Début Juillet 2016, camping libertin près d'Agde, suite 4...
Christophe s’avance lentement à genoux entre les pieds de marine. Saisissant ses genoux, il les écarte largement et se penche en avant, amenant son visage sur la chatte offerte. Fasciné, je le regarde sortir sa langue et la poser sur la vulve déjà trempée. Marine sursaute et laisse échapper un petit hoquet de surprise. La langue s’insinue entre les grandes lèvres brillantes de jus, remonte vers le clitoris et dès qu’elle le touche, provoque un nouveau sursaut de Marine qui, soulevant ses reins, se cambre au maximum pour mieux s’offrir. Mon cœur bat à 100 à l’heure, cognant dans ma poitrine. Plaquant une main sur la nuque de Christophe, Marine halète tout en frottant sa chatte sur le visage de son bourreau. Je l’ai rarement vu aussi chaude, aussi affamée ! Il est clair qu’elle est en train de lâcher prise et n’en devient que plus excitante à mes yeux. Elle gémit en se tortillant sur la couverture, remonte ses cuisses et les ouvre au maximum. Christophe la dévore littéralement, léchant comme un fou la fleur écarlate, suçant le clitoris, aspirant les grandes lèvres, il descend plus bas, entre les fesses bien ouvertes. Il lèche ce cul totalement consentant, glisse sa langue sur l’anus puis remonte de nouveau. Je ne reconnais plus ma femme, véritable chienne en chaleur qui émet des petits bruits de gorge, comme des feulements, la bouche grande ouverte. Je me branle lentement, serrant ma bite tout en faisant coulisser le fourreau de chair. J’ai une envie folle de la baiser avec eux, envie de la voir se faire tringler devant moi avant de la prendre à mon tour et la faire jouir comme une dingue.
Eric s’agenouille près du visage de Marine et saisissant se bite, colle son gland sur la bouche entrouverte. Surprise, elle a un petit mouvement de recul, hésite un peu puis, remontant une de ses mains, s’empare du sexe tout dur. Sortant sa langue, elle parcourt le gland puis lèche lentement la hampe de chair. Toujours gémissante sous les caresses de Christophe, elle finit par prendre la bite d’Eric entièrement dans sa bouche. Elle se met immédiatement à la sucer, comme si elle était affamée. Elle pompe la tige bien raide tout en la branlant doucement.
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Marine adore faire des fellations...
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Eric ondule des hanches, baisant cette bouche gourmande tout en me regardant, un sourire aux lèvres. Son regard semble me dire « Regardes, ta femme me suce la queue devant toi et elle adore ça ! ».
S’il savait, s’il savait le plaisir que j’éprouve en cet instant de la voir s’abandonner, livrée à deux mecs… Soudain Christophe se redresse et s’avance doucement à genoux entre les cuisses que Marine maintient toujours en l’air, écartelée. Son sexe dressé se balance tout en se rapprochant de la chatte béante de ma coquine qui continue de pomper celui d’Eric. En voyant cela, je n’ai qu’une envie, envie de voir plonger cette queue et s’enfoncer directement dans le ventre palpitant qui s’offre sans aucune réserve. Envie de voir ce type baiser ma femme jusqu’à la faire crier de plaisir.
Je tremble de partout, la bouche sèche, la gorge serrée, tendu comme un arc. Tout d’un coup Christophe se laisse aller en avant, s’allongeant à plat ventre sur celui de Marine. Un sentiment de panique me submerge. Je retrouve mes esprits d’un seul coup, affolé. Je m’approche, prêt à intervenir au cas où Marine manifesterait son refus mais est-elle en état de le faire ? Elle semble totalement soumise à ses pulsions les plus primaires pour ne pas dire bestiales. Christophe redresse la tête et, la tournant vers moi, me fait un petit signe de dénégation accompagné d’un petit sourire qui se veut visiblement rassurant. Je m’immobilise, indécis. Toujours en me regardant il soulève légèrement son torse, en appui sur ses deux bras pour me permettre de constater que sa queue se trouve sur et non pas dans la chatte de Marine qui commence à onduler sous lui. Puis il se laisse de nouveau reposer à plat ventre sur le corps de ma coquine et commence à onduler du ventre à son tour, frottant sa bite contre le mont de vénus et le clitoris. Je suis scotché ! Marine enveloppe le corps de son pseudo-amant de ses cuisses, croisant ses jambes dans le dos de Christophe afin de mieux le sentir. Je n’éprouve aucun sentiment de jalousie, juste une excitation sans bornes décuplée par sa faim de sexe évidente. Tout en gardant la bite d’Eric dans sa bouche, elle gémit presque en continue.
