- 25 juin 2014, 17:50
#1611276
Sa femme et lui, c’était l’histoire d’amour parfaite. Une rencontre à dix-huit ans avec une blonde ravageuse et angélique, un mariage à vingt ans et puis une vie sexuelle épanouie, libertine, perverse, enfin de quoi faire rêver l’être humain moyen qui les regardait toujours avec envie.
Il faut dire que Murielle est belle avec ses cheveux d’or et sa peau claire. Son visage de gamine dans un corps de femme plus mure. À dix-huit ans déjà elle donnait l’impression d’avoir un corps très légèrement marqué par les mains des autres. C’est ce qui la rendait excitante m’a t’il dit un jour: son corps semblait fait pour être touché autant que regardé. Abandon et fermeté.
Tout était parfait. À chacun des désirs de son homme les plus pervers, elle apportait une réponse plus perverse encore. Elle commandait, choisissait les moments où ils faisaient l’amour et les moments où ils baisaient, puis l’usure aidant ,elle choisissait les jours et enfin elle s’est mite à ne plus rien choisir du tout. Son homme essayait toutes les tentatives d’approche possibles et imaginables, le matin, le soir, romantiques ou violentes, mises en scène ou improvisées, plus rien n’y faisait, il devenait une figure imposée. Elle ne le rejetait pas toujours mais il ne sentais plus dans ses yeux le désir qu’il y trouvais autrefois, et cette indifférence le rendait malade si bien que pour ne plus souffrir Jean son homme, à trouvé une parade, d’acteur dans la sexualité de sa femme, progressivement, et malgré lui, inexorablement, il c’est transformé en voyeur.
Les rares fois où ils faisaient l’amour, il lui demandait, il la suppliait, de se caresser, comme pour ne plus avoir à la toucher, et il eu une première fois elle résistait. La garce ne supportait pas de ne pas diriger les opérations. La nuit, il la touchait dans son sommeil puis Il fermait les yeux pour qu’elle se croie seule en espérant qu’elle le trompe avec elle-même. Mais, à chaque fois, au moment d’en venir aux mains, elle s’arrêtait comme prise en faute.
Jean s’humiliait à se masturber la nuit alors qu’il la savait éveillée, " Tu ne veux pas de moi, je me prends seul" pensait-il…
Puisqu’elle ne jouissait plus de lui, alors Jean la rêvais jouissant d’elle-même, puis avec le temps, jouissant d’un autre. Pas une vraie personne mais un anonyme le plus différent de lui même possible. Un mec, un vrai, pas lui. Il rêvait comme un masochiste qui se fait mal volontairement.
Il était soumis, c’est comme ça que moi même j’ai commencé à y prendre plaisir… moi leurs amis, celui que Jean rapportait tous. Moi c’est Philippe…
Sa domination, c’était son indifférence, sa soumission c’était son désir incontrôlable. Tout cela baignait dans une atmosphère quotidienne sans aspérités, dans la confiance mutuelle d’un amour presque fraternel.
Et puis un incident est intervenu, psychologiquement, certainement. Jean n’eu plus de moyen physique pour ce satisfaire, cela ne marchait plus. La déroute pour cette homme avec un telle parcours ostentatoire .Il n’en parla même pas à Murielle, mais à moi son meilleur amis, l’ami du couple. Notre discussion de cette soirée là était ciblée sur le fait de prendre la décision d’avoir un recours à un spécialiste, mais à quoi bon, il réfutait cette idée la.
Trois mois se sont écoulés depuis la révélation des problèmes d’érection de Jean. Trois mois qu’il n’est plus capable de faire l’amour à sa femme. Murielle avait par contre, appris à compenser, d’après Jean, elle se caressait, il avais fais une découverte, pas par hasard, un Toys sans connaître son existence derrière une pile de drap, d’après Jean, il portait sur lui les odeurs de sécrétion de sa femme. Il comble les faibles exigences de Murielle, ai-je penser, mais à sa nervosité croissante de celle-ci qui apparaissait à quelques pas de là, en surplomb de la maison de temps en temps, puis vint vers nous pour me dire bonjour, sa chemise trop grande, je pouvais distinguer les pointes de ces seins arqués se frottant par intermittences contre le tissus …
Jean me parla plus directement, longtemps, sans tabous à me dire qu’elle a besoin de nourritures sexuelles plus consistantes.
