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A cet endroit particulier et réservé du forum cando, qui est entièrement dédié aux récits et aux confidences intimes des membres les plus libertins, vous avez la possibilité de partager et de raconter avec force détails toutes vos expériences candaulistes les plus débridées ainsi que vos aventures libertines les plus folles vécues dans le cadre du candaulisme et du cuckolding.

N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
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6. Mon cadeau d'anniversaire...

En matière de trahison, je suis à présent convaincu que « l’occasion fait la Larronne », comme on dit. Si on ajoute à cela le rôle de cette naïveté sans limites dont on peut faire preuve en tant que mec, on obtient un cocktail fait de circonstances, de tentations et de complicité active (la notre) qui finit par produire ce résultat fatal : en l'espace de quelques temps, l’épouse la plus sage, la plus fidèle, la plus convenue peut devenir une vraie créature, capable d’entrer dans des plans vraiment limites. Et le pire : tout ceci, bien souvent, en semblant conserver une part de son « innocence » passée.

Enfin, c’est un peu ce qui me sera arrivé en moins de quelques mois, l’année dernière. J’ai déjà décrit les premiers moments de cette expérience : ma chère Anne, petite quarantaine, cadre dans un grand ministère, très chic sur elle, un peu timide, se laisse tout d’abord aller avec moi à un phantasme bien innocent : je m'étais mis dans l'idée un soir de lui faire l'amour en « jouant » le rôle de l’un de ses nouveaux collègues, le beau Sofiane, croisé par hasard à son bureau. Un essai... très vite transformé par ma belle, à l’issue d’un déjeuner pris au Novotel avec ce même Sofiane : je les ai vus sous mes yeux abandonner leurs desserts pour terminer l'après-midi dans les étages du même établissement ! Sympa, quand même, ma chère et tendre : elle a tenu à ce que je « participe » en m’appelant sur son i-phone puis en m’envoyant les images et le son de ses ébats. Et puis ses aveux successifs, ensuite : d'abord mon vieux copain Christophe, par lequel elle se faisait sauter depuis deux ou trois mois et aussi, tant qu’elle y était, son trio avec Christophe et sa meilleure-copine-de-bureau, une jolie blonde qui au départ craquait un peu pour moi, et qu’elle a rapidement dissuadée de s'intéresser à mon cas !

Et pourtant, certains de ses aveux m’ont paru... difficiles à passer, presque chargés de quelques remords. Par ailleurs elle a toujours conclu ses confessions en m’affirmant de façon répétée (...et même en me prouvant un peu), que malgré tout ça, c’était bien moi qu’elle aimait, n’est-ce pas ? Honnêtement, il faut pouvoir décoder.

Les événements évoqués dans mon dernier récit (ses aveux concernant son trio avec Christophe et Sèverine) se sont déroulés en Juillet. Depuis... j’ai tenté de reprendre le contrôle (un peu) et nous avons eu quelques aventures amusantes, à ma seule initiative, des aventures que je raconterai peut-être, séparément. Bien sûr, je ne suis pas naïf au point de penser que ces jeux lui suffisent et qu’elle ne s’est pas trouvé de nouveaux amants ou amantes. Mais, malgré les quelques investigations que j’ai menées, je n’ai pu pour l’instant prendre ma Miss en défaut. Je crois finalement qu’Anne est une très, très grande comédienne. Ou bien.... qu’elle est complètement schizo !

En bref, je pouvais craindre de revenir à un certain train-train, à peine amélioré par les quelques « plans » que je viens d’évoquer, si mon anniversaire récent - c’était un Vendredi, il y a quelques semaines - n’avait donné l’occasion à ma belle de me prouver son esprit d’invention, en me faisant la fête d’une manière tout à fait inhabituelle. Voici donc « l’affaire », dont je n’ai changé que quelques détails purement anecdotiques...

La veille au soir, je parle de la veille de mon anniversaire, Anne m’avait annoncé qu’elle avait "pris" sa journée du lendemain, afin d’aller chez le coiffeur, puis de faire les magasins, me trouver un petit cadeau, etc... Et pour la soirée, elle nous avait réservé une table « en amoureux » dans un excellent restaurant de la rue Lepic, au dessus de Pigalle.

Le lendemain donc, elle disparaît comme prévu en fin de matinée et revient vers 13h30 toute jolie, son carré auburn raccourci, redessiné, et sa courte frange toujours aussi bondissante. Pourquoi perdre du temps, me dit-elle : et dans la foulée elle se change, enfile un petit tailleur noir de saison, très chic. Elle est ravissante ! Par l’échancrure de sa veste j’aperçois la dentelle noire du dernier Aubade que je lui ai offert... je jette un coup d'oeil à ses jolies jambes, mais la longueur raisonnable de sa jupe ne me permets hélas pas d’espérer qu’il s’agisse de bas et non de collants (il faisait quand même un peu froid...). La voici prète ! Elle me propose alors d’aller sur les Champs, il y a plein de boutiques, et tiens, pourquoi ne pas commencer par le Virgin ? Elle a quelques idées de bouquins pour moi, autant démarrer par là ! En route donc pour les Champs Elysées et le Virgin.

L’horreur des rues parisiennes et des parkings réunis m’incitent à lui proposer de la déposer devant le Magasin, puis d’aller garer la voiture avant de la rejoindre. L’idée est excellente, me dit-elle, et, une fois sur place, je l’abandonne donc face au Mégastore pour me mettre en quête d’une place quelconque. Vingt minutes plus tard, c’est à mon tour de m’engouffrer dans le temple de la Zique et de l’Edition. Je descends vers la grande librairie, située au sous-sol, franchis la sorte de mezzanine où se trouvent les caisses et me met en devoir de retrouver ma belle. Pas mal de monde, c’est sûr, mais point de Miss Anne ni au rayon dictionnaires, ni aux livres d’art, ni aux ouvrages d’actualité. Point d’épouse non plus au rayon économie et politique... Je franchis la volée de marche qui mène aux romans en tout genre, jette un regard circulaire, et... je l’aperçois enfin, dans le coin le plus à gauche de l’espace.

Elle se tenait face à de larges rayons, et semblait feuilleter un gros ouvrage, posé sur une tablette. En même temps.... un type était là à ses côtés, pas mal, grand, un peu plus grand que moi, 1m90 peut-être, entre 35 et 40 ans au jugé, et il semblait parcourir l’ouvrage avec elle, lui faire quelques commentaires, d’un air détaché. J’ai pensé un instant qu’il faisait peut-être partie du personnel, mais non, il n’avait ni la tête ni la tenue de l’emploi. J’hésitai, pris la décision de m’approcher un peu. Ce faisant, je découvris très vite que le coin où ils se trouvaient était réservé, entièrement, du haut en bas et d’un bout à l’autre, à la littérature... érotique. Ca, c’était bien elle ! Aucune pudeur. Elle vient ici afin de me choisir un beau bouquin de cul, et elle ne peut s’empêcher de demander son avis au premier venu ! Après une nouvelle hésitation, je décidai d’interrompre leur débat. Je m’approche donc, prend Miss Anne par la taille et lance :
- C’est moi !
...tout en jetant au type un regard soupçonneux.

Anne sursaute, pousse un petit cri, prend le temps de refermer son bouquin et de le reposer, dos vers le haut, puis me réplique, l’air un peu gênée :
- Tu m’as fait peur ! Tu en as mis un temps à arriver ! J’étais... en train d’essayer de choisir pour toi un bouquin un peu... enfin, un peu « amusant », quoi ! Elle rit, nerveusement. Mais il y a un tel choix, ici, que j’ai vraiment du mal... et Heu.... Monsieur (elle me montre le gars) qui... était là lui aussi, heu... m'a vue dans... l'embarras et... il... m'a il proposé hardiment de m'aider par ses conseils, voilà !