Tout en creusant ses reins, ses fesses bougeant dans un mouvement de va et viens, Christophe suce les tétons juste à sa portée. Vu de ma position, il donne vraiment l’impression de la baiser, c’est hallucinant. J’ai un dernier doute, je me déplace pour aller voir par derrière. Je me penche et aperçois furtivement la vulve de Marine sous les testicules de Christophe. Rassuré, je me replace sur le côté et je retire le bandeau de Marine. Je veux qu’elle puisse voir… Voir qui elle suce, voir qui frotte sa queue sur sa chatte.
Inconsciemment, je recommence à me branler tout doucement en les observant, entièrement soumis aux effets de la magie candauliste.
Pendant de longues minutes, les deux complices se relaient, échangeant leurs places sans que Marine n’y trouve à redire. Je réalise rapidement qu’ils sont vraiment expérimentés. S’immobilisant dès qu’ils sentent qu’elle va jouir, puis reprenant leurs jeux au bout de quelques secondes, ils la maintiennent au sommet de la vague, la rendant de plus en plus folle de désir. Je transpire et la chaleur n’est pas seule en cause. La sueur dégouline sous mes bras et dans mon dos. J’ai mal au ventre, mal aux couilles tellement j’ai envie de baiser. Ma vision se restreint à eux et eux seuls, le reste du monde n’est que brouillard. Je n’entends plus rien d’autre que le bruit de leurs souffles, de leurs bouches, léchant, suçant, embrassant.
Eric se redresse pour la énième fois, laissant Marine plus frustrée que jamais tandis que Christophe se retire de sa bouche. Les deux hommes s’adressent un petit signe de tête qui ne m’échappe pas. Eric saisit les hanches de Marine et d’un geste de rotation, l’amène à se retourner. A plat ventre, bouche grande ouverte aspirant l’air goulûment, elle attend visiblement la suite… Je ne bouge plus, la poitrine en feu.
Eric, plaçant ses mains sur les hanches pleines, fait mine de lui soulever le bassin, l’invitant à se mettre à quatre pattes. Elle obéit immédiatement, soumise, tout en me jetant un regard interrogateur. J’esquisse un petit sourire du coin des lèvres pour la rassurer. A peine est-elle en position, qu’Eric se penche et tout en lui écartant les fesses, commence à la lécher. Marine se cambre instinctivement, la tête rejetée en arrière, les yeux fermés, tout en expulsant l’air de ses poumons. Sa respiration devient plus forte tandis qu’Eric lèche sa vulve puis son cul. Sa langue tourne autour de l’anus avant d’essayer d’y rentrer provoquant un petit « oh » de satisfaction de ma coquine. Christophe semble sortir de sa torpeur et vient lentement se placer derrière Eric. A l’abri d’un éventuel regard de Marine, il défait l’emballage d’un préservatif et lentement, l’enfile sur sa queue bien raide. Je me rends soudain compte que je suis en apnée depuis un long moment et je respire un grand coup.
Eric se redresse soudain après avoir copieusement lécher le petit trou plissé. Il recule sur les genoux, laissant ma coquine essayant de reprendre son souffle, inassouvie, une fois de plus…
Christophe s’avance à son tour, à genoux, prenant la place d’Eric. Sa bite dressée venant tout naturellement se placer dans l’axe de la petite entrée…
Je suis de nouveau en apnée. Fasciné, je regarde tout cela, comme un plan bien rodé. Christophe crache de la salive qui tombe juste sur l’anus déjà détendu par son complice et, de son pouce, commence à le masser tandis que son autre main s’égare juste en dessous sur la fleur rouge. Marine laisse échapper une sorte de grognement et commence tout naturellement à onduler des hanches, de nouveau sous l’emprise d’un plaisir intense.
Eric, se replaçant devant elle, en profite pour lui offrir de nouveau son sexe à sucer ce qu’elle fait aussitôt, l’embouchant profondément jusqu’au fond de sa gorge. Le jeu dure un certain temps, le temps de rendre ma coquine de nouveau folle de désir.
