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A cet endroit particulier et réservé du forum cando, qui est entièrement dédié aux récits et aux confidences intimes des membres les plus libertins, vous avez la possibilité de partager et de raconter avec force détails toutes vos expériences candaulistes les plus débridées ainsi que vos aventures libertines les plus folles vécues dans le cadre du candaulisme et du cuckolding.

N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
par Okidoki
#1738235
Bonjour, envie de partager avec vous un petit délire librement inspiré par une jolie forumeuse de ce site...

Warnings :
Bien évidemment, ceci est une fiction. Il n'est pas dans mes intensions de promouvoir une quelconque pratique sexuelle à risque.

Be safe !!
par Okidoki
#1738236
Vendredi soir, c’est Pizza.
C’est presque devenu une tradition pour nous, comme un rituel.
C’est notre manière de finir la semaine tranquillement sans se prendre la tête.
On se fait livrer une pizza et on la déguste avec une bière devant un bon film à la télé.

Presque comme avec les potes.
Sauf qu’avec les potes, c’est plutôt devant un bon match de foot.
Et puis avec les potes, il est rare que ça finisse en partie de jambe en l’air sur le canap’, une fois le match terminé…

Ce soir sort un peu de l’ordinaire car ce vendredi, il y a avait un cocktail organisé à la boite, pour célébrer l’alliance de notre société avec le numéro 1 européen du secteur de l’industrie pharmaceutique vétérinaire.
La grosse teuf, quoi. Avec Champagne et petits fours à gogo.
Bon, les petits fours on en n’a pas trop vu la couleur vu la bande de creuvards qui s’est plantée devant le buffet du début à la fin.
Par contre, pour les bubulles, on a géré. Patrice a réussi à chopper quelques bouteilles qu’on s’est partagé discrétos dans notre coin.

Du coup, on peut le dire, on s’est retrouvés un peu guillerets, ma chérie et moi en revenant à l’appart’. Surtout Cécilia d’ailleurs. Ma petite femme n’a jamais vraiment tenu l’alcool et encore moins les bulles. Heureusement qu’on n’a avait pas besoin de prendre la voiture pour rentrer !

Cécilia et moi travaillons dans la même société. C’est d’ailleurs là que nous nous sommes rencontrés.
Même si nous ne travaillons pas dans le même service, il était difficile pour un homme normalement constitué de ne pas remarquer la bombe atomique qui passait dans les couloirs en tortillant admirablement de son magnifique petit cul.

Dire qu’il a été facile de lui passer la bague au doigt serait un mensonge éhonté.
Vu le nombre de prétendants qu’elle avait accumulé en à peine trois semaines de présence, il est clair qu’il m’a fallu manœuvrer finement pour l’approcher d’abord, puis pour lui faire accepter de boire un verre avec moi.
Qu’elle ait fini allongée dans mon lit puis alignée à mes côtés sur notre livret de famille quelques mois plus tard est un miracle dont je ne cesse de m’émerveiller jour après jour.
Non pas que je sois un parangon de laideur, loin s’en faut. Il est même un certain nombre de conquêtes féminines pour m’honorer d’un certain charme si ce n’est d’un charme certain.

C’est juste qu’elle paraissait tellement hors d’atteinte et que je n’avais pas forcément tous les atouts pour figurer dans sa « short list ».
Mais bon, pas la peine de se faire des nœuds au cerveau, c’est avec moi qu’elle s’est mariée, on est heureux comme pas possible alors point, barre.

- Alors, on se la fait quand-même cette pizza non ? J’ai rien bouffé, j’ai la dalle ! Me dit-elle une fois entrée dans l’appart’ et après m’avoir octroyé un long baiser enamouré qui m’a confirmé la charge alcoolique de son haleine.
- Si tu veux, pas de soucis. Mais il est tard. Pas sûr que ce soit encore lui qui livre à cette heure là.
- De qui tu parles ? J’vois pas ce que tu veux dire.
Son air faussement innocent me fait marrer. On ne me la fait pas à moi, elle sait très bien de qui je parle et le petit sourire en coin qui se dessine sur ses lèvres trahit ses pensées tandis que je décroche le téléphone pour passer commande.

Depuis quelques semaines, c’est toujours le même livreur qui vient nous apporter notre pizza.
Au début, j’ai cru à une coïncidence ou à une concordance régulière des horaires et des secteurs mais bien vite, j’ai eu plus que des doutes quant au systématisme des visites de « Monsieur Paquet ».

