- 23 nov. 2013, 09:55
#1466922
Véritable candauliste soumis style bonne petite lopette, je suis régulièrement cocu depuis plus de 5 ans et ma femme âgée de 58 ans, a de nombreux amants plus ou moins réguliers.
Il faut reconnaître que marié depuis plus de 30 ans, j’ai souvent durant cette vie conjugale été cocu sans le savoir par des hommes ayant une situation sociale plus enviable.
J’ai donc le parfait profil du cocu consentant, incapable de satisfaire pleinement une épouse exigeante et donc disposé à la prêter pour une soirée ou un week-end à qui veut bien s’en occuper.
J’ai pris d’abord l’habitude de secouer ma nouille en regardant ma femme se faire baiser par de vrais mâles, généralement beaucoup plus jeunes qu’elle.
Néanmoins, je n’assiste plus désormais aux saillies, ayant enfin compris que la présence du cocu pouvait gêner l’épouse et l’empêcher de se libérer totalement.
C’est une femme mature BCBG, réservé au premier abord, mais qui a beaucoup de succès malgré les années et qui en profite pleinement, se faisant fréquemment tirer, notamment sur son lieu de travail où elle reçoit régulièrement ses amants au rythme de deux fois par mois en moyenne.
Elle aime les bites biens dures et bien raides, mes performances sexuelles médiocres l’ayant porté naturellement vers de vrais étalons vigoureux.
Pour des raisons professionnelles liées à une mutation que j’ai demandée et obtenue, elle est restée seule avec nos enfants en Loire-Atlantique pendant plusieurs mois, alors que je résidais en Provence.
Inutile de vous dire que mes cornes ont pris beaucoup d’ampleur en quelques mois.
Mais parmi ses nombreuses aventures dont j’ai été parfois complice, l’une a été plus particulièrement excitante.
J’avais eu un contact par internet avec deux hommes libertins du Lot qui devaient venir en Vendée pour une mission ponctuelle.
Ils étaient disposés à faire le déplacement jusqu’ à Nantes pour peu qu’une charmante dame libertine consentait à passer la soirée en leur compagnie.
Je leur proposai d’entreprendre ma femme et de la monter s’ils parvenaient à la séduire dans l’espoir d’être une nouvelle fois cocu.
Il était convenu qu’ils devaient me faire partager autant que faire se peut leur soirée avec mon épouse.
Je leur donnai le numéro de téléphone de ma femme pour établir le contact.
Il était prévu qu’ils l’inviteraient dans un premier temps à prendre un verre et ensuite en fonction du feeling au restaurant, mais sans engagement ferme de sa part car tout dépendait de la tournure des événements.
Je préviens mon épouse par SMS qu’elle allait recevoir une invitation à diner avec deux messieurs de bonne compagnie un soir en semaine.
L’invitation fut lancée à la faveur d’un premier contact téléphonique avec ma femme qui augurait déjà d’une suite probable.
Le jeudi suivant, à 20H elle se rendit au rendez-vous.
Au cours du repas je reçus un premier SMS m’informant que tout se passait bien et qu’elle avait vraiment du charme.
Puis à la fin du repas j’appris toujours par SMS qu’ils en étaient au champagne.
Enfin je fus avisé vers minuit qu’ils prenaient la route de l’hôtel et que ma femme, réticente dans un premier temps à se laisser aller compte tenu de l’heure tardive les suivait en voiture.
A minuit trente je reçus un premier SMS me disant : « ta femme n’est pas farouche, on l’a déjà mise à poil et elle n’avait d’ailleurs pas de culotte. On a pu constater d’emblée qu’elle mouillait abondamment de la chatte et du cul. On va bien la tirer Pas de termes vulgaires ou dégradants dans la rubrique "Erotisme", merci. et elle risque de s’en souvenir. »
Une demi-heure plus tard nouveau SMS : « mon pote est dans ta femme, et il lui passe dessus avec vigueur ce qu’elle apprécie tout particulièrement. Sa rosette est grande ouverte et il ne va pas tarder à l’enculer Pas de termes vulgaires ou dégradants dans la rubrique "Erotisme", merci.. Elle a vraiment un bon tirage et je comprends bien pourquoi tu es cocu.»
Un quart d’heure plus tard mon téléphone sonne et je perçois la voix de ma femme qui commençait à couiner.
L’un des partenaires avait ouvert la ligne et posé son téléphone sur la table de nuit pour me permettre de suivre en détail l’évolution de la soirée, ce qu’elle ignorait.
Malgré la faible qualité de la ligne, je percevais distinctement la voix de ma femme et celle de ses amants d’un soir qui s’en donnaient à cœur joie depuis deux heures, la prenant chacun leur tour et lui procurant un plaisir évident.
Je l’entendis hurler de plaisir et je compris non sans étonnement aux propos de ses partenaires qu’ils l’avaient prise en double, ce qui révélait bien son degré d’excitation car c’est une pratique dont elle n’est pas coutumière.
Non satisfait de bourrer simultanément le cul et la chatte Pas de termes vulgaires ou dégradants dans la rubrique "Erotisme", merci., ils alternaient les positions, celui étant dans la chatte s’introduisant dans son cul et vice-versa pour l’autre partenaire.
Parvenu au comble de mon excitation en entendant les gémissements et cris de plaisir de ma femme ma bite dure et tendue depuis des heures n’était plus sous contrôle.
Je n’ai pas pu me retenir davantage et j’ai lamentablement fait dans mon slip, envoyant une purée abondante comme un adolescent pubère.
C’était la première fois que j’étais cocu par téléphone interposé.
J’eus droit bien évidemment à un rapport détaillé de ses amants d’un soir et ma femme ne se doutait pas que j’avais éte associé à ses exploits.
