- 13 janv. 2016, 13:25
#1867333
Après des semaines d’hésitations, nous avions franchi le cas de la rencontre réelle.
Quelques recherches sur des sites de rencontres et quelques déconvenues plus tard (pas mal de mytho et de fantasmeurs), une première rencontre s’était faite.
Rien n’avait été planifié, aucun scénario écrit à l’avance. Nous avions donc Oups, en lisant vos commentaires je me rends compte que les propos imprecis ont du paraitre bizarre.
Quand je did aucun contact visuel, je parle des yeux dans les yeux. Je trouve ca tres exitant, particulirement lors de la finition mais elle n a pas fixe mon regard une seule fois.
Par contre, j ai put la voir et admirer son corps meme si encore une fois, ce n est pas l ambiance (rien a voir avec certains salons qui font tout pour qu on voit bien chaque partie du corps des masseuse).
Idem pour les raisons pour lesquelles je n ai rien tente. Mais je me suis peut etre fait des idees et il aurait ete possible d echange mutuel mais je ne pense vraiment pas.
Si quelqu un a une experience avec elle, je suis curieux du resultat.rencontré notre compliceOups, en lisant vos commentaires je me rends compte que les propos imprecis ont du paraitre bizarre.
Quand je did aucun contact visuel, je parle des yeux dans les yeux. Je trouve ca tres exitant, particulirement lors de la finition mais elle n a pas fixe mon regard une seule fois.
Par contre, j ai put la voir et admirer son corps meme si encore une fois, ce n est pas l ambiance (rien a voir avec certains salons qui font tout pour qu on voit bien chaque partie du corps des masseuse).
Idem pour les raisons pour lesquelles je n ai rien tente. Mais je me suis peut etre fait des idees et il aurait ete possible d echange mutuel mais je ne pense vraiment pas.
Si quelqu un a une experience avec elle, je suis curieux du resultat. dans une brasserie parisienne, vers la fin du service de midi. Nous avions appris à faire connaissance. L’homme avait ut observé la tenue de Marion et ses dessous. Avant de nous quitter, je lui avais proposé d’aller retirer la culotte de Marion dans les toilettes, ce qu’ils avaient tous les deux acceptés. Voilà comment nous avions franchi le cas du candaulisme. Je n’avais pas vraiment assisté à la première fois de Marion. C’est par procuration que j’avais vécu ce qui s’était passé dans ces toilettes, à travers leurs récits mutuels.
Quelques jours plus tard, nous avons donc décider de recontacter cet homme pour lui proposait d’aller plus loin. Là, j’avais évoqué quelques idées avec lui, sans que Marion connaisse les détails.
Le jour J arrive, nous nous rejoignons tous les 3 dans un restaurant, proche de l’hôtel réservé. Nous avons échangé avec notre complice qui nous a fait part de ses désirs vestimentaires. Il avait demandé à Marion de porter une minijupe noire, courte. Marion avait négocié sa longueur : elle devait s’arrêter à mi-cuisses. Des escarpins noirs hauts, des bas, un chemisier et de la lingerie rouge. Nous lui avons fait une surprise, il avait demandé des talons hauts (10/11cm), elle a acheté pour l’occasion la plus haute paire qu’elle à put supporter : 14cm. La dessus, elle me dépasse en taille mais n’est pas très à l’aise pour marcher. Quant à la jupe, elle à mis sa plus jupe la plus courte (je posterai une photo de ce jour). Elle arrive à peine à la lisière des bas debout, assisse, on voit clairement la dentelle des bas, voire un bout de peau nue. La tenue fait son effet, notre complice est tout ému. Le serveur est aussi au petit soin pour nous. Je me surprends à m’amuser le voir jeter des coup d’œil à peine discret sur les cuisses de Marion à chaque fois qu’il vient. L’autre surprise c’est qu’elle n’a pas mis de sous-vêtements. Je me demande si le serveur arrive à le voir. Je vois souvent son regard plonger dans le chemisier de Marion, je pense que même s’il ne voit pas ses seins, il voit qu’ils sont libres.
Tant bien que mal, nous arrivons à déjeuner et assez rapidement, nous nous dirigeons vers l’hôtel.
