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Dans cette section dédiée aux fantasmes du candaulisme et du cuckolding, nous vous invitons à partager avec la communauté du forum vos envies et aspirations les plus secrètes en matière d'épanouissement sexuel au sein de votre couple.

Le candaulisme et le cuckolding, bien que tabous et méconnus, représentent pour de nombreux couples un puissant stimulant de leur vie intime et amoureuse. Il s'agit d'explorer, au-delà des sentiers battus de la sexualité à deux, de nouveaux horizons riches en sensations fortes et en plaisir recherché.

Que ce soit le fait de voir son conjoint avec un ou une autre partenaire, de l'imaginer dans les bras d'un amant fictif, de partager vos ébats avec un voyeur consentant ou d'assister en simple observateur aux étreintes de votre moitié avec un tiers, les variations possibles offrent un vaste champ d'expression aux penchants plus ou moins exhibitionnistes de chacun.

Les membres de notre communauté sont invités à s'exprimer sans tabou ni retenue sur les scénarios, images mentales ou souvenirs qui titillent leur libido et alimentent leurs jeux de séduction à deux. Qu'il s'agisse de confidence, de témoignage, de questionnement ou de recherche de conseils avisés, cet espace se veut un lieu d'échange privilégié sur ces pratiques parfois mal comprises.

N'hésitez pas à partager avec nous, dans le détail suggestif ou cru de votre choix, ces petites « perversions » intimes qui subliment votre complicité de couple et boostent votre épanouissement sexuel. Car, il faut bien le reconnaître, le fantasme reste le meilleur moteur d'une sexualité épanouie !
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par nohop
#1743393
Petite histoire que j'ai dégoté et que j'aimerai partager avec vous.
Voici la première partie de ce récit imaginaire plein de surprises aussi extraordianires les unes ques les autres et qui trouveras bien sa place puisque le candaulisme y sera bien présent.
Je vous remercie par avance de vos commentaires et reste à l'écoute du modérateur si besoin...


"...J’ai 33 ans, je suis fils unique. Ma mère s’est séparée de mon père lorsque j’avais 14 ans et j’ai vécu avec elle jusqu’à mes 20 ans. Si je vous parle de ma mère, c’est qu’en vérité, j’ai commencé à me branler en pensant à elle lorsque j’avais 16 ans. Elle en avait alors 40. C’est venu petit à petit. Je ne me rappelle plus comment cela a commencé exactement. J’ai toujours été attiré par les femmes rondes, par celles qui ont des gros culs. Je trouve ça sensuel, excitant, sexy. J’aime les femmes qui ont des seins et des fesses qui se voient.

C’est le cas de ma mère. Aussi, j’ai toujours fantasmé sur son cul et je me branlais souvent en y pensant, en l’imaginant nue, en l’imaginant coquine et cochonne.
Je me branlais tous les jours, en pensant à elle. Puis, un jour que je me trouvais seul à la maison, j’ai décidé d’aller plus loin, je voulais jouir encore plus fort. Je me suis alors rendu dans la salle de bain et j’ai fouillé dans le panier à linge sale. J’en ai ressorti une culotte de ma mère. Tout en me branlant, je reniflais l’odeur de son sexe. Mon nez était précisément là où sa chatte avait sécrété tous ces envoûtants effluves. Je n’avais jamais bandé aussi fort. Mon cœur battait vite, mes mains tremblaient. Puis l’idée me vint d’aller fouiller dans la poubelle. J’y trouvais un protège-slip usagé. Je pris alors sa culotte pour me branler tandis que je sentais son protège-slip.

Une odeur d’urine, mélangée à une odeur de cyprine, s’en propageait.
Je fermai les yeux, en imaginant que je prenais ma mère comme une salope.
Je l’imaginai en train de me demander de l’enculer, de la lécher, de Jouir dans son anus... Secoué par la jouissance, j’éjaculai, pour la première fois, dans une de ses culottes.

