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Il existe de multiples façons de pratiquer le candaulisme, elles sont extrêmement diverses et variées, et chacun est libre d'explorer son candaulisme comme il le souhaite selon ce qui lui convient le mieux.

Le candaulisme peut s'exprimer de différentes manières, allant des pratiques les plus élémentaires aux expériences les plus élaborées. Chaque couple ou individu peut développer sa propre approche en matière de candaulisme, en fonction de ses propres fantasmes et désirs. Les possibilités sont infinies et il n'y a pas de limites autres que celles que l'on s'impose soi-même ou avec son/sa partenaire.

Vous êtes invités à échanger sur ces différentes pratiques candaulistes dans cette section du forum, qu'il s'agisse de celles que vous avez déjà expérimentées ou que vous aimeriez simplement explorer. N'hésitez pas à partager vos récits, vos questions, vos conseils ou vos réflexions sur ce que vous appréciez ou non dans le cadre de vos expériences candaulistes. Le candaulisme se décline sous de multiples facettes, à chacun de trouver ce qui lui correspond le mieux.

Profitez de cette zone d'échange pour discuter des pratiques candaulistes, des plus simples aux plus poussées, de ce qui est envisageable ou non envisageable selon vos propres critères. Le candaulisme est une pratique subjective que chacun peut modeler à sa guise.
par moinsque
#1269322
Je l'attends nu, dans la chambre. J'ai allumé le chauffage, je sais déjà comment elle m'attachera, elle me l'a dit : «  Je t'attacherai les mains avec les bracelets de cuir, puis je passerai une cordelette blanche dans chacun des anneaux des bracelets. Tu seras à genoux sur le lit. Je passerai les deux brins de la cordelette dans l'anneau pendu au plafond. Tu lèveras les bras, et je tendrai la cordelette, bien fort pour être sûre que tu ne puisses pas te frotter la non-nommée sur le drap, tu en serais capable. Quand j'aurai bien serré le nœud, nous fêterons tes trois semaines de cage ».

Me voilà donc ainsi étiré au-dessus du lit. Mes bras sont tendus très haut, ça me tire sur les poignets et sur les épaules. Elle s'empare de la clé et entreprend de libérer la non-nommée. Elle prend son temps. Ma gorge se serre. Elle tourne la vis lentement. Chaque tour fait progresser ma queue vers la liberté à la cadence de son pas, petit donc lent. Elle me regarde. Elle sent mon inquiétude. Ma queue commence à se tendre, encore dans la cage. Enfin la vis tombe. Elle dégage un peu le tube pour retirer la pointe de sûreté, puis elle retire doucement le reste du tube. Elle décide de me laisser l'anneau : « Ce ne sera pas long. » m'informe-t-elle. A peine libérée, ma queue s'allonge. Le sang y afflue lourdement, je le sens bouillonner, il m’enivre. Enfin je bande, c'est une sensation indescriptible. Je bande, je bande à tout rompre. Jamais ma queue n'avait été ainsi gonflée. Peut-être est-ce l'effet de l'anneau resté en place, peut-être est-ce l'effet de la libération après une si longue période d'enfermement, la plus longue que j'ai connue à ce jour. Ma queue est rouge, mon gland est pourpre. Aux battements des veines qui parcourent la hampe, elle peut deviner ceux de mon cœur, à l'unisson de mon extase.

Je regarde ma bite l’œil effaré. Une panique monte en moi qui ne me quittera plus, car je sais l'issue de cette soirée : le retour en cage est inéluctable, elle ne me fera pas jouir, elle ne me videra pas. Son œil me le dit quand elle lit ma détresse sur ma gueule sans voix, sur mes yeux qui roulent comme deux lions en cage. Je gémis, je crie quand elle pause la main sur ma queue. Commence alors la pire torture qu'il m'ait été donné de vivre. Elle me branle tout doucement, me caresse le bout du gland avec la plus grande douceur, car elle sait que je peux venir très vite. Elle prend le plus grand soin à me tenir au bord du gouffre, suspendu dans le vide à un fil, celui de sa perverse volonté. Je serre les dents quand elle s'y met du bout de la langue, puis quand elle me gobe carrément le gland. La souffrance, mêlée à un plaisir sans bornes, noyée dans la douce chaleur de sa bouche, sur le velours de ses lèvres, la souffrance me tord le ventre d'angoisse.

Quand elle cesse, me laissant juste avant que ne monte l'orgasme, la queue pantelante, mon gland est au bord de l'explosion. La peau si fine à cet endroit du corps est polie comme un miroir tant elle est tendue. Le manche est douloureux, bandé comme ô grand jamais dans ma vie de petite bite.

Sans perdre une miette de ma déchéance, ses yeux impassibles plantés comme des fourches dans mon regard suppliant, elle se glisse sous moi et me tirant vers le bas, pousse le vice à se servir de ma bite comme d'un gode pour se baiser la chatte, ruisselante de son désir sadique. Un aller-retour seulement, elle fait bien, je n'aurais pu en supporter plus sans décharger mes trois semaines de foutres comprimées dans mes couilles coincées par l'anneau qui me scie la bite. Elle m'abandonne enfin, pour se finir en solo, sans jamais me quitter des yeux. Je supplie, je fais littéralement la manche, je rampe à ses pieds plus bas que terre... rien n'y fait. Elle se branle et me laisse à mes souffrances. Elle finit par fermer les yeux pour prendre son pied, sans doute en imaginant la queue de son nouvel amant, prévu demain. Je grogne de douleur et de frustration, seul pendu au milieu de la chambre, les mains privées de sang tant je tire sur le lien pour me frotter le bout du gland sur le dessus de ses mains affairées sur son callibistrys.

Alors que je supplie encore et encore, elle me fixe soudain et me prend de haut :  « D'accord !». Elle reprend mon gourdin en main et se met à le branler vigoureusement. Je panique immédiatement, j'implore qu'elle cesse. Pourquoi ? Pourquoi ai-je fait çà ? Je ne veux pas qu'elle me vide comme çà, brutalement. Ou peut-être... Peut-être que je ne veux pas qu'elle me vide du tout. Je suis à Elle, sa possession pèse sur tout mon corps et sur toute mon âme, je suis sa chose quand elle me remplit les couilles à ras-bord, et j'aime çà plus que tout, plus que l'orgasme, plus que mon foutre quand il gicle au fond de sa gorge !

Elle ne me libère pas avant d'avoir remis la cage bien en place. Je tombe à genoux entre ses cuisses. Tout juste m'autorise-t-elle à embrasser ses seins: "Bonne nuit..."

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