Le type esquissa un sourire vaguement ennuyé et confirma :
- Il faut dire qu’on ne sait trop où donner de la tête, ici !

Tant qu’il ne s’agissait que de donner de la tête, me dis-je, songeur... Et j’allais donc presser ma femme de se décider rapidement, quand je fus pris d’une nouvelle hésitation : lui demander de se dépêcher pour me choisir un cadeau... n’était pas forcément très diplomatique. Cette seconde de temps mort me fut hélas fatale. Très naturellement, Anne poursuivit en effet :
- Mon chéri.... ! C’est quand même un peu compliqué de te choisir quelque chose si tu as le nez dessus ! Tu ne veux pas aller... me trouver un polar, par exemple ? Essaye de mettre la main sur un auteur Norvégien ou Finlandais, si tu peux en trouver un que je n’aie pas lu ! On se retrouve ici, je ne bouge pas, d’accord ?

Bon. Que pouvais-je faire ? Certainement pas un scandale, ce jour-là. Et puis elle avait réagi avec tellement de naturel, qu’après tout il était fort probable que je m’énervais pour rien, et de toutes façons, elle n’allait pas mettre des heures à finaliser son choix, avec ou sans l’aide du dragueur. Je partis donc à l’opposé de la salle, à la recherche des dits polars, mais je dûs bien vite faire ce dur constat : les polars nordiques étaient exposés dans la salle à côté, et j'allais devoir perdre le contact visuel avec les deux tourtereaux. Un peu stressé quand même, je m’y rendis, explorai rapidement quelques rayonnages, la tête ailleurs, il faut dire qu'en matière de polars nordiques, elle avait TOUT lu... elle l'avait fait exprès, c'était pas possible ! Pris d’une impulsion, je revins brusquement vers la pièce précédente, le coeur battant - fausse alerte : depuis le seuil du passage qui relie les deux espaces, je pouvais la voir, ou plutôt les voir tous les deux, car l’autre était toujours là et bien là. Il avait l’air d’être en train de lui lire un passage quelconque d’un ouvrage d’assez grand format, et elle, elle avait l’air... de faire semblant de s’en horrifier - je l’entendais même rire de là où je me trouvais ! Je retournai donc vers les auteurs Vikings, décidé à m’acquitter très vite de ma mission, quitte à prendre n’importe quel bouquin pourvu que le nom de l’auteur se termine par « -sson » ! Je tombai sur un truc amusant, et surtout de saison : « les dix femmes de l’industriel Rauno Rämekorpi». Sur la couverture : un Père Noël, allongé par terre. Je le parcourus : pas mal ! Soulagé, je fis un demi-tour rapide et repassai dans la salle d’avant et là, je dus très vite me rendre à l’évidence : Anne avait disparu. De même, apparamment, que son chevalier servant !

Un instant paniqué, je tente de me raisonner : elle devait être à la caisse, tout simplement, ayant oublié un peu vite le rendez-vous qu’elle m’avait donné au rayon « érotisme » ! Et il n’y avait aucune raison pour que LUI ait continué à la « coacher ». Anne n’était quand même pas aussi téméraire ! Je me fraie donc un passage jusqu’à la mezzanine - il y avait à présent un monde fou, plusieurs queues aux caisses... mais pas de trace de ma douce et tendre. Je remonte jusqu’au rez-de-chaussée, me rue à l’extérieur. Je scrute désespérément à gauche et à droite les trottoirs glissants des Champs Elysées et le flot des passants inhabituellement prudents : toujours pas de trace de ma belle. Je me dis que tout ceci n’est pas possible, qu'elle (ou ils) ne pouvai(en)t être bien loin... Dans un café, peut-être ? Elle aurait accepté de prendre un verre avec son dragueur ? Mouais. Je l’appelle donc sur son mobile mais c’est sa messagerie qui décroche, instantanément.

Difficile de décrire la demi-heure qui suivit. Son mobile ne répondant pas, j’en conclus qu’elle se trouve hors de tout signal, donc toujours au sous-sol du Virgin que j’explore fébrilement, de fond en comble. En vain. Je ressors, visite les deux-trois cafés les plus proches. Personne. Je la rappelle quatre fois, sans succès. A la cinquième, il se passe un truc bizarre. Son téléphone décroche, j’entends vaguement sa voix, un peu distante, ainsi que des bruits de pas sur un trottoir, des bruits de circulation : visiblement elle discute avec quelqu’un, tout en marchant. Mais elle ne me prend pas. Je reste scotché à mon mobile, le même fond sonore me parvient encore une trentaine de secondes, et puis sa tonalité change, le fond de plan urbain disparaît, elle semble entrer dans un immeuble, toujours en conversant. Il y a d’autres voix, et j’en déduis qu’il s’agit d’un lieu public, un bistro ou un magasin peut-être. Leurs voix sont neutres, je ne distingue pas les paroles, mais elle rit, deux ou trois fois. Bon... elle doit être plus haut sur les champs, avec l’autre... sans doute l’a-t-il invitée dans une brasserie un peu plus classe que les troquets du coin.

Un peu rassuré, mais intrigué, je prends la décision de retourner à la voiture et de rentrer chez nous, préférant attendre à l’abri le fin mot de l’histoire. Anne est une grande fille, elle se débrouillera bien toute seule, où qu’elle se trouve.

Je retrouve donc notre voiture, descend attraper le périphérique à la Porte Maillot, toute proche. Pile-poil à l’instant où je m’engage face au Palais des congrès, mon Nokia retentit. Je me gare instantanément en double file, c’est bien son mobile qui appelle, je décroche. Et là, stupeur : c’est une voix de mec qui m’interpelle, et de plus, qui m’interpelle par mon prénom : « Marc ? »

- Oui ???
- ...heu... je vous appelle de la part de votre épouse, Anne...
- OUI ?! ...il ne lui est rien arrivé ???
- Non, non, rien du tout ! Enfin... OUI, ... si l’on veut. Mais rien de grave !
- Mais... comment ça « rien de grave » ??? Qui êtes-vous ? Elle est là ?
- Heu... je... on s’est croisé, tout à l’heure à la librairie du Virgin... vous... vous souvenez ?

Si je me souvenais ?!? Il avait le mot pour rire, lui ! Mais quel était donc ce plan ?
- Mais... elle est avec VOUS ?

- OUIIIII, elle est avec moi ! Mais ne vous inquiétez pas, je vous dis ! Aucun problème ! Elle va bien, elle va très bien, je vous assure ! Elle est... heu... très bien !

Je commençais à m’énerver :
- Vous pouvez me la passer ?
- Ben.....
- Vous pouvez me la passer, oui ou non ?
- Attendez une seconde ! Et puis ne vous excitez pas, d’abord ! Laissez-moi vous expliquer.... en deux mots !

Il se tût une ou deux secondes. Et moi je rongeai mon frein.
- Voilà : d’abord, comme vous l'avez vu, j’ai fait la connaissance de votre... ravissante épouse, par hasard, il y a moins d’une heure, au rayon... des livres érotiques du Virgin. Bon. Elle cherchait en fait un truc à vous offrir et comme j’étais là aussi, elle m'a abordé pour me demander mon avis, mais bon, heu... j'ai vite compris qu'elle cherchait peut-être... comment dire... qu’elle cherchait autre chose, quoi !