Ce petit jeu a duré de nombreux mois. J’avais pris l’habitude de remplir ses culottes sales de mon sperme, tandis que je reniflais à pleins poumons ses protège-slips. Un jour, cependant, je fus surpris. Je pensais que la maison était vide, aussi j’enlevai mon pantalon et mon slip pour me rendre, la bite raide, dans la sale de bain à la recherche d’une culotte usagée. Tandis que je fouillais dans le panier à linge sale, ma mère entra et me découvrit en train de bander, une de ses culottes à la main. Elle fut autant surprise que moi et je devins rapidement rouge comme une tomate.

« Mais, que fais-tu... ? Me demanda-t-elle, étonnée.
– Je..., je..., je me déshabillais pour prendre une douche... ! » Bafouillai-je, en cachant la culotte que je tenais à la main.

Et elle regarda mon sexe dressé.

« Excuse-moi, finit-elle par me répondre, gênée, je n’avais pas entendu que tu étais dans la salle de bain ! »

Ce fut la première fois que ma mère me vit en train de bander. Inutile de vous dire que je me suis amplement branlé dans la baignoire, en repensant à sa tête quand elle m’a vu la bite à l’air. En fait, j’ai expérimenté, cette fois-là, une nouvelle technique..., me branler en me savonnant le sexe pour que ça glisse mieux. Ce fut une terrible erreur...

Le lendemain soir, ma bite était littéralement en feu, entièrement irritée, à vif. Je ne pouvais plus la toucher. La douleur étant si importante que je décidai d’en parler à ma mère en lui racontant que mon sexe s’était irrité dans mon slip durant le cours d’éducation physique et sportive. Elle me demanda, naturellement, de le lui montrer.

« Tu as fais ça en cours d’EPS ? Me demanda-t-elle, incrédule.
– Euh, je..., oui... ! »

Elle commença alors à prendre mon sexe et à l’observer délicatement.
Je priai, intérieurement, pour ne pas me mettre à bander.

« Bien, je vais te mettre de l’éosine ! »

Et elle revint, l’instant d’après, avec le petit flacon du liquide rouge. Elle recommença alors à me toucher le sexe délicatement, puis commença de petits mouvements, comme si elle me masturbait.

« Tu as mal ?
– Euh..., non, non, je n’ai pas trop mal, lorsqu’on le fait lentement ! »

Et petit à petit, je sentis mon sexe se durcir. Mais elle ne s’arrêta pas. Et en une minute, je me suis mis à bander comme un taureau. Je ne savais plus où me mettre. J’étais en train de bander devant ma mère. C’était un mélange de gêne et d’excitation.
J’étais gêné de bander, mais en même temps, je me régalais de bander devant ma mère. Le fait qu’elle voit ma bite bien dure, bien raide, m’excitait d’autant plus. Je me suis mis alors à mouiller et ma mère arrêta de me caresser le sexe.

« Voilà, dit-elle, sans me regarder, comme cela ça sera plus facile pour te mettre l’éosine ! »

Elle prit une feuille d’essuie-tout et me nettoya le sexe. Puis, elle me le badigeonna de ce liquide rouge et enfin, me demanda de remettre mon slip.
Ce soir là, je suis allé me coucher en pensant à ce qui c’était passé. Je revoyais ma mère en train de me caresser. Elle m’avait caressé ! Elle m’avait branlé ! Quelle salope... J’aurais aimé me branler, mais mon sexe me faisait trop mal. Je me suis donc endormi en pensant à elle, à son cul.

Les jours suivants, chaque soir ma mère venait voir comment ma bite guérissait. Et en une semaine, mon sexe retrouva sa peau de bébé (je me suis promis, depuis lors, de ne plus jamais me branler avec du savon).
De cette époque, la relation avec ma mère a totalement changé. Je la voyais d’un autre œil. Je la pensais, auparavant, coincée et frigide (elle n’avait pas eu de petit ami depuis sa séparation d’avec mon père), mais des petits signes m’indiquaient qu’elle devait certainement cacher son jeu. C’est ainsi que peu de temps après l’épisode du sexe à vif, je devais vivre un évènement qui me troubla définitivement.

C’était un samedi après midi, je sortais de la douche quand ma mère frappa à la porte et me demanda si elle pouvait entrer. Je pris aussitôt la serviette pour me sécher les cheveux, mais laissai, délibérément, mon sexe bien en évidence.

