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Dans cette section dédiée aux fantasmes du candaulisme et du cuckolding, nous vous invitons à partager avec la communauté du forum vos envies et aspirations les plus secrètes en matière d'épanouissement sexuel au sein de votre couple.

Le candaulisme et le cuckolding, bien que tabous et méconnus, représentent pour de nombreux couples un puissant stimulant de leur vie intime et amoureuse. Il s'agit d'explorer, au-delà des sentiers battus de la sexualité à deux, de nouveaux horizons riches en sensations fortes et en plaisir recherché.

Que ce soit le fait de voir son conjoint avec un ou une autre partenaire, de l'imaginer dans les bras d'un amant fictif, de partager vos ébats avec un voyeur consentant ou d'assister en simple observateur aux étreintes de votre moitié avec un tiers, les variations possibles offrent un vaste champ d'expression aux penchants plus ou moins exhibitionnistes de chacun.

Les membres de notre communauté sont invités à s'exprimer sans tabou ni retenue sur les scénarios, images mentales ou souvenirs qui titillent leur libido et alimentent leurs jeux de séduction à deux. Qu'il s'agisse de confidence, de témoignage, de questionnement ou de recherche de conseils avisés, cet espace se veut un lieu d'échange privilégié sur ces pratiques parfois mal comprises.

N'hésitez pas à partager avec nous, dans le détail suggestif ou cru de votre choix, ces petites « perversions » intimes qui subliment votre complicité de couple et boostent votre épanouissement sexuel. Car, il faut bien le reconnaître, le fantasme reste le meilleur moteur d'une sexualité épanouie !
#1565980
Depuis quelque temps j'ai un fantasme...
Choper un couple de cambrioleur la nuit dans mon entreprise et les soumettre à un petit chantage...
L'homme est attaché et je profite de sa femme devant lui mais aussi dans la pièce d'à coté pour qu'il entende tout...
Hier soir, j'ai écrit ce fantasme
Si des couples se reconnaissent et sont intéressés, mp moi
#1565982
Deux ombres passent dans la nuit noire de l’été. Traversant la cours pavée, elles s’avancent vers une fenêtre ouverte.
- Allez, entres par la fenêtre espèce de froussard dit une voix féminine.
- Oui j’y vais Nadia. Ne me pousse pas comme ça répondit une voix masculine.
- C’est ton idée Yann alors t’y vas et vite !
Enjambant l’appui de fenêtre, Yann entra dans le bâtiment et alluma sa torche électrique pour évaluer son environnement, semble-t-il une salle de réunion. Il fit signe à Nadia de le rejoindre avant de continuer son inspection. Rien de précieux dans cette salle, pas même un ordinateur portable.
- Alors, t’as trouvé quelque chose ? dit Nadia une fois dans la salle.
- Non, Rien ici, il faudrait aller explorer le reste du bâtiment.
- Bah alors qu’est ce que tu attends ! dit-elle éclairant Yann de sa lampe torche. Puff, il fait chaud sous cette cagoule.
Nadia l’enleva. Apparu une jolie brune aux cheveux mi-long et aux traits fins. Elle rajusta sa tenue noire moulante de monte-en-l’air et examina elle-même la salle où elle se trouvait.
- Rien de bien intéressant en effet…
Elle regarda autour d’elle et écouta attentivement les bruits. Seuls les bruits que Yann faisaient s’entendaient. Nadia avait longuement hésité avant de suivre Yann mais cette idée de cambrioler des entreprises l’avait enjouée et excitée. Ces frissons et cette petite peur en elle l’électrisait. Il faisait vraiment chaud ici...
Yann avait déjà ouvert la porte de cette salle et partit à la lueur de sa torche à la recherche de quelque chose de valeur dans ce bâtiment. L’exploration du rez-de-chaussée ne donna rien. Il n’avait découvert qu’un autre bureau avec un PC et les toilettes. Nadia le suivait du regard et lui montra l’escalier allant au 1er étage. Sans dire un mot devant cet ordre implicite, il s’y dirigea et monta prudemment.