Tiens ? Dans la version de ma femme, tout à l’heure, c'était LUI qui l'avait abordée, et non le contraire...
- ...Autre chose ??? Comment ça, « autre chose » ?
- Oui ! Elle se montrait très... comment dire... heu... très séductrice, quoi !

J’étais stupéfait ! Parvîns à articuler :
- ...séductrice ??? Vous rigolez ! Mais comment ça ???
- Oui, oui... séductrice et même, un peu... heu.... disons... un peu provocatrice !
- Quoi ??? Provocatrice ? Anne ?! Non mais vous délirez, là !

Il prît un ton énervé.
- Ecoutez... je ne veux pas vous embêter mon vieux, mais c’est quand même assez clair, vous ne croyez pas ? Sa façon d’hésiter sur le truc à vous offrir, de feuilleter les bouquins les plus... graves, puis de me demander, à moi, de l’aider à faire son choix... C'est juste un peu de la provoc, non ? Quand vous êtes arrivé, elle venait de trouver un super exemplaire du Kamasutra, elle me l'avait mis sous le nez et nous commencions tout juste à le feuilleter ensemble...
- Super, Bravo !
- Oh, hé, c’est pas moi, c’est elle, qu’il faut applaudir ! Non seulement elle est canon, non seulement elle a un chic dingue, mais en plus elle fait preuve... d’un culot assez rare votre chère et tendre, il faut quand même l’avouer ! Et je m’y connais !
- Ben... apparemment, c'est le cas !
- Bon... enfin, bref, elle vous a expédié à l’autre bout du magasin et puis, tout de suite, heu... comment dire... elle m’a appris en minaudant que c’était aujourd’hui votre anniversaire, et que vous aviez... heu... un phantasme... un peu... spécial.
- Comment ça ?!?

- Mais me coupez pas tout le temps, c’est énervant, à la fin ! Oui, un phantasme spécial... il n’y a pas de mal à ça, non, d’avoir des phantasmes ? Bon, bref, elle m’a dit que votre c’était celui... de la voir séduite et même... enlevée par un autre mec !

J’étais sans voix. Elle avait donc osé ! Il continua :
- Bref, elle m’a avoué en rougissant et en fixant ses escarpins qu’elle aimerait bien vous aider à le satisfaire... un jour ou l’autre. Bon, honnêtement, j’ai d'abord cru à un pur bluff, je n’en croyais vraiment pas mes oreilles, mais évidemment je lui ai répondu tout de suite que j'étais... l'homme de la situation, quand elle voulait, où elle voudrait !
- Etonnant !
- ... oui, oui... et du coup, heu... je n’ai pas attendu une seconde de plus ! Juste pour tester si c’était du sérieux, je lui ai proposé de venir prendre un verre avec moi, tout de suite, en vous laissant en plan. Et je l’ai entraînée vers la sortie, direct ! J’avais peur que vous ne reveniez trop vite, il faut me comprendre : une chance pareille... ! Mais c’est là qu’elle m’a surpris pas une autre initiative...

J’étais effondré, marmonnai :
- ah oui ? Laquelle ?

- Et bien, elle m’a suivi, mais elle a tenu à emporter avec elle cette édition du Kama Sutra - Hmm - me disant que c’était quand même une partie de votre cadeau et qu’après tout elle était venue pour ça ! Il a fallu évidemment le payer en caisse - heureusement qu’il n’y avait pas beaucoup de queue car moi... hhheu... moi je n’avais vraiment qu’une trouille : celle de vous voir rappliquer.
- On n’a pas dû se rater de beaucoup !
- C’est vrai! Humm... Sitôt payé et sitôt dehors, nous avons sauté dans un taxi : il était temps, nous vous avons vu sortir du Virgin à l’instant où le taxi démarrait... Je ne vous dis pas la crise de rire... hum, humm... bon... nous nous sommes calmés... et là, je lui ai expliqué qu’en fait je venais de province.... et que.... heu.... je passais le Week-End à Paris... et que j’avais pris une chambre dans un Grand Hôtel... pas loin, un Hôtel avec un super bar tip-top, branché, pianiste et tout, l’idéal pour prendre un verre sympa...
- Génial !
- J’ai tenté le coup. Je me disais : une chance sur deux de me faire jeter ! Bon, ben, elle a juste rigolé et donc j’ai... hhhhum... donné l’adresse au Taxi...
- Superbe !
- N’est-ce pas ? Vous savez mon vieux que vous avez une femme délicieuse... ? Hmmm... Surtout que durant le trajet, elle s’est mise à feuilleter votre « cadeau », me questionnant sur mes préférences et me parlant des siennes... je vous assure, la température a vite grimpé, dans le tacot !
- Et alors ???
- Hem.... et bien arrivé à l’hôtel, on était mûrs tous les deux. Moi je bandais comme fou, à en avoir mal aux... Bref, à peine s’est-on posé au bar que j’ai craqué, lui proposant de ne pas perdre de temps et de monter directement dans ma chambre afin de nous plonger ensemble dans la lecture de votre super-cadeau...
- Evidemment ! Et... elle a réagi comment, là ???

Il eut un rire un brin macho...
- Ben devinez, mon vieux !

Un nouveau petit rire, genre suspense, et puis :
- ...elle a juste pris un air absolument ravi et m’a demandé, d’une petite voix inquiète... combien de pages de lecture je pensais pouvoir tenir en « restant sage » avec elle ! « Sage » ! Elle est vraiment mignonne !

Là, j’eus quand même un brusque coup au coeur. Et j’eus un mot malheureux :
- Salopard !

Et il raccrocha, net. L’horreur ! Je me traitais de tous les noms, là, mais quel c... j’étais ! Et que faire ? Je savais qu’ls étaient dans un Grand Hôtel avec un bar super pas loin, Ok. Mais lequel ? Il y en avait une bonne quinzaine dans le coin ! Et même si je trouvais l’hôtel, que faire de plus ? J’étais fou de rage et de jalousie rentrée. Je passais cinq bonnes minutes indécis, à jouer avec toutes les hypothèses, me refusant à quitter le quartier, en me rongeant les sangs, quand tout à coup, mon mobile sonna de nouveau, c’était son numéro. Et c’était lui.
« Bon, vous êtes calmé, là ???

Je me retîns d’éclater.
- OK, ça va. Vous êtes verni, c’est vraiment une fille sympa ! Mais.... il y a un truc que je ne comprends pas, là : puisque vous êtes apparemment sur le point de nager dans le bonheur avec cette petite p..., pourquoi m’appeler, moi ? Et me rappeler, en plus ?
- Et bien voila.... hum... C’est à propos de cette histoire de Kama Sutra... Heu... Humm... là nous sommes dans ma chambre... et... heu, nous avons à peine commencé à... hhhh... sympathiser... c’est chaud, ah oui, c’est chaud !

A cet instant j’entendis le rire de ma douce épouse, très distinctement, immédiatement suivi d’une claque sonore.... Ils faisaient quoi, au juste ??? Il la battait ??? Il enchaîna...
- Pardon, pardon... ! Et en plus... elle... elle adore les fessées... apparemment ! Une... perle, vraiment, votre femme !

Une perle, oui ! J’étais accablé...
- Bon, bon, et alors ?
- Et bien... on a commencé par feuilleter le bouquin... et à un moment on s’est dit... enfin, je veux dire, c’est moi qui lui ai dit... comme ça, hein, purement en rigolant, pour la provoquer... que ça serait marrant de vous... heu... de vous inviter à la séance de... lecture ! Hum.... ...Non ?

