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Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
par britlo
#69937
Bonjour voici le récit de notre aventure j'attends vos réactions.

Elle venait d’avoir 40 ans moi j’en avais déjà 43 ans, quand nous nous sommes interrogés sur notre vie de couple, nous étions mariés depuis déjà pas loin de quinze ans. Nos interrogations principales tournaient autour de notre vie de couple mais aussi de notre vie amoureuse et d’une lassitude dont on avait peur tous les deux. Sincèrement je crois que cette crainte était plus forte chez que chez elle.
Nous organisions des weekends amoureux une à deux fois dans l’année, cette occasion nous permettait de faire du tourisme culturelle mais aussi nous permettait de nous retrouver dans des hôtels chics ou de belles maisons d’hôtes. Nous en profitions aussi pour réaliser des soirées amoureuses « préparées » entre nous où je lui demandais de se faire belle avant d’aller au restaurant et de passer ensuite une soirée très coquine ensemble.
C’est pendant ces weekend que nous avons progressé ensemble, elle s’est d’abord garni de sous-vêtements dentelles très sexy et classe avec porte-jarretelles, nuisettes transparentes et autres dessous chics. De plus je lui ai acheté son premier sextoy ressemblant à un sexe d’homme. J’ai commencé aussi à lui mettre un bandeau sur les yeux, et tous ces articles de jeux ont commencé augmenté progressivement notre plaisir.

C’est lors d’un de ces weekend que tout a basculé, alors qu’elle était allongée sur le dos je m’approcha à genoux d’elle tout en lui caressant ses parties intimes avec le sextoy. Elle me pris alors dans sa bouche, elle aimait manger mon sexe elle y prenait grand soin en le dégustant savoureusement en le léchant parcelle par parcelle. Elle faisait réellement cela à merveille. C’est à ce moment là (je ne sais toujours pas pourquoi) que je lui ai parlé d’un autre homme (tout à fait imaginaire) qui nous regardait faire l’amour ; en fait qui la regardait surtout elle, et là quel tableau. Il ne lui restait que ces bas et porte-jarretelles noir, elle avait les cuisses ouvertes et le vibro caressait gentiment son sexe. Je lui dit que l’homme la regardait et qu’il trouvait que son corps était magnifique qu’il avait un tableau érotique en face de lui très très beau, qu’il avait aussi très envie de la toucher de la caresser voire de la cajoler. Je lui caressais alors en même temps les seins et lui demandais de bien bomber sa poitrine et de les montrer à notre complice imaginaire mais aussi de bien ouvrir ses cuisses. Je sentis chez elle un frisson, elle accentua son application à sucer, je crois que mes évocations l’avait excitée.
En effet dès je mis à la toucher avec ma main alors qu’elle continuait à me sucer, je l’ai sentie réagir vivement à ses caresses.
Ce qui chez moi provoqua l’envie de continuer de lui parler ainsi, je lui ai alors indiqué que notre complice virtuel s’apprêtait à lui toucher les seins d’ailleurs ce n’était plus moi qui lui touchait cette partie du corps mais lui, il profitait de sa beauté et de son corps doux et plaisant à caresser. Ma main continuait ses manœuvres et je sentais mon amour de plus en plus excitée, ainsi je pris de nouveau la parole en lui indiquant que l’homme avait sorti son sexe tout dur de son caleçon tout en poursuivant de lui titiller son clitoris avec doigts. Je la sentis encore plus vibrer à cette évocation. Alors le coup fatal tomba en lui indiquant que notre complice la complimentait sur sa manière de me sucer et qu’il voulait aussi qu’elle le prenne à son tour dans sa bouche… J’ai eu à peine dit ce dernier mot qu’un orgasme terrible l’envahissait, son corps montrait des secousses de jouissance importantes, jamais je ne l’avais vu avoir un tel orgasme.

Cet épisode fut le départ de nouvelles discussions à propos de notre plaisir et de nos fantasmes.
Ainsi elle m’avoua que l’un d’eux revenait souvent dans ses pensées et ça depuis de nombreuses années.
Il s’agissait de « faire l’amour avec deux hommes ».
Je lui ai tout de suite indiqué que je n’étais pas contre le fait de réaliser avec elle son fantasme, que je l’aimais beaucoup et que de la voir prendre du plaisir, accentuait mon amour pour elle. Je n’étais pas à priori jaloux si je maitrisais la situation et que nous aurions choisi ensemble le complice.
