- 15 sept. 2017, 14:54
#2072695
Enfin, pas tout à fait sa femme, nous ne sommes pas mariés, jeune couple de 7 mois.
Je lui en veux un peu d'être obligée de m'adresser à des inconnus pour avoir des réponses à mes interrogations, j'aurais préféré qu'on sache en parler librement, qu'il se livre, qu'il m'apprenne, qu'il m'initie.
Il m'a très vite avoué être candauliste, par la suite j'ai également découvert ses fantasmes de soumission, d'humiliation, de fétichisme. Je n'ai pas l'habitude de ce genre de relation, c'est vrai, mais je n'ai jamais jugé, ni critiqué. J'avoue même avoir été séduite par cette nouvelle expérience, au départ je trouvais la situation assez "confortable" de pouvoir désirer d'autres que lui sans culpabilité... bien que je ne connaisse pas encore tous les aboutissements que cela pourrait générer...
Il me dit être candauliste depuis toujours, mais il n'a par exemple jamais assister à un acte sexuel de sa nana avec un autre que lui, il me laisse croire n'être pas encore prêt à le faire, mais j'ai l'impression qu'il en a envie, vraiment envie. Peut-être que quelque part, il en a encore un peu honte.
Je voudrais vivre cette expérience avec lui, je voudrais voir ce qu'il ressent, découvrir son attitude, son comportement, son excitation. Les femmes aiment voir leur homme surexcité et savoir qu'elles ont ce pouvoir sur eux... même si, avec les candaulistes, il faut pouvoir se dire qu'on est pas vraiment seule pour y parvenir et qu'une tierce personne est nécessaire.
Oui, mais entre lui et moi?
Quel est le désir d'un candauliste pour sa femme sans ces mises en scène et artifices?
Faut-il toujours avoir un amant sous la main? Le nourrir de fantasmes éhontés?
Je suis rentrée un soir avec des photos sex de moi et mon amant prises une ou 2 heures plus tôt, je lui ai demandé de me lécher le ventre, endroit où celui-ci s'était permis d'éjaculer, j'ai eu l'impression ce soir-là de lui faire le plus beau cadeau du monde. Et son désir pour moi a été décuplé.
Ça a duré plusieurs jours, je lui racontais les scènes de nos ébats et de ce que nous pourrions vivre s'il avait été là. Pendant qu'on fait l'amour, nous nous amusons souvent à décrire verbalement de potentielles scènes érotiques avec un autre homme, j'ai aussi parfois beaucoup d'excitation à l'entendre me susurrer ses désirs les plus profonds. Je l'aime, et parce que je l'aime j'accepte tout ce qu'il est, mais aussi parce que je l'aime, il est le premier homme que je désire.
Il est celui avec qui je préfère coucher, mais il aime m'entendre dire le contraire. Il est celui qui me procure le plus de plaisir, mais il voudrait que ce soit un autre. Il est celui que je respecte le plus au monde, mais il tend à me faire l'humilier.
La gestion des contradictions qu'il suscite dans mon cerveau n'est pas toujours évidente à vivre, mais le plus difficile reste le chemin qu'il faut trop souvent parcourir pour éveiller son désir, mon corps ne suffit pas, bien que je pense ne pas être dégueu et lui plaire physiquement. Et mon entrain et énergie sexuelle n'y changent rien non plus. C'est un homme qui préfère la masturbation au coït, me filmer le branler avec 2 doigts pour visionner la scène de multiples fois par la suite, c'est un homme qui préfère aussi s'abstenir afin de pouvoir ressentir de l'excitation de plus en plus forte.
Oui, mais moi dans tout ça? Parfois je me demande s'il ne teste pas ma résistance pour m'obliger à voir ailleurs, et dès lors, la démarche me parait malsaine et c'est avec beaucoup de cynisme que je pourrais l'accomplir.
Par ce message, je ne cherche pas vraiment de solutions, je pense que celles-ci viendront de notre couple avant tout, quelle que soit la tournure à envisager, j'ai surtout besoin de comprendre et d'éclaircir la situation. Merci à ceux qui prendront la peine de donner suite à cet appel.