Je restai coi... Il continua...
- Elle n’a pas dit oui, hein, elle n’a pas dit... hmmm... elle n’a pas dit non, non plus, Mais elle... m’a dit qu’elle ne voulait pas... avoir affaire à vous. Et elle ne voulait pas vous appeler... et puis elle m’a dit... appelle-le, TOI... Hhhhhh... Alors voilà, je vous appelle.... houii......
- Sympathique ! Elle vous tutoie, en plus ? Et... là, vous en êtes où ?
- Heu... hmmmm.... oui, ouiiiii, elle me tu-tutoie... on commençait tout juste.... Madame est en porte-jarretelles... le haut un peu débraillé, je dois dire... et le bas.... elle en a plus ! Faut dire qu’elle avait déjà oté sa petite culotte dans l’ascenseur, toute seule, comme une grande, j’avais rien demandé ! Et.... houi.... là, je suis.... assis sur le lit.... et je... je dois vous dire.... qu’elle... hhhhh est en train de.... de me.... sucer comme une reine.....
- ... !
- ...elle est à quatre.... hhhh.... pattes.... oh ! Oui.... à quat’ pattes, devant moi.... je... tends la main.... et lui... ah ! ... je lui flatte le cul.... quel joli cul, elle a ! AH ! C'est grave..... ! Hmmmmm.... elle me tient les couilles..... Je... Je... lui enfonce un doigt dans.... la rondelle... bien profondément... Lààààààà !
- Vous êtes OU !?
- au... au.... Hhhhhhh, ah ! ........au Méridien...
- Le Méridien ? Lequel ?
- ...ah mon Dieu ! Quelle pute ! Qu’est-ce qu’elle est bonne, ahhuuuUUUMM... Porte Maillot... Porte Maillot, au premier.... à la 128.....
- Ca alors ! Je suis garé à cent mètres, à peine là... j’arrive !

...Quant à la suite :? faut que je la termine et... qu'elle approuve... si vous êtes preneurs.... :(
Modifié en dernier par CheeseCake le 31 mars 2012, 00:06, modifié 29 fois.
#180800
7. Cris sans chuchotements

Le : « J’arrive ! » m’avait un peu échappé... A peine avais-je mis fin à la communication, que je me demandai que faire, en réalité... OK, ma douce allait se faire sauter d’ici pas longtemps dans cette chambre du Méridien, mais je n’étais pas certain de vouloir participer de près ou de loin à l’affaire, malgré l’invite que je venais de recevoir de son futur (et proche) amant... Après tout, c’est lui qui avait eu cette idée de me... convier à l’affaire, et c’est lui qui m’avait appelé, après qu’elle eût refusé de le faire d’elle-même. Et par ailleurs, même si j’avais été ces derniers mois le complice plus ou moins consentant d’une partie (une partie seulement !) des trahisons de ma belle... je n’avais jamais directement participé à aucune d’entre elles, autrement que par le biais de mauvaises communications téléphoniques et de photos prises avec son mobile. C’était une chose que de disposer d’un bout de film ou d’un bout de bande-son et de discuter de ses « plans » avec elle en différé, mais c’était tout autre chose que d’être présent au spectacle en « live ». Je n’arrivais même pas à imaginer ! Et puis... tout ceci allait très vite, trop vite. Il y a à peine une heure nous nous rendions elle et moi au Virgin où elle voulait me trouver un bouquin pour mon anniversaire, et vingt minutes plus tard, m’ayant distrait un court instant, elle en ressortait bras dessus bras dessous avec le premier dragueur venu... Que faire, donc ? Rentrer chez nous et l’attendre, comme la dernière fois au Novotel ? Aller au Méridien et « l’extraire », quitte à provoquer un scandale ? Ou encore me joindre à eux, comme le type m’y invitait ? En tous cas... je ne pouvais rester plus longtemps en double file devant le Palais des congrès, alors je démarrai, un peu égaré, le coeur battant, à petite vitesse : il fallait que je me décide, et vite.

Alors que je m’engageais le long du Centre de conférence, côté périphérique, afin d’en faire le tour, je vis une voiture libérer son emplacement de parking, le long du trottoir : par pur réflexe, je me garai à sa place. Et puis comme un automate, j'empochai machinalement le petit enregistreur USB que j'ai toujours dans la voiture pour mes réunions, et pris le chemin du Méridien, situé de l’autre côté de la tour Lafayette.

Deux minutes plus tard, j’en franchissais la vaste porte à tambour... traversais le hall... Chambre 128, m’avait-il dit... J’attrapai l’ascenseur, second étage... mis une minute à accéder au couloir correspondant... 126... 128 ! C’était là... ! Premier réflexe : personne en vue, j’écoute à la porte... J’entends de très vagues sons... sans plus, l’hôtel est vraiment très discret ! J’hésite... que faire exactement ? Je frappe gentiment « toc-toc » ? Ou bien je donne un grand coup de pied dans la porte ? Et si en plus... il m’avait raconté des conneries, et qu’ils se trouvaient tous les deux ailleurs ??? J’aurais l’air malin... J'hésitais et j’enrageais, et mon pouls commençait à atteindre des sommets quand je crus entendre un cri étouffé, plus distinct. Bon, je pris mon courage à deux mains et cognai du poing à la porte, par deux fois. J’attendis une bonne minute. Un couple sortit de l’ascenseur au bout du couloir, et se dirigea vers moi, tout en discutant. Aïe ! Il ne manquait plus que l’un de mes deux tourtereaux n’ouvre cette fichue porte à l’instant même où ces deux-là passeraient devant ! Je pris un air dégagé, les intrus me croisèrent non sans me lancer un regard soupçonneux, continuèrent... c’était long, mais long ! Je les vis enfin disparaître dans une chambre voisine, et j’allais me décider à re-cogner à la porte, quand j’entendis la serrure électronique manoeuvrer et vis le battant s’entrouvir légèrement. La binette du type du Virgin apparu... Il était à poil mais s’était passé une serviette à la taille... Il me dévisagea... souffla d’un ton vaguement contrarié : « vous êtes Marc » ? J’opinais, et il ouvrit la porte en maugréant pour me laisser entrer.

Je pris les devants et, franchissant le vestibule, je pénétrai dans la chambre. Seule une lampe de chevet éclairait celle-ci, et je pense que je vais avoir un peu de mal à oublier la scène « du crime » telle qu’elle se révéla alors à moi...

Ma douce épouse, ma femme, ma nana, ma puce, mon amoureuse... se trouvait à genoux au pied du grand lit, le haut du corps allongé sur celui-ci, les bras alanguis, posés de part et d’autre de sa chevelure auburn, figée, inerte. A l’instant où j’entrai dans la pièce, elle fit pivoter sa tête vers la gauche, dans le sens opposé, comme si elle ne voulait pas risquer que nos regards se croisent, et reprit son immobilité. Elle avait toujours ses escarpins, ancrés dans le haut tapis de laine disposé au pied du lit. Elle avait aussi ses bas... je me souvins qu’en quittant la maison, je m’étais posé la question : bas... ou collants ? C’était « bas », et donc jarretelles, dont le noir tranchait sur la blancheur de ses jolies hanches... Sa jupe de tailleur était entièrement troussée à la taille, et, évidemment, l’absence de petite culotte permettait d’admirer son cul magnifique et nu, sa chatte exposée sans pudeur, ses fesses qui portaient déjà les marques rosies et digitales d’un mauvais traitement tout récent. J’étais partagé entre fureur et admiration, et... me trouvai rapidement encombré d’une érection violente provoquée par cette confusion.