Elle m’indiqua que c’était pour elle un pur fantasme, qu’elle n’avait pas pensé le réaliser vraiment, que cela n’était pas envisageable. Je crois que son éduction judéo-chrétienne ne lui avait jamais permis d’imaginer même la réalisation d’un tel acte, Patricia est une femme bcbg, discrète, timide et très bonne mère de famille.
Nous avons continué nos rapports sexuels en les basant sur des jeux où je faisais intervenir un complice virtuel, je sentais qu’elle aimait beaucoup cela. Ainsi un jour je lui proposai de rencontrer un autre homme avec moi, mais qu’il n’avait rien d’obligatoire juste un essai une rencontre afin de ressentir si elle pouvait réaliser cette aventure.
Elle accepta enfin juste de discuter avec lui à la rigueur sur internet, c’était une avancée colossale pour moi. Ainsi je me mis en quête de trouver le complice idéal, un homme sérieux, bcbg, classe, respectueux et de bonne éducation. C’est ainsi que j’ai mis quelques annonces sur des sites de rencontres coquine, les réponses ne tardèrent pas et une particulièrement m’attira. C’était un médecin pratiquant à côté d’Auxerre, il avait 57 ans et recherchait une femme ou un couple pour s’amuser et passer de bons moments dans la discrétion, cet homme était en effet marié. J’avais aussi une certaine appréhension et pour moi le fait qu’il soit plus âgé que nous deux était plutôt rassurant. Nous avons dialogué sur internet et par msn, les premiers contacts courtois nous ont amenés à continuer et très normalement je lui ai permis aussi de dialoguer avec Patricia. Ce qu’il m’a étonné c’est que leur dialogue est resté très très soft, ils n’ont jamais osé ni l’un ni l’autre abordé le sujet principale pour lequel ils dialoguaient ensemble. Pourtant, Jacques seul avec moi sur msn abordait le sujet et montrait qu’il avait bien envie de s’occuper de Patricia.
par britlo
#70047
Nous rencontrâmes Jacques à Paris dans un café de Saint Germain, Patricia s’était apprêtée pour l’occasion malgré qu’elle réfutait donner de l’importance à cette rencontre. Elle s’était habillée avec une robe colorée sans manche et des escarpins, elle était très jolie, et faisait même ce jour là détourner les yeux de certains hommes. Nous arrivâmes au lieu du rendez-vous un café, je reconnus Jacques après l’avoir vu au préalable par cam, nous nous installâmes à une table du café. Je fis les présentations, Patricia était déjà rouge comme une pivoine, nous avions convenu que nous n’aborderions pas le sujet de notre rencontre ce jour là mais juste discuter et apprendre à se connaitre pour une meilleure entrée en matière. Jacques le Docteur était très courtois semblait intelligent, il n’était pas très beau mais laissait paraitre une certaine classe que pouvait je le pensais apprécier Patricia. Physiquement il était chatain sans trop de cheveux blanc, pas très grand il portait des lunettes et était plutôt bien portant comme le montrait un ventre prédominant. Nous discutâmes pendant une heure environ de tout et de rien, Jacques était plutôt à l’aise et monopolisait la conversation. Je m’aperçu très rapidement que Patricia lui plaisait beaucoup et qu’il tentait gentiment de la rassurer sur l’homme qu’il était. C’était une bonne stratégie, elle finit par sourire à certain de ces propos, je le trouvais aussi charmant et sympathique. Nous nous quittâmes en nous promettant de nous revoir, je l’espérais aussi vivement car je pensais qu’il pouvait être vraiment l’homme de la situation.
Le soir même à la maison, nous reparlâmes de cette rencontre, je fus véritablement en faveur de Jacques qui m’avait laissé une très bonne impression, Patricia était quand à elle assez réservée, elle trouvait Jacques pas très beau, un peu vieux pour elle, qu’elle serait gênée de la situation. Je mis alors dans la balance l’éducation de Jacques sa classe et sa prestance, et je poussa vivement en faveur de la candidature de Jacques.
Il ne tarda pas d’ailleurs à se manifester par email afin de savoir comment Patricia l’avait perçu, je le réconfortais tout de suite en lui répondant que je tentais de forcer la décision de Patricia en sa faveur, qu’il était pour moi un parfait complice. D’ailleurs nos conversations sur msn avaient bien alimenté mon avis sur lui et qu’il était le complice idéal pour jouer avec Patricia.
