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Dans cette section dédiée aux fantasmes du candaulisme et du cuckolding, nous vous invitons à partager avec la communauté du forum vos envies et aspirations les plus secrètes en matière d'épanouissement sexuel au sein de votre couple.

Le candaulisme et le cuckolding, bien que tabous et méconnus, représentent pour de nombreux couples un puissant stimulant de leur vie intime et amoureuse. Il s'agit d'explorer, au-delà des sentiers battus de la sexualité à deux, de nouveaux horizons riches en sensations fortes et en plaisir recherché.

Que ce soit le fait de voir son conjoint avec un ou une autre partenaire, de l'imaginer dans les bras d'un amant fictif, de partager vos ébats avec un voyeur consentant ou d'assister en simple observateur aux étreintes de votre moitié avec un tiers, les variations possibles offrent un vaste champ d'expression aux penchants plus ou moins exhibitionnistes de chacun.

Les membres de notre communauté sont invités à s'exprimer sans tabou ni retenue sur les scénarios, images mentales ou souvenirs qui titillent leur libido et alimentent leurs jeux de séduction à deux. Qu'il s'agisse de confidence, de témoignage, de questionnement ou de recherche de conseils avisés, cet espace se veut un lieu d'échange privilégié sur ces pratiques parfois mal comprises.

N'hésitez pas à partager avec nous, dans le détail suggestif ou cru de votre choix, ces petites « perversions » intimes qui subliment votre complicité de couple et boostent votre épanouissement sexuel. Car, il faut bien le reconnaître, le fantasme reste le meilleur moteur d'une sexualité épanouie !
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par lailatvx
#94712
Pour ne pas trop s’ennuyer à la maison, ma femme Nadia a finalement trouvé une place de vendeuse dans la boutique d’un photographe, non loin du centre-ville de Rabat. Au bout d’une semaine je notais que ma femme était plus attentive à sa tenue et soignait beaucoup son maquillage. Mon imagination commença à faire des siennes et je lui demandais ce qui se passait mais, pour elle c’était juste parce qu’elle devait être soignée dans son travail, face au public. J’admis son explication jusqu’au jour où je rencontrais son employeur, un type de 53 ans, divorcé, pas mal de sa personne mais quand je vis le regard de cet homme sur ma femme, je sus tout de suite qu’elle lui plaisait.

Le soir j’en parlais à ma femme Nadia qui ne me démentit pas, elle aussi avait compris que son patron la désirait... Quelques semaines plus tard, elle revint du travail assez excité, elle ne voulut rien me dire.
Ce n’est que dans notre lit qu’elle me montra une photo où l’on pouvait voir son patron, posant nu sur une photo, elle l’avait trouvée en faisant du rangement. Evidemment, ce qui l’avait troublé et me troubla aussi c’est la taille du zob de cet homme, 20 à 25 cm à vue de nez et assez épaisse, ce qui était remarquable à côté de la mienne. Nadia se laissa entraîner dans mon fantasme et elle reconnut que ça devait être génial de se laisser glisser sur un tel zob... elle me demanda si j’avais toujours envie d’être cocu, ce que je lui confirmais tendrement.

Le lendemain matin, elle se leva plus tôt que d’habitude et s’enferma dans la salle de bain. Ensuite, elle m’entraîna dans la chambre, ôtant son peignoir, elle m’apparut portant des bas fumés, un soutien gorge à balconnets, un porte-jarretelles et une culotte noire assortie, elle me dit en souriant,
- Crois tu que ça plaira à mon patron?
- Tu vas le rendre fou, répondis-je très excité...
- Tu sais ce que je vais faire... pour te satisfaire, toi... mais aussi pour mon plaisir, c’est bien ce que tu veux, non ?

Je lui confirmais mon désir et elle m’avoua qu’elle avait très envie de le séduire, et plus encore depuis qu’elle avait vu cette photo. Elle savait que lui était attiré, ce dont je ne doutais pas un instant. À 25 ans, mon épouse était une jeune femme très désirable et si ses seins n’étaient pas très gros, elle avait d’autres arguments dévastateurs, ses jambes, ses fesses, une silhouette fine et nerveuse, une crinière brune frisée qui accentuait sa féminité... Je l’aidais ensuite à choisir un chemisier et une jupe courte, mais pas trop, sexy sans être provocatrice, elle était un peu nerveuse mais je la rassurais une nouvelle fois, lui faisant promettre de tout me raconter le soir...

Le soir elle m’apparut heureuse, rayonnante, mais elle ne voulut rien me raconter tant que nous ne serions pas tous les deux au lit... elle caressa mon sexe au travers du pantalon et me murmura avec un sourire radieux,

- Cocu... ça y est, tu es cocu mon chéri...