Elle avait gardé son chemisier et son soutif, bien qu’apparemment affectés d’un débraillé non calculé. Sur le couvre-lit déjà tout froissé je pouvais voir la marque en creux de la place qu’il occupait, « lui », juste avant qu’il vienne m’ouvrir et alors qu’elle s’activait probablement à le sucer, ainsi que je l’avais compris au téléphone une dizaine de minutes plus tôt. Un peu plus loin, se trouvait posé son i-Phone, ainsi que cette édition du Kama-Sutra, à l’origine de la situation. Le bouquin était encore fermé, mais il était de toutes façon évident qu’ils n’avaient pu aller bien au-delà des préliminaires...

« Lui » revint dans la chambre, juste après moi. Il avait toujours sa serviette à la taille, ses fringues étaient éparpillées un peu partout sur le sol. Malgré l’intermède l’ayant obligé à m’ouvrir la porte, son pagne improvisé était gonflé au centre par une bosse de belle consistance. Ne se préoccupant pas plus de moi, il s’assit sur le lit aux côtés de ma femme. Il se pencha, lui glissa quelques mots à l’oreille, elle eut un petit rire et secoua la tête, sans changer de position. Nonchalamment, il tendit le bras et se mit alors à lui caresser doucement les fesses. Fasciné, je vis Anne progressivement quitter son immobilité. Sa croupe commença à onduler lentement, au même rythme que les caresses du mec. Chaque fois que la main s’insinuait brièvement dans le sillon de ses fesses, effleurant sa fente, je voyais les reins de Madame se cambrer un peu plus, allant au devant de l’intrusion. Lui, prenait visiblement son temps, s’amusant de la frustration visible qui s’emparait de mon épouse. Je pouvais voir le mouvement des hanches de celle-ci se faire de plus en plus quémandeurs, et j’entendais la respiration de ma Miss, toujours le nez dans le couvre-lit, se faire de plus en plus difficile, haletante.

N’y tenant plus je m’approchai, obnubilé par le lent mouvement de cette main sur le joli cul de ma petite chienne. Me plaçant de l’autre côté, toujours debout, je décidai de contribuer moi aussi à ce doux massage. L’effet fut immédiat : dès qu’elle sentit ma main effleurer sa cuisse, ma femme se crispa d’un coup, serrant fortement les fesses et laissant échapper un grognement désapprobateur. Et dans la seconde, de son bras gauche, elle me donna une tape à l’aveuglette sur le bras, autrement dit : pousse-toi de là ! Par pur réflexe, je m’exécutai. Elle reprit alors sa position alanguie, et elle enchaîna sur deux ou trois mouvements de hanches lascifs, appelant clairement l’Autre à reprendre ses attouchements un instants interrompus. Dépité, je me redressai et fixai le type, qui tout en s’activant sur le cul ainsi offert, m’adressa un sourire ouvertement moqueur.

Frustré et furieux, je me repliai alors vers le premier fauteuil, à deux pas sur le côté de la scène, et m’y laissai tomber, résigné à subir la suite des événements.

D’un coup, le jeu changea de nature. Je vis le type se pencher vivement sur le cul de ma belle et attaquer celui-ci de petits coup de langue précis, se rapprochant rapidement de la raie centrale, qui s’élargissait à vue d’oeil pour lui faciliter le passage. Sa position assis de côté devenant des plus inconfortables, il se redressa un instant, crocha ma femme aux hanches, l’incitant et l’aidant à s’engager plus avant sur le lit, toujours sur le ventre, cul en l’air, jusqu’à ce que son bassin repose entièrement sur le couvre-lit, les jambes restant encore en arrière. Une fois ce point atteint, il se glissa sur le tapis, s’agenouillant entre les cuisses ainsi offertes, sa bouche à la portée des orifices convoités... Ménageant sa future monture, il commença alors par léchouiller la chair tendre de l’intérieur des dites cuisses, à gauche et à droite, juste au dessus de la lisière des bas, en remontant progressivement vers le haut. Ma femme, toujours sur le ventre, poussait de petit cris étouffés par le couvre-lit... de brefs « ôh ! » et « ah ! » qui ne cachaient rien du plaisir éprouvé. Vint évidemment le moment où son tourmenteur eut le nez dans la raie de ses fesses jolies. La position n’était pas favorable à un cunnilingus, elle était en revanche toute indiquée pour une feuille de rose. Je ne fus donc pas surpris quand je le vis prendre les fesses de mon épouse à deux mains et les écarter fermement afin d’insinuer sa langue sur l’ourlet ornant le petit orifice, humectant et attendrissant celui-ci jusqu’à ce qu’il parvienne enfin, par petits coups répétés, à introduire le bout de son appendice buccal dans le trou adoré. Je dois dire que si sa queue ressemblait à sa langue, cela promettait ! Je n’aurais même pas imaginé un organe aussi souple et ferme à la fois, et surtout d’une vélocité aussi grande ! Ma femme non plus d’ailleurs, à en juger par les gémissements qu’elle laissait à présent échapper.... J’étais atterré. Je n’aurais jamais cru que cette caresse très spéciale puisse produire de tels effets !

D’ailleurs, au fil des minutes, le trouble de mon épouse s’amplifiait, sans que le gars ne paraisse éprouver la moindre fatigue. Les hanches d’Anne ondulaient à présent de façon spasmodique, et elle devançait de toute évidence la langue du lécheur, tentant de l’enfoncer, de l’écraser entre ses fesses magnifiques. Ses fesses... qui étaient prises régulièrement de véritables tremblements, tandis que simultanément je voyais un jus épais commencer à inonder l’intérieur de ses cuisses. L’autre ne fatiguait pas, revenant sans cesse à la charge, on aurait dit que sa seule ambition était de parvenir à enfoncer la totalité de sa langue dans le cul de ma belle, restant en selle, agrippé à ses hanches malgré les ruades de mon épouse et malgré les cris sans suite dont elle accompagnait à présent ses soubressauts - cris surtout à base de « oh ouiiiiiiii ! », « encoooooore ! » « vas-y » et autres « trop booon ! »... Honnêtement, jamais de ma vie je ne l’avais entendu bramer comme ça ! J’étais scié !

Vint le moment où, d’un dernier cri, n’y tenant plus, elle fit un véritable saut de carpe vers la tête du lit, échappant d’un coup à l’emprise de cette langue sodomite. Elle resta ainsi quelques instants, savourant son orgasme, reprenant son souffle en laissant échapper une série de « Hon Dieu ! Hon Dieu ! Mon Dieu ! » convulsifs. Voici que ma chère Anne devenait croyante, à présent !

Le gars s’était entre temps ré-assis sur le bout du lit et, tranquille, il lui caressait légèrement les jambes, que je voyais parcourues par instants de longs tressaillements. Quand elle eut repris son souffle, toujours allongée sur le ventre, elle tourna la tète vers lui, l’oeil chaviré et plein de reconnaissance... Un regard soumis, par en dessous, que je lui découvrais : elle avait l’air totalement et parfaitement subjuguée. Mais la « reconnaissance » s’avéra sans doute un peu prématurée... Après lui avoir adressé un regard pensif, le type s’adressa à elle sur un ton presque brutal : « T’as aimé, hein, tu as aimé ? ». Court silence, et puis : « Et en plus... je suis sûr que t'as trouvé ça encore meilleur parce que tu l’as fait devant ton mec... non ? Je me trompe ? ». Anne fronça les sourcils, ne réagit pas, bouche bée, l’air un peu déphasée... Et le type, tournant la tête vers moi, continua : « J’ai beau connaître les nana, il y en a certaines qui m’étonneront toujours... Des airs de petites saintes ou de petites bourges... et de véritables salopes en réalité... ».