Il nous proposa de le visiter à Auxerre un week end, il travaillait le samedi après midi et son épouse devait partir à la fin du mois de novembre chez une amie passer le week end à Lyon.
Il pouvait ainsi même nous héberger si nous le souhaitions. Je fis passer l’invitation à Patricia qui encore une fois tergiversa en disant que ce n’était pas raisonnable, qu’allait t-il se passer, qu’elle serait gênée et très intimidée. Je pris sur moi et lui indiqua que c’était l’occasion rêvée, Jacques était quelqu’un de très bien que nous ne pouvions pas mieux tomber. De toute manière Jacques avait indiqué dans son invitation que rien n’était obligatoire et que nous pouvions venir pour une simple visite amicale.
Cela finissait de rassurer Patricia qui accepta son invitation, toutefois nous avions prévu de repartir le samedi soir après diner.
Nous partimes le fameux samedi en début d’après-midi pour rejoindre Auxerre, où Jacques nous attendait chez lui dans sa maison qui était aussi son lieu de travail. Lorsque nous arrivâmes nous découvrîmes une très belle demeure bourgeoise du début du 20ième siècle , son cabinet médicale se trouvait dans une aile restaurée de la bâtisse. Son assistante médicale était encore là, elle nous fit patienter quelques instants, avant que notre docteur vienne nous accueillir dans la salle d’attente, il nous fit alors entrer dans son cabinet. Il embrassa alors Patricia par deux bises de bienvenue, et me serra fortement la main. Il nous indiqua qu’il avait encore quelques patients qu’il allait donc nous faire conduire par son assistante dans une chambre d’amie avec une salle de bain attenante, que nous pouvions si nous le souhaitions nous restaurer et faire ce qui nous plaisait. J’indiquais quand même à Jacques que Patricia avait été prises de migraine en venant et que cela se répétait souvent ces temps-ci. Patricia indiqua qu’il n’y avait rien de grave, mais Jacques insista pour ausculter Patricia et de prendre son poul et sa tension. Chérie s’il-te-plait profite de Jacques et de ses compétences, tout de suite il vint à côté d’elle en lui prenant la main pour la faire se lever et l’amener vers la table d’auscultation. Patricia se jour là n’avait pas voulu s’habiller de manière trop provocante malgré mon insistance, elle avait un chemisier classique avec une jupe étroite, complété par des bas dim up et des dessous en dentelle noir assez jolies. Il lui demanda avant de s’allonger juste de déboutonner son chemisier afin qu’il puisse passer le stéthoscope. Patricia ne disait rien elle s’exécutait mais je la sentais très intimidée, elle finit par s’allonger sur la table d’auscultation.
Jacques alors de manière très professionnel vient lui faire les manipulations usuelles en pareil cas pour un médecin tout en lui écartant les deux pans de son chemisier pour une vérification de routine concernant le foie. Je sentais qu’il prenait son temps à tâter la jolie et douce peau de Patricia et à découvrir sa poitrine encore cachée par un soutient gorge en dentelle noir de très belle qualité. Il demanda à Patricia de se détendre de ne pas être nerveuse comme cela, elle avait d’ailleurs un peu de tension, il fût d’ailleurs obligé de si prendre à deux fois pour lui lire la tension. Il finit son examen avec son stéthoscope en écoutant son cœur battre il avait passé le capteur sous le soutien gorge, je sentais Patricia un peu gênée mais je m’approchai d’elle en lui prenant la main pendant que le médecin l’auscultait. Une fois avoir terminé avec son stéthoscope il continua à la masser les épaules à la frictionner Patricia n’osait rien dire et se laissait faire, il la complimenta aussi sur sa peau qu’elle était magnifique et indiqua que j’avais beaucoup de chance d’avoir une aussi belle femme que Patricia. Tout en continuant de la complimenter elle toujours allongée il commença gentiment à passer ses mains sur son soutient gorge. Patricia ne bronchait pas, comme tétanisée elle se laissait faire, Jacques lui parlait gentiment il lui indiquait que pour son age (i.e. 40 ans), elle avait une peau encore très bien tendu et merveilleusement douce, sa peau satinée d’asiatique tranchait d’ailleurs avec la peau des mains de Jacques dont les premières taches de vieillesse apparaissaient. Tout en lui parlant calmement ses mains