Vers qui se tourner, me disait-il ? Un amant ? Son subconscient machiste y répugnait. La laisser utiliser une queue en état de marche ? Il ne pouvait s’y opposer, mais il refusait d’être écarté. Il acceptait l’idée qu’elle prenne du plaisir entre les bras… non, pas entre les bras, sur la verge, la bite d’un autre homme, mais à condition d’être présent et de participer à sa jouissance. Ouais !!! C’étais bien joli, mais comment faire ? Rechercher sur Internet ? Trop peur de tomber sur des arnaqueurs. Plus le temps passe, plus il est urgent de trouver une issue. Il arrivait même à se convaincre qu’un amant serait la moins mauvaise solution.
Et puis Murielle arriva de nouveau vers nous, me demandant de rester à diner avec eux, les mots avaient sonné comme un ordre, le ton employé bien différent… Déjà la tenue avait changé, elle portait une robe légère, très près du corps qui arrivait au-dessous des genoux, mais décolletée au maximum, tant en profondeur qu’en largeur. Question de ça, sa poitrine était bronzée. Elle se tenait très bien sans soutif, les auréoles de ses tétons se distinguaient sous le tissus fin. Ce tableau aurait fait loucher pas mal de monde si cela avait été le cas. En plus, lorsqu’elle se penchait un peu en avant (et elle trouvait souvent un prétexte pour le faire) de côté on voyait son sein entièrement nu, mamelon et téton compris. Cela devenait gênant, surtout vis à vis de Jean. Une musique d’ambiance se fit entendre…
Je pris place dans le fauteuil en face et admirai le spectacle qui m’était offert bien malgré moi. Murielle était très vaporeuse, le manque de marque sur ces anches ne faisait aucun mystère de sa totale nudité, tant elle épousait les formes de cette déesse.
L’alcool, la décontraction, ils me parlaient de choses intimes du couple devant elle, Jean finit même par poser une main sur la cuisse de sa femme, puis au fur et à mesure des mots, la remonta sous le bas de sa robe. Murielle le laissait faire sans réagir et continuait à converser et sourire, sa posture devint presque indécente par sa manière d’ouvrir les cuisses aux caresses. J’en aurais rêvé, si j’avais pensé un jour assister à ça. C’était juste des histoires qu’on se racontait sur l’oreiller, une manière de rechercher une excitation spéciale, offrant ainsi de quoi exciter largement ma libido. La scène a duré, duré… J’ai fini mon verre, trouvant mon whisky pas assez alcoolisé, j’en ai pris un autre. Les doigts de Jean glissés au cœur du brasier, s’activaient d’une drôle de façon come s’il tirait sur une cordelette invisible, d’avant en arrière, mais il était heureux d’avoir le droit exceptionnel de cette activité, pensant mettre à son profit l’humeur radieuse de la femme de sa vie. Elle prenait même si peu de précautions que je ne pouvais masquer mon regard dirigé sur son entrecuisse. Pour parfaire l’excitation, ses seins aux pointes durcies cherchaient à percer la soie de sa robe.
Envahi par l’excitation de la voir si belle et épanouie, envahi par son nombrilisme… et son amour tout de même, il lui prenait la main tendrement pour… quand tout à coup, sa femme la retire prestement et se redresse du haut de ses grands cheveux
Et puis le charme s’est arrêté ! Il a glissé quelques mots à l’oreille de sa femme. Elle m’a regardée, elle goûte sans honte à cette situation si particulière. Il y a eu comme une minute de silence (enfin, silence dans ma tête !), car la musique continuait.
Je venais de prendre conscience, et ce fut presque un choc, de l’effet que Murielle pouvait provoquer. Sans oser vraiment y penser, je me disais que cet homme, mon ami, fort élégant par ailleurs, avait du l’observer, l’imaginer libre, projeter un plan, sans doute ressentir des palpitations érectiles en sentant sa femme si épanouie à ses côtés, curieusement seule. Cette pensée me troubla vraiment...
Il est vrai que elle avait de quoi ne pas laisser indifférent.
Assez réservée, mais souriante, elle est de celle qu’on n’oublie pas physiquement. De taille moyenne, elle a des yeux verts sublimes et un corps bien proportionné.
Je me metais à adorer son ventre plat, ses seins fermes, et surtout ses hanches qui ondulent quand on imagine la prendre, tout en étant bien fermes et bien courbées. C’est que toute volonté d’inhibition ou de protection était abolie.