Là Anne, commençait à prendre un air surpris... Elle s’était redressée sur un coude, elle avait son haut à moitié défait, et un sein sortait de son soutif, tout attendrissant. J’en voulus presque au mec d’être aussi sauvage... sans compter que malgré ses premiers succès, il n’allait sans doute pas tarder à se faire recevoir par mon épouse, qui avait l’habitude de moeurs plus civilisées.

Il prit d’un coup un air plus doux et lui intima : « Allez, lève-toi, et vient par ici ! » et comme elle semblait hésiter, d’un ton plus ferme : allez ! Dépèche ! » en lui donnant une claque sur les fesses. Anne, l’air de ne pas avoir d’air, glissa sur le lit et se leva, un peu chancelante. L’autre, la prenant par la main tout en restant lui-même assis, lui fit faire le tour du lit jusqu’à ce qu’elle se retrouve debout, face à lui. Elle était toujours en porte-jarretelles, le cul à l’air, et à présent sa courte et brune toison, impeccablement épilée, était sous le nez du mec. Celui-ci la dévisagea de la tête au pied, comme s’il la découvrait, et lâcha : « T’es quand même canon ! » et après un temps : « Salope, mais canon ! ». Anne ne disait rien. Moi non plus d’ailleurs. Ils se dévisageaient l’un l’autre. Il y eut un long silence, et puis : « Hein, que t’es une salope ? ». Mutisme pesant de ma femme. Il continua : « Une salope, une vraie, qui va se faire sauter par le premier venu, et devant son mec, en plus ! Hein ? ». Silence de ma Miss, la mine penaude. Et lui : « Tu ne réponds rien ? Tu n’es pas d’accord ? ». Toujours aucune réaction de ma femme, déroutée. Il continua : « Tu es d’accord, ou tu n’est pas d’accord ? » Il avait un peu haussé le ton, sans plus de résultat. Il eut un soupir, puis : « OK, viens un peu par ici, rapproche-toi. » Et ce disant, il la prit par le poignet et l’attira vers lui, par la droite, ses jolies fesses me passèrent sous le nez. Anne se laissa faire, docile... « Viens laaaaaà... » dit-il, l’obligeant alors à se coucher en travers de ses genoux à lui, non sans qu’elle manifeste un instant de réticence. Je vis donc ma douce se placer dans cette position humiliante, évidemment destinée à la fessée, toujours le cul à l’air... De la main gauche, il lui caressait la nuque, pétrissait sa chevelure, alors que de la main droite, il lui flattait l’arrière-train, hasardant parfois un doigt dans son intimité, offerte à mes regards. Il continua : « Donc tu es une salope. Répète après moi : ‘je suis une salope’ ». J’étais dépassé... Qu’allait-elle faire ? Garder le silence ? S’énerver ? Rien, silence, les cheveux tombant sur le visage elle secouait violemment la tête en un geste de dénégation. Lui : « Allez, répète : ‘je suis une salope’ » et il lui asséna une claque retentissante sur le cul. Ma douce Anne poussa un cri de surprise, se cambra, battit des jambes, mais rien à faire, il la tenait fermement par le cou, l’autre main sur les fesses. « Allez, répète ! » Et nouvelle volée de trois claques tout aussi brutales, je pouvais en voir les marbrures sur les fesses de mon épouse. « REPETE ou j’ménerve ! ». Là c’était violent. J’entendis ma chère femme pleurnicher, étouffant un sanglot : « Je-je suis... une... - UNE QUOI ? - une... une... ». Elle n’y arrivait décidément pas ! Le type s’énerva « Là, c’est pas possible, tu mérites une bonne raclée » et la serrant fortement au collet, il lui administra.... la fessée du siècle, sous mes yeux médusés. Anne se débattait, pleurait, implorait, rien ni faisait, le type, tel un métronome, martelait le joli cul de mon épouse, qui de blanc qu’il était au départ virait progressivement au rouge le plus vif.

Au bout d’une ou deux longues minutes il s’arrêta. Anne pleurait à chaudes larmes, hoquetait. Avec des gestes doux, il la fit alors se redresser puis s’assoir juste à sa gauche, passant un bras autour de son cou de sorte à amener doucement la tête de ma Miss à se nicher au creux de son épaule. Puis après avoir laissé passer quelques sanglots, il lui re-demanda, très doucement, tandis que sa main droite flattait l’intérieur de ses cuisses : « Alors ? Tu es, tu es.... » et Anne, d’une toute petite voix, entre deux reniflements : « Je suis une... une...

- Tu es une ? - une salooOOOoope ! »
Et lui : « ENCORE, vas-y ! » ...et ma belle, éplorée : « Je suis une sa-salooo-ooOOOOOPE » !

Et lui d’enchaîner : « Hmmmm... et qu’est-ce qu’elle va faire, cette charmante salope ?
Anne : elle va... elle va... elle va...
Lui : Elle va se faire... Bai... Bai... ?
Anne : Elle va se faire... BaiseeeeeEEEER ! (toujours entre deux hoquets...)
Lui : Bieeeeen ! Et elle va se faire baiser par... qui ?
Anne : Par toi... par TOI, par TOI ! (là, aucune hésitation !)
Lui : Et devant qui....... hein ?
Anne : Devant mon mariiiiIIIIIIIIIIIIII ! »


J’étais verni.
Modifié en dernier par CheeseCake le 31 mars 2012, 00:05, modifié 16 fois.
#181714
Kama et Sutra vont en bateau

Lui : Et devant qui....... hein ?
Anne : Devant mon mariiiiiiiii !

Donc, ma chère épouse, cul nu et chatte exposée, venait de crier sa seule attente en ce qui concernait les moments à venir : qu’elle se fasse baiser, et bien baiser, par cet inconnu dragué il y a moins d’une heure, cet inconnu qui venait de lui administrer la fessée du siècle, juste histoire de lui apprendre à obéir un peu - elle d’habitude si orgueilleuse... Et surtout, il lui fallait que cela se fasse en ma présence à moi, son (trop) gentil mari, histoire que cela lui soit encore meilleur !

J’avais l’impression de rêver. j’observais sa posture, assise à son côté (à lui), la tête appuyée sur son épaule, les cheveux tombant dans les yeux, ses longues jambes entrouvertes facilitant l’exploration de son entre-cuisse par la main de l‘Autre.

L’Autre qui entreprit alors de parachever le déshabillage de Madame... lui ôtant tout d’abord les lambaux de son chemisier, puis de son soutif... puis défaisant la jupe toute tire-bouchonnée à sa taille. Parvenu à ce stade, il contempla son oeuvre une seconde puis lui intima : « Debout ! » Elle obéit. Elle était là toute nue, à un mètre de moi, à l’exception de ses escarpins, ses bas, son porte-jarretelles... dont la sombre couleur tranchait avec la peau nacrée de ses fesses... Un spectacle magnifique ! Ses seins lourds étaient dressés dans toute leur fierté (90 D !) la courbe de ses hanches, à contre-jour de la lampe de chevet aurait fait bander un mort. Tout son corps n’attendait que le bon vouloir de son maître et, évidemment, tout le plaisir annoncé.