« Oui, bien-sûr, entre ! Répondis-je.
– Excuse-moi de te déranger, dit-elle en entrant et elle esquissa un regard en direction de mon sexe, c’est un peu gênant de te demander ça... ! »

Et hésita un instant.

« En fait, je n’ai personne à qui le demander !
– Oui... ?
– Et bien, je crois que j’ai des hémorroïdes, peux-tu regarder pour me dire si c’est ça ? »

Pendant une seconde, je restai sans voix, abasourdi.

« Euh, oui... ! » Bafouillai-je.

Et alors, je vis ma mère enlever sa jupe et baisser sa culotte. Une fois le cul à l’air, elle se pencha en avant et écarta ses fesses. Un spectacle incroyable s’offrit à moi. Je me demandais si je n’étais pas en train de rêver. Je ne reconnaissais plus ma mère. J’avais maintenant son cul en plein visage.

« Alors ? Demanda-t-elle. Tu vois quelque chose... ?
– Euh, je..., attends, je regarde ! »

Alors, je m’avançai pour regarder. Ses grosses fesses étaient bien écartées. Ses mains aux ongles vernis en rouges les tenaient de chaque côté. Je me mis alors à bander et à mouiller. J’étais excité et gêné, gêné et excité. Qu’est-ce que je n’aurais pas donné pour l’enculer sur place, pour prendre son gros cul et la défoncer.

« Tu vois ? Dit-elle. Ça ressemble normalement à une boursouflure sur le coin de l’anus !
– Euh, attends, je regarde.... ! »

Son anus était superbe. On aurait dit qu’il était en manque de bite.
Sa chatte, elle, était luisante et humide. Une grosse chatte, les poils étaient rasés en forme de ticket de métro. En observant son anus, je me rendis compte qu’une corolle marron l’entourait. La salope, pensais-je !
Elle n’était pas vierge du cul, j’en étais persuadé. Je matais suffisamment de films de cul pour me rendre compte que le contour foncé tout autour de son petit trou signifiait qu’il avait souvent accueilli des bites. « Quelle petite pute ! », pensai-je à nouveau, « Elle a déjà été enculée !». Je n’en revenais pas !

« Tu veux que j’écarte un peu plus ? Demanda-t-elle.
– Non, non, je suis en train de regarder... ! »


A suivre...
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par nohop
#1743665
Ok, voici la suite de cette fiction :

"...Alors, je m’avançai pour regarder. Ses grosses fesses étaient bien écartées. Ses mains aux ongles vernis en rouges les tenaient de chaque côté. Je me mis alors à bander et à mouiller. J’étais excité et gêné, gêné et excité. Qu’est-ce que je n’aurais pas donné pour l’enculer sur place, pour prendre son gros cul et la défoncer.

« Tu vois ? Dit-elle. Ça ressemble normalement à une boursouflure sur le coin de l’anus !
– Euh, attends, je regarde.... ! »

Son anus était superbe. On aurait dit qu’il était en manque de bite.
Sa chatte, elle, était luisante et humide. Une grosse chatte, les poils étaient rasés en forme de ticket de métro. En observant son anus, je me rendis compte qu’une corolle marron l’entourait. La salope, pensais-je !
Elle n’était pas vierge du cul, j’en étais persuadé. Je matais suffisamment de films de cul pour me rendre compte que le contour foncé tout autour de son petit trou signifiait qu’il avait souvent accueilli des bites. « Quelle petite pute ! », pensai-je à nouveau, « Elle a déjà été enculée !». Je n’en revenais pas !

« Tu veux que j’écarte un peu plus ? Demanda-t-elle.
– Non, non, je suis en train de regarder... ! »

Je me décidai à sortir de ma rêverie. Sur l’anus, je voyais effectivement une légère boursouflure.

« Oui, en effet, déclarai-je, finalement, on dirait que tu as des hémorroïdes ! »

Elle se redressa et parut embarrassée.

« Je me doutais qu’il s’agissait de ça, mais j’espérais qu’il en soit autrement ! »

Alors elle se retourna et se trouva devant mon sexe. Mon sexe raide et humide. Je me mis à rougir de plus belle. Cependant, elle ne parut pas gênée. Elle l’observa, puis me sourit, l’air de dire « ne sois pas gêné, ça arrive ! ». Alors, elle me remercia, puis se saisit de sa jupe et de sa culotte et me laissa seul dans la salle de bain.