A suivre…
Sa femme et lui, c’était l’histoire d’amour parfaite. Une rencontre à dix-huit ans avec une blonde ravageuse et angélique, un mariage à vingt ans et puis une vie sexuelle épanouie, libertine, perverse, enfin de quoi faire rêver l’être humain moyen qui les regardait toujours avec envie.
Il faut dire que Murielle est belle avec ses cheveux d’or et sa peau claire. Son visage de gamine dans un corps de femme plus mure. À dix-huit ans déjà elle donnait l’impression d’avoir un corps très légèrement marqué par les mains des autres. C’est ce qui la rendait excitante m’a t’il dit un jour: son corps semblait fait pour être touché autant que regardé. Abandon et fermeté.
Tout était parfait. À chacun des désirs de son homme les plus pervers, elle apportait une réponse plus perverse encore. Elle commandait, choisissait les moments où ils faisaient l’amour et les moments où ils baisaient, puis l’usure aidant ,elle choisissait les jours et enfin elle s’est mite à ne plus rien choisir du tout. Son homme essayait toutes les tentatives d’approche possibles et imaginables, le matin, le soir, romantiques ou violentes, mises en scène ou improvisées, plus rien n’y faisait, il devenait une figure imposée. Elle ne le rejetait pas toujours mais il ne sentais plus dans ses yeux le désir qu’il y trouvais autrefois, et cette indifférence le rendait malade si bien que pour ne plus souffrir Jean son homme, à trouvé une parade, d’acteur dans la sexualité de sa femme, progressivement, et malgré lui, inexorablement, il c’est transformé en voyeur.
Les rares fois où ils faisaient l’amour, il lui demandait, il la suppliait, de se caresser, comme pour ne plus avoir à la toucher, et il eu une première fois elle résistait. La garce ne supportait pas de ne pas diriger les opérations. La nuit, il la touchait dans son sommeil puis Il fermait les yeux pour qu’elle se croie seule en espérant qu’elle le trompe avec elle-même. Mais, à chaque fois, au moment d’en venir aux mains, elle s’arrêtait comme prise en faute.
Jean s’humiliait à se masturber la nuit alors qu’il la savait éveillée, " Tu ne veux pas de moi, je me prends seul" pensait-il…
Puisqu’elle ne jouissait plus de lui, alors Jean la rêvais jouissant d’elle-même, puis avec le temps, jouissant d’un autre. Pas une vraie personne mais un anonyme le plus différent de lui même possible. Un mec, un vrai, pas lui. Il rêvait comme un masochiste qui se fait mal volontairement.
Il était soumis, c’est comme ça que moi même j’ai commencé à y prendre plaisir… moi leurs amis, celui que Jean rapportait tous. Moi c’est Philippe…
Sa domination, c’était son indifférence, sa soumission c’était son désir incontrôlable. Tout cela baignait dans une atmosphère quotidienne sans aspérités, dans la confiance mutuelle d’un amour presque fraternel.
Et puis un incident est intervenu, psychologiquement, certainement. Jean n’eu plus de moyen physique pour ce satisfaire, cela ne marchait plus. La déroute pour cette homme avec un telle parcours ostentatoire .Il n’en parla même pas à Murielle, mais à moi son meilleur amis, l’ami du couple. Notre discussion de cette soirée là était ciblée sur le fait de prendre la décision d’avoir un recours à un spécialiste, mais à quoi bon, il réfutait cette idée la.
Trois mois se sont écoulés depuis la révélation des problèmes d’érection de Jean. Trois mois qu’il n’est plus capable de faire l’amour à sa femme. Murielle avait par contre, appris à compenser, d’après Jean, elle se caressait, il avais fais une découverte, pas par hasard, un Toys sans connaître son existence derrière une pile de drap, d’après Jean, il portait sur lui les odeurs de sécrétion de sa femme. Il comble les faibles exigences de Murielle, ai-je penser, mais à sa nervosité croissante de celle-ci qui apparaissait à quelques pas de là, en surplomb de la maison de temps en temps, puis vint vers nous pour me dire bonjour, sa chemise trop grande, je pouvais distinguer les pointes de ces seins arqués se frottant par intermittences contre le tissus …
Jean me parla plus directement, longtemps, sans tabous à me dire qu’elle a besoin de nourritures sexuelles plus consistantes.
