- 23 mars 2013, 18:06
#1321017
Il est tard, tout est calme. Confortablement assis sur mon canapé, le portable sur les genoux, je parcours notre correspondance. Je relis inlassablement tes textes. Que tu écris bien ! l'un d'entre eux en particulier "le visiteur" relatant fidèlement un de nos rendez-vous matinal. Te souviens-tu ? Même un auteur de littérature érotique célèbre à qui tu avais envoyé cet essai t'avait complimentée, Il t'avait même fait la confidence d'avoir été "troublé" à la lecture de ce texte. , nous étions si fiers ! "Troublé"... ? Comme je le suis moi-même à cet instant alors que je te relis chacun de tes mots et décrypte les non-dits. A l'évocation de ce moment, je ressens ton corps chaud de la nuit dans l'obscurité de la chambre.
"[..] Nue ça, je l'étais ! Je passai mes mains sur le galbe de mes seins, ma main sur mon ventre puis un doigt sur ma toison intime....MMmmm, quel réveil quatre étoiles que mon Homme allait donc m'offrir...Cette journée débutait au mieux!
J'esquissai un sourire ravi....Je sentis les battements de mon cœur s'accélérer, mon entre-jambe s'humidifier imperceptiblement, sensibilisé à sa présence toute proche.
Il espérait me réveiller… J'allai jouer le jeu pour son... pour notre plaisir. Je m'étirai comme une chatte et coquine, fis mine de dormir…
Fidèle à notre petit scénario, Il était en train de te dévêtir silencieusement dans le séjour, je pouvais entendre le froissement assourdi de ses vêtements tandis qu'il les quittait...J'entendis chuter le ceinturon, plus lourd que le reste. [...]"
Et cette image de toi pour immortaliser l'instant. Te souviens-tu ? Je l'avais faite alors que je partais pour une journée de travail, heureux, comblé et si fier de t'avoir dans ma vie.
"[..] Nue ça, je l'étais ! Je passai mes mains sur le galbe de mes seins, ma main sur mon ventre puis un doigt sur ma toison intime....MMmmm, quel réveil quatre étoiles que mon Homme allait donc m'offrir...Cette journée débutait au mieux!
J'esquissai un sourire ravi....Je sentis les battements de mon cœur s'accélérer, mon entre-jambe s'humidifier imperceptiblement, sensibilisé à sa présence toute proche.
Il espérait me réveiller… J'allai jouer le jeu pour son... pour notre plaisir. Je m'étirai comme une chatte et coquine, fis mine de dormir…
Fidèle à notre petit scénario, Il était en train de te dévêtir silencieusement dans le séjour, je pouvais entendre le froissement assourdi de ses vêtements tandis qu'il les quittait...J'entendis chuter le ceinturon, plus lourd que le reste. [...]"
Et cette image de toi pour immortaliser l'instant. Te souviens-tu ? Je l'avais faite alors que je partais pour une journée de travail, heureux, comblé et si fier de t'avoir dans ma vie.
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