Je n’en revenais pas. Tous mes membres tremblaient. Je venais de voir ma mère nue, mais plus encore, je venais de la voir dans une position que je n’aurais même pas pu imaginer. J’avais vu son cul, j’avais vu son sexe. Je l’avais vue, les fesses écartées, comme une salope. Sans réfléchir, je pris une de ses culottes et me vidai dedans.
Le soir, dans mon lit, je me suis branlé à nouveau, en repensant à ce qui c’était passé cette après midi là.

Le lendemain fut un jour mémorable. C’était le jour de mes 18 ans. Et j’eus un cadeau dont je me souviendrai toute ma vie. La journée s’était passée tout à fait normalement et lorsque le soir arriva, je montai dans ma chambre après avoir soupé. Ma mère me rejoignit rapidement après. Elle alla se mettre en chemise de nuit, puis vint frapper à ma porte. J’étais allongé sur le lit en train de lire. Elle s’avança, visiblement embarrassée.

« Je te dérange ? Demanda-t-elle.
– Non, pas du tout !
– Tu sais, à propos de ce matin..., mes hémorroïdes, hé bien je suis allée acheter une crème à la pharmacie et je voulais te demander si tu pouvais me la mettre ? »

« Elle le fait exprès, ce n’est pas possible ! » Pensais-je, aussitôt.

À nouveau, mon corps se mit à trembler, mon cœur s’accéléra. Mon rêve devenait réalité.

« Oui, bredouillai-je, tout penaud, oui bien-sûr !
– Merci, tu es adorable ! » Me dit-elle.

Elle me donna le tube de crème, puis se retourna et souleva sa chemise de nuit. Elle était nue, elle n’avait pas de culotte. Je me suis assis au bord du lit et alors elle s’est penchée et a écarté ses larges fesses.
Une nouvelle fois, elle me montrait son intimité. Je voyais son anus et son sexe. Je ne pouvais croire qu’elle ne l’avait pas fait intentionnellement. Je me mis à bander aussitôt. Mon sexe se dressa sous mon caleçon de nuit.
Je pris le tube de crème et en étalai une noisette sur mon doigt. Ma mère attendait, le cul ouvert. Instinctivement, ma main gauche commença à caresser ma bite. J’étais trop excité.

« Je l’étale sur la boursouflure ? Demandai-je, fébrilement.
– Oui, s’il te plaît ! »

« L’étaler sur l’anus ! » Me répétais-je, pourquoi ne pouvait-elle pas le faire elle-même ? Je ne voyais pas ce qu’il y avait de compliqué à le faire soi-même et cela me conforta dans l’idée que cette salope était venue intentionnellement me montrer son cul. J’approchai donc mon doigt de son petit trou et commençai à étaler la crème sur ses hémorroïdes. Je massai délicatement son anus, tandis que ma main gauche massait silencieusement ma bite raide et dégoulinante de mouille. Et plus je lui caressais la rondelle et plus je me branlais rapidement. Au bout de quelques secondes, j’étais si excité que ma bite commença à prendre le pas sur mon cerveau. Ainsi, sans réfléchir, je commençai à introduire mon doigt dans l’anus de ma mère.

« Oui, tu as raison, il faut aussi masser l’intérieur ! Vas-y délicatement, s’il te plaît ! »

Et disant cela, elle cambra un peu plus le dos. Je n’en revenais pas de ce que j’étais en train de faire. Je me branlais tout en mettant un doigt dans le trou du cul de ma mère. Cette vision acheva de me faire jouir et le sperme gicla de mon sexe pour se répandre dans mon caleçon.

Je réprimai un râle de plaisir tandis que tous mes membres tremblaient sous l’effet de la jouissance. Je vis alors que ma mère mouillait, sa chatte était toute humide. La petite pute avait pris du plaisir à mon massage anal.
Délicatement, je retirai mon doigt de son cul. Elle se redressa et laissa retomber sa chemise de nuit. Elle se retourna et me remercia. Heureusement son regard ne se posa pas sur mon caleçon, sur lequel une énorme tâche humide était maintenant visible. Elle se saisit du tube et me remercia à nouveau.