« Monsieur Paquet » est le sobriquet dont j’ai affublé notre jeune livreur avant d’apprendre qu’il se prénomme Julien.

Cécilia a un radar à paquets.
Certaines femmes ont un radar à braguettes ouvertes ou ongles mal entretenus, la mienne a un radar à paquets.
C’est plus fort qu’elle : Dès qu’un mec semble pourvu d’attributs masculins particulièrement développés occasionnant une boursouflure plus ou moins élégante mais toujours proéminente au niveau du haut du pantalon, ça lui attire l’œil.
Remarquez, en tant qu’homme, je ne peux pas lui en tenir rigueur. J’ai moi-même un radar à petit cul et à décolleté pigeonnant assez performant, je dois bien l’admettre.

Dès la première livraison de ce jeune homme, Cécilia n’a donc évidemment pas pu faire autrement que de remarquer la belle excroissance qui ornait son bas ventre et elle m’en a fait part dés la porte de l’appartement refermée en agrémentant sa remarque d’un « miam !» qui, contrairement aux apparences, ne s’adressait pas à la boite carrée et odorante qu’elle tenait dans ses mains.

Il faut dire que, parallèlement à son « radar »et sans doute en corrélation avec celui-ci, ma chérie est ce que l’on appelle une « size queen ».
Elle fait partie de ses femmes pour lesquelles, quoi qu’on en dise, la taille compte.
Et elle assume.
Elle ne vous dira jamais que ce n’est pas la taille mais la manière de s’en servir qui importe.
Non, pour elle, rien ne vaudra jamais un bon gros braquemart bien rigide pour la faire grimper aux rideaux. Et plus il est gros, mieux c’est.
Elle est comme ça ma chérie, cash !
Je m’en suis vite aperçu.
Comme ce jour où j’ai surpris une pointe de déception dans son regard lorsqu’elle me baissa le caleçon pour la première fois.

Au niveau du service trois pièces, on ne peut pas dire que j’aie été particulièrement gâté par la nature.
Sans être qualifié de petite bite, je ne me fais pas d’illusion, je sais parfaitement que mes 15 x 2,5 me placent sur une moyenne des plus modestes sur l’échelle de la gaulitude.
Il n’est donc pas étonnant que ma chérie qui en avait vu bien d’autres et des bien plus impressionnantes se trouve un brin dépitée au moment de découvrir l’appareillage intime de son promis.
Heureusement pour moi, j’avais déjà conquis son cœur et, malgré ce léger handicap (compensé malgré tout par un art très abouti de tout ce qui se termine par « lingus ») il ne lui est jamais venu à l’esprit de faire machine arrière : J’étais l’amour de sa vie et cet amour comptait au-delà de tout.

Comment nous en sommes venus à devenir un couple libre ?
Ben, ça semble évident non ?
Malgré mon bonheur de faire l’amour à cette femme aussi splendide que fougueuse, je me suis assez rapidement rendu compte que jamais je ne la comblerais sexuellement.
Nous avons toujours été francs et ouverts l’un envers l’autre. Nous avons toujours discuté sans chichis ni faux semblants.
Il est vite apparu que, même si Cécilia appréciait nos nombreux ébats, il lui manquait quelque chose, en terme de gabarit. Il lui manquait tout simplement la sensation de se faire prendre et combler par un gros phallus qui la pilonnerait des heures durant.
Elle avait connu ça avec certains de ses amants avant moi et, malgré ses bonnes résolutions de femme mariée, elle avait du mal à faire une croix dessus.

A partir de là, ce fut limpide pour moi : Si je ne voulais pas perdre ma femme à court ou moyen terme, il allait falloir que je lui laisse un peu de bride au cou.
Je devais lui laisser vivre des expériences pour mieux la retrouver, pour mieux la conserver.