Nous nous déshabillâmes et je vis des traces de suçons dans son cou et sur ses seins, elle souriait, heureuse et s’allongea en m’ouvrant ses cuisses. Je ne me fis pas prier, je la goûtais, imaginant que son amant était là, quelques heures auparavant, et malgré la douche je sentais encore les effluves de ses secrétions amoureuses.
J’insistais suffisamment pour qu’elle me fasse un résumé de sa journée.
Elle avait eu durant la matinée plusieurs fois l’occasion de lui faire entrevoir ses jambes, en cherchant dans des placards elle devait s’agenouiller, il voyait parfaitement la lisière de ses bas, il la frôla plusieurs fois et ma femme ne faisait rien pour l’éviter, elle avait aussi défait un autre bouton laissant ainsi son chemisier plus ouvert.

Il y eut aussi l’épisode de l’escabeau, il l’aida une première fois et elle ne protesta pas quand il frôla ses fesses, en redescendant il lui fit un compliment et elle lui sourit, lui montrant ainsi qu’elle était sensible è sa remarque. En fin de matinée, juste avant de fermer elle se retrouva encore sur l’escabeau et il vint à son secours soit disant pour la maintenir et éviter une chute, il avait posé ses mains un peu au dessus des genoux mais elle les sentit monter doucement et s’insinuer sous la jupe.

Elle lui dit d’arrêter mais avec un rire qui était plutôt un encouragement, elle redescendait et il laissa sa main glisser au dessus de la jupe, épousant ses fesses puis ses reins... quand elle se retourna, une fois en bas, elle se trouva collée à lui un instant, consentante, il allait l’embrasser mais un client entra et ils s’écartèrent.

Ce dernier client parti, il ferma la grille et l’entraîna dans l’arrière boutique, il savait mon épouse consentante, il l’enlaça par derrière, plaquant son sexe déjà dur sur ses fesses et commença à la peloter avec force, il ouvrit le chemisier et fit glisser le soutien gorge, malaxant ses seins, faisant durcir ses tétons. Excitée, ma femme ne resta pas inactive, elle commença à onduler pour mieux sentir son érection puis n’y tenant plus, elle glissa sa main entre eux, baissa la fermeture éclair, voyant qu’elle n’arrivait pas à extraire sa queue, il l’a retourna alors et la fit asseoir, il libéra lui même son sexe qu’il agita sous le nez de ma femme.

Elle ne se fit pas prier et commença à le sucer, il caressait ses cheveux et au bout de quelques minutes, il explosa sans retenue, elle en avala une partie mais du sperme s’échappa, elle en avait aux commissures des lèvres puis quelques gouttes étaient tombées sur ses seins... Il s’agenouilla devant elle et lécha le sperme qui se trouvait sur son visage, elle me raconta que ça l’avait excité énormément de voir son amant goûter ainsi son sperme, il l’avait embrassée, partageant ainsi sa liqueur et il avait poursuivi ce petit jeu jusqu’au moment ou il n’y eut plus de traces sur elle.

Ils montèrent alors dans l’appartement qu’il possède au 1er étage. Nadia avait encore sa jupe, son patron avait ôté son pantalon et se trouvait déjà nu quand ils arrivèrent en haut. Il lui ôta la jupe et sa culotte avant de la pousser en travers du lit, il la regarda un instant et lui dit combien il la trouvait belle et se mit en devoir de lécher sa chatte. Ma femme le laissa faire, impudique, ouverte, avec ses bas et son porte-jarretelles, elle s’abandonna à son premier orgasme les yeux fermés, elle se sentit pénétrée et ses gémissements se transformèrent, elle cria son plaisir et se dressa sur ses coudes pour voir...

Ce soir là, j’eus du mal à lui faire dire ce qu’elle avait ressenti d’avoir cette belle queue en elle. Avec pudeur elle m’avoua tout de même qu’elle avait ressenti une forte sensation, elle se sentait plus remplie mais plus tard, elle finit par m’avouer que ça l’avait rendue folle...

Son patron l’avait baisée pendant un long moment, au moins une demi heure selon elle, changeant de rythme, la retournant, variant les positions, elle eut un orgasme mais lui s’était retenu, continuant de la défoncer, le second fut intense et quand il explosa en elle, elle était en transe, hurlant comme une folle...

Ils déjeunèrent ensuite, nus, s’embrassant et se caressant entre chaque bouchée... vers la fin du repas, elle vit que son patron avait une nouvelle érection, elle repoussa sa chaise et s’assit sur lui, s’empalant sans précaution sur sa verge dressée, il restait près d’une heure avant de rouvrir la boutique...

Ils ont fini le repas comme ça, face à face, ma femme bougeait peu au début mais ses sensations étaient intenses, elle se souleva pour offrir ses seins aux lèvres de son amant puis se laissait retomber, coulissant sur cette grosse queue pour l’embrasser furieusement... au bout de plusieurs minutes de ce petit jeu, il la souleva, les jambes nouées autour de sa taille, elle se trouva plaquée contre le mur.

Il avait repris le contrôle et la défonça littéralement, il la laissa encore jouir une fois seule avant de la rejoindre dans un second orgasme dévastateur. Il la porta sur le lit dans lequel elle se réveilla deux heures plus tard... Son patron était redescendu et avait ouvert la boutique à l’heure, la laissant récupérer de leur folle chevauchée...

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