Soudain les mains de Christophe s’immobilisent. Empoignant sa queue, il introduit son gland entre les fesses, le positionnant sur l’anus. Marine s’immobilise aussitôt, visiblement consciente de ce qu’il veut faire. Elle redresse la tête, recrachant le sexe d’Eric et tourne la tête vers moi. Le front plissé, sourcils froncés, elle me regarde d’un air presque pathétique mais n’esquisse pas le moindre geste pour se dégager. Elle reste là, haletante, me fixant droit dans les yeux pendant que Christophe frotte lentement son gland entre ses fesses tout en nous observant. Et soudain, Marine laisse échapper un petit « oh » tout en redressant la tête vers le ciel, les yeux fermés, le souffle court. Creusant les reins, elle se cambre au maximum, en appui sur ses bras tendus.
Statufié, je regarde ma femme se faire sodomiser devant moi !
J’ai la tête qui tourne et je finis par me laisser tomber à genoux, les jambes en coton. Je tremble de partout et ma gorge est si serrée que j’ai l’impression d’étouffer. Je ne peux détacher mon regard de la bite de Christophe qui s’enfonce lentement dans ce cul magnifique. Plaçant ses mains sur les hanches de Marine, il s’enfonce au plus profond avant de marquer un temps d’arrêt.
Marine me fixe de nouveau, en se mordant la lèvre inférieure. Puis ferment les yeux, elle penche sa tête en avant entre ses bras tendus, parfaitement soumise. Christophe commence un lent mouvement de va et viens et j’entends distinctement le souffle de Marine devenir plus rapide, plus profond, m’enlevant mes derniers doutes quant à son consentement. Tout en continuant de regarder la queue aller et venir dans le cul de ma coquine, je glisse ma main sous le ventre frémissant à la recherche de sa chatte. Je sais ce qu’elle aime quand on l’encule mais cette fois, c’est moi qui vais la branler !
Sa vulve ruisselle littéralement entre mes doigts. Pliant mon poignet, j’enfonce mon majeur entre les grandes lèvres et commence à mon tour un mouvement de va et vient, calquant mon rythme sur celui de Christophe. L’effet est terrible ! Marine se balance d’avant en arrière, poussant de petits gémissements entrecoupés de râle de gorge plus rauque. Eric observe la scène, un sourire de satisfaction au coin des lèvres. Je constate qu’il a mis l’autre capote et je me dis que pour une première fois, c’est beaucoup !
Pendant de longues minutes, ils se relaient, baisant l’un après l’autre, avec la même douceur, le cul de ma coquine qui n’en peux plus d’attendre pour jouir. A chaque changement de partenaire, elle reste immobile, attendant d’être pénétrée lentement en cherchant à récupérer son souffle.
Eric la baise pour la deuxième fois quand soudain il se retire, arrache le préservatif et, plaçant sa queue entre les fesses, se met à aller et venir furieusement. Comprenant ce qu’il se passe, Marine se balance d’avant en arrière pendant qu’il gicle sur son dos. Les jets de sperme passent devant mon visage pour atteindre la nuque de Marine qui reste immobile, haletante.
Eric recule, laissant sa place à Christophe qui pénètre de nouveau ce cul qui s’offre encore sans la moindre retenue. Il recommence ses mouvements de va et vient pendant que je branle Marine à la même cadence. Le rythme s’accélère lentement et je devine que cette fois, il ne s’arrêtera plus ! Les gémissements de Marine s’amplifient puis se transforme en petits cris tandis que Christophe pilonne de plus en plus fort. J’accélère moi aussi le mouvement de mon majeur dans la vulve trempée puis sortant mon doigt, le place sur le clitoris tout dur et le masse à la même cadence. L’effet est immédiat ! Marine se cabre violemment en lâchant un grand cri. Le corps agité de tremblements, elle joui en lâchant un véritablement hurlement tout en balançant frénétiquement son corps d’avant en arrière, totalement déchainée. Ses cris se transforment en râles venant du plus profond de sa gorge, la bouche grande ouverte aspirant l’air comme si elle allait mourir. Christophe s’immobilise enfin, tétanisé, les dents serrés, les yeux fermés. Je devine qu’il est en train de jouir à son tour au plus profond du ventre palpitant de Marine.
Les deux complices assis côte à côte au pied d’un arbre me regardent en souriant, le souffle court. Je me penche vers Marine, allongée sur le dos, essoufflée comme si elle venait de courir un 100 mètres. Elle me regarde et je devine comme une sorte d’interrogation. J’esquisse un petit sourire et avance ma main pour lui caresser tendrement la joue. Son visage semble se détendre un peu. Je prends une de ses mains, l’approche de ma bouche et y dépose un petit bisou :
_ Je t’aime…
Elle me sourit, enfin !