C’est moi qui ai proposé l’idée du couple libre.
Elle a été un peu surprise au début. Un peu soupçonneuse aussi. Elle pensait que j’avais des velléités d’aller voir si l’herbe était plus verte ailleurs.
Mais elle a vite compris tout le bénéfice qu’elle pourrait tirer d’une telle aventure.
Alors elle a dit OK et on a établi une sorte de pacte, un pacte qui comportait quelques règles simples :
- Règle n° 1 : Jamais avec des amis communs. Pas question de foutre en l’air une amitié pour une affaire de cul.
- Règle n° 2 : Jamais au boulot. Pour ne pas alimenter radio-moquette et les commérages mal intentionnés.
- Règle n° 3 : Pas d’attachement sentimental. On stoppe toute relation qui pourrait mener à des complications amoureuses.
- Règle N° 4 : On se dit tout, on se raconte tout. Pour éviter tout malentendu ou toute cachotterie malsaine.

De façon assez prévisible, c’est surtout Cécilia qui a profité de cette nouvelle liberté.
Elle a rapidement mis à profit son radar à paquets et, forte de cette white card, a pu de nouveau goûter à des gabarits un peu plus conséquents que ce à quoi son statut de femme mariée l’avait astreinte depuis quelques années.
Non pas que je sois resté chaste de mon côté, loin s’en faut, mais je me suis vite rendu compte que je n’avais ni l’envie ni le besoin d’aller voir ailleurs.
Le sexe avec ma chère et tendre me suffisait largement. D’autant que ses incartades ne grevaient en rien ma dose de câlins.
Bien au contraire, il est vite apparu que nos ébats étaient d’autant plus débridés que Cécilia assouvissait ses envies extraconjugales.
Non seulement s’être enfilé du gros calibre n’entamait en rien son appétit mais en plus elle semblait encore plus désireuse de me satisfaire et de mettre à profit ses nouvelles découvertes.
De mon côté, je me suis découvert un côté voyeur et fantasmeur assez insoupçonné.
L’entendre raconter ses parties de galipettes boostait ma libido de façon assez surprenante. Et il n’était pas rare que la simple évocation de quelques détails salaces nous entraine illico presto dans un coït spontané et effréné.

C’est donc assez naturellement que nous en somme venus au candaulisme occasionnel.
Pour Cécy s’était quand-même parfois plus simple de faire ça à la maison.
Et puis moi, à force de l’entendre raconter, j’avais fini par avoir envie de voir ce qu’il en était vraiment.

Ca, pour ce qui est de voir, j’ai vu !
Au début, elle était un peu réticente à l’idée de se donner à un autre devant son homme… mais sous les assauts de cet apollon doté d’un gourdin d’au moins 20 cms, elle a vite oublié toute réticence et toute timidité.

J’avoue que ça m’a fait drôle quand-même la première fois où je l’ai entendue jouir à ce point.
Avec moi, elle soupire, gémit, miaule… hulule à la rigueur.
Là elle criait, vagissait, hurlait !

Ca m’a fait un peu mal aussi.
J’ai réalisé que jamais je ne pourrai lui procurer autant de plaisir, un plaisir aussi sauvage, aussi primaire.
Je ne suis tout simplement pas équipé pour.

Mais j’ai aussi réalisé que j’adorais la voir jouir. Que mon amour pour elle allait au-delà de tout ça. Qu’il était même renforcé par cette offrande que je lui faisais.
Et j’ai aussi surtout réalisé que ça m’excitait par-dessus tout. Je bandais comme rarement.

A partir de là, Cécilia ne s’est plus gênée pour ramener un mec à la maison de temps en temps.
Dés fois je participe mais la plupart du temps je me contente de regarder et de prendre des photos.
Dans ces cas là, en général, lorsque le mec est parti, j’ai droit à une nuit torride !

Julien, le livreur de pizza, ne fait pas partie de ces mecs. Du moins, pas encore.
Mais à partir du moment où ma chérie a détecté son paquet, elle n’a pas pu s’empêcher de l’asticoter, de l’allumer : Et que je te l’accueille en jupette à raz la salle de jeux… et que j’ouvre la porte en top à moitié transparent et échancré comme pas possible… et que je me penche longuement devant lui pour chercher la monnaie dans le porte-monnaie pour bien lui montrer que je ne porte rien dessous… et que je minaude tout sourire et grands yeux de biches…
Le pauvre ! A chaque fois, il repart le teint cramoisi et la queue au garde-à-vous ! Ca me fait carrément marrer.
Enfin, je dis le pauvre mais le bougre semble assez satisfait de la situation.
La preuve en est qu’il rempile à chaque fois.
Je serais prêt à parier que depuis qu’il a pigé le rythme de notre petit rituel du vendredi soir, il se réserve la commande afin d’être certain que ce sera lui qui pourra bénéficier des largesses visuelles offertes par ma moitié.
C’en est presque devenu un jeu, le rituel dans le rituel.
Lui doit se demander à chaque fois ce qu’elle va lui réserver de nouveau et elle s’amuse à repousser les limites à chaque fois.