Il la prit par la main, la fit s’allonger sur le grand lit. Docile, elle se laissa mener. J’avais l’impression d’être comme défoncé, je rêvassais et puis, tout d’un coup, je focalisais sur un détail, je l’amplifiais... Je vis ainsi la main délicate de ma douce Anne, hésitante, flatter le mandrin qui tenait lieu de sexe au type, je vois encore le tremblement de ses doigts, la première carresse légère, puis la prise plus ferme... je vois son oeil briller quand elle glissa sa tête vers le bas ventre poilu et qu’elle ouvrit la bouche pour se délecter de la bite triomphante, bite qu’elle se mit à sucer goulûment, sans plus de retenue, l’air un brin affolée par le diamètre du truc. A contempler ce spectacle - je rappelle que c’était pour moi une grande première - je me demandai si je serai capable, demain, ou plus tard, de me régaler de ses lèvres, de sa langue...

Le type, lui ne resta pas longtemps inactif, décidant de lui imposer une autre figure... Sans que sa queue ne s’échappe un instant de la bouche de mon épouse, il la saisit aux hanches et la fit pivoter, montrant ainsi son intention de lui rendre simultanément la politesse. Anne se replaça donc dans l’axe du lit et bientôt ses hanches vinrent se positionner à hauteur de la tète de son dragueur. Celui-ci acheva de se placer entre les cuisses de ma belle, et ils entreprirent frénétiquement de s’entre-sucer et s’entre-brouter en un 69 endiablé, qui s’éternisa un bon quart d’heure... Je ne savais trop ce qui me fascinait le plus... La queue du mec coulissant entre les lèvres de ma chère Anne, ou bien sa bouche à lui engouffrant d’un coup lèvres et clitoris de ma Miss... De temps en temps, mon épouse se redressait, et lui, il lui soulevait légèrement les fesses, de sorte à ce qu’elle puisse s’auto-masturber sur sa langue dressée. Ce mouvement de masturbation, pratiqué en suspension, déclenchait d’ailleurs une véritable gigue des seins de ma Miss (elle les a bien lourds), ainsi que des cris de jouissance de plus en plus aigus... Je me demandai avec effroi ce que cela pourrait être quand elle finirait... par se faire REELLEMENT tringler !

Le problème, c’est que le type devait aussi se poser la même question. Une fois ce 69 frénétique terminé et ma chère Anne, toute pantelante, remise de ses premières émotions, il quitta une seconde le champ de bataille (leur lit) et alluma le poste de radio incorporé aux boiseries. Une chaîne musicale fut vite trouvée, et en revenant vers le lit et vers son sujet (elle), il me confirma, un brin rigolard : « c’est pour couvrir ses hurlements ! ». La suite allait amplement me confirmer la valeur de cette précaution ! Le niveau sonore de la radio était cependant un peu trop élevé à mon goût, et, par association d’idée, je pensai au petit enregistreur USB récupéré dans ma voiture... Je le sortis de ma poche... et décidai de nous faire des souvenirs communs en enregistrant la suite de la séance.

Sans anticiper sur la « suite » en question, qui dura une heure et demie montre en main, je ne pouvais savoir à quel point cet enregistrement, par la suite, me donnerait du boulot tant la musique et les vocalises de ma belle s’y superposent... Finalement, je crois que je vais livrer "que" le bouquet final, plus loin, à la fin....


Vous... voulez la suite ?
Modifié en dernier par CheeseCake le 31 mars 2012, 00:27, modifié 11 fois.
#184785
Du son sans la Lumière

...J’étais donc là, à la fois fasciné et penaud, enfoncé dans le fauteuil de cette chambre du Méridien, à admirer les prouesses de ma chère épouse, et surtout les vocalises dont elle les accompagnait...

Mais après ce 69 interminable auquel je venais d’assister, une minute de repos s’imposait sans doute. Le mec en profita pour en venir au coeur du sujet : cet exemplaire du Kama-Sutra que ma chère Anne s’était mis en tête de m’offrir pour mon anniversaire et qui traînait à présent près du lit. Et d’ailleurs si j’étais là, moi, c’était semblait-t-il uniquement parce que ma femme avait eut la charmante idée de joindre à son cadeau une « illustration » personnelle de quelques positions et parce que ce type lui avait suggéré qu’il était plus simple que j’assiste « en direct » à l’illustration, plutôt que par photos interposées.

Toujours en faisant comme si je n’étais pas là, Anne et lui se mirent donc à feuilleter l’ouvrage, non sans en pousser des « oh ! » des « ah ! » et des « hmmmmmmm » sur pratiquement chacune des pages. Cela devenait énervant, vous l’imaginez bien :

Elle : Et pourquoi pas celle-ci (rire) ?
Lui : Moi je préférai la première...
Elle : Oui, mais celle-là, il y a écrit : pour « pénétration profonde par le... le quoi ? Le « Lingam » de l’éléphant... C’est vrai que tu as un côté éléphant, de ce côté là....
En même temps, distraite, elle lui caressait doucement la queue. Et puis, pensive : « Remarque... il n'y a qu’à faire les deux (rire gêné) ! »
Lui : Mais sans problème, Madame... !

Bref, je rongeais mon frein, dans l’attente de leurs nouveaux ébats. Ebats qui vinrent bien trop tôt, fatalement. On imagine en fait connaître l’essentiel de ces acrobaties, je m’aperçus ce jour-là que ça n’était pas le cas, enfin, en ce qui me concerne ! Je m’aperçus aussi, durant l’heure et demie qui s’ensuivit, que les positions choisies par ma belle avaient toutes une dimension de véritable soumission. Comme quoi, on ne connaît pas forcément son épouse non plus !

Je ne vais pas vous importuner ici par une fastidieuse description de ces positions, j’ai simplement relevé leurs noms, le lendemain, en feuilletant mon « cadeau » avec elle. Le pire c’est qu’on ne s’est pas mis d’accord tout de suite sur celles quelle avait pratiquées ou cru pratiquer avec ce mec... vous imaginez le style de notre conversation! Du genre :

Moi : « tiens, c’est celle-là ! »
Il s’agissait d’une position par derrière, un peu compliquée.

Elle : « Non, non... je me souviens très bien qu’il m’aggripait à la taille, comme un fou... tout en me... heu... martelant. Il avait des ongles, j’ai encore les marques... »

Elle eut un silevce rêveur, et ajouta, hésitante : « Et puis tu sais... heu... en fait, là, il m’a... il m’a... sodomisée, hein ? Tu n’avais pas compris ? »
Non, je n’avais pas compris ! Le plus drôle, c’est qu’elle avait l’air gênée !

Ou bien encore :
Moi : « L’enclume ! Oui, celle là, vous l’avez faite ! »

Elle : « Ah oui, mes jambes sur ses épaules, les fesses un peu en l’air !!! Si, si, tu as raison. Là, justement, il ne m’a pas quittée des yeux un seul instant... j’ai joui comme une folle.... c’était dingue ! »

C’était dingue, oui. Elle avait tellement hurlé, sur tous les tons, des tas de trucs à la noix que je me suis demandé combien de chambres sur les 1000 que comporte l’hôtel allaient se souvenir de ses orgasmes à répétition !

Finalement, on s’est quand même mis d’accord sur « l’union du Lotus » : ils étaient restés une éternité assis l’un dans l’autre, elle ryhtmant la mesure, tantôt douce, tantot frénétique, un coup incrustée contre lui, les seins écrasés, un coup se laissant aller en arrière, apendue à son cou, l’air alanguie, amoureuse...

Ils réussirent même un dernier orgasme synchrone, complètement en phase, un feu d’artifice accompagné d’un nouveau concert de cris incontrôlés.