ne restaient pas inactives, il avait réussi à bien écarter les deux pans du chemiser baisser les bretelles de son soutient gorge, et il commençait à lui masser doucement le haut de ses seins directement à même la peau. Elle le regardait et l’écoutait pendant que je lui tenais toujours une main comme pour la rassurer, mais elle ne faisait rien pour stopper la progression des mains de Jacques qui s’enhardissait. Maintenant il malaxait les seins de Patricia, le soutient gorge était arrivé sur son ventre, il les pétrissait gentiment en s’arrêtant sur le bout des seins. Je la sentis avoir alors son premier frisson, Jacques la complimenta encore sur sa façon de s’être habillée pour venir le voir , qu’il la trouvait magnifique, tout d’un coup Patricia me regarda avec insistance comme pour me dire que dois je faire ? Je compris son regard, je posa alors directement mes lèvres sur les siennes, c’était ma manière d’acquiescer ce qui se passait. Jacques n’était pas dupe, une de ses mains avait quitté les seins de Patricia pour aller se poser sur le haut d’un genoux. Je fini alors d’embrasser Patricia en lui disant gentiment laisse toi aller mon amour. Jacques en profita encore pour remonter doucement la jupe de Patricia jusqu’à faire apparaitre le haut de ses bas auto-fixant. Je continuais à tenir une main de Patricia pendant que de l’autre je lui caressais doucement le visage, je sentais que son souffle s’était accéléré, elle fermait aussi les yeux. Je sentais que Jacques était comblé de pouvoir caresser Patricia et de la découvrir petit à petit, il la félicitait toujours sur sa beauté, et disait qu’il avait de la chance que beaucoup d’hommes aurait souhaité être à sa place, que c’était un honneur pour lui de pouvoir découvrir Patricia et ses charmes. Ses mains d’ailleurs s’enhardissaient, je sentis que l’apparition de son string le décontenança, il faut dire que la jupe retroussée, les bas auto-fixant et le string noir en dentelle était d’un très bel effet érotique. Tout de suite sa main vint chercher le string en dentelle qui ne résista pas longtemps, la main entière se glissa sous l’étoffe et les doigts se mirent à explorer le nid douillet sans vergogne. Patricia émit son premier petit cri alors que Jacques s’exclama, « mais Patricia vous êtes déjà toute humide, sans vous avoir réellement touché », il quitta alors sa position sur le côté de Patricia pour venir se mettre plus prêt de ses jambes pour la libérer complètement de son string en lui remontant également sa jupe sur son ventre, il commença alors à lui écarter les jambes et lui fit posé ses pieds sur deux petits étriers qui se situaient sur les côtés de la table d’auscultation. Il se positionna entre ses jambes et vint lui embrasser le ventre l’intérieur des cuisses, ce spectacle ne me laissait pas indifférent je bandais comme jamais. Patricia fermait les yeux elle se délectait des caresses de Jacques qui vient prêt de son entre jambe sans pouvoir résister longtemps sa bouche et sa langue vinrent découvrir la saveur de sa petite chatte fraichement taillée pour l’occasion, elle était très agréable de toute manière car elle avait très peu de poils, des lèvres à son anus il n’y avait aucune trace de pilosité. Elle fut alors comme électrisée, Jacques avait pris position et lui prodiguait un cunnilingus comme s’il n’avait pas mangé de petite chatte comme celle de Patricia depuis des lustres (ce qui d’ailleurs était peut être le cas). Je vins alors embrasser Patricia pour éteindre ses gémissements, elle m’embrassa comme jamais, on aurait dit une affamée, la jouissance ne tarda pas d’ailleurs, Jacques ne lui laissa aucun répits, et j’entendais les clapotements de sa langue dans la chatte de mon épouse, Patricia n’en pouvait plus une longue convulsion accompagna sa jouissance, alors que le téléphone retentit et rappela au docteur qu’il n’avait pas terminé sa journée.
Jacques quitta alors brusquement le champ de bataille et parti répondre à son bureau à l’appel téléphonique. Patricia se remettait elle aussi d’un orgasme fabuleux (selon ses dires après coup).
par britlo
#70630
Jacques quitta alors brusquement le champ de bataille et parti répondre à son bureau à l’appel téléphonique. Patricia se remettait elle aussi d’un orgasme fabuleux (selon ses dires après coup).