D’ailleurs, moi aussi je me le demande :
- Comment tu vas l’accueillir ce soir ?
Elle écarte les bras et se présente telle qu’elle est depuis que nous sommes revenus, dans sa petite robe de soirée noire qui s’arrête bien au-dessus des genoux, lui fait des jambes de folie et lui gaine la taille et sa petite poitrine de façon affolante.
Elle a juste pris la liberté d’ôter ses chaussures pour être plus à l’aise.
- Je suis pas bien comme ça ?
- A tomber !
C’est un euphémisme. Elle est absolument somptueuse.
D’ailleurs, je n’ai pas été le seul à le penser pendant le cocktail de l’entreprise, j’ai pu y relever un nombre assez notable de coups d’œil appréciateurs de la part des collègues masculins.
De quoi en rendre jaloux plus d’un. Mais dommage pour vous les gars : règle n°2 : jamais au boulot !

- De toute façon, ce n’est même pas certain que ce soit lui ce soir.
- On va vite le savoir : Ca sonne. Tu y vas ?
- Bien-sûr !

Je reste dans le salon mais j’entends la conversation à la porte :
- Bonsoir, Pizza-minute !
- Bonsoir ! Entrez, je vais chercher de quoi vous régler.
Le gars entre et m’adresse le sourire de circonstance. C’est bien lui.
- Bonsoir.
- Bonsoir.
Tandis que Cécilia fouille dans son porte monnaie devant lui, il tente la prouesse de soutenir mon regard tout en glissant un œil curieux dans le décolleté pigeonnant de ma femme. Pas évident…
Le gaillard a déjà dû en voir bien plus que ce soir mais c’est plus fort que lui, il faut qu’il matte.
En même temps, je le comprends, j’en aurais fait autant.
- On se demandait si ce serait vous ce soir, vu l’horaire inhabituel. Dis-je pour combler le blanc et aussi pour lui montrer que je ne suis pas dupe quant à son assiduité.
Mais le gars ne se démonte pas, au contraire :
- Bah en fait j’avais terminé mon service mais quand j’ai vu passer votre commande, je me suis dit que je pouvais vous la livrer sur le chemin du retour.

A d’autres ! Je suis près à parier que nous ne sommes pas du tout sur son chemin. Le mec a juste dû attendre au maximum pour espérer avoir sa petite dose hebdomadaire de Cécilia. Coquin !

Mais ma chérie semble tomber dans le panneau :
- Ah bon ?! C’est super gentil à vous, merci !
- Bah de rien, c’est normal.
- Donc du coup, vous n’avez plus de livraison après, là.
- Bah non. Vous êtes mes derniers clients ce soir.
- Ah cool. Ben pourquoi vous ne resteriez pas un peu ? Ca vous dirait de partager un bout de pizza avec nous ?
Le gars reste coi. Son regard va de moi à ma chérie, ne sachant visiblement pas si c’est du lard ou du boudin.
Ce n’est pas moi qui vais pouvoir l’aider car ma douce m’a pris aussi par surprise, je ne m’attendais pas à une telle proposition.
- Bah pourquoi pas…
- Cool. Ben viens, entre, enlève ton blouson, mets-toi à l’aise… Chéri, tu nous sors les bières ?

Ah là, c’est sûr que le gars va être à l’aise. Le passage soudain du « vous » au « tu » ne laisse guère de doute sur les intentions de ma chérie. Il est clair qu’elle va sauter sur l’occasion pour vérifier si son radar fonctionne toujours aussi bien. Depuis le temps qu’elle lorgne sur l’entrejambe du livreur.

Je souris en ouvrant le frigo ; décidément, cette soirée sera inhabituelle du début à la fin. De toute évidence, il n’y a pas que la pizza que je vais devoir partager avec ce mec.

