- 03 mars 2015, 16:37
#1743393
Petite histoire que j'ai dégoté et que j'aimerai partager avec vous.
Voici la première partie de ce récit imaginaire plein de surprises aussi extraordianires les unes ques les autres et qui trouveras bien sa place puisque le candaulisme y sera bien présent.
Je vous remercie par avance de vos commentaires et reste à l'écoute du modérateur si besoin...
"...J’ai 33 ans, je suis fils unique. Ma mère s’est séparée de mon père lorsque j’avais 14 ans et j’ai vécu avec elle jusqu’à mes 20 ans. Si je vous parle de ma mère, c’est qu’en vérité, j’ai commencé à me branler en pensant à elle lorsque j’avais 16 ans. Elle en avait alors 40. C’est venu petit à petit. Je ne me rappelle plus comment cela a commencé exactement. J’ai toujours été attiré par les femmes rondes, par celles qui ont des gros culs. Je trouve ça sensuel, excitant, sexy. J’aime les femmes qui ont des seins et des fesses qui se voient.
C’est le cas de ma mère. Aussi, j’ai toujours fantasmé sur son cul et je me branlais souvent en y pensant, en l’imaginant nue, en l’imaginant coquine et cochonne.
Je me branlais tous les jours, en pensant à elle. Puis, un jour que je me trouvais seul à la maison, j’ai décidé d’aller plus loin, je voulais jouir encore plus fort. Je me suis alors rendu dans la salle de bain et j’ai fouillé dans le panier à linge sale. J’en ai ressorti une culotte de ma mère. Tout en me branlant, je reniflais l’odeur de son sexe. Mon nez était précisément là où sa chatte avait sécrété tous ces envoûtants effluves. Je n’avais jamais bandé aussi fort. Mon cœur battait vite, mes mains tremblaient. Puis l’idée me vint d’aller fouiller dans la poubelle. J’y trouvais un protège-slip usagé. Je pris alors sa culotte pour me branler tandis que je sentais son protège-slip.
Une odeur d’urine, mélangée à une odeur de cyprine, s’en propageait.
Je fermai les yeux, en imaginant que je prenais ma mère comme une salope.
Je l’imaginai en train de me demander de l’enculer, de la lécher, de Jouir dans son anus... Secoué par la jouissance, j’éjaculai, pour la première fois, dans une de ses culottes.
Ce petit jeu a duré de nombreux mois. J’avais pris l’habitude de remplir ses culottes sales de mon sperme, tandis que je reniflais à pleins poumons ses protège-slips. Un jour, cependant, je fus surpris. Je pensais que la maison était vide, aussi j’enlevai mon pantalon et mon slip pour me rendre, la bite raide, dans la sale de bain à la recherche d’une culotte usagée. Tandis que je fouillais dans le panier à linge sale, ma mère entra et me découvrit en train de bander, une de ses culottes à la main. Elle fut autant surprise que moi et je devins rapidement rouge comme une tomate.
« Mais, que fais-tu... ? Me demanda-t-elle, étonnée.
– Je..., je..., je me déshabillais pour prendre une douche... ! » Bafouillai-je, en cachant la culotte que je tenais à la main.
Et elle regarda mon sexe dressé.
« Excuse-moi, finit-elle par me répondre, gênée, je n’avais pas entendu que tu étais dans la salle de bain ! »
Ce fut la première fois que ma mère me vit en train de bander. Inutile de vous dire que je me suis amplement branlé dans la baignoire, en repensant à sa tête quand elle m’a vu la bite à l’air. En fait, j’ai expérimenté, cette fois-là, une nouvelle technique..., me branler en me savonnant le sexe pour que ça glisse mieux. Ce fut une terrible erreur...
Le lendemain soir, ma bite était littéralement en feu, entièrement irritée, à vif. Je ne pouvais plus la toucher. La douleur étant si importante que je décidai d’en parler à ma mère en lui racontant que mon sexe s’était irrité dans mon slip durant le cours d’éducation physique et sportive. Elle me demanda, naturellement, de le lui montrer.
« Tu as fais ça en cours d’EPS ? Me demanda-t-elle, incrédule.
– Euh, je..., oui... ! »
Elle commença alors à prendre mon sexe et à l’observer délicatement.
Je priai, intérieurement, pour ne pas me mettre à bander.
« Bien, je vais te mettre de l’éosine ! »
Et elle revint, l’instant d’après, avec le petit flacon du liquide rouge. Elle recommença alors à me toucher le sexe délicatement, puis commença de petits mouvements, comme si elle me masturbait.