Jacques nous indiqua alors qu’il devait recevoir un nouveau patient qu’il n’en avait plus pour longtemps, que nous devions aller avec sa secrétaire qui nous accompagnerait jusqu’à la chambre d’hôte. Il nous indiqua également qu’il nous avait préparé un festin pour ce soir que nous allions passer une super soirée, et demanda à Patricia malicieusement de prendre ses aises et de profiter de sa demeure.

En effet la secrétaire nous fît visiter la maison de Jacques qui était une admirable demeure bourgeoise avec pas moins de huit chambres. Elle nous laissa alors dans notre chambre d’amis qui était très bien décorée, je pense que ce genre d’endroit allait permettre à Patricia de se sentir bien et à l’aise. Elle aimait la propreté en général, les choses soignées et bien rangées. De ce côté-là il n’y avait rien à redire chez Jacques.
Elle prit tout de suite une douche dans la salle d’eau attenante à notre chambre. Je la suivis et nous nous retrouvâmes dans le lit de notre chambre. Nous nous embrassâmes, sans parler de ce qui venait de se passer. Patricia après cette forte émotion ne tarda pas à s’endormir pour une sieste des plus récupératrice.
Je repensais alors sur le lit allongé à ce qui venait de se passer, me remémorer cet épisode m’excita de nouveau et j’avais vraiment hâte d’arriver à la soirée qui nous attendait.
Patricia se réveilla vers 18h30, je lui indiquai qu’elle ne devait pas tarder de s’apprêter que j’étais prêt à lui préparer ses affaires. A son réveil elle n’avait plus tout à fait la même humeur et me dit qu’elle resterait juste manger ensuite nous devrions repartir, que nous étions un peu fou d’avoir accepté une telle invitation. Je crois que la honte l’avait un peu envahie, le naturel de son éducation refaisait surface, je tentai alors de la rassurer d’indiquer qu’on était là ensemble pour s’amuser prendre du plaisir aussi que rien n’était obligatoire, que Jacques était un gentleman qu’il n’abuserait pas de la situation. Je réussi à la calmer petit à petit, et l’invita à prendre une douche qui lui fera le plus grand bien.
Je sortis alors ses affaires avec une nouvelle série de dessous, comprenant un ensemble magnifique en dentelle noir soutien-gorge plus string et un porte-jarretelles accompagné de bas nylon noir classique du plus bel effet, je lui préparai aussi une robe Kenzo sans manche qui se fermait à l’aide d’une fermeture éclair discrète dans le dos, et pour finir des escarpins avec des talons qui lui permettait de gagner bien 7 à 8 centimètres.
Elle ne dit rien et s’habilla alors que j’entendis Jacques rentrer de son cabinet médical sa journée était terminée. Je descendais alors dans le salon où il s’apprêtait d’allument un feu de cheminée qui était de circonstance.
Il m’indiqua tout de suite qu’il était très heureux de notre venue, qu’il avait vraiment apprécié cette entrée en matière, il m’avoua qu’il trouvait Patricia adorable et qu’il espérait pouvoir encore s’amuser avec elle. Il me remercia encore de lui avoir fait confiance, et me demanda comment Patricia avait réagit après coup, je lui expliquai qu’elle semblait un peu regretter, qu’elle était après sa sieste dans un autre état d’esprit. Il me dit de ne pas m’inquiéter qu’il allait de nouveau la mettre gentiment en confiance et que nous allions passer une superbe soirée. Je n’étais pas aussi certain que lui qui semblait sûr de lui.
A 19h30 je partis la chercher dans sa chambre, elle m’indiqua encore qu’elle partirait juste après le diner que l’expérience était terminée que cela ne lui plaisait plus. Elle trouvait Jacques sympathique mais un peu malsain et pervers (ce sont les mots qu’elle utilisa), je tentais alors de la rassurer juste avant de le rejoindre au salon.
Jacques nous attendait avec une coupe de champagne dans chaque main qu’il nous offrit en complimentant Patricia sur sa tenue, elle acquiesça avec un sourire coincé. Jacques ouvrit la conversation en parlant de ses futures vacances et nous avançâmes gentiment dans la soirée sans une allusion à ce qui s’était passé dans l’après midi au cabinet médical.