Je reviens dans le salon avec mes trois bières pour découvrir qu’ils se sont installés côte à côte sur le canapé, il ne me reste plus que le fauteuil en face.
Lui s’est assis, les jambes largement écartées, je ne peux éviter de lancer un regard sur son bas ventre. Cécilia a sans doute raison, il ya l’air d’y avoir du monde là-dedans !


On mange notre pizza tranquillement tout en sirotant notre bière.
Cécy soumet gentiment notre invité fortuit à la question.
On apprend alors qu’il a 25 ans et qu’il termine des études de bio-chimie. Comme beaucoup d’étudiants, il a pris un petit boulot pour arrondir ses fins de mois.

Je m’amuse à les regarder.
Cécilia n’a pas sorti le grand jeu mais elle sait à quel moment et comment se pencher pour offrir au jeune homme une vue des plus satisfaisantes sur ses douces collines jumelles. Le gars n’en perd pas une miette.
Pour autant, je n’ai pas l’impression que ma femme va arriver à ses fins si facilement. Julien semble un peu timide et il est clair que ma présence tempère le moindre de ses espoirs.
C’est sûr que ce n’est pas aussi aisé que lorsqu’elle drague un mec sur internet. Dans ce cas là, le troisième luron est mis rapidement au parfum et si ça le botte de faire ça devant le mari voyeur, c’est parti mon kiki !
En général, vu les arguments physiques de ma compagne, il en est peu pour faire la fine bouche.

- Chéri, on est à court de bière. Tu vas nous en rechercher s’il te plait ? T’es un amour.

De nouveau, je souris en retournant dans la cuisine. Si elle compte sur les vapeurs de l’alcool pour délurer notre invité, elle n’est pas arrivée ! Avec une bière à 6°, le gars aura envie de pisser bien avant d’avoir eu le courage de lui mettre la main au panier !

Mais c’est sans connaître l’opiniâtreté de ma chérie : Lorsque je reviens avec mes trois bouteilles décapsulées, je la trouve à califourchon sur les genoux de Julien, la bouche soudée à celle du jeune homme.
Ah ouais, quand-même !

Dés qu’il me voit dans l’embrasure de la porte, le gars a un mouvement de panique et tente d’écarter son assaillante mais elle le rassure tout de suite :
- T’inquiète ! Il est au courant, il est d’accord.
Il jette un regard dubitatif dans ma direction mais comme je ne déments pas, il semble s’en accommoder plutôt facilement.
Je suis toujours effaré par la capacité d’adaptation des mecs devant la promesse d’une bonne baise avec une jolie poupée.

Bon, ben je n’ai plus qu’à m’installer en face et mater le spectacle.

Maintenant que la première étape est franchie, ma chérie ne perd pas de temps. Tout en continuant à lui fouiller la bouche de sa petite langue que sais très agile, elle lui déboutonne la chemise et passe une main gourmande sur son torse imberbe.
Je dois avouer que, sans être un athlète, le gars est plutôt bien foutu : La peau mate, les pectoraux et les abdos bien formés, monsieur s’entretient, c’est incontestable.

D’abord timide, le mec s’enhardit et pose ses mains sur les hanches de ma dulcinée avant de rapidement les faire remonter sur les deux petite collines qui l’attirent depuis son arrivée.
Même si ce n’est pour l’instant qu’à travers le tissu de la robe, il ne doit pas en croire sa chance !

Cécilia, elle, n’a pas l’intention de patienter plus longtemps. Elle s’attaque déjà à la ceinture de cuir qui n’offre qu’une maigre résistance, pas plus que les boutons de son pantalon, d’ailleurs.
Sans plus de formalisme, elle plonge sa petite main dans l’ouverture ainsi formée ce qui provoque un ronronnement de plaisir chez son partenaire.

C’est là que je me rends compte que je n’ai pas pris mon appareil photo et que si je tarde à aller le chercher, je vais rater l’essentiel et ne pourrai pas immortaliser cette prometteuse soirée.

Je les laisse donc ensemble un instant pour aller chercher mon EOS dans la chambre.
Manque de bol, une rapide vérification m’indique que la batterie est à plat. Quel amateurisme !
Le temps de trouver la batterie de rechange qui elle, heureusement, est chargée à bloc, ça fait bien trois minutes que je les ai abandonnés en tête à tête.

Enfin presque. A mon retour dans le salon, je constate que le tête à tête n’est plus…
Julien est maintenant totalement nu et ma femme est installée à genoux entre ses jambes écartées, ses mouvements de tête au niveau de l’entrejambe du garçon ne laissant aucun doute sur son activité coupable. La bougresse ne m’a même pas attendu !