« Tu as mal ?
– Euh..., non, non, je n’ai pas trop mal, lorsqu’on le fait lentement ! »
Et petit à petit, je sentis mon sexe se durcir. Mais elle ne s’arrêta pas. Et en une minute, je me suis mis à bander comme un taureau. Je ne savais plus où me mettre. J’étais en train de bander devant ma mère. C’était un mélange de gêne et d’excitation.
J’étais gêné de bander, mais en même temps, je me régalais de bander devant ma mère. Le fait qu’elle voit ma bite bien dure, bien raide, m’excitait d’autant plus. Je me suis mis alors à mouiller et ma mère arrêta de me caresser le sexe.
« Voilà, dit-elle, sans me regarder, comme cela ça sera plus facile pour te mettre l’éosine ! »
Elle prit une feuille d’essuie-tout et me nettoya le sexe. Puis, elle me le badigeonna de ce liquide rouge et enfin, me demanda de remettre mon slip.
Ce soir là, je suis allé me coucher en pensant à ce qui c’était passé. Je revoyais ma mère en train de me caresser. Elle m’avait caressé ! Elle m’avait branlé ! Quelle salope... J’aurais aimé me branler, mais mon sexe me faisait trop mal. Je me suis donc endormi en pensant à elle, à son cul.
Les jours suivants, chaque soir ma mère venait voir comment ma bite guérissait. Et en une semaine, mon sexe retrouva sa peau de bébé (je me suis promis, depuis lors, de ne plus jamais me branler avec du savon).
De cette époque, la relation avec ma mère a totalement changé. Je la voyais d’un autre œil. Je la pensais, auparavant, coincée et frigide (elle n’avait pas eu de petit ami depuis sa séparation d’avec mon père), mais des petits signes m’indiquaient qu’elle devait certainement cacher son jeu. C’est ainsi que peu de temps après l’épisode du sexe à vif, je devais vivre un évènement qui me troubla définitivement.
C’était un samedi après midi, je sortais de la douche quand ma mère frappa à la porte et me demanda si elle pouvait entrer. Je pris aussitôt la serviette pour me sécher les cheveux, mais laissai, délibérément, mon sexe bien en évidence.
« Oui, bien-sûr, entre ! Répondis-je.
– Excuse-moi de te déranger, dit-elle en entrant et elle esquissa un regard en direction de mon sexe, c’est un peu gênant de te demander ça... ! »
Et hésita un instant.
« En fait, je n’ai personne à qui le demander !
– Oui... ?
– Et bien, je crois que j’ai des hémorroïdes, peux-tu regarder pour me dire si c’est ça ? »
Pendant une seconde, je restai sans voix, abasourdi.
« Euh, oui... ! » Bafouillai-je.
Et alors, je vis ma mère enlever sa jupe et baisser sa culotte. Une fois le cul à l’air, elle se pencha en avant et écarta ses fesses. Un spectacle incroyable s’offrit à moi. Je me demandais si je n’étais pas en train de rêver. Je ne reconnaissais plus ma mère. J’avais maintenant son cul en plein visage.
« Alors ? Demanda-t-elle. Tu vois quelque chose... ?
– Euh, je..., attends, je regarde ! »
Alors, je m’avançai pour regarder. Ses grosses fesses étaient bien écartées. Ses mains aux ongles vernis en rouges les tenaient de chaque côté. Je me mis alors à bander et à mouiller. J’étais excité et gêné, gêné et excité. Qu’est-ce que je n’aurais pas donné pour l’enculer sur place, pour prendre son gros cul et la défoncer.
« Tu vois ? Dit-elle. Ça ressemble normalement à une boursouflure sur le coin de l’anus !
– Euh, attends, je regarde.... ! »
Son anus était superbe. On aurait dit qu’il était en manque de bite.
Sa chatte, elle, était luisante et humide. Une grosse chatte, les poils étaient rasés en forme de ticket de métro. En observant son anus, je me rendis compte qu’une corolle marron l’entourait. La salope, pensais-je !
Elle n’était pas vierge du cul, j’en étais persuadé. Je matais suffisamment de films de cul pour me rendre compte que le contour foncé tout autour de son petit trou signifiait qu’il avait souvent accueilli des bites. « Quelle petite pute ! », pensai-je à nouveau, « Elle a déjà été enculée !». Je n’en revenais pas !
« Tu veux que j’écarte un peu plus ? Demanda-t-elle.
– Non, non, je suis en train de regarder... ! »
A suivre...