Et là, quand même, alors qu’ils redescendaient tous les deux sur terre, nous entendîmes un concert de protestations, en provenance du couloir... des voisins étaient sortis, on frappa même à la porte de la chambre !!! C’était le bouquet ! Allez, pour la route, je vous livre juste la fin.....

bouquetfinal.mov.zip
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Modifié en dernier par CheeseCake le 31 mars 2012, 00:25, modifié 7 fois.
#184799
CheeseCake a écrit :Anne : suite et fin de ma « surprise » au Méridien

...J’étais donc là, à la fois fasciné et penaud, enfoncé dans le fauteuil de cette chambre du Méridien, à admirer les prouesses de ma chère épouse, et surtout les vocalises dont elle les accompagnait...

Après ce 69 interminable auquel je venais d’assister, une minute de repos s’imposait sans doute. Le mec en profita pour en venir au coeur du sujet : cet exemplaire du Kama-Sutra que ma chère Anne s’était mis en tête de m’offrir pour ce jour d’anniversaire et qui traînait à présent posé près du lit. D’après ce que j’avais compris, si j’étais là, c’est juste parce que Anne avait souhaité joindre à son cadeau une « illustration » personnelle de quelques positions, et parce que lui, il lui avait suggéré qu’il était plus simple que j’assiste « en direct » à l’illustration, plutôt que par photos interposées.

Toujours en faisant comme si je n’étais pas là, Anne et lui se mirent donc à feuilleter l’ouvrage, non sans en pousser des « oh ! » des « ah ! » et des « hmmmmmmm » sur pratiquement chacune des pages. Cela devenait énervant, vous l’imaginez bien :
Elle : Et pourquoi pas celle-ci (rire) ?
Lui : Moi je préférai la première...
Elle : Oui, mais celle-là, il y a écrit : pour « pénétration profonde par le Lingam de l’éléphant... » Remarque, ya qu’à faire les deux (rire gêné) !
Lui : Mais sans problème, Madame... !

Bref, je rongeais mon frein, dans l’attente de leurs nouveaux ébats. Ebats qui vinrent, fatalement.... On imagine en fait connaître l’essentiel de ces acrobaties, je m’aperçus ce jour-là que ça n’était pas le cas, enfin, en ce qui me concerne ! Je m’aperçus aussi, durant l’heure et demi qui s’ensuivit, que les positions choisies par ma belle avaient toutes une dimension de soumission certaine. Comme quoi, on ne connaît pas forcément son épouse non plus !

Je ne vais pas vous importuner ici par une fastidieuse description de ces positions, j’ai simplement relevé leurs noms, le lendemain, en feuilletant mon « cadeau » avec elle, le pire étant qu’on ne s’est pas mis d’accord tout de suite sur celles quelle avait pratiquées ou cru pratiquer avec ce mec (... vous imaginez le genre de notre conversation! Super !). Il semble donc que j’aie eu à subir, après discussion : « L’épicurien », le « noeud coulant », et « l’enclume »... Toutes accompagnées de cris et hurlements divers... non décrits dans le bouquin, évidemment !

Sitôt le bouquin refermé, ma chère épouse, impatiente, commanda : « Booon... On essaie la première ? » ponctuant cette incitation d’un éclat de rire un brin trop fort. Evidemment, je ne savais pas ce qui m’attendais, n’ayant pas été convié à lire par dessus leur épaule. Je vis donc le type s’asseoir sur le lit, dos appuyé sur les oreillers placés contre la tête du lit, jambes écartées, la bite en l’air. Ma douce Anne se mit à quatre pattes, lui tournant le dos, et se rapprocha lentement de lui, en reculant, jusqu’à ce que ses fesses soient presque contre l’entrejambe de son amant. Là, le type empoigna sa queue et la guida vers l’orée du vagin de mon épouse. Celle-ci, sentant la bite prête à s’emmancher, recula alors jusqu’à l’avoir engloutie jusqu’à la garde. A partir de là, merveille de cette position : le type put rester quasiment passif pendant toute la durée de la fornication, ce fut ma femme qui prit les commandes, ondulant des hanches, bougeant son cul dans tous les sens, se tortillant et se frottant contre le pubis de l’autre comme si elle voulait voir la queue qui l’enfilait remonter jusqu’au fond de son gosier... Une véritable chienne en chaleur !

Bon, je passe sur les autres épisodes, pour en venir au bouquet final... Alors qu’ils s’époumonaient depuis vingt bonnes minutes sur la position de « l’Enclume », le mec, bien élevé sussura à mon épouse, tout en ayant sa bite abutée en elle : « ...je... je crois que je vais jouir.... » : il était temps, me dis-je, cela faisait quand même une heure et demie qu’il la défonçait sous mes yeux ! Et là, surprise, ma chère Anne parvint à articuler : « hon-hon- nooon, attends ! » C’était dingue ! Elle en voulait donc encore ? J’aller craquer, là ! il y avait vraiment des limites aux bornes !

Le type s’interrompit donc. Anne d’un mouvement des hanches le désarçonna, et ils se retrouvèrent côte à côte sur le lit. Il leur fallut deux trois minutes pour retrouver leur souffle et là, Anne lui dit : « pardon, excuse moi, mais... il y a une position... que j’adore.... vriament, et je ne l’ai pas vu dans le bouquin... elle serait super, pour terminer... tu veux bien ? » Le type, apparemment ravi mais surpris, lui répondis : « t’es sûre que t’as bien regardé ? Il y en a quand même plus d’une centaine ! » Et Anne : « oui... oui... je l’ai p’t’être ratée... tu sais... mais j’aimerais bien.... mais... t’en fais pas... elle... elle... se fait plutôt à la fin.... apparemment... les hommes y résistent pas longtemps ! ». Lui : « ah bon ? » Anne : « oui, enfin... ceux que j’ai connus... pourtant, ils étaient endurants, quoi, vraiment ! » Lui : ton mari ?? » Anne : « nooon... pas lui... lui, je ne lui ai jamais fait... » Le Mec eut un rire : « ah bon ? et c’est quoi cette position ? » Et ma chère Anne : « Je te montre ! Allonges toi sur le dos ! ».

Le type s’exécuta, et là, je vis Anne s’asseoir sur lui, face à lui, dans la position tout à fait classique « d’Andromaque » (c'est le nom sur le bouquin). Mais au lieu de le chevaucher dans cette position, le bassin reposant sur son bassin à lui, elle se mit alors en appui sur ses pieds, légèrement penchée en avant, s’équilibrant du bout des mains sur le lit. Puis elle prit la queue raidie de son amant et la glissa entre les lèvres de son sexe. Et à partir de là, elle commença à pistonner le barreau vertical, sur toute sa longueur, sans jamais reposer une seule seconde sur le corps de son amant... tout dans les cuisses ! J’étais absolument fasciné ! Je n’ai jamais aussi nettement vu, même dans les pornos vulgaires qu’on voit passer sur le net, une chatte coulisser aussi pleinement et longuement d’un bout à l’autre d’une queue ! La lubrification était parfaite, la queue du mec luisait, les cris de ma femme accompagnaient la valse de ses hanches, c’était parfait !

Bon, le type tînt le coup deux minutes et s’éclata en elle... fin de partie !
J’ai pu récupérer deux nouveaux estraits de leur séance, toujours sur fond musical, mais cela vous donnera un aperçu (une heure et demie, au total, quand même ! :( )

Anne3.mp4.zip

Anne4.mp4.zip



exellent
EN PLUS AVEC LE SON J IMAGINE BIEN LE PIED QU ELLE A DU PRENDRE
:lol:
ET TOI A L ENTENDRE
#877882
Quel récit !!

Ce site revele vraiment de jolies pepites !! Vous etes de celles-ci par vos talents d'écriture et l'érotisme qui se degage de ce recit si "furieusement" candauliste ...

Bravo

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