Je suis très amusé par la situation. On s’approche de la réception. La réceptionniste demande notre nom (d’emprunt of course) et nous demande combien de temps nous gardons la chambre : quelques heures seulement lui-dis-je. Elle ne parait pas gênée mais je m’amuse de la situation. 2 hommes et une femme demandant une chambre pour l’après midi ! Marion est écarlate. Je l’observe. De plus, sa tenue, même si elle ne fait pas vulgaire, est plutôt classe mais elle ne laisse pas trop de doute. Elle n’a pas l’air habillé pour faire un scrabble à 3 ! Le fait de savoir que tout le monde sait ce qui va se passer ajoute à l’excitation du moment.
La chambre est au second. Je propose de monter par les escaliers plutôt que par l’ascenseur. De façon très galante, j’invite Marion à passer la première et notre complice à la suivre. Lorsqu’elle passe devant moi, je demande à Marion de relever discrètement sa jupe durant la montée. Je passe derrière notre complice. La jupe de Marion cache à peine ses fesses, notre complice ne doit pas être loin de voir les lèvres nues et épilées de son sexe. Au début, il n’ose pas trop regarder mais peu à peu , je vois son regard franchement mater. L’excitation commence à monter en moi. Je ne savait pas quoi attendre de ce moment mais voit Marion ainsi exhibée et un homme la mater ainsi me plait énormément. Il me tarde d’être dans la chambre.
La suite prochainement si ça vous interesse….
Quelques recherches sur des sites de rencontres et quelques déconvenues plus tard (pas mal de mytho et de fantasmeurs), une première rencontre s’était faite.
Rien n’avait été planifié, aucun scénario écrit à l’avance. Nous avions donc Oups, en lisant vos commentaires je me rends compte que les propos imprecis ont du paraitre bizarre.
Quand je did aucun contact visuel, je parle des yeux dans les yeux. Je trouve ca tres exitant, particulirement lors de la finition mais elle n a pas fixe mon regard une seule fois.
Par contre, j ai put la voir et admirer son corps meme si encore une fois, ce n est pas l ambiance (rien a voir avec certains salons qui font tout pour qu on voit bien chaque partie du corps des masseuse).
Idem pour les raisons pour lesquelles je n ai rien tente. Mais je me suis peut etre fait des idees et il aurait ete possible d echange mutuel mais je ne pense vraiment pas.
Si quelqu un a une experience avec elle, je suis curieux du resultat.rencontré notre compliceOups, en lisant vos commentaires je me rends compte que les propos imprecis ont du paraitre bizarre.
Quand je did aucun contact visuel, je parle des yeux dans les yeux. Je trouve ca tres exitant, particulirement lors de la finition mais elle n a pas fixe mon regard une seule fois.
Par contre, j ai put la voir et admirer son corps meme si encore une fois, ce n est pas l ambiance (rien a voir avec certains salons qui font tout pour qu on voit bien chaque partie du corps des masseuse).
Idem pour les raisons pour lesquelles je n ai rien tente. Mais je me suis peut etre fait des idees et il aurait ete possible d echange mutuel mais je ne pense vraiment pas.
Si quelqu un a une experience avec elle, je suis curieux du resultat. dans une brasserie parisienne, vers la fin du service de midi. Nous avions appris à faire connaissance. L’homme avait ut observé la tenue de Marion et ses dessous. Avant de nous quitter, je lui avais proposé d’aller retirer la culotte de Marion dans les toilettes, ce qu’ils avaient tous les deux acceptés. Voilà comment nous avions franchi le cas du candaulisme. Je n’avais pas vraiment assisté à la première fois de Marion. C’est par procuration que j’avais vécu ce qui s’était passé dans ces toilettes, à travers leurs récits mutuels.
Quelques jours plus tard, nous avons donc décider de recontacter cet homme pour lui proposait d’aller plus loin. Là, j’avais évoqué quelques idées avec lui, sans que Marion connaisse les détails.
Le jour J arrive, nous nous rejoignons tous les 3 dans un restaurant, proche de l’hôtel réservé. Nous avons échangé avec notre complice qui nous a fait part de ses désirs vestimentaires. Il avait demandé à Marion de porter une minijupe noire, courte. Marion avait négocié sa longueur : elle devait s’arrêter à mi-cuisses. Des escarpins noirs hauts, des bas, un chemisier et de la lingerie rouge. Nous lui avons fait une surprise, il avait demandé des talons hauts (10/11cm), elle a acheté pour l’occasion la plus