Lorsqu’elle entend les premiers déclics de l’appareil, elle consent quand-même à se débrancher du pieu qu’elle a embouché avec une avidité rare.
Les lèvres luisantes, elle me sourrit :
- J’avais raison, t’as vu la taille de sa queue !

Une fois de plus, je dois admettre que son radar à paquet à parfaitement fonctionné.
Le salopard est doté d’un phallus impressionnant, facilement plus de 20 cms de long, bien épais surmonté d’un gland énorme.
- Et regarde ses bourses, on dirait des balles de tennis ! S’exclame-t-elle en soupesant délicatement les deux objets de sa convoitise.

Je ne peux qu’opiner muettement.
Le gars n’est pas particulièrement malingre mais les mensurations de son appareil trois pièces en pleine gloire paraissent presque incongrues, surdimensionnées par rapport à sa morphologie.

En écoutant, ma chérie faire l’éloge de sa virilité, celui-ci ne contente de sourire benoitement, attendant sagement que celle-ci revienne « aux affaires ».
Ce qu’elle ne tarde pas à faire. Elle se penche et gobe le gland turgescent sans coup férir tandis que sa main applique un vigoureux mouvement de va et vient sur la base de la tige.
Mon Canon crépite, j’ai mis le mode rafale.
Cécy est une reine de la fellation. Je ne suis pas seul à le dire. A ce rythme, le gars ne va tenir bien longtemps avant de rendre les armes.

Elle le sait, elle aussi.
Sûre de son pouvoir, elle fait une pause et se réinstalle sur les genoux de son partenaire pour lui faire à nouveau goûter sa bouche de feu.

Puis elle me regarde :
- Tu me dézippe, s’il te plait.

Je pose mon appareil et m’approche de son dos pour descendre d’une main fébrile la fermeture éclair de sa robe.
C’est toujours une étrange et formidable sensation que de déshabiller sa femme pour le bénéfice d’un autre… Hautement symbolique.
Ceci fait, elle passes ses bras derrière ses épaules et tire le vêtement par-dessus sa tête.

J’ai un petit sursaut en constatant qu’elle est alors complètement nue elle aussi.
Un rapide regard alentours ne m’apporte pas de réponse concluante : Pas de petite culotte pas terre… Mais à quel moment de la soirée l’a-t-elle donc enlevée ?
En avait-elle d’ailleurs une au début ?
Voilà un coquin mystère qu’il me faudra élucider plus tard.
En tout cas, il y en a un qui ne boude pas son plaisir…
Libérées de toute barrière, ses mains se sont jetées sur les rondes douceurs maintenant à sa totale disposition.
Puis sa bouche entre en action. Il lèche, suce, avale…
C’est au tour de Cécilia de ronronner de plaisir.
Je sais d’expérience que c’est une partie très sensible de son anatomie et que celui qui sait en jouer a gagné la partie.
De toute évidence, c’est le cas de Julien.

Ma douce me jette un regard dans lequel je décèle déjà un léger voile d’abandon.
- Chéri, les capotes, s’il te plait.

Décidément, elle est pressée, ce soir !

J’ai un petit pincement au cœur. Ca me fait la même chose à chaque fois.
Ce n’est pas la première fois mais c’est toujours pareil ; savoir qu’un autre que moi va introduire son sexe dans l’intimité de ma femme provoque toujours chez moi ce sentiment ambigu, cette douce douleur au creux du ventre.

De nouveau, je les laisse en tête à tête et pars à la recherche des précieuses protections…

Normalement, elles sont dans la table de nuit de Cécilia…
Ah, un paquet… Vide… Merde !
Je me penche plus en avant, fouille à travers le bazard, entre bijoux, pinces à cheveux, rouges à lèvres, mouchoirs en papier, gel lubrifiant et divers sextoys… non décidément, rien de rien.
A ce niveau, c’est plus de l’amateurisme mais de la niaiserie !
Ou alors de mon côté…
Une boite pleine ! Ouf !
Mais ce sont les miennes, pour les rares cas où c’est moi qui m’amuse… pas sûr que ça le fasse…

A mon retour dans le salon, les deux sont toujours collés bouche contre bouche. Julien empaume les deux petites fesses et presse ma femme tout contre lui.
J’imagine son gros sexe bandé comprimé entre leurs deux ventres.
Ils vont être déçus.