Je lui en veux un peu d'être obligée de m'adresser à des inconnus pour avoir des réponses à mes interrogations, j'aurais préféré qu'on sache en parler librement, qu'il se livre, qu'il m'apprenne, qu'il m'initie.
Il m'a très vite avoué être candauliste, par la suite j'ai également découvert ses fantasmes de soumission, d'humiliation, de fétichisme. Je n'ai pas l'habitude de ce genre de relation, c'est vrai, mais je n'ai jamais jugé, ni critiqué. J'avoue même avoir été séduite par cette nouvelle expérience, au départ je trouvais la situation assez "confortable" de pouvoir désirer d'autres que lui sans culpabilité... bien que je ne connaisse pas encore tous les aboutissements que cela pourrait générer...
Il me dit être candauliste depuis toujours, mais il n'a par exemple jamais assister à un acte sexuel de sa nana avec un autre que lui, il me laisse croire n'être pas encore prêt à le faire, mais j'ai l'impression qu'il en a envie, vraiment envie. Peut-être que quelque part, il en a encore un peu honte.
Je voudrais vivre cette expérience avec lui, je voudrais voir ce qu'il ressent, découvrir son attitude, son comportement, son excitation. Les femmes aiment voir leur homme surexcité et savoir qu'elles ont ce pouvoir sur eux... même si, avec les candaulistes, il faut pouvoir se dire qu'on est pas vraiment seule pour y parvenir et qu'une tierce personne est nécessaire.
Oui, mais entre lui et moi?
Quel est le désir d'un candauliste pour sa femme sans ces mises en scène et artifices?
Faut-il toujours avoir un amant sous la main? Le nourrir de fantasmes éhontés?
Je suis rentrée un soir avec des photos sex de moi et mon amant prises une ou 2 heures plus tôt, je lui ai demandé de me lécher le ventre, endroit où celui-ci s'était permis d'éjaculer, j'ai eu l'impression ce soir-là de lui faire le plus beau cadeau du monde. Et son désir pour moi a été décuplé.
Ça a duré plusieurs jours, je lui racontais les scènes de nos ébats et de ce que nous pourrions vivre s'il avait été là. Pendant qu'on fait l'amour, nous nous amusons souvent à décrire verbalement de potentielles scènes érotiques avec un autre homme, j'ai aussi parfois beaucoup d'excitation à l'entendre me susurrer ses désirs les plus profonds. Je l'aime, et parce que je l'aime j'accepte tout ce qu'il est, mais aussi parce que je l'aime, il est le premier homme que je désire.
Il est celui avec qui je préfère coucher, mais il aime m'entendre dire le contraire. Il est celui qui me procure le plus de plaisir, mais il voudrait que ce soit un autre. Il est celui que je respecte le plus au monde, mais il tend à me faire l'humilier.
La gestion des contradictions qu'il suscite dans mon cerveau n'est pas toujours évidente à vivre, mais le plus difficile reste le chemin qu'il faut trop souvent parcourir pour éveiller son désir, mon corps ne suffit pas, bien que je pense ne pas être dégueu et lui plaire physiquement. Et mon entrain et énergie sexuelle n'y changent rien non plus. C'est un homme qui préfère la masturbation au coït, me filmer le branler avec 2 doigts pour visionner la scène de multiples fois par la suite, c'est un homme qui préfère aussi s'abstenir afin de pouvoir ressentir de l'excitation de plus en plus forte.
Oui, mais moi dans tout ça? Parfois je me demande s'il ne teste pas ma résistance pour m'obliger à voir ailleurs, et dès lors, la démarche me parait malsaine et c'est avec beaucoup de cynisme que je pourrais l'accomplir.
Par ce message, je ne cherche pas vraiment de solutions, je pense que celles-ci viendront de notre couple avant tout, quelle que soit la tournure à envisager, j'ai surtout besoin de comprendre et d'éclaircir la situation. Merci à ceux qui prendront la peine de donner suite à cet appel.