A l’étage se trouvait un grand plateau d’au moins 120m² avec pleins de postes de travail. Nadia suivait dans l’escalier et regarda Yann faire le tour des bureaux. D’abord hésitant puis de plus en plus habillement, Yann avançait à pas feutré, éclairant avec parcimonie chaque emplacement et fouillait bureaux et tiroirs. Nadia observa la cours par les fenêtres. Rien à l’horizon. Un bruit plus fort que d’autres lui fit tourner rapidement la tête. Yann venait de claquer un tiroir. La tension montait en même temps que son excitation. Nadia serra les cuisses, espérant ainsi calmer ses envies. Attendant maintenant en haut des escaliers, Yann revint vers elle avec seulement un netbook dans les mains.
- J’ai trouvé que ça, le reste c’est que des postes fixes et il n’y a rien d’intéressant dans les tiroirs.
- Toi et tes idées... Ce n’est pas avec la revente de ce minus truc que tu vas rembourser tes dettes ! Toi et tes conneries ! T’es vraiment nul.
Yann rangea sa trouvaille dans son sac-à-dos et baissa la tête, penaud, et passa devant Nadia. Elle l’aimait ainsi, soumis et obéissant. Et ça l’excitait de savoir qu’elle avait ce pouvoir sur lui. Nadia était déjà toute chaude de la tension du moment mais là, elle n’en pouvait plus.
- Arrêtes toi ! J’ai envie maintenant alors allonges toi ici !
- Maintenant ? dit-il l’air apeuré regardant autour de lui en dégrafant son pantalon.
- Oui maintenant ! Mais arrêtes de rêver et ne penses même pas sortir ta petite nouille. Enlèves ta cagoule et allonges toi ici ! Dépêches toi !
Yann retira sa cagoule et s’allongea rapidement par terre sur le dos, plaça ses bras le long de son corps et attendit. Nadia l’enjamba et dos à lui, baissa son pantalon et son string jusqu’aux chevilles, s’agenouilla, posa sa chatte toute humide sur le visage de Yann. Elle se frotta délicieusement contre son nez, s’excitant ainsi quelques minutes.
- Tu vois comme je suis mouillée, alors lèches moi bien partout !
Yann se mit en action et fouilla du bout de sa langue ce sexe humide offert. Il titilla tout d’abord le clitoris de Nadia pour bien l’exciter puis s’attaqua à lécher les grandes lèvres puis les petites lèvres et fini par enfoncer sa langue dans ce temple d’amour coulant de désir. Nadia gémissait par petits cris. Yann poussa son léchage jusqu’à son anus qu’il savait palpitant et le força résolument.
- Oui j’aime ça comme ça ! Après lèches ma chatte comme un chien !
Yann redoubla d’efforts sous les encouragements de Nadia. Il accéléra le titillement de cette rondelle puis plaqua sa langue à plat conter la chatte ouverte de Nadia et la lapa frénétiquement jusqu’à ce qu’elle jouisse.
Nadia se releva, se rhabilla et regarda Yann, son visage tout humide de son nectar.
- Allez vient, on se casse avant que ça tourne mal.
Yann se releva, s’essuya son visage et la suivi dans les escaliers, les descendit prestement et se cogna contre Nadia, figée. La porte d’entrée était ouverte et une personne se découpait dans la lumière de l’encadrement. Les spots du hall d’entrée s’allumèrent dévoilant un petit homme barbu et armé d’un fusil à pompe. Nadia et Yann frissonnèrent.
- J’en étais sûr. J’avais vu de la lumière par intermittence, mais là, j’ai fait une belle prise dit l’homme en baissant son fusils vers les 2 cambrioleurs.
- Nous n’avons rien pris Monsieur, et nous avons eu tord. Laissez nous partir s’il vous plait dit Yann en s’avançant devant Nadia dans un acte de courage irraisonné.
- Ah bon ? renchéri le propriétaire. Et vous n’avez rien dans votre sac-à-dos alors ? Montrez-moi son contenu !
- D’accord, d’accord intervint Nadia. Il y a un petit netbook blanc dans ce sac. On vous le rend et on s’en va.
- Non, non ma jolie. Vous allez entrer dans ce petit bureau. Allez ! ordonna-t-il en désignant la porte du petit bureau du rez-de-chaussée avec son canon.
Nadia et Yann obéirent un peu effrayés et passèrent devant l’homme avant de rentrer dans le bureau désigné.
- Asseyez-vous et ne bougez pas ! L’homme chercha dans un tiroir et lança à Nadia 4 petites cordes. Allez, attaches les mains de ton complice dans son dos et ses chevilles au fauteuil.
- Mais non, vous êtes fou, je vais rien faire du tout se rebella Nadia.