Il faut reconnaître que marié depuis plus de 30 ans, j’ai souvent durant cette vie conjugale été cocu sans le savoir par des hommes ayant une situation sociale plus enviable.
J’ai donc le parfait profil du cocu consentant, incapable de satisfaire pleinement une épouse exigeante et donc disposé à la prêter pour une soirée ou un week-end à qui veut bien s’en occuper.
J’ai pris d’abord l’habitude de secouer ma nouille en regardant ma femme se faire baiser par de vrais mâles, généralement beaucoup plus jeunes qu’elle.
Néanmoins, je n’assiste plus désormais aux saillies, ayant enfin compris que la présence du cocu pouvait gêner l’épouse et l’empêcher de se libérer totalement.
C’est une femme mature BCBG, réservé au premier abord, mais qui a beaucoup de succès malgré les années et qui en profite pleinement, se faisant fréquemment tirer, notamment sur son lieu de travail où elle reçoit régulièrement ses amants au rythme de deux fois par mois en moyenne.
Elle aime les bites biens dures et bien raides, mes performances sexuelles médiocres l’ayant porté naturellement vers de vrais étalons vigoureux.
Pour des raisons professionnelles liées à une mutation que j’ai demandée et obtenue, elle est restée seule avec nos enfants en Loire-Atlantique pendant plusieurs mois, alors que je résidais en Provence.
Inutile de vous dire que mes cornes ont pris beaucoup d’ampleur en quelques mois.
Mais parmi ses nombreuses aventures dont j’ai été parfois complice, l’une a été plus particulièrement excitante.
J’avais eu un contact par internet avec deux hommes libertins du Lot qui devaient venir en Vendée pour une mission ponctuelle.
Ils étaient disposés à faire le déplacement jusqu’ à Nantes pour peu qu’une charmante dame libertine consentait à passer la soirée en leur compagnie.
Je leur proposai d’entreprendre ma femme et de la monter s’ils parvenaient à la séduire dans l’espoir d’être une nouvelle fois cocu.
Il était convenu qu’ils devaient me faire partager autant que faire se peut leur soirée avec mon épouse.
Je leur donnai le numéro de téléphone de ma femme pour établir le contact.
Il était prévu qu’ils l’inviteraient dans un premier temps à prendre un verre et ensuite en fonction du feeling au restaurant, mais sans engagement ferme de sa part car tout dépendait de la tournure des événements.
Je préviens mon épouse par SMS qu’elle allait recevoir une invitation à diner avec deux messieurs de bonne compagnie un soir en semaine.
L’invitation fut lancée à la faveur d’un premier contact téléphonique avec ma femme qui augurait déjà d’une suite probable.
Le jeudi suivant, à 20H elle se rendit au rendez-vous.
Au cours du repas je reçus un premier SMS m’informant que tout se passait bien et qu’elle avait vraiment du charme.
Puis à la fin du repas j’appris toujours par SMS qu’ils en étaient au champagne.
Enfin je fus avisé vers minuit qu’ils prenaient la route de l’hôtel et que ma femme, réticente dans un premier temps à se laisser aller compte tenu de l’heure tardive les suivait en voiture.
A minuit trente je reçus un premier SMS me disant : « ta femme n’est pas farouche, on l’a déjà mise à poil et elle n’avait d’ailleurs pas de culotte. On a pu constater d’emblée qu’elle mouillait abondamment de la chatte et du cul. On va bien la tirer Pas de termes vulgaires ou dégradants dans la rubrique "Erotisme", merci. et elle risque de s’en souvenir. »
Une demi-heure plus tard nouveau SMS : « mon pote est dans ta femme, et il lui passe dessus avec vigueur ce qu’elle apprécie tout particulièrement. Sa rosette est grande ouverte et il ne va pas tarder à l’enculer Pas de termes vulgaires ou dégradants dans la rubrique "Erotisme", merci.. Elle a vraiment un bon tirage et je comprends bien pourquoi tu es cocu.»
Un quart d’heure plus tard mon téléphone sonne et je perçois la voix de ma femme qui commençait à couiner.
L’un des partenaires avait ouvert la ligne et posé son téléphone sur la table de nuit pour me permettre de suivre en détail l’évolution de la soirée, ce qu’elle ignorait.
Malgré la faible qualité de la ligne, je percevais distinctement la voix de ma femme et celle de ses amants d’un soir qui s’en donnaient à cœur joie depuis deux heures, la prenant chacun leur tour et lui procurant un plaisir évident.
Je l’entendis hurler de plaisir et je compris non sans étonnement aux propos de ses partenaires qu’ils l’avaient prise en double, ce qui révélait bien son degré d’excitation car c’est une pratique dont elle n’est pas coutumière.
Non satisfait de bourrer simultanément le cul et la chatte Pas de termes vulgaires ou dégradants dans la rubrique "Erotisme", merci., ils alternaient les positions, celui étant dans la chatte s’introduisant dans son cul et vice-versa pour l’autre partenaire.
Parvenu au comble de mon excitation en entendant les gémissements et cris de plaisir de ma femme ma bite dure et tendue depuis des heures n’était plus sous contrôle.
Je n’ai pas pu me retenir davantage et j’ai lamentablement fait dans mon slip, envoyant une purée abondante comme un adolescent pubère.
C’était la première fois que j’étais cocu par téléphone interposé.
J’eus droit bien évidemment à un rapport détaillé de ses amants d’un soir et ma femme ne se doutait pas que j’avais éte associé à ses exploits.
Modifié en dernier par SamEtNoa le 23 nov. 2013, 14:04, modifié 1 fois.
Raison : Pas de termes vulgaires ou dégradants dans la rubrique "Erotisme", merci.