- 02 déc. 2014, 13:19
#1703417
Bonjour,
Notre première (et seule à ce jour) expérience candauliste a été satisfaisante au début mais s'est mal finie parce que notre partenaire avait pris trop de place dans notre couple.
Je suis venu au candaulisme par frustration: je trouvais que ma femme ne se lâchait pas assez pendant l'amour, se contrôlait trop. Je pensais qu'en lui faisant l'amour avec un autre homme, elle irait plus loin dans le plaisir et le lâcher-prise, ce qui serait bénéfique pour notre couple.
Au départ, elle était réticente. Mais a accepté un jeu érotique que m'a proposé un homme rencontré sur ce site: une expérience de soumission virtuelle. C'était tentant, car cet homme me disait qu'il avait déjà libéré plusieurs femmes mariées en utilisant sa méthode: échanges de mails dans un premier temps avec la femme, un mail par jour, il lui pose une question précise sur sa sexualité, son passé, ses goûts, et elle doit répondre dans la journée. Puis, il passe à des photos. Même principe: une demande de photo précise par jour, prise depuis son lieu de travail, et elle doit la lui envoyer dans la journée.
Ma femme n'y croyait pas, mais s'est prise au jeu. A ce moment, j'étais content, car ça rejaillissait sur notre libido. Le soir, elle avait envie, et moi aussi: cet homme me renvoyait ses photos, et ça m'excitait de découvrir un côté coquine chez ma femme. Mais à cause de cette excitation, je n'ai pas su voir que ma femme tombait sous l'emprise de cet homme. C'est facile à dire après, mais j'aurais du m'en rendre compte quand il a commencé à lui demander de changer de couleur de vernis sur ses pieds. Ma femme a toujours mis la même teinte, un rouge assez sombre, parce qu'elle trouvait les autres couleurs vulgaires. Et subitement, elle est passée à l'arc-en-ciel: jaune, vert, rose, bleu etc... Toujours des couleurs criardes. Il lui donnait la couleur la journée, elle la mettait le soir, et lui envoyait une photo de ses pieds le lendemain à titre de preuve. Ca la gênait, car ses collègues commentaient ses changements de couleur. Mais elle le faisait quand même.
Un jour, il m'a envoyé une photo qu'elle avait prise dans notre salle de bains, à sa demande: debout, entièrement nue, en sandales à talons, avec juste un collier, et "Pour Gérard" écrit au rouge à lèvres sur son ventre. Il disait qu'elle était mure pour une expérience à trois parce qu'il lui avait demandé de se caresser en pensant à lui et qu'elle l'avait fait. Ce qui me rassurait, c'est qu'il voulait me voir avant, et me disait que si je refusais, il cesserait de dialoguer avec elle.
On s'est vus dans un café. Il était sympathique. Et ce qui m'a définitivement rassuré, c'est qu'il n'avait pas le physique d'un séducteur: la cinquantaine, petit, plutôt fluet, un peu dégarni. Mais notre première expérience à trois n'a pas vraiment été un trio. Il ne m'a pas laissé beaucoup de place, je suis passé après lui, et comme ma femme avait joui fort avec lui, elle n'était plus vraiment réceptive quand je lui ai fait l'amour. Je pensais que ça se rééquilibrerait les fois suivantes. Ca a été l'inverse: je devenais de plus en plus spectateur, de moins en moins acteur.
Le summum a été atteint lors d'un WE que nous avons passé à trois dans la maison de campagne du père de ma femme. Là, j'ai été dans la position de l'ami du couple. Il a voulu qu'elle reste nue la journée dans la maison. Ils ont dormi ensemble, et moi dans une autre chambre. Quand on est allés faire des courses au marché du village voisin, elle était à son bras. C'est après ce WE qu'il a dévoilé son jeu: il voulait un véritable partage de mon épouse, la voir sans moi, qu'elle passe des nuits chez lui. J'ai dit à ma femme qu'on glissait sur une pente dangereuse pour notre couple, et on a tout arrêté. Depuis, nous n'avons pas revu cet homme.
Mais cet épisode, qui a duré plusieurs mois, a laissé des traces dans notre couple. Ma femme me reproche d'avoir été trop passif. C'est vrai. Mais c'est difficile à expliquer: j'étais comme en état de sidération. Jamais je ne l'avais vue jouir si fort, être si reconnaissante après l'amour, ou obéir comme quand il lui a demandé de rester nue toute la journée dans la maison de son père. C'était à la fois érotique et très déstabilisant pour moi. Alors, je me sentais dépassé, je me tenais en retrait. Mais moi aussi, je lui en veux, d'être allée si loin avec cet homme, de m'avoir oublié quand elle était avec lui.
On reviendra peut-être un jour au triolisme. Mais pas tout de suite, il faut d'abord qu'on se retrouve. Si on recommence, je choisirai mieux notre partenaire, je fixerai davantage les règles avant, je ne prendrai pas un célibataire. Car même si nous avons chacun des torts, ma femme et moi avons le sentiment d'être tombés sur un homme qui nous a manipulés en profitant de notre inexpérience.