- Oui n’importe quoi dit Yann.
- On fait ce que je dis et c’est tout ! hurla le propriétaire les menaçant de son arme.
Nadia prit peur et obéit contre sa volonté. Elle ligota fermement les mains de Yann dans son dos puis attacha ses chevilles aux pieds du fauteuil dans lequel il était assit.
- Bien. Maintenant asseyez vous dans l’autre fauteuil ordonna l’inconnu à Nadia.
Elle s’assit comme demandé et se laissa attacher les mains et les pieds comme elle avait elle-même fait sur Yann juste avant. Une fois les cambrioleurs attachés, l’homme se redressa et rigola. Il sortit son téléphone portable.
- Bon, maintenant appeler la gendarmerie. Je connais le lieutenant-colonel. On va rire.
- Non Monsieur. Ne faites pas ça dit Nadia, un trémolo dans la voix.
- Pourquoi je ne ferai pas ça. Vous êtes des voleurs et y’en a trop en liberté dans ce pays alors je vais porter plainte conter vous deux.
- Non. Nadia criait presque. Non, on avait besoin d’argent pour certaines dettes qu’a contracté mon mari et son idée était de prendre un ou deux trucs dans des entreprises. On a vu une fenêtre ouverte alors mon mari m’a décidé et voilà…
- Ah oui. Et toi, t’as quoi à dire ? C’est toujours ta greluche qui parle ?
- Moi, je confirme que l’idée vient de moi et qu’elle dit la vérité argumenta Yann d’une petite voix.
- Ouais… Et alors. Je vais quand même prévenir les flics. Il prit son téléphone et sortant du bureau, composa un numéro. Oui bonsoir Dimitri c’est John. Tu pourrais faire un tour à mon bureau maintenant avec ton équipe ? Ah bon, pas avant ? OK rappelles moi dans une demi-heure. A tout de suite.
Revenant dans le bureau, il dévisagea ses prisonniers. D’abord Yann, brun cheveux courts dans la 40ène, bien bâti et un regard marron fuyant. Puis Nadia, brune cheveux mi-long dans la même tranche d’âge, belle plante dans sa tenue moulante mettant en valeur les courbes de sa silhouette féminine.
- On ne va pas rester comme ça 30 minutes, attachés comme des criminels demanda Nadia.
- Mais si ma belle. Vous êtes des voleurs donc des criminels. Regarde ton mec. Il le sait et il est blanc comme un linge.
- Faut pas exagérer Monsieur, c’est notre premier vol, oui, c’est vrai mais on n’est pas des criminels, récidivistes ou meurtriers. Et on ne mérite pas d’aller en prison. En plus, on a une famille, des enfants…
- Fallait y penser avant ma cocotte. Maintenant, moi et mon fidèle fusil on vous a pris la main dans le sac et vous êtes là, à ma pogne, avec mon ordi dans votre sac et vos empreintes partout. Alors, j’ai le flagrant délit, la preuve et vous m’avez donné le mobile, vos dettes. Vous êtes fait !
Yann devint encore plus blanc et Nadia perdît de sa superbe et lança à son mari un regard si noir qu’il baissa la tête. Ils étaient coincés et la faute en revenait à son mari. Qu’allaient-ils devenir s’ils étaient arrêtés et condamnés pour vol. Qu’allait dire notre famille, nos amis…

Nadia tenta une nouvelle approche.
- Monsieur, je ne pense vraiment pas mériter d’être arrêter et d’aller en prison. Pour nous et nos enfants, j’admets avoir dépassé la limite à cause de ce mari endetté mais on peut se racheter, vous dédommager… son air attristé lancé vers leur tortionnaire disait la même chose…
- Mais enfin Nadine…
- Toi tais toi !! dit-elle à la volée
Le propriétaire éclata de rire et enjoignit Nadia de continuer
- Me dédommager, ça serait drôle ça… surtout pleins de dettes comme vous êtes…
- On n’est pas sans rien. Nous avons une voiture et pleins de bibelots magnifiques chez nous, des bibelots venant des 4 coins du monde…
- T’as des photos ? demanda John en lui coupant la parole.
- Oui dans nos portables et des photos papiers dans mon portefeuille.
John les fouilla, s’attarda quelque peu sur les formes généreuses de Nadia, et pris les portables ainsi que les portefeuilles pour les examiner.
