Bonjour à tous ceux qui nous suivent ici. Je reviens enfin parmi vous pour continuer les récits de nos petites aventures coquines. C’est amusant de constater, lorsque je reprends les notes de mon journal intime, que notre vie libertine se partage en deux mondes assez distinctes. Il y a celui constitué de petites escapades avec notre couple complice (Fabien et Sophie) tout au long de l’année (pas trop souvent) et l’autre qui existe surtout en été, en Juillet-Août principalement. Ce deuxième monde, c’est celui des rencontres imprévues, des partenaires de passage qui, comme nous, sont attirés par ce genre de relation. Un moment intense qui ne dure qu’une soirée ou une journée. Pour cela, lorsque l’occasion se présente, il faut oser se laisser « embarquer » dans un jeu facile à deviner mais qui peu parfois nous faire connaitre quelques appréhensions, du moins au début. Ce sont ces rencontres que je vous ai détaillé dans ce post. Il faudra que je vous parle de l’autre monde, celui de Fab et Sophie mais avant cela, je vais partager avec vous le récit d’une soirée-nuit très particulière que nous avons vécue à la fin de nos vacances d’été 2024. Là encore, rien n’était prévu mais on l’a quand même un peu cherché...
Un petit mot sur la qualité de certaines photos illustrant ce récit ? Prises « à la volée » avec une lumière pas terrible par moi dans un état pas terrible non plus !
Août 2024, une expérience très particulière...
C’est déjà la fin des vacances et on a un peu le moral dans les chaussettes. Même si on n’en porte pas de chaussettes... Pour en profiter un max, nous sommes venu passer notre dernier weekend du côté de Leucate. On est pas loin des Corbières où même au mois d’Août, on peut trouver des coins pour poser le camping-car le soir pour dormir sans être dérangé. Ce soir, c’est le dernier, demain, dimanche, on remonte dans notre Auvergne. On a pas mal bourlingué pendant ces vacances plutôt « sages » côté sexe coquin, un peu trop sage pour moi mais tant pis, c’était bien quand même ! On a fait l’amour, souvent et pas toujours dans notre lit... Dans un bois, dans un parking souterrain sur le capot d’une voiture (génial), c’était extra mais mon côté voyeur-candau est quand même en manque comme souvent à cette époque. Marine le sait, je lui en ai parlé. Elle en a ri et m’a répondu qu’elle aussi avait quelques envies de ce côté là mais qu’elle avait tout autant apprécié nos petits jeux à deux. Pour elle, c’était évident qu’on se rattraperait avec Sophie et Fab et qu’il suffisait de patienter un peu pour qu’on s’éclate.
Je ne sais pas pourquoi je repense à tout cela alors qu’on déguste une glace dans ce petit square ombragé. J’ai beau me répété qu’elle a raison, c’est quand même plus fort que moi, je n’arrive pas à me débarrasser de ce petit « regret ».
Il fait hyper chaud, même à l’ombre. Je déguste ma glace au café, ma préférée, Marine fait de même, assise à l’autre bout du banc.
_ Tu penses à quoi ? Tu as l’air ailleurs !
Je sursaute et la regarde.
_ Heu à rien de particulier.
_ Menteur !
Je rigole et avec un brin de provocation lui murmure :
_ Je repensais à mes envies de baise inassouvies...
Elle éclate de rire, superbe, comme toujours lorsqu’elle est détendue.
_ Allez ! Les vacances ne sont pas finies... Arrête de bouder, on n’est pas bien là ?
Je lui tire la langue avant de rire. Elle a raison, ma princesse, je suis trop con !
_ Désolé ma puce, c’est idiot de ma part. Finis ta glace et on va boire une bière pour arroser ça !
_ Ah, je préfère ça !
Je me concentre sur ma glace en regardant les moineaux sautiller par terre en quête de miettes à picorer. Et soudain :
_ Pssssttttt
Je tourne la tête et là, je reste figé. C’est comme un coup de poing dans le ventre.
Une jambe remontée sur le banc, sa robe retroussée et sa chatte bien exposée, elle éclate de rire et me lance :
_ Tu vois que c’est pas fini. Il te reste quelques photos souvenirs à prendre...
J’attrape mon portable, elle prend la pose et on rit tous les deux.
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Je bande, j’ai envie de la baiser, là, tout de suite, sur le banc. Des voix, des gens qui approchent, elle referme ses cuisses à la hâte et prend une position plus « normale ». L’instant magique est fini, les emmerdeurs arrivent, deux familles qui ne se doutent absolument pas de ce qu’ils viennent de me faire. Me priver d’un instant de folie, je les déteste. On se lève et on part à la recherche d’un bar.
La bière est fraiche, c’est trop bon, j’en boirai un litre ! Marine est assise en face de moi, sa petite robe remontée haut laisse voir ses cuisses bronzées. Son décolleté est irrésistible. Elle ne porte pas de soutien gorge, bien sûr, et cela se voit. Elle ne porte pas de culotte non plus et cela ne se voit pas, heureusement ! De temps en temps, des mecs passent à coté de nous et jettent un coup d’œil, j’adore. On sirote nos bulles et soudain, je sens son pied se glisser entre mes jambes. Elle me caresse les mollets et je regarde autour de nous, un peu gêné. C’est idiot, un réflexe de « bien pensant » ... Elle me sourit avec un petit air coquin.