« C’est peut-être un peu gênant pour toi... ! Ajouta-t-elle, désolée.
– Non, non, pas du tout, il ne faut pas hésiter, tu sais ! »

Oh non, ce n’était pas gênant pour moi. Jamais, je n’avais joui autant de toute ma vie. J’avais branlé le cul de ma mère !

« Tu devrais aller te laver le doigt maintenant ! Me dit-elle, en souriant et quelque peu gênée.
– Oui... ! » Répondis-je, en souriant également.

Et tandis que je me levai, elle me demanda, innocemment :

« Au fait, ça va mieux pour ton irritation ? Ce n’est pas revenu ? »

Je la regardais, coitement.

« Mon irritation ?
– Oui, tu sais, tu ne veux pas me montrer pour que je puisse voir comment ça s’est rétabli ? »

Mon cœur se mit à battre la chamade. Je devins certainement rouge. Je ne savais pas quoi répondre. Ou plutôt, bien-sûr, que je savais, il ne fallait surtout pas qu’elle voit mon sexe couvert de sperme, sinon elle saurait que je me suis branlé et que j’ai joui.

« Tu sais, il n’y a rien à voir, il n’y a plus rien !
– Bien justement, ce ne sera pas long ! » Me dit-elle, en souriant.

Et sans que je puisse dire quoi que ce soit d’autre, elle se mit à genoux devant moi et commença à baisser mon caleçon. En l’espace d’une seconde, je me retrouvai le sexe à l’air, dégoulinant de sperme. Je débandai aussitôt, totalement gêné. Je vivais le pire moment de ma vie. J’imaginais le pire. J’imaginais que ma mère allait me traiter d’obsédé, de pervers. Mais, à ma grande surprise, elle n’en fit rien. Elle ne dit rien et ne me regarda pas. Elle se contenta de prendre mon sexe du bout des doigts et de l’examiner.

« Oui c’est vrai, ça a vraiment bien cicatrisé ! » Déclara-t-elle, enfin.

Alors elle fit tomber mon caleçon jusqu’à mes pieds. Elle s’en saisit et nettoya le sperme sur ma bite et mon pubis.

« Voilà, tu seras mieux ainsi ! »

Elle se leva et nos regards se croisèrent, l’espace d’une seconde. Je n’osais plus rien dire, j’entendais mon cœur battre dans mes oreilles.
J’avais l’impression que le sol se dérobait sous mes pieds.

Elle quitta ma chambre en refermant la porte. Je restai là sur mon lit, la queue à l’air. Je me demandai si je n’avais pas rêvé. Je pense que ce fut précisément ce jour-là que commença véritablement ma relation avec ma mère...

la suite si vous le voulez bien...?
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par nohop
#1744107
La suite de cette fiction, qui part dans une très bonne direction ;) :

"Les jours qui suivirent, ma mère ne me reparla plus d’hémorroïdes. À mon plus grand regret, elle semblait distante et je n’osais pas évoquer le sujet. Cependant, cet épisode m’avait particulièrement émoustillé et je n’arrivais pas à m’enlever de la tête la vision de son cul offert, de ses grosses fesses écartées. C’était ma mère, pourtant je n’aspirais plus, désormais, qu’à me branler en pensant à elle. Les dernières barrières morales avaient volé en éclat et je n’espérais qu’une chose : la voir à nouveau nue. Malheureusement, je ne l’aperçus nullement dans la tenue d’Eve et je dus me résoudre à retourner fouiller dans le panier à linges sales et dans la poubelle de la salle de bain à la recherche de culottes et de protège-slips usagés. Tous les jours, je venais y faire un tour pour, ensuite, aller me branler discrètement dans ma chambre. Je reniflais son odeur intime en m’imaginant en train de la baiser et je jouissais dans ses sous-vêtements.

Cela dura ainsi plusieurs semaines, jusqu’au jour où, un après-midi, je me retrouvai seul à la maison. Je décidai de farfouiller dans sa chambre. Je n’avais encore jamais osé m’immiscer ainsi dans son intimité, mais l’excitation était trop grande. Je voulais savoir ce qu’elle pouvait cacher au fond de ses tiroirs, espérant secrètement découvrir des choses troublantes.