Je tends la boite à Cécy.
Elle me regarde, dubitative.
- Ca ce sont les tiennes. Je ne voudrais pas te vexer, mon amour, mais vous ne concourez pas dans la même catégorie, il ne rentrera jamais là-dedans.
- C’est tout ce que j’ai trouvé.
- On a plus de king size ?
- Plus une seule.
- Oh non !!
Sa plainte de dépit est à l’aune de sa déconvenue.

Mais son naturel positif reprend vite le dessus. Elle glisse aux genoux de son jeune apollon, s’empare de la hampe toujours aussi raide et semble lui faire une confidence :
- On dirait que ce n’est pas aujourd’hui que tu entreras dans un nouveau petit nid chaud, toi, c’est dommage, hein ? Je t’assure que je suis aussi désolée que toi, j’en avais terriblement envie… mais bon, ça ne nous empêche pas de continuer à faire connaissance toutes les deux…

Sur ce, elle en avale une bonne longueur sans sourcilier. Julien grogne de plaisir.

Je me suis réinstallé dans le fauteuil d’où j’ai un point de vue idéal pour mes photos.
Très pro, Cécy a glissé sa longue chevelure brune sur le côté pour ne pas gêner la prise de vue.
Elle s’applique pour démontrer au jeune homme toute sa science des choses orales.
Les yeux fermés, la bouche ouverte, le gars savoure, c’est indéniable.
M’est avis que ma chérie va s’attacher à le finir comme ça, histoire de lui donner envie de revenir, même si je ne suis pas certain qu’il ait besoin d’une quelconque motivation.

Pourtant, elle s’arrête avant qu’il ait atteint le point de non-retour. Elle l’incite à basculer à plat dos sur l’assise du canapé et, ceci fait, s’installe à califourchon sur lui.
Un court instant, j’ai eu peur.
J’ai eu une petite montée d’adrénaline en croyant qu’elle allait s’embrocher sur son pieu dressé.
Mais non, elle a fait bien attention de coucher le phallus sur le ventre du jeune homme et elle vient plaquer son sexe humide sur la tige roide.

Puis je la vois amorcer un subtil mouvement du bassin…

Je me lève pour mieux voir…

Je vois… Je vois les lèvres de sa vulve trempée se séparer et glisser le long du membre viril, de la base jusqu’au gland violacé… je vois son petit clito engorgé frotter contre la chair masculine…
C’est à son tour de gémir de contentement. Je sais qu’elle adore ça et qu’elle est très bien capable d’obtenir une jouissance comme ça.

Je suis captivé par le spectacle.
Je retiens mon souffle à chaque fois que son pubis approche de l’extrémité haute… lorsque les lèvres s’écartent pour s’adapter au relief élargi du gland… Je me dis qu’au moindre faux mouvement, il la pénètre sans autre forme de procès.

Mais non, le gars est réglo, il maitrise. A chaque fois le petit antre de plaisir s’éloigne sans soucis de la zone dangereuse, de ce méat congestionné d’où s’échappent quelques perles de liquide séminal.

Julien a profité de la position pour s’emparer des deux seins de ma chérie.
Ses yeux fous font des allers-retours incessants entre son bas-ventre délicieusement tourmenté, le visage extatique de ma chérie et ses petits nénés qu’il pétrit passionnément.
Il ne doit pas en croire sa chance !

Pourtant, alors que je pensais qu’ils allaient continuer encore un peu comme ça, Cécilia se projette brusquement en arrière et rompt tout contact en s’effondrant essoufflée à l’opposé du canapé :
- Non, c’est pas possible, faut faire quelque chose, j’ai trop envie de l’avoir en moi… Chéri, tu ne voudrais pas aller nous chercher des présos à la pharmacie, c’est à deux pas ! S’te plait !

Pris totalement par surprise, je bredouille, bafouille pour finalement accepter gauchement.
Que pourrais-je franchement dire d’autre ?

- Oh merci ! T’es un amour !

Elle me tend les bars pour que je l’embrasse.
Je m’approche et lui donne mes lèvres presque par réflexe. J’ai à peine le temps de remarquer le goût musqué sur les siennes.