_ Et si, ce soir, on allait prendre un bain de minuit.... On doit bien pouvoir trouver un coin tranquille sur la plage, non ?
Je sens mon rythme cardiaque augmenté. Je me tortille sur mon tabouret.
_ Ben pourquoi pas.
Elle rit. Je réfléchi. Je me dis qu’entre La Franqui et Port-la-nouvelle, la plage est longue... On est fin Août, il y a moins de monde, beaucoup de vacanciers sont partis. Au pire, il y a les étangs.
Je suis déjà excité à l’idée de ce qu’on va faire et Marine fait tout pour entretenir mon état. Je sais que lorsqu’elle est comme ça, je vais avoir droit au grand jeu. Ce soir, on ne fera pas l’amour tendrement, comme un vieux couple amoureux. Non, ce soir, ma petite chérie veut que je la baise comme une salope, elle en a envie et ça se voit !
Entre deux gorgées de bière, elle m’observe avec un petit sourire, les yeux plissés, provocante. Elle continue de me caresse sous la table avec ses pieds nus. Elle pouffe de rire et, à plusieurs reprises, se penche en avant pour me montrer ses seins. A chaque fois, elle en profite pour me glisser à voix basse des propos franchement coquins « Tu bandes ? Tu as envie de me baiser ? Moi j’en ai trop envie... », « Mon chéri, je gouterai bien ta petite queue bien raide, tu en penses quoi ? », « Tu as toujours envie de me donner à baiser à un autre type ? Moi, je veux bien... ». Un enfer, c’est un enfer pour moi. Elle n’arrête pas et se marre franchement devant ma stupéfaction. Je ne réponds pas et la regarde avec de gros yeux, je n’en reviens pas qu’elle se lâche comme ça, là, maintenant. Sans doute a-t-elle enfin pris conscience que c’est la fin de nos vacances et qu’après, la rentrée va nous pourrir la vie comme tous les ans. De temps en temps, je jette un coup d’œil sur les quelques tables autour de nous, sur la terrasse. Les gens chuchotent en se regardant, totalement indifférents. Et même si l’une de ces personnes tournait la tête vers nous, elle ne pourrait pas imaginer le genre de torture que m’impose ma coquine déchainée.
J’ai chaud et je transpire bien qu’une petite brise nous enveloppe. Je finis ma deuxième bière sous l’œil égrillard de ma tortionnaire et me lève. Je suis en mode panique, je bande comme un malade et crains que quelqu’un le remarque. Comprenant ma gêne, Marine pouffe de rire et me suit en lançant un « bonsoir » beaucoup trop fort à mon goût, une vraie garce !
On file vers le camping car et je m’installe au volant, soulagé de ne plus risquer d’être vu en flagrant délit d’envie de viol ! Marine s’assoit sur son siège et éclate de rire en me regardant.
_ Et bien mon chéri, je te trouve bien nerveux ce soir...
_ Pffff, tu exagères, tu imagines si quelqu’un t’avait entendu ou vu ?
_ Aucun risque, je surveillais en même temps... Avoue que ça t’a excité...
Et tout en parlant, elle pose sa main sur la bosse de mon jean en riant. Nous sommes toujours sur le parking et je reste figé. Lentement elle défait le haut de mon jean, l’entrouvre et découvre le bout de mon sexe dépassant de mon slip. Elle pouffe de rire et après un bref coup d’œil sur les environs, se penche et commence à me lécher.
Les mains crispées sur le volant, je surveille les alentours pendant qu’elle me suce. La possibilité d’être vu rend la chose terriblement excitante. Elle dégage entièrement ma queue et me branle en léchant mon gland, un délice. J’ai des envies cochonnes plein la tête et je fini par le lui dire. Entre deux souffles :
_ Hummm tu suce trop bien... J’ai trop envie de te voir baiser devant moi avec d’autres mecs.
Elle ne répond pas et continue de me pomper. Je la sens tellement « relâchée » que je continue :
_ Envie de voir une autre queue dans ta chatte... Dans ta bouche...
Elle abaisse sa tête et s’enfonce ma bite profondément dans sa gorge et se redresse. Elle est rouge écarlate et a ce regard trouble que je connais si bien qui traduit une excitation intense chez elle.
Elle aussi souffle fort. Elle se penche vers moi et m’embrasse à pleine bouche. Sa langue s’enroule autour de la mienne dans un baiser passionné puis elle se recule. Baissant les yeux, elle fixe ma queue bien raide et murmure :
_ Moi aussi, j’ai envie de ça mais en attendant, tu pourrais peut-être nous trouver un petit coin tranquille pour t’occuper de ta... salope...
Je rajuste mon pantalon, non sans mal, et la regarde, un peu gêné.
_ Tu m’en veux d’avoir dit ça ?
Petit silence. Elle pouffe, de rire et tout en me regardant drpoit dans les yeux ;
_ Non mon chéri, je sais que ça t’excite de me parler comme ça... Et ce soir, moi aussi ça m’excite.
Petit silence.
_ Et ce soir, mon chéri, j’ai envie d’être une salope, alors profites en !
Je pousse un soupir de soulagement et démarre en riant.
_ Alors ? Tu m’emmènes où pour que je passe à la casserole ?
_ J’en sais rien, je tenterai bien la plage entre La Franqui et Port la nouvelle. Il y a une zone naturiste, ce serait un bon début...
Elle regarde l’heure.
_ C’est un peu tôt, il risque d’y avoir encore du monde... on verra bien.
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