Je vais vous raconter le fil de la soirée d'hier.
J'avais choisi de travailler à la maison hier après midi pour prendre en charge la petite pour les activités du vendredi soir afin que Clara puisse se mettre dans les meilleures dispositions et se détendre avant de retrouver son amant tant désiré.
Quand elle rentre du travail, elle est harassée par une semaine de travail intense et des situations tendues, elle n'a pas la tête à faire la fête. Elle décide de faire une petite sieste, puis de prendre un bain avant de partir. Juste avant la sieste elle a cette sortie très "miss saxo" sur la longueur de sa touffe

, puis part se coucher. Une heure plus tard je la réveille de la sieste et constate qu'elle affiche une mine renfrognée, elle est tendue et parait stressée. C'est pas le moment d'être lourd, je ne lui dis pas que je viens de me rappeler que c'est la fête de la musique et que le trajet jusqu'à Paris risque d'être compliqué. Non, je décide d'attendre avant de parler de ça :/
Après son bain, elle se prépare un peu à reculons, elle tond son buisson parce qu'au fond elle a envie de faire plaisir, enfile la petite robe noire et se maquille rapidement.
Le trajet jusqu'à Paris se passe bien, pas de bouchons, nous ne parlons pas trop, une ambiance bizarre règne dans la voiture. Je ne sais pas si elle est juste stressée ou si elle se force à sortir pour moi. Je n'en mène pas large ...
Puis nous arrivons dans le quartier de notre complice sans encombre et tout à coup, Madame se détend complètement, je le sens et je le vois, elle me confirme que oui, elle était stressée du trajet. Je suis rassuré mais je continue de penser qu'elle appréhende de revoir Y.
Va-t-elle lui plaire après 8 mois sans le voir ? Et aura-t-elle autant de désir qu'avant de son côté ? Je sens qu'elle n'est pas complètement détendue. Tout de même, à mesure que nous approchons, Clara se fait plus joyeuse et guillerette, jusqu'à l'entrée dans l'immeuble où elle vous montre sa petite chatte tendue avant de prendre l'ascenseur. Son sourire vient de revenir

Il nous accueille avec le sourire, lui aussi. Il est 21 heures, on a toute la soirée devant nous.
Nous prenons place sur son canapé, Clara entre les deux hommes. Il se passe plus d'une heure avant que la main d'Y. n’effleure une première fois la cuisse de Clara, je bouillonne d'impatience, je n'en peux plus mais je ne montre rien et on discute de tout et de rien.
Je caresse la jambe gauche de Clara, puis les cheveux et Y. caresse enfin sa cuisse droite, et à un moment, Clara ferme les yeux et bascule la tête en arrière... Bingo !
Quatre mains impatientes parcourent son corps, sous la robe, sur la robe, les têtes se rapprochent ... Je remarque que la main d'Y. s'active maintenant entre les jambes de ma femme alors je me lève discrètement pour le laisser profiter comme il le souhaite.
Leur corps se tendent et se cherchent, s'embrassent, les mains dans les mains, leur retrouvailles se consument devant moi dans une étreinte d'une intensité incroyable. Son sexe est tendu comme jamais il vient le frotter sur le ventre de Clara, j'ai l'impression qu'il va la manger avec les yeux, puis la manger tout court, il la dévore littéralement. Elle se penche à 4 pattes pour le sucer, je sais qu'elle en meure d'envie... Y est à son tour la tête en arrière, profitant de la bouche experte de Clara. Le ton monte, la température aussi, Clara s'applique et il débute une série de claques sur ses fesses. Il lui assène des fessées monumentales à une fréquence incroyable, je me demande comment fait ma douce Clara pour continuer son œuvre sans broncher ... je me sens proche de jouir, je suis impressionné par la scène qui se déroule devant moi.
Sentant lui aussi l'éjaculation proche, il se lève pour prendre un préservatif et là, encore, le spectacle magnifique de Clara qui s'allonge avec un sourire qui en dit long sur son envie. Ils se sont bien trouvés tous les deux, avec leur goût plus que modéré pour les préliminaires à rallonge. Il s'empressent de s'emboîter, de fusionner, à peine a-t-il pénétré le sexe trempé de Clara qu'elle s'abandonne totalement dans des cris et des râles qui couvrent largement les échos de la fête de la musique parisienne. Il lui fait l'amour d'une façon qu'il m'est difficile de retranscrire, avec passion et bestialité mais en même temps, le tableau est d'une tendresse infinie.
Pendant ce temps là j'étais devant eux, debout, je reculais au fond de la pièce, je cherchais les sopalins au cas où, j'étais hypnotisé, émerveillé, plus rien d'autres ne pouvait exister que cet amour intense et profond que je ressentais. J'éjaculais piteusement et abondement dans mon mouchoir et je continuais de les regarder, et je continuais de bander, je venais d'entrer au paradis.
Y. redouble d'intensité, il pilonne sa maitresse et se remet à la fesser violemment.
Il ne tarde pas à éjaculer bruyamment, comblant ma femme, qui reçoit sa jouissance comme un cadeau, avec une joie sincère et un sourire qui en dit long, encore une fois.
Je ne sais pas si pendant ce rapport elle a pu avoir un orgasme, au sens physique du terme, mais je l'ai vue jouir, oui ça c'est sûr, elle a joui !
Son visage vient de changer, elle a son expression de Reine heureuse et comblée. Je viens l'embrasser amoureusement, j'ai le cœur qui bat et le souffle court, je viens de jouir par procuration, j'ai les jambes qui flageolent.
S'en suit une loooonnngue pause où nous reparlons de tout et de rien...
Et pis je vous raconterai le deuxième set puis le retour si jamais ça vous plait.
Je vais faire des captures d'écran des différents moments que je raconte ici, mais lesphotos seront certainement de piètre qualité.