Rien d‘intéressant dans celui de Yann, même pas une photo de ses enfants. En revanche, celui de Nadine était plus fourni en effet. Des photos de ses 2 jeunes garçons et aussi de son intérieur.
- Tu crois que ça m’intéresse des conneries comme ça ? C’est juste bons pour des bourges de Versailles…
Nadia changea aussi de couleur, s’approchant du blanc de son mari.
- Bah oui, maintenant j’ai aussi votre nom et votre adresse, Monsieur et Madame Duronet, place de la victoire. John rigola un bon coup. Bon, qu’y a-t-il dans ses iPhone. Il parcouru rapidement le répertoire de Yann ainsi que son album photos. Rien d’extraordinaire mise à part quelques photos de sa femme assez provocantes. John se les envoya rapidement en MMS et effaça ses traces. Celui de Nadia... Il ne contenait que des photos de ses enfants ou d’amis. John allait l’éteindre quand il vit un autre répertoire. Il contenait une quinzaine de photos de Nadia, totalement dénudée, suçant un homme qui n’était pas Yann… intéressant ça… John fit la même manip qu’avec le portable de Yann, il s’envoya ce dossier sans oublier, encore, d’effacer ses envois. Il reprit comme si de rien était
- Bon sans rire, il se fait tard, je vais rappeler les gendarmes pour voir quand ils passeront vous arrêter que je puisse renter…
- Oh non Monsieur supplièrent en cœur le couple.
Avec un sourire en coin, John les regarda l’un et l’autre puis dit brutalement « Alors, tu fais des jolies photos de ta femme avec ton portable ? »
Yann, penaud, parla très bas
- Oui, en petite tenue…
- Ah oui… joli brin de femme
- Salaud, s’écria Nadia, tu m’avais dit les avoir effacées.
- Du calme l’allumeuse ! ordonna John à Nadia.
- A ce que j’ai vu sur les photos dans ton portable, petite salope, vous aimez bien sucer une grosse bite avant de vous faire prendre en levrette, dis John. Se tournant vers Yann, il continua. Oui votre femme a de très belles photos d’elle et d’un autre homme et ils se sont bien amusés termina t-il en rigolant.
- Cocu ! Cria Nadia
- Je sais dit Yann. Elle m’a obligé à prendre ces photos moi-même alors qu’elle se donnait à un autre homme devant moi.
- Ha ah, la salope et le cocu, ironisait John en les regardants tour-à-tour dans les yeux.
Yann baisa immédiatement les yeux alors que ceux de Nadia n’exprimaient plus de la colère mais de l’envie.
- Bah oui, vu ta toute petite bite, je suis obligé d’aller voir ailleurs !
- Allons allons, voilà ce que je vous propose. John parlait lentement et regardant le couple. Je vais rappeler le lieutenant-colonel pour lui dire de ne pas passer. En contrepartie, Yann restera attaché. Quant à vous Nadia, je vous détacherai et vous serez à moi corps et âme pendant une heure, ici et dans la pièce d’à coté. Nous laisserons les portes de chaque pièce ouvertes et Nadia sera très expressive vocalement et vous décriera chaque action que je lui ferai subir, quand elle le pourra bien sûr, fini John en regardant Yann dont les yeux plongèrent immédiatement vers le sol. Cela vous convient il pour retrouver votre liberté ?
Nadia, regard dans le vide, ne réfléchit que brièvement à la proposition. Si elle souhaitait s’en sortir, elle n’avait pas le choix. Pour elle, sa famille et ses enfants, elle s’abandonnera à cet inconnu… Ca calmera peut-être la chaleur qui couvait entre ses cuisses. Et puis humilier encore une fois son mari ici et maintenant n’était pas pour lui déplaire.
- Oui j’accepte dit-elle à haute voix.
- Répondez à une question avant. J’ai vu les lumières bouger au premier étage puis elles sont restées fixes pendant 5 minutes avant que vous redescendiez. Que s’est-il passé ?
Pour la première fois, Nadia rougie.
- Heu… La situation m’avait excitée. J’ai ordonné à cette mauviette de s’allonger par terre pour que je puisse m’assoir sur son visage et qu’il puisse me lécher correctement.
- Oui je vois… cochonne à tout moment hein, dit John en souriant. Et pourquoi pas un bon coup de queue, c’est plus pratique, non ?