_ Tu as aimé ?
Question stupide, tant sa jouissance fut intense mais je ne sais pas quoi lui dire d’autre en cet instant précis. Son sourire se transforme en un petit rire. C’est déjà ça ! Elle hoche la tête et murmure :
_ Et toi ? Tu as aimé regarder ?
_ Oh putain oui… C’était géant !
De nouveau elle rit. Puis redevient sérieuse :
_ Mais tu n’as pas joui, tu dois en avoir envie quand même…
_ Je m’en fou, on se rattrapera plus tard… Pas envie maintenant, tu as l’air complètement épuisée…
Elle pouffe de rire et j’adore ce moment. Elle semble en paix avec elle-même, les questions-réflexions viendront sans doute plus tard. Il faut profiter de l’instant !
Je m’approche de son oreille et à voix basse :
_ Tu es quand même une sacrée salope…
De nouveau elle pouffe de rire puis passe son bras sur ma tête pour la maintenir tandis qu’à son tour elle me chuchote :
_ Oui mais tu aimes ça…
Je me redresse en riant. Je regarde autour de moi et constate que nous sommes de nouveau que tous les quatre. Les voyeurs sont tous partis et je me fais une drôle de réflexions, combien d’entre eux se sont branlés jusqu’au bout et à quel moment ils ont joui ? C’est con de penser à un truc pareil. Christophe se relève, suivi d’Eric. Ils nous rejoignent et avec gentillesse, ramassent le chemisier, le soutient gorge et la culotte pour les tendre à Marine.
_ Désolé, j’ai rien pour essuyer ton dos.
Eric se tient dans une attitude fautive, bras dans le dos, se dandinant d’un pied sur l’autre. On rit tous les quatre et ça fait du bien. Christophe récupère les emballages des préservatifs sous l’œil attentif de Marine, maintenant assise qui lui lance :
_ Preuves pour l’accusation, c’était donc prémédité !
Christophe éclate de rire puis s’approche de nous.
_ On en a effectivement un peu parlé entre nous en début d’aprèm... Mais on pensait à ce soir et non maintenant.
_ Vous en avez parlé, c’est qui vous ? Vous trois ?
Tout en récupérant mes fringues, je réponds, un peu gêné :
_ Oui… Enfin… J’étais au courant mais je ne savais pas exactement ce qu’ils envisageaient… Ni quand…
Les deux autres se mettent à rire puis Eric :
_ Tu ne savais pas exactement mais tu en avais une petite idée quand même, non ?
_ Oui, oui, c’est vrai… J’avoue que je me doutais bien d’un truc de ce genre.
Marine nous regarde en souriant puis se relève, magnifique dans la lumière du soleil tamisée par le feuillage des arbres.
Christophe la regarde et sa queue se redresse un peu.
_ Tu es vachement bandante quand même… Et tu baises sacrément bien tu sais ?
Marine se retourne, voit son sexe et un peu confuse :
_ Merci… Mais je suppose que tu dis ça à toutes celles que tu…
Toujours avec sérieux, Christophe lui répond :
_ Absolument pas ! Des nanas qui bougent leur cul de cette façon quand on les baise, il n’y en a pas tellement. Et aussi ta… ta façon de jouir… J’adore les femmes qui crient, c’est franchement superbe ! Pas vrai Eric ?
_ Ben Sandra !, Mélanie ! Et… quelques autres mais pas beaucoup, c’est vrai.
Marine les observe, les joues rouges, visiblement gênée. Je m’approche d’elle et la prend dans mes bras ou elle se blotti immédiatement. Cette conversation est complètement surréaliste ! Je dis le premier truc qui me passe par la tête :
_ Bon ben finalement, j’ai du bol d’avoir une femme exceptionnelle quand elle baise !
On rit tous les quatre mais je sens bien que Marine est terriblement troublée par leurs confidences. Je décide de changer de sujet :
_ Bon, désolé les gars mais j’ai promis à madame d’aller boire un coup en bord de mer, en amoureux.
Et j’ajoute avec un clin d’œil :
_ Et peut-être un petit restau après pour reprendre des forces…
De nouveau rires et Christophe ouvre la marche, la serviette pliée sur le bras.