l’âne et se prit à dire : « Que Dieu maudisse celui qui n’a pas pitié de son âne ! » « Mais enfin ! Qu’est ce que tout cela veut dire ? » Reprit le mari. « Voici ! répliqua la femme. Lorsque je suis venue apporter de la nourriture à l’âne, il l’a refusée : j’ai reconnu par là qu’il était très fatigué. Je lui ai passé la main sur le dos pour voir ce qu’il avait : il a fléchi le rein. J’ai supposé alors que c’était son bât qui était trop lourd, ce dont j’ai voulu m’assurer en l’essayant. Je l’ai donc mis sur mon dos et il me paraît excessivement lourd. J’ai trouvé l’explication de sa grande fatigue. Crois-moi, si tu veux conserver ton âne, ne lui fais plus porter de si lourdes charges ».