- Avec sa nouille ? Vous voulez rire ? Il n’y a rien à ressentir tellement elle est petite
- Elle est si petite que ça ? Montrez-moi.
John fit le tour de Nadia et détacha ses mains de l’arrière du siège. Elle se leva et frictionna ses poignets rougis par la corde. Elle tourna la tête et sourit à John puis se dirigea vers Yann et se mis à genoux.
- Alors mon chou, on va montrer ta petite nouille, dit-elle souriante.
Yann ne broncha même pas quand elle ouvrit sa braguette, y mis sa main et chercha. Elle en sorti un petit bout de chair, minuscule à vrai dire
- Ah oui effectivement. Ce n’est pas très engagent je comprends. Et en érection ça donne quoi ? demanda John.
- Le double... 5cm flasque et 10cm en érection à tout cassé… Vous ne voulez pas que je le suce quand même ? s’indigna Nadia
- La sienne non… mais la mienne oui.
- Alors approchez de moi.
John fit trois pas et se retrouva au niveau de Nadia. Elle tendit les mains vers sa braguette qu’elle descendit et, comme quelques secondes auparavant, y mis sa main et chercha dans le caleçon l’objet de son désir. Elle en sorti une queue comme elle aimait, pas encore très grande certes mais avec beaucoup de potentiel. Nadia ouvrit la bouche et commença à la sucer avec application. John appréciait ce traitement et s’empara de la tête de Nadia fermement, impliquant un mouvement de va-et-vient et bien enfoncer sa queue dans les profondeurs de sa bouche. Nadia toussa.
- Hum, qu’est ce qu’elle est bonne.
- Oui hein. Et ça a l’air de plaire à ton cocu de mari. Regardes il a un petit bâtonnet qui dépasse de sa braguette ironisa John.
Effectivement, Yann regardait sa femme tenant la queue de John. Elle est d’une taille raisonnable. Sa queue à lui était en érection et devait bien culminer à 9cm. Il poussa un soupir de désir et d’envie. John ria.
- Ta femme suce bien mon cocu, j’adore ça. Devant Yann, John attrapa fermement les cheveux de Nadia et tira dessus pour qu’elle avale entièrement ça queue. Son gland butait au fond de sa gorge.
- Elle se fait bien baiser la bouche ta salope, ironisa John. Allez maintenant à poil salope !
Même si elle avait accepté de se donner pour sa liberté, elle hésita un instant puis se décida à commencer à s’effeuiller. Enlevant son sweat puis son pantalon, elle se dandina en sous vêtement.
- Allez on continue insista John
Regardant furieusement son mari, Nadia dégrafa son soutien-gorge et fit glisser son string sur le sol. Nue comme un vers devant le propriétaire, elle attendit l’ordre suivant. John s’approcha d’elle, caressa son corps, ses fesses pour remonter à ses seins qui palpa fermement, pinça et tira les tétons durcis sous l’excitation.
- Penches toi contre le bureau et montres nous ton cul... Lève le bien. Nadia s’exécuta. Oui très bien comme ça petite salope. Toi, maintenant lèches lui bien ses orifices. John poussa Yann sur son siège à roulette, pris sa tête et colla son visage dans le cul de sa compagne.
- Lèches bien, cocu ! Yann s’activa fortement à lécher la rondelle de sa femme puis descendis vers sa fente.
John contourna le bureau et orienta la tête de Nadia pour remettre sa bite au chaud. Il prit sa main et la mis sur ses couilles.
- Fait moi jouir et aval tout mon jus !
Nadia branla et suça énergiquement la queue de John alors que son mari lui bouffait littéralement le cul. Elle aimait sentir une bite en elle, quelque soit l’orifice pris. Elle senti la queue grossir et frémir dans as bouche, prémisse à l’éjaculation. Serrant affectueusement les couilles qu’elle malaxait, elle redoubla d’ardeur en aspirant cette queue et pris plusieurs giclées de sperme bien chaud. Elle avala tout et ressorti la queue pour bien la nettoyer de sa langue.
- Très bien salope, persifla John. Yann recule toi maintenant. John poussa Yann dans le coin de la pièce d’un coup de pied dans le siège à roulettes. Allez ma petite, on passe à coté rien que tout les deux.
- Attendez, j’ai fait tout ce que vous vouliez, maintenant, on peut partir... lança Nadia
- Non, non. Tu as accepté d’être à moi une heure entière… Va à coté, et tu décrieras tout ce que je vais te faire à ton cocu à petite bite.
