- 26 nov. 2012, 00:08
#1242920
Bonsoir,
Je suis MaitreD, 30ans, Grand gaillard d’1.88m (je précise vous comprendrez pourquoi) Amant et Maître de ma soumise Sonia et complice de djibeaux, son mari cocu et de plus en plus heureux de l’être.
Vous pourrez constater sur ce forum l’évolution rapide d’une petite frigide de 36ans à cheval sur des principes moraux complètement dépassés pour les adeptes de ce site (clin d’œil) et pourvu d’un mécanisme psychologique de défense que cette salope en devenir pensait inviolable.
N’étant pas le tout premier amant qu’elle est eu (mais le premier pour qui la pudeur devenait insignifiante) je vous invite lire sur le forum « cocu depuis hier soir » qui sont les débuts du candaulisme pour ce couple.
Un soir je me suis connecter comme souvent sur un site libertin, a la recherche de je ne sais quoi, une femme, une salope, une soumise, un couple candauliste, rien de précis, et là je vois près de chez moi, à tous juste 20min, la petite annonce d’un couple cherchant un homme (pour résumer) avec un certain tact pour pouvoir approcher subtilement une petite sauvage toute gênée, honteuse, peureuse même, de rencontré un amant. il étais présicé aussi et surtout qu'il ne cherché pas un Maitre !!
Ni une ni deux je me jette sur l’occasion que l’on soit presque voisin afin de me présenter. Jusqu’à moi, c’est toujours le mari djibeaux qui prenait les devant pour tâter le terrain pour une éventuelle rencontre (qui tardait depuis un moment de se faire). Au début, et le cocu me l’avoua un peu plus tard, il ne fut pas emballé par ma personne, mais chose incroyable c’est Sonia qui s’installa finalement devant l’écran pour discuter et trois jours plus tard et une confiance naissante gagnée, me voici invité par la bougresse elle-même.
Le premier soir tout le monde est resté sage. En dépit du mari pressé de voir sa femme sur les genoux d’un autre…
Sur mon 31 et une bouteille de champagne à la main, Djibeaux m’ouvre la porte, j’entre et que vois-je ? Une minuscule blondinette, me faisant la bise comme si de rien n’étais et reprenant son rôle de maman juste ensuite, pour cacher son stress et afficher l’assurance que les animaux ont quand ils sont sur leur territoire. Quand je dis minuscule je pèse mes mots, son cocu de mari lui dis souvent pour plaisanter, qu’elle a l’air d’une cacahouète à côté de moi (46cm de différence ça commence à faire !) Mais je trouve ça tellement plus beaux la photo d’un Maître ayant sous son emprise une soumise qu’il peut porter sur un bras et surtout de pouvoir faire ce qu’il veut de son corps sans aucun effort, la manipuler, la positionner, la modeler à sa guise, ne sentir quasiment aucune résistance quand je circule dans la maison la laisse à la main et elle a son bout attachée par son collier de chienne.
Deuxième chose que je remarque, son odeur ; lorsque je la hume ce n’est pas une odeur qui me vient à l’esprit, mais l’image de phéromones en apesanteur dans l’air tout autour d’elle, des phéromones sursautant, surexcités, se projetant sans aucune mesure à travers mes narines pour me supplier de réveiller cette salope endormie, cette futur garce, qui as été jusqu’ici mal baisé et qui en connait que très peu sur son propre corps et sur ses désirs cachés.
Jusqu’à présent elle ne sait pas encore que son masque moral, l’image de la femme sans vice qu’elle s’évertue de montrer avec fierté volera peu à peu en éclats pour laisser place à une bouilloire sur patte, trempée sans interruption.
Mais je ne vais pas m’éternisé voici qu’arrive le second soir, bien entendu, comme toute salope qui ne se doute pas d’en être une, ce second soir a été précédé de longues conversations par chat pour la rassurer et la faire se rapprocher de mes filets ( cela avec la complicité de son mari bien entendu )
A un moment donner de la soirée j’étais là depuis une bonne heure, Sonia et moi nous effleurons la main durant la soirée , djibeaux mon futur ami cocu sort sur la terrasse fumer une cigarette, refermant la baie vitrée, nous laissant tous les deux sur le canapé.
J’avais compris que même si sa tête disais « non si je fais ça j’aurais l’impression de tromper mon mari, c’est pas bien » sa chatte elle disait « vas-y, fais quelques chose j’ai une grosse envie de me faire défoncer ». Inutile de vous demander pourquoi, moi j’ai préféré écouter sa chatte, et j’ai bien fais !
je la saisi par les hanches et l’amena délicatement à califourchon sur moi , J’ai adorer ce trouble naissant du paradoxe entre l’indécision, l’hésitation et l’envie. Même si la gêne étais présente, cette ptite cochonne ne s’est pas fait prier trop longtemps pour se retrouver rapidement assise sur mon gland, avec tout de même l’Esperance que son mari n’aller pas rentrer et la laisserait se cacher de son regard
Car ce que je compris après ce premier pas c’est que Sonia, encore farouche, est pleine de Non
Non pas de baiser avec la langue, Non pas de baise devant son cocu de mari, Non je suis pas une chaudasse, Non pas de sodomie, Un maitre ? non quel horreur ? Non non non non non , des non catégoriques, des non en veux tu en voilà, des Non pour tout
« HiHiHi Attend un petit peu ma p’tite coquine, tu verras comment ça se passera, y a un collier et une laisse qui t’attendent sagement à la maison, on verra ce que deviendront tous tes NON bientôt »
Je suis MaitreD, 30ans, Grand gaillard d’1.88m (je précise vous comprendrez pourquoi) Amant et Maître de ma soumise Sonia et complice de djibeaux, son mari cocu et de plus en plus heureux de l’être.