J’attrape une veste.
- T’inquiète, on t’attend !
- J’espère bien !
- Ne tarde pas trop quand-même ! Me lance-t-elle avec un clin d’œil.


A deux pas, c’est vite dit.
Il y a bien une pharmacie au coin de la rue mais elle est fermée à cette heure et le distributeur automatique de capotes a été vandalisé depuis belle lurette.

Je me dirige vers le centre ville et demande au passage à deux noctambules s’ils savent où est la pharmacie de garde.
Coup de chance, l’un des deux semble le savoir. Il m’en indique une à dix minutes à pied.
On commence à être un peu loin des deux pas, là. J’hésite un instant entre y aller et rebrousser chemin puis je me décide. Après tout, ils ont promis de m’attendre et ils ne peuvent rien faire sans moi.

Je m’élance donc d’un pas hâtif.

A mi-chemin je crois que la chance me sourit : Il y a une autre pharmacie, elle aussi fermée mais celle-là a un distributeur qui semble en bon état…
Manque de bol, il ne délivre que des modèles standards. Or je sais pertinemment que ça ne conviendra pas.

Ca y est ! Enfin la pharmacie ouverte !
J’entre un peu essoufflé…
Il fallait s’y attendre, c’est bondé !
Tant pis, maintenant que j’y suis-je n’ai plus qu’à prendre mon mal en patience…

Et de la patience il m’en faut car j’ai vite l’impression que certains ne sont là que pour passer le temps et rompre la solitude d’une nuit trop longue. Ca avance à la vitesse de l’escargot sous Tranxène !

Ca y est, c’est enfin mon tour !
Au moins, j’ai droit à une jeune auxiliaire plutôt mignonne.
- Monsieur ?
- Bonsoir, je voudrais une boite de préservatifs.
Toujours agréable de faire une telle commande devant une rangée d’inconnus dans une pharmacie bondée.
Heureusement, elle ne me demande pas de répéter.
- Oui, quelle taille ?
- XXL, ou King size, enfin ce que vous avez de plus gros.
- D’accord.
Elle l’a joué pro mais j’ai noté une légère hésitation et surtout un coup d’œil discret mais notable vers mon entrejambe.
Coquine !
Elle revient avec deux boites :
- Par 6 ou par 12 ?
- Par 12 s’il vous plait.
Nouveau regard en plongée, un peu plus insistant… presque gourmand. Avec une ébauche de sourire en coin.
Moi aussi je souris.
Ce genre d’attention fait toujours plaisir, même si là, il y a tromperie sur la marchandise.
Si tu savais ma belle !
Hélas, pas le temps de profiter du malentendu. Je paie et tourne les talons.

Je fais le chemin du retour presque au pas de course.
Avec tout ça, ça fait maintenant plus de 40 minutes que je l’ai ai laissés seuls.
Ca commence à faire beaucoup, j’espère qu’ils ont tenu leur promesse !
J’ai un peu peur…

Mais non.
En arrivant, je les retrouve presque comme je les ai laissés, assis côte à côte sur le canapé, dans une posture similaire, avachis, les jambes écartées.

Je suis rassuré.
Pourtant, ils ont bizarrement l’air presqu’aussi essoufflés que moi. Alors qu’eux n’ont pas eu à sprinter !

Je comprends pourquoi lorsque mon regard tombe sur le sexe ramolli et luisant de Julien : A coup sûr, ma chérie n’a pas pu s’empêcher de lui octroyer une nouvelle fellation pour le faire patienter.

Je souris à l’idée. Elle est décidément insatiable !

Mais mon sourire se fige lorsque mon regard glisse sur l’entrejambe de ma femme… sur sa petite vulve béante et rougie… d’où s’écoule un abondant fluide opalescent…

Elle me lance un coup d’œil dans lequel la culpabilité le dispute au reproche :
- Désolée mon Amour mais tu as été beaucoup trop long !


FIN
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par Marcoburo111
#1741386
Excellent ce récit. .. très bien écrit. .. J ai adoré. .. encore encore encore comme disait ta charmante épouse quand tu faisais là queue à la pharmacie. ..

:D
par Okidoki
#1741907
Merci, ça fait plaisir.

J'avoue que 350 visites pour 0 commentaire et 1 remerciement en une semaine, ça ne donnait pas spécialement envie de réitérer l'expérience.

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