Je commençai, d’abord, à regarder dans la penderie, puis dans sa table de chevet, mais n’y trouvai rien d’exceptionnel. Quelque peu déçu, je me dirigeai vers sa commode et inspectai chacun des tiroirs. Il y avait là des culottes, des bas et autres chaussettes, rien de bien extraordinaire. Lorsque j’ouvris le dernier tiroir je découvris un drap, soigneusement plié, couvrant toute la longueur du tiroir. Etonné par la présence de ce drap, je le soulevai et découvris deux boites à chaussures l’une à côté de l’autre. Je soulevai la première et, soudain, mon cœur sembla s’arrêter de battre. Là, dans la boîte, je découvris un énorme gode, il y avait aussi divers autres accessoires que je ne reconnus pas mais que j’imaginai aisément entrer dans tous les trous de ma mère.

Immédiatement, mon sexe se durcit et je me mis à bander comme un taureau. Sans attendre, je me saisis du gode. Je le sentis, je le touchai. J’imaginais ma mère l’utilisant. J’étais heureux et excité. J’avais trouvé ce que je n’osais pas imaginer. Ma mère, si réservée, si coincée, était une véritable coquine, une salope, elle était ce que j’espérais secrètement. Je reposai le gode et sortis mon sexe pour me branler, il était tout mouillé. Je regardai ensuite les autres objets.

Il y avait des boules accrochées à un fil, il y avait également un vibromasseur électrique, et, enfin, une sorte de gode dont l’une des extrémités représentait un gland et l’autre était un socle plat et rectangulaire, c’était un plug. Mon cœur battait la chamade, mes mains étaient moites, ma respiration s’accélérait, j’étais totalement excité. Je décidai alors d’ouvrir la deuxième boîte à chaussure et je fus surpris d’y découvrir deux cassettes vidéo. J’en attrapai une. Rien n’était marqué sur l’étiquette.

J’imaginai qu’il devait certainement s’agir de films pornos. Pourquoi aurait-elle caché ces vidéos autrement ? Définitivement excité, la queue à l’air, je refermai la première boîte et gardai la cassette que je tenais.

Je descendis promptement en bas et l’enfilai dans le magnétoscope. Ma mère ne rentrerait pas avant la fin de la journée, j’étais donc tranquille pour la visionner. J’enlevai mon pantalon et mon slip et appuyai sur Play.

Aussitôt, l’écran afficha de la neige. Rien d’autre. J’attendis quelques instants, mais aucune image n’apparut. Il n’y avait que de la neige et encore de la neige. Mon sexe commença à se ramollir.
L’excitation retomba. La cassette devait être vierge.
Je décidai, quand-même, d’accélérer la lecture pour en avoir le cœur net. Puis soudain, l’écran devint noir.

Je remis Play. Des bruits de fonds se firent entendre.
Puis, une image apparut. Il s’agissait d’un homme. Il était nu. Je ne m’étais pas trompé, il s’agissait bien d’un film de cul. L’excitation revint de nouveau.
J’entendis alors ensuite un autre homme parler :

« Viens, assieds-toi sur le lit ! »

À cet instant, je me sentis comme tomber dans le vide, car c’était la voix de mon père. C’était un film amateur et mon père était derrière la caméra. Il parlait à l’homme à poil. C’est alors que je reconnus l’ancienne chambre de mes parents. Et soudain, ma mère apparut à l’écran. Elle était nue. Elle alla s’asseoir sur le lit et écarta les jambes. Sa chatte était rasée. J’entendis, à nouveau, la voix de mon père :

« C’est bien, maintenant suce-lui la bite ! »


Wouuufff, que de surprises, c'est bien parti !!!
A suivre...
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par nohop
#1744594
Mmhhh, voici la suite "croustillante" :

« Viens, assieds-toi sur le lit ! »

À cet instant, je me sentis comme tomber dans le vide, car c’était la voix de mon père. C’était un film amateur et mon père était derrière la caméra. Il parlait à l’homme à poil. C’est alors que je reconnus l’ancienne chambre de mes parents. Et soudain, ma mère apparut à l’écran. Elle était nue. Elle alla s’asseoir sur le lit et écarta les jambes. Sa chatte était rasée. J’entendis, à nouveau, la voix de mon père :