Il vint alors l’heure de passer à table, Jacques alla chercher les plats dans sa cuisine qu’il avait commandé à un traiteur de la région, le feu crépitait, les volets et rideaux étaient fermée, une ambiance feutrée régnait dans ce salon bourgeois. En nous déplaçant vers la table d’hôtes Patricia me dit qu’elle ne se sentait pas très bien qu’elle souhaitait partir juste après le dîner, je commençai alors à douter, et que nous allions devoir effectivement partir une fois le dessert mangé.
Le repas fût divin, Jacques avait fait de son mieux, nous nous régalâmes tous le long du repas, entrecoupé de discussions qui n’abordèrent jamais le sujet pour lequel nous étions chez Jacques. Patricia souriait quand même à certain propos de Jacques qui nous racontait des anecdotes médicales. La fin du repas arriva, Jacques eu alors l’idée que l’on fasse une photo tous les trois devant le gâteau pour garder un souvenir. Je trouvais l’idée très bonne et je partis chercher notre appareil dans la chambre qui se situait à l’autre bout de la demeure, Patricia restait un moment seule alors que Jacques allait chercher le dessert.
Je mis un certain temps à trouver l’appareil photo je redescendis disons une dizaine de minutes plus tard par l’escalier qui descendait directement dans la salle à manger. En descendant les deux premières marches qu’elle ne fut pas ma surprise !!!
par britlo
#72954
En descendant les deux premières marches qu’elle ne fut pas ma surprise !!!
Je stoppais net ma descente en voyant Jacques debout derrière la chaise de Patricia qui était restée assise. Jacques était penché sur elle il l’embrassait goulument à pleine bouche et lui pelotait ses seins directement sur sa robe. Patricia avait l’air d’apprécier le moment, elle se laissait faire, je voyais leur langue s’entremêler. Cette situation m’excita beaucoup, je regardais et contemplais la situation. Il en profitait le bougre et ses mains n’arrêtaient pas de malaxer la poitrine de Patricia, il aurait voulu passer une main sous l’étoffe de la robe, mais cela était trop juste, il se résignait à la peloter au dessus du tissu.
Puis au bout d’un moment il se dégagea et lui proposa de se lever et de venir dans le salon, elle s exécuta et passa devant lui, il en profita pour l’aider en plaçant une main dans son bas du dos, il devait à cet endroit sentir son porte-jarretelles. Je décidai alors de les rejoindre en descendant l’escalier, en faisant croire que je n’avais rien vu de la scène.
Nous nous retrouvâmes tous les trois dans le salon autour du feu de cheminée, et Jacques servit le dessert j’installai l’appareil photo afin que l’on puisse être pris tous les trois sur le canapé.
Nous mangeâmes le très bon gâteau, une photo mémorisa l’évènement. Nous étions tous les trois sur le canapé Patricia se trouvait entre nous deux. Jacques alors revint à l’attaque en s’adressant à moi et disant que j’avais une chance inouïe d’avoir une femme si charmante, si belle, si désirable, Patricia ne disait rien mais rougit. Jacques nous demanda alors de nous embrasser devant lui qu’il avait envie de voir le beau couple que nous formions. Je m’approchai de Patricia et m’exécutai je trouvai immédiatement ses lèvres, je sentais qu’elle était en attente et se laissait faire. Je faisais face à Jacques en embrassant Patricia, je le regardai et je le vis me faire des gestes derrière le dos de Patricia en m’imitant d’ouvrir une fermeture, en fait il voulait que je fasse descendre la fermeture de la robe de Patricia. Je le fis instantanément, tout en continuant à la serrer dans mes bras et à l’embrasser, Patricia me demanda ce que je faisais et me dit qu’il ne fallait pas, j’insistai au grand plaisir de Jacques, elle me dit dans le creux de l’oreille d’arrêter je ne l’écoutais plus et baissa la fermeture jusqu’en bas de son dos. Jacques entrepris immédiatement en s’approchant d’elle de lui masser le dos avec ses deux mains. Patricia restait accrochée à moi mais les mains de Jacques qui s’était rapproché s’aventurait dans le dos sur le ventre. Il continuait à la féliciter sur son parfum, sur sa tenue disait qu’il avait une super chance de pouvoir être avec nous à s’occuper d’elle. Elle se détourna de moi alors un instant et se laissa aller en arrière jusqu’à que son dos s’appuie sur le torse de Jacques. Il