Vers qui se tourner, me disait-il ? Un amant ? Son subconscient machiste y répugnait. La laisser utiliser une queue en état de marche ? Il ne pouvait s’y opposer, mais il refusait d’être écarté. Il acceptait l’idée qu’elle prenne du plaisir entre les bras… non, pas entre les bras, sur la verge, la bite d’un autre homme, mais à condition d’être présent et de participer à sa jouissance. Ouais !!! C’étais bien joli, mais comment faire ? Rechercher sur Internet ? Trop peur de tomber sur des arnaqueurs. Plus le temps passe, plus il est urgent de trouver une issue. Il arrivait même à se convaincre qu’un amant serait la moins mauvaise solution.
Et puis Murielle arriva de nouveau vers nous, me demandant de rester à diner avec eux, les mots avaient sonné comme un ordre, le ton employé bien différent… Déjà la tenue avait changé, elle portait une robe légère, très près du corps qui arrivait au-dessous des genoux, mais décolletée au maximum, tant en profondeur qu’en largeur. Question de ça, sa poitrine était bronzée. Elle se tenait très bien sans soutif, les auréoles de ses tétons se distinguaient sous le tissus fin. Ce tableau aurait fait loucher pas mal de monde si cela avait été le cas. En plus, lorsqu’elle se penchait un peu en avant (et elle trouvait souvent un prétexte pour le faire) de côté on voyait son sein entièrement nu, mamelon et téton compris. Cela devenait gênant, surtout vis à vis de Jean. Une musique d’ambiance se fit entendre…
Je pris place dans le fauteuil en face et admirai le spectacle qui m’était offert bien malgré moi. Murielle était très vaporeuse, le manque de marque sur ces anches ne faisait aucun mystère de sa totale nudité, tant elle épousait les formes de cette déesse.
L’alcool, la décontraction, ils me parlaient de choses intimes du couple devant elle, Jean finit même par poser une main sur la cuisse de sa femme, puis au fur et à mesure des mots, la remonta sous le bas de sa robe. Murielle le laissait faire sans réagir et continuait à converser et sourire, sa posture devint presque indécente par sa manière d’ouvrir les cuisses aux caresses. J’en aurais rêvé, si j’avais pensé un jour assister à ça. C’était juste des histoires qu’on se racontait sur l’oreiller, une manière de rechercher une excitation spéciale, offrant ainsi de quoi exciter largement ma libido. La scène a duré, duré… J’ai fini mon verre, trouvant mon whisky pas assez alcoolisé, j’en ai pris un autre. Les doigts de Jean glissés au cœur du brasier, s’activaient d’une drôle de façon come s’il tirait sur une cordelette invisible, d’avant en arrière, mais il était heureux d’avoir le droit exceptionnel de cette activité, pensant mettre à son profit l’humeur radieuse de la femme de sa vie. Elle prenait même si peu de précautions que je ne pouvais masquer mon regard dirigé sur son entrecuisse. Pour parfaire l’excitation, ses seins aux pointes durcies cherchaient à percer la soie de sa robe.
Envahi par l’excitation de la voir si belle et épanouie, envahi par son nombrilisme… et son amour tout de même, il lui prenait la main tendrement pour… quand tout à coup, sa femme la retire prestement et se redresse du haut de ses grands cheveux
Et puis le charme s’est arrêté ! Il a glissé quelques mots à l’oreille de sa femme. Elle m’a regardée, elle goûte sans honte à cette situation si particulière. Il y a eu comme une minute de silence (enfin, silence dans ma tête !), car la musique continuait.
Je venais de prendre conscience, et ce fut presque un choc, de l’effet que Murielle pouvait provoquer. Sans oser vraiment y penser, je me disais que cet homme, mon ami, fort élégant par ailleurs, avait du l’observer, l’imaginer libre, projeter un plan, sans doute ressentir des palpitations érectiles en sentant sa femme si épanouie à ses côtés, curieusement seule. Cette pensée me troubla vraiment...
Il est vrai que elle avait de quoi ne pas laisser indifférent.
Assez réservée, mais souriante, elle est de celle qu’on n’oublie pas physiquement. De taille moyenne, elle a des yeux verts sublimes et un corps bien proportionné.
Je me metais à adorer son ventre plat, ses seins fermes, et surtout ses hanches qui ondulent quand on imagine la prendre, tout en étant bien fermes et bien courbées. C’est que toute volonté d’inhibition ou de protection était abolie.
A suivre…
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