« C’est bien, maintenant suce-lui la bite ! »

L’homme à poil, bedonnant, s’approcha et lui proposa sa queue. Ma mère l’avala sans broncher, en regardant la caméra.
Je me demandai si je n’étais pas en train de rêver.
Je n’en croyais pas mes yeux, je n’arrivais pas à croire que c’était ma mère. Elle qui, quand j’étais plus jeune, changeait de chaîne de télé dès qu’on voyait un bout de sein ou un morceau de fesse. Elle, qui n’osait jamais se mettre en monokini à la plage.
Elle, qui semblait si coincée du cul. Je découvrais dans sa véritable nature. C’était une salope, une vraie. Mon sexe était dur comme de la pierre, il était si dur qu’il me faisait mal.

« Tu es une brave pute, dit mon père. Maintenant mets-toi à quatre pattes, je veux voir ton cul de salope ! »

Je n’en croyais pas mes oreilles. Il lui parlait comme à une chienne et elle ne bronchait pas. Je la vis même s’exécuter. Elle s’agenouilla sur le lit et se pencha en avant. Puis, elle saisit ses grosses fesses et les écarta.

« Enlève-lui son plug ! » Dit mon père.

L’homme s’avança et retira l’objet du cul de ma mère.
Mon père fit un zoom. L’anus dilaté de ma mère s’offrait à la caméra. Mon père s’approcha et entra son doigt dans le trou du cul de ma mère et la masturba. Je l’entendis gémir.

« Tu es une belle pute, hein ? Dis-le !
– Oh oui, gémit ma mère, je suis une pute, je suis une pute... !
– Tu veux te faire défoncer le cul ?
– Oh oui, défoncez-moi le cul, s’il vous plaît, défoncez-moi le cul !
– Vas-y, dit mon père à l’homme bedonnant, encule-la ! Défonce-la, cette pute ! »

Ce dernier enfila un préservatif. Il avait une queue énorme, bien raide. Puis il écarta un peu plus les fesses de ma mère et entra son gland dans son cul, sans d’autres précautions. J’entendis ma mère gémir de douleur et de plaisir. L’homme commença ensuite à la ramoner, tandis que mon père continuait de filmer.

Je n’en pouvais plus, c’en était trop pour moi. Je me suis mis à me branler frénétiquement et en quelques secondes, j’éjaculai violemment. Tandis que je demeurai encore secoué par des spasmes de jouissance, je vis l’homme se retirer du cul de ma mère. Il enleva son préservatif et ma mère se retourna. Elle ouvrit la bouche et le mec éjacula dedans.

« Avale tout ! » Lui ordonna mon père.

Et elle n’en perdit pas une goutte, je n’en revenais pas.
Puis l’image se coupa. L’écran montra de la neige et une nouvelle image apparut. On voyait, cette fois-ci, ma mère, les yeux bandés, agenouillée dans la chambre.
Deux hommes lui offraient leur bite.

« Suce-les, ma chérie, montre-leur comme tu es une brave petite pute !
– Oui, déclara ma mère, en souriant et visiblement ivre de plaisir, je suis un petite pute, j’aime sucer des bites ! »

Elle ouvrit la bouche et le premier homme engouffra sa bite à l’intérieur. Elle commença à la sucer goulûment.
Ni une ni deux, ma bite se redressa. Le sperme dégoulinait encore, mais déjà, je bandais à nouveau. Je me suis alors branlé et une nouvelle fois, je jouis au bout de quelques secondes.
Je n’arrivais décidément pas croire ce que je voyais.
Je me suis branlé une nouvelle fois avant d’arrêter la lecture de la cassette. En fait, je me serais bien branlé une quatrième fois, tellement que j’étais excité de voir ma mère en vidéo, comme une salope, mais ma queue commençait à me faire mal.