en profita sans hésiter malgré que je sois là à chercher sa bouche et ses mains saisissent à nouveaux les petits seins de Patricia. Je les laissais faire en les regardant c’était magnifique la langue de Jacques s’engageait goulument dans la bouche de Patricia, elle se laissait complètement porter par Jacques, sa robe avait glissé, ses épaules était nus, Jacques en profita immédiatement pour faire glisser également les bretelles de son soutien-gorge. Il avait à présent ses deux mains qui attrapaient les deux seins libérés, je sentais Patricia fondre je m’approchai aussi d’elle pour profiter et embrasser également un de ses jolis tétons. Jacques alors interrompit la scène et demanda à Patricia de se lever, elle s’exécuta immédiatement nous restâmes Jacques et moi assis sur le canapé, elle se positionna juste devant Jacques, qui entreprit de la débarrasser de sa robe, elle apparu alors en porte-jarretelles, string et escarpins, le soutien-gorge était placé sur le ventre, il finit par le détaché. Il demanda alors à Patricia de tourner devant lui pour admirer sa beauté, il n’en revenait pas je crois d’avoir une belle fille comme cela entre ses mains. Patricia s’exécuta et tourna devant lui, il en profita pour lui peloter les fesses, une de ses mains glissa sous la légère et fine étoffe du string afin de rentrer dans les replis intimes de chair de Patricia. Elle gloussa, je la trouvais changé, elle ne disait rien se laissait complètement faire, elle semblait complètement apprécier ce qui se passait. Je regardais ce tableau qui était magnifique. Je voyais Jacques qui contemplait le corps de Patricia en l’embrassant gentiment au niveau des hanches et du ventre, ses mains aussi passaient et repassaient à l’intérieur du string mais aussi entre les fesses de Patricia.
Il entreprit de lui baisser son string que j’avais demandé à Patricia de passer au dessus du porte-jarretelles qui lui restait ainsi bien en place. Il plaça alors son visage juste devant le pubis joliment taillé de Patricia qu’il admira ainsi quelques instants avant de se pencher et d’humer le nectar d’amour qu’il dégageait en passant son nez et sa bouche dans les petits poils pubiens qu’ils pouvaient rester. Il regarda alors Patricia en lui indiquant « tu es magnifique Patricia, tu vas voir nous allons bien s’occuper de toi, maintenant ma belle mets tes genoux sur le bord du canapé et tes mains sur le haut du dossier. Elle s’exécuta sans rien dire aider par Jacques avec une main malicieuse entre les fesses. Je la trouvais extrêmement provocante dans cette position, je ne pensais pas qu’elle aurait pu poser ainsi. La main de Jacques se fut alors plus précise je vis son pouce s’enfoncer dans le vagin de Patricia sans aucune difficulté avec les autres doigts de la même main qui recouvrait tout son sexe jusqu’au pubis, il la maintenait ainsi, je sentais que cela lui plaisait. Elle remuait son ventre pour mieux sentir les doigts de Jacques agir délicieusement dans son ventre. Je vins me mettre à la hauteur de son visage, je me mis à l’embrasser tout en caresser sa poitrine, elle était toujours à genoux et offrait comme cela sa belle croupe aux caresses de Jacques qui n’en perdait pas une miette. Il continuait tout en la caressant à la féliciter lui disait qu’il la trouvait merveilleusement jolie, il commença alors à embrasser lécher le bas du dos, puis les fesses offertes de Patricia. Il était à genoux lui aussi mais directement sur le sol du salon, avec le visage à hauteur des fesses de Patricia, il profitait de la situation et n’en perdait pas une miette, il dévorait littéralement les fesses de Patricia, en la léchant embrassant et suçant, il vient ainsi directement passer sa langue dans la raie culière, la rencontre de la langue de Jacques avec le petit trou de Patricia eu pour effet de la faire sursauter, tu me chatouilles indiqua-t-elle. Il continua longuement à lécher habilement de haut en bas, il prit les deux globes des fesses avec ses mains afin de les écarter doucement pour avoir mieux accès au nid douillet de Patricia. Il plaça ainsi la pointe de sa langue sur son anus, il commença alors à faire tourner sa langue sur en poussant légèrement comme s’il souhaitait enfoncer sa langue directement dans le petit trou tout lisse de Patricia. Cette image était