John ouvrit la porte et poussa Nadia nue vers l’autre pièce. Elle fila devant, entra dans la grande salle et se retourna vers John.
- Je laisse la porte ouverte pour qu’il entende tout. Restes comme ça et caresses toi pour moi.
Ses mains parcouraient son corps, ses seins, ses cuisses. Une s’arrêta entre ses cuisses et l’autre remonta pour attraper un téton qu’elle dira un peu. Elle se mordit la lèvre, s’appuya ses fesses sur une table et écarta ses cuisses pour s’enfiler un doigt bien devant John. Elle prenait du plaisir à s’exciter et s’exhiber devant son tortionnaire.
- Racontes à ton cocu ce que tu fais ! Racontes tout !
- Je me caresse et tire sur mes tétons. Je suis en train d’écarter les jambes et je me doigte devant un inconnu. Ca m’excite. Je me mets plusieurs doigts. Hum… je descends et tourne autour de mon cul. Hum, j’y ai mis un doigt. Il entre et sorts, il tourne dans mon fondement.
- C’est bien dit John. Maintenant retourne toi et penches toi sur une table. Nadia obtempéra.
- Je me retourne et me penche sur la table. Je sens les mains de John sur mon corps, sur mon cul. Il m’a attrapé fermement d’une main et me caresse la chatte de l’autre. Il descend entre mes cuisses, caresses mon clito.
Oui j’adore ça, il accélère, ah c’est si bon, j’ai le clito tout dur, tout en feu, il continu de me le branler frénétiquement… haa trop trop bon oui encore haaam
- C’est bien ma salope, maintenant écarte bien tes fesses. Oui comme ça… mais t’es trempée, rigola John
- J’écarte mes fesses avec mes mains. Je sens John qui fouille ma chatte, il introduit plusieurs doigts et force l’entrée. Oui, il veut mettre encore un doigt… ça fait quatre doigts en moi, hum c’est bien, oui, encore… arf, je sens qu’une main entière me force, m’écarte si bien ma chatte de salope, oui hamm, oui elle est entrée en moi, elle me défonce la chatte, ses va et vient me font grimper dans les tours, c’est si bon de sentir quelque chose en soit.
Ah, la main est sortie de ma chatte. John caresse mon cul avec ses doigts tout gluant de ma mouille. Il vient vers moi et je le vois qui bande dur. Ah il vient de mettre un doigt dans mon cul, et un deuxième… il dilate mon petit anus, j’aimmmm mmm mmm
- Elle ne peut plus parler, elle a ma bite dans la bouche mais je continue à dilater son cul pour y mettre ma grosse bite. Je dis grosse comparé à ton vermisseau qu’elle ne doit même pas sentir.
- Je viens de lui sucer sa queue dit Nadia. Il met un préservatif sur sa belle queue. Au moins, j’ai eu quelque chose à sucer. Là je sens qu’il a mis son gland contre mon cul. Il pousse pour m’enculer. Oui j’a envie qu’il me prenne le cul et je pousse pour l’aider à me prendre mon cul. Ah il est en moi et commence à me pistonner le cul. Je sens bien sa bite en moi. Oui défonces moi comme ça. Oui il me prend bien en serrant mes fesses… ouuiii encore, plus fort… ah humm. Il a sorti sa queue et vient vers moi pour que je le finisse dans ma bouche. Je l’attrape et le suce à fond.
- Oui finis moi, prends tout mon jus salope !
Après avoir bien jouis et s’être fait nettoyer sa queue, John dit :
- Toi restes ici et bouges pas. John reviens vers Yann dans l’autre pièce… Elle a tout pris en bouche et elle aime ça tu sais cocu. Ta femme aime la bite et tu ne peux même pas la satisfaire… John pousse Yann vers sa femme qui n’a pas bougé, cul levé et chatte béante.
- Nettoies là avant qu’elle se rhabille, elle a de la mouille partout. Lèches bien sa chatte et son cul, qu’elle soit bien propre.
Yann s’appliqua à bien tout lécher. John claqua les fesses de Nadia
- Allez, va te rhabiller à coté, détaches ton cocu et barrez vous !
Nadia se redressa sans rien dire, alla à coté, se rhabilla rapidement, revient détacher son mari et partir ensemble dans un silence complice.

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