Voici la première partie de ce récit imaginaire plein de surprises aussi extraordianires les unes ques les autres et qui trouveras bien sa place puisque le candaulisme y sera bien présent.
Je vous remercie par avance de vos commentaires et reste à l'écoute du modérateur si besoin...
"...J’ai 33 ans, je suis fils unique. Ma mère s’est séparée de mon père lorsque j’avais 14 ans et j’ai vécu avec elle jusqu’à mes 20 ans. Si je vous parle de ma mère, c’est qu’en vérité, j’ai commencé à me branler en pensant à elle lorsque j’avais 16 ans. Elle en avait alors 40. C’est venu petit à petit. Je ne me rappelle plus comment cela a commencé exactement. J’ai toujours été attiré par les femmes rondes, par celles qui ont des gros culs. Je trouve ça sensuel, excitant, sexy. J’aime les femmes qui ont des seins et des fesses qui se voient.
C’est le cas de ma mère. Aussi, j’ai toujours fantasmé sur son cul et je me branlais souvent en y pensant, en l’imaginant nue, en l’imaginant coquine et cochonne.
Je me branlais tous les jours, en pensant à elle. Puis, un jour que je me trouvais seul à la maison, j’ai décidé d’aller plus loin, je voulais jouir encore plus fort. Je me suis alors rendu dans la salle de bain et j’ai fouillé dans le panier à linge sale. J’en ai ressorti une culotte de ma mère. Tout en me branlant, je reniflais l’odeur de son sexe. Mon nez était précisément là où sa chatte avait sécrété tous ces envoûtants effluves. Je n’avais jamais bandé aussi fort. Mon cœur battait vite, mes mains tremblaient. Puis l’idée me vint d’aller fouiller dans la poubelle. J’y trouvais un protège-slip usagé. Je pris alors sa culotte pour me branler tandis que je sentais son protège-slip.
Une odeur d’urine, mélangée à une odeur de cyprine, s’en propageait.
Je fermai les yeux, en imaginant que je prenais ma mère comme une salope.
Je l’imaginai en train de me demander de l’enculer, de la lécher, de Jouir dans son anus... Secoué par la jouissance, j’éjaculai, pour la première fois, dans une de ses culottes.
Ce petit jeu a duré de nombreux mois. J’avais pris l’habitude de remplir ses culottes sales de mon sperme, tandis que je reniflais à pleins poumons ses protège-slips. Un jour, cependant, je fus surpris. Je pensais que la maison était vide, aussi j’enlevai mon pantalon et mon slip pour me rendre, la bite raide, dans la sale de bain à la recherche d’une culotte usagée. Tandis que je fouillais dans le panier à linge sale, ma mère entra et me découvrit en train de bander, une de ses culottes à la main. Elle fut autant surprise que moi et je devins rapidement rouge comme une tomate.
« Mais, que fais-tu... ? Me demanda-t-elle, étonnée.
– Je..., je..., je me déshabillais pour prendre une douche... ! » Bafouillai-je, en cachant la culotte que je tenais à la main.
Et elle regarda mon sexe dressé.
« Excuse-moi, finit-elle par me répondre, gênée, je n’avais pas entendu que tu étais dans la salle de bain ! »
Ce fut la première fois que ma mère me vit en train de bander. Inutile de vous dire que je me suis amplement branlé dans la baignoire, en repensant à sa tête quand elle m’a vu la bite à l’air. En fait, j’ai expérimenté, cette fois-là, une nouvelle technique..., me branler en me savonnant le sexe pour que ça glisse mieux. Ce fut une terrible erreur...
Le lendemain soir, ma bite était littéralement en feu, entièrement irritée, à vif. Je ne pouvais plus la toucher. La douleur étant si importante que je décidai d’en parler à ma mère en lui racontant que mon sexe s’était irrité dans mon slip durant le cours d’éducation physique et sportive. Elle me demanda, naturellement, de le lui montrer.
« Tu as fais ça en cours d’EPS ? Me demanda-t-elle, incrédule.
– Euh, je..., oui... ! »
Elle commença alors à prendre mon sexe et à l’observer délicatement.
Je priai, intérieurement, pour ne pas me mettre à bander.
« Bien, je vais te mettre de l’éosine ! »
Et elle revint, l’instant d’après, avec le petit flacon du liquide rouge. Elle recommença alors à me toucher le sexe délicatement, puis commença de petits mouvements, comme si elle me masturbait.
« Tu as mal ?