affreusement excitante, il gardait en même temps son pouce dans le vagin et les doigts toujours tripotant les lèvres de Patricia ; Elle gloussait gentiment et je sentais son excitation pointée. Il lui demanda alors « Ma belle Patricia, lève un peu tes fesses, que je puisse mieux te manger, il plaça son visage carrément dans les parties intimes de Patricia, son nez pointait directement dans la vagin, alors que sa bouche absorbait la partie clitoridienne. Il avalait directement le clitoris de Patricia, le résultat ne se fit pas attendre, Patricia stoppa de m’embrasser pour pousser un cri de jouissance que rarement j’avais pu entendre. Elle se relâcha complètement sur le canapé et s’allongea pour récupérer. Jacques en profita pour se déshabiller, j’en fis de même. Jacques avait un sexe épais peut être plus court que le mien mais plus gros. Il bandait déjà fermement, il vient s’assoir à coté de Patricia en lui passant la main derrière le cou, j’étais debout devant eux assis dans le canapé il incita alors Patricia à me prendre dans sa bouche, elle soigneusement ouvrit la bouche pour me gober complètement le sexe, puis pris un long mouvement d’aspiration et de succion qui me fit un effet immédiat. Jacques tout de suite lui indiqua qu’elle était superbe et que l’image que nous renvoyions était subliment érotique. Il lui dit également qu’elle était magnifique et qu’elle était faite pour l’amour. Il chercha aussi une main de Patricia, elle se laissa faire, pour la diriger vers son Chibre. Patricia empoignât le sexe de Jacques, je le regardais faire, puis Jacques dit à Patricia « Ma belle Patricia maintenant prends moi dans ta bouche aussi, regarde il t’attend il est dressé pour toi ».
Sans rien dire Patricia se détacha de mon sexe et se pencha vers celui de Jacques et le pris tendrement dans bouche. Elle le dégusta, Jacques fit une moue de plaisir ; je voyais qu’elle apportait une attention particulière à réaliser cette fellation. Elle avait pris aussi de son autre main mon sexe qu’elle secouait gentiment. Elle dégagea le sexe de Jacques de sa bouche en sortant sa langue. Elle entreprit de le lécher, avec la pointe de sa langue. Cette épisode dura une dizaine de minute au moins ou elle passa sa langue sur a peu prêt toute les partie du sexe de Jacques, de la base jusqu’à la fente du prépuce. Jacques n’en pouvait plus et continuait de la féliciter, elle ne me relâchait pas non plus mais apportait une attention buccale plus importante à Jacques, j’entrepris alors de me libérer et de me placer derrière elle. Je la pris gentiment en levrette alors qu’elle continuait de se délecter du sexe de Jacques comme une glace à cornet interminable. Sa bouche faisait des succions autour du prépuce de Jacques, la scène me donnait le tournis, il me fit peu d’aller retour dans Patricia, pour sentit une excitation interne terrible monter en moi.
Au bout de moins de cinq minutes j’explosais dans Patricia, elle avait sur le moment exprimé aussi une excitation intense mais Jacques voulait aussi profiter de la chaleur vaginale de Patricia.
Il lui demanda de stopper la fellation et récupéra rapidement un condom qu’il paca sur son sexe.
Il demanda immédiatement à Patricia de venir se placer à califourchon sur lui, il profita pour lui gober littéralement ses petits seins. Ses mains placées sous les fesses de Patricia ne restaient inactives et les doigts venaient chatouiller le petit anus de Patricia. Je récupérais et profitais du spectacle. Il fit aussi changer de position Patricia qui gloussait gentiment, il finit par l’installer sur le canapé assise au bord et lui à genoux par terre. Il la prise ainsi d’une manière rapide et assez brutale, surprise Patricia partie précipitamment dans une phase qu’elle ne contrôlait plus, des spasmes et des cris importants jaillissent de sa bouche. Jacques la pistonna ainsi sans stopper pas loin de trois minutes qu’il la fit jouir d’une manière extrêmement intense. Nous récupérâmes tous les trois sur le canapé avant Jacques nous propose de nous faire un tilleul pour récupérer nos émotions. Nous acceptâmes, Jacques dans la cuisine, Patricia m’indiqua qu’elle était gênée de se qui s’était passé et me demanda de dire à Jacques qu’elle préférait renter à la maison.

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