Notre première (et seule à ce jour) expérience candauliste a été satisfaisante au début mais s'est mal finie parce que notre partenaire avait pris trop de place dans notre couple.
Je suis venu au candaulisme par frustration: je trouvais que ma femme ne se lâchait pas assez pendant l'amour, se contrôlait trop. Je pensais qu'en lui faisant l'amour avec un autre homme, elle irait plus loin dans le plaisir et le lâcher-prise, ce qui serait bénéfique pour notre couple.
Au départ, elle était réticente. Mais a accepté un jeu érotique que m'a proposé un homme rencontré sur ce site: une expérience de soumission virtuelle. C'était tentant, car cet homme me disait qu'il avait déjà libéré plusieurs femmes mariées en utilisant sa méthode: échanges de mails dans un premier temps avec la femme, un mail par jour, il lui pose une question précise sur sa sexualité, son passé, ses goûts, et elle doit répondre dans la journée. Puis, il passe à des photos. Même principe: une demande de photo précise par jour, prise depuis son lieu de travail, et elle doit la lui envoyer dans la journée.
Ma femme n'y croyait pas, mais s'est prise au jeu. A ce moment, j'étais content, car ça rejaillissait sur notre libido. Le soir, elle avait envie, et moi aussi: cet homme me renvoyait ses photos, et ça m'excitait de découvrir un côté coquine chez ma femme. Mais à cause de cette excitation, je n'ai pas su voir que ma femme tombait sous l'emprise de cet homme. C'est facile à dire après, mais j'aurais du m'en rendre compte quand il a commencé à lui demander de changer de couleur de vernis sur ses pieds. Ma femme a toujours mis la même teinte, un rouge assez sombre, parce qu'elle trouvait les autres couleurs vulgaires. Et subitement, elle est passée à l'arc-en-ciel: jaune, vert, rose, bleu etc... Toujours des couleurs criardes. Il lui donnait la couleur la journée, elle la mettait le soir, et lui envoyait une photo de ses pieds le lendemain à titre de preuve. Ca la gênait, car ses collègues commentaient ses changements de couleur. Mais elle le faisait quand même.
Un jour, il m'a envoyé une photo qu'elle avait prise dans notre salle de bains, à sa demande: debout, entièrement nue, en sandales à talons, avec juste un collier, et "Pour Gérard" écrit au rouge à lèvres sur son ventre. Il disait qu'elle était mure pour une expérience à trois parce qu'il lui avait demandé de se caresser en pensant à lui et qu'elle l'avait fait. Ce qui me rassurait, c'est qu'il voulait me voir avant, et me disait que si je refusais, il cesserait de dialoguer avec elle.
On s'est vus dans un café. Il était sympathique. Et ce qui m'a définitivement rassuré, c'est qu'il n'avait pas le physique d'un séducteur: la cinquantaine, petit, plutôt fluet, un peu dégarni. Mais notre première expérience à trois n'a pas vraiment été un trio. Il ne m'a pas laissé beaucoup de place, je suis passé après lui, et comme ma femme avait joui fort avec lui, elle n'était plus vraiment réceptive quand je lui ai fait l'amour. Je pensais que ça se rééquilibrerait les fois suivantes. Ca a été l'inverse: je devenais de plus en plus spectateur, de moins en moins acteur.
Le summum a été atteint lors d'un WE que nous avons passé à trois dans la maison de campagne du père de ma femme. Là, j'ai été dans la position de l'ami du couple. Il a voulu qu'elle reste nue la journée dans la maison. Ils ont dormi ensemble, et moi dans une autre chambre. Quand on est allés faire des courses au marché du village voisin, elle était à son bras. C'est après ce WE qu'il a dévoilé son jeu: il voulait un véritable partage de mon épouse, la voir sans moi, qu'elle passe des nuits chez lui. J'ai dit à ma femme qu'on glissait sur une pente dangereuse pour notre couple, et on a tout arrêté. Depuis, nous n'avons pas revu cet homme.
Mais cet épisode, qui a duré plusieurs mois, a laissé des traces dans notre couple. Ma femme me reproche d'avoir été trop passif. C'est vrai. Mais c'est difficile à expliquer: j'étais comme en état de sidération. Jamais je ne l'avais vue jouir si fort, être si reconnaissante après l'amour, ou obéir comme quand il lui a demandé de rester nue toute la journée dans la maison de son père. C'était à la fois érotique et très déstabilisant pour moi. Alors, je me sentais dépassé, je me tenais en retrait. Mais moi aussi, je lui en veux, d'être allée si loin avec cet homme, de m'avoir oublié quand elle était avec lui.
On reviendra peut-être un jour au triolisme. Mais pas tout de suite, il faut d'abord qu'on se retrouve. Si on recommence, je choisirai mieux notre partenaire, je fixerai davantage les règles avant, je ne prendrai pas un célibataire. Car même si nous avons chacun des torts, ma femme et moi avons le sentiment d'être tombés sur un homme qui nous a manipulés en profitant de notre inexpérience.