– Euh..., non, non, je n’ai pas trop mal, lorsqu’on le fait lentement ! »
Et petit à petit, je sentis mon sexe se durcir. Mais elle ne s’arrêta pas. Et en une minute, je me suis mis à bander comme un taureau. Je ne savais plus où me mettre. J’étais en train de bander devant ma mère. C’était un mélange de gêne et d’excitation.
J’étais gêné de bander, mais en même temps, je me régalais de bander devant ma mère. Le fait qu’elle voit ma bite bien dure, bien raide, m’excitait d’autant plus. Je me suis mis alors à mouiller et ma mère arrêta de me caresser le sexe.
« Voilà, dit-elle, sans me regarder, comme cela ça sera plus facile pour te mettre l’éosine ! »
Elle prit une feuille d’essuie-tout et me nettoya le sexe. Puis, elle me le badigeonna de ce liquide rouge et enfin, me demanda de remettre mon slip.
Ce soir là, je suis allé me coucher en pensant à ce qui c’était passé. Je revoyais ma mère en train de me caresser. Elle m’avait caressé ! Elle m’avait branlé ! Quelle salope... J’aurais aimé me branler, mais mon sexe me faisait trop mal. Je me suis donc endormi en pensant à elle, à son cul.
Les jours suivants, chaque soir ma mère venait voir comment ma bite guérissait. Et en une semaine, mon sexe retrouva sa peau de bébé (je me suis promis, depuis lors, de ne plus jamais me branler avec du savon).
De cette époque, la relation avec ma mère a totalement changé. Je la voyais d’un autre œil. Je la pensais, auparavant, coincée et frigide (elle n’avait pas eu de petit ami depuis sa séparation d’avec mon père), mais des petits signes m’indiquaient qu’elle devait certainement cacher son jeu. C’est ainsi que peu de temps après l’épisode du sexe à vif, je devais vivre un évènement qui me troubla définitivement.
C’était un samedi après midi, je sortais de la douche quand ma mère frappa à la porte et me demanda si elle pouvait entrer. Je pris aussitôt la serviette pour me sécher les cheveux, mais laissai, délibérément, mon sexe bien en évidence.
« Oui, bien-sûr, entre ! Répondis-je.
– Excuse-moi de te déranger, dit-elle en entrant et elle esquissa un regard en direction de mon sexe, c’est un peu gênant de te demander ça... ! »
Et hésita un instant.
« En fait, je n’ai personne à qui le demander !
– Oui... ?
– Et bien, je crois que j’ai des hémorroïdes, peux-tu regarder pour me dire si c’est ça ? »
Pendant une seconde, je restai sans voix, abasourdi.
« Euh, oui... ! » Bafouillai-je.
Et alors, je vis ma mère enlever sa jupe et baisser sa culotte. Une fois le cul à l’air, elle se pencha en avant et écarta ses fesses. Un spectacle incroyable s’offrit à moi. Je me demandais si je n’étais pas en train de rêver. Je ne reconnaissais plus ma mère. J’avais maintenant son cul en plein visage.
« Alors ? Demanda-t-elle. Tu vois quelque chose... ?
– Euh, je..., attends, je regarde ! »
Alors, je m’avançai pour regarder. Ses grosses fesses étaient bien écartées. Ses mains aux ongles vernis en rouges les tenaient de chaque côté. Je me mis alors à bander et à mouiller. J’étais excité et gêné, gêné et excité. Qu’est-ce que je n’aurais pas donné pour l’enculer sur place, pour prendre son gros cul et la défoncer.
« Tu vois ? Dit-elle. Ça ressemble normalement à une boursouflure sur le coin de l’anus !
– Euh, attends, je regarde.... ! »
Son anus était superbe. On aurait dit qu’il était en manque de bite.
Sa chatte, elle, était luisante et humide. Une grosse chatte, les poils étaient rasés en forme de ticket de métro. En observant son anus, je me rendis compte qu’une corolle marron l’entourait. La salope, pensais-je !
Elle n’était pas vierge du cul, j’en étais persuadé. Je matais suffisamment de films de cul pour me rendre compte que le contour foncé tout autour de son petit trou signifiait qu’il avait souvent accueilli des bites. « Quelle petite pute ! », pensai-je à nouveau, « Elle a déjà été enculée !». Je n’en revenais pas !
« Tu veux que j’écarte un peu plus ? Demanda-t-elle.
– Non, non, je suis en train de regarder... ! »
A suivre...
L'amant parfait n'existe pas ! Seul le cocu pleinement satisfait saura reconnaître l'amant véritable pour sa femme