Après m’être essuyé le sexe, je suis allé reposer la cassette là où je l’avais trouvée, puis j’attendis le retour de ma mère. Il me tardait de la voir, de l’observer. Elle rentra en fin d’après-midi, comme prévu. Elle fit le repas, tandis que je la déshabillais du regard, l’imaginant nue, l’imaginant soumise, l’imaginant salope. Elle cachait bien son jeu, derrière cette gentille maman coincée se cachait une vraie pute mangeuse de bites. Je ne l’ai pas quittée des yeux de toute la soirée, repensant au film, n’osant imaginer de quoi elle était capable en réalité. On mangea en parlant de sa journée. Après le repas, elle alla prendre une douche et alla se coucher. Moi je suis resté éveillé tard, n’arrivant pas à m’endormir. J’étais impatience de visionner à nouveau la cassette.

Le lendemain, je me suis réveillé tôt. C’était dimanche. Ma mère devait aller manger chez une amie.
Encore une fois, j’aurais toute la journée pour mater la vidéo. J’étais impatient qu’elle parte. Ce qu’elle fit à 11h. J’attendis dix minutes, puis, n’en pouvant plus, je suis monté dans sa chambre. J’ai ouvert le tiroir où se trouvaient les boites de chaussures et les ai ouvertes toutes les deux. Je me suis saisi du gode. Je l’ai admiré. Je l’ai senti. Je songeai qu’il avait été dans le sexe ou le cul de ma mère et sous l’excitation je me suis mis à la sucer. Je l’ai ensuite posé par terre et me suis saisi de la cassette de la veille. Je suis ensuite allé chercher une culotte souillée de ma mère, puis suis descendu au salon et j’ai mis la cassette dans le magnétoscope. Je suis ensuite allé m’asseoir, la télécommande à la main, la culotte dans l’autre.

Je n’avais pas encore déboutonné mon pantalon lorsque j’entendis la porte d’entrée s’ouvrir. Je fus soudain pris de panique. Je me levai précipitamment, cachai la culotte dans ma poche puis ma hâtai d’aller dans le couloir. Ma mère venait d’entrer. Je restai sans voix, paralysé. Je ne comprenais pas ce qu’elle faisait là.

« C’est encore moi, dit-elle, essoufflée, j’ai oublié mon portefeuille ! »

Je la regardai, sans savoir quoi dire.
Elle commença à monter les escaliers. Un frisson glacial me traversa.

« Où vas-tu ? Bredouillai-je, paniqué.
– Il est sur mon lit, je vais le chercher ! »

Et je la vis disparaître dans les escaliers. Je pensai alors au tiroir ouvert, au gode posé sur la moquette. Tout était fichu. Elle allait tout découvrir. J’étais mort. Mon cœur battait la chamade.
Mes mains tremblaient. J’ai attendu là plusieurs longues minutes. Puis, je l’entendis enfin redescendre.
Je savais qu’elle avait tout vu. Ce ne pouvait pas en être autrement. J’appréhendais sa réaction.
Lorsqu’elle arriva au bas de l’escalier, elle ferma son sac à main.

« Voilà, cette fois ci c’est la bonne ! S’exclama-t-elle, sur le ton de la plaisanterie.

Je la regardai, sans comprendre, m’attendant au pire.
Elle s’approcha ensuite de moi et me déposa un bisou sur la joue, elle semblait penaude.

« Bon, je file, à toute à l’heure ! » Dit-elle en esquissant un sourire.

Elle ouvrit la porte, me lança un regard gêné, puis s’en alla. Elle était partie sans que j’aie pu dire un mot. Sans m’avoir posé de questions. Sans avoir réagi.
Je restai devant la porte d’entrée, abasourdi. Se pouvait-il qu’elle n’ait rien vu ? Se pouvait-il qu’elle n’ait pas remarqué le tiroir ouvert ? Je ne comprenais pas.
Après m’être ressaisi, je montai, quatre à quatre, les escaliers et me suis précipité dans sa chambre.

Le tiroir était toujours ouvert. Le gode, lui, avait été rangé dans la boîte à chaussure.
Elle avait donc tout vu. Elle avait tout découvert et, pourtant, ne m’avait rien dit.
Je soupirai de bonheur. Je n’arrivais pas à le croire. Sans m’avoir rien dit, sans en avoir jamais parlé, ma mère venait d’accepter ce que je faisais.
Elle savait que j’allais visionner les deux cassettes et elle ne m’avait rien dit pour m’en empêcher.


Vivement la suite ?

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