Vous pourrez constater sur ce forum l’évolution rapide d’une petite frigide de 36ans à cheval sur des principes moraux complètement dépassés pour les adeptes de ce site (clin d’œil) et pourvu d’un mécanisme psychologique de défense que cette salope en devenir pensait inviolable.
N’étant pas le tout premier amant qu’elle est eu (mais le premier pour qui la pudeur devenait insignifiante) je vous invite lire sur le forum « cocu depuis hier soir » qui sont les débuts du candaulisme pour ce couple.
Un soir je me suis connecter comme souvent sur un site libertin, a la recherche de je ne sais quoi, une femme, une salope, une soumise, un couple candauliste, rien de précis, et là je vois près de chez moi, à tous juste 20min, la petite annonce d’un couple cherchant un homme (pour résumer) avec un certain tact pour pouvoir approcher subtilement une petite sauvage toute gênée, honteuse, peureuse même, de rencontré un amant. il étais présicé aussi et surtout qu'il ne cherché pas un Maitre !!
Ni une ni deux je me jette sur l’occasion que l’on soit presque voisin afin de me présenter. Jusqu’à moi, c’est toujours le mari djibeaux qui prenait les devant pour tâter le terrain pour une éventuelle rencontre (qui tardait depuis un moment de se faire). Au début, et le cocu me l’avoua un peu plus tard, il ne fut pas emballé par ma personne, mais chose incroyable c’est Sonia qui s’installa finalement devant l’écran pour discuter et trois jours plus tard et une confiance naissante gagnée, me voici invité par la bougresse elle-même.
Le premier soir tout le monde est resté sage. En dépit du mari pressé de voir sa femme sur les genoux d’un autre…
Sur mon 31 et une bouteille de champagne à la main, Djibeaux m’ouvre la porte, j’entre et que vois-je ? Une minuscule blondinette, me faisant la bise comme si de rien n’étais et reprenant son rôle de maman juste ensuite, pour cacher son stress et afficher l’assurance que les animaux ont quand ils sont sur leur territoire. Quand je dis minuscule je pèse mes mots, son cocu de mari lui dis souvent pour plaisanter, qu’elle a l’air d’une cacahouète à côté de moi (46cm de différence ça commence à faire !) Mais je trouve ça tellement plus beaux la photo d’un Maître ayant sous son emprise une soumise qu’il peut porter sur un bras et surtout de pouvoir faire ce qu’il veut de son corps sans aucun effort, la manipuler, la positionner, la modeler à sa guise, ne sentir quasiment aucune résistance quand je circule dans la maison la laisse à la main et elle a son bout attachée par son collier de chienne.
Deuxième chose que je remarque, son odeur ; lorsque je la hume ce n’est pas une odeur qui me vient à l’esprit, mais l’image de phéromones en apesanteur dans l’air tout autour d’elle, des phéromones sursautant, surexcités, se projetant sans aucune mesure à travers mes narines pour me supplier de réveiller cette salope endormie, cette futur garce, qui as été jusqu’ici mal baisé et qui en connait que très peu sur son propre corps et sur ses désirs cachés.
Jusqu’à présent elle ne sait pas encore que son masque moral, l’image de la femme sans vice qu’elle s’évertue de montrer avec fierté volera peu à peu en éclats pour laisser place à une bouilloire sur patte, trempée sans interruption.
Mais je ne vais pas m’éternisé voici qu’arrive le second soir, bien entendu, comme toute salope qui ne se doute pas d’en être une, ce second soir a été précédé de longues conversations par chat pour la rassurer et la faire se rapprocher de mes filets ( cela avec la complicité de son mari bien entendu )
A un moment donner de la soirée j’étais là depuis une bonne heure, Sonia et moi nous effleurons la main durant la soirée , djibeaux mon futur ami cocu sort sur la terrasse fumer une cigarette, refermant la baie vitrée, nous laissant tous les deux sur le canapé.
J’avais compris que même si sa tête disais « non si je fais ça j’aurais l’impression de tromper mon mari, c’est pas bien » sa chatte elle disait « vas-y, fais quelques chose j’ai une grosse envie de me faire défoncer ». Inutile de vous demander pourquoi, moi j’ai préféré écouter sa chatte, et j’ai bien fais !
je la saisi par les hanches et l’amena délicatement à califourchon sur moi , J’ai adorer ce trouble naissant du paradoxe entre l’indécision, l’hésitation et l’envie. Même si la gêne étais présente, cette ptite cochonne ne s’est pas fait prier trop longtemps pour se retrouver rapidement assise sur mon gland, avec tout de même l’Esperance que son mari n’aller pas rentrer et la laisserait se cacher de son regard
Car ce que je compris après ce premier pas c’est que Sonia, encore farouche, est pleine de Non
Non pas de baiser avec la langue, Non pas de baise devant son cocu de mari, Non je suis pas une chaudasse, Non pas de sodomie, Un maitre ? non quel horreur ? Non non non non non , des non catégoriques, des non en veux tu en voilà, des Non pour tout
« HiHiHi Attend un petit peu ma p’tite coquine, tu verras comment ça se passera, y a un collier et une laisse qui t’attendent sagement à la maison, on verra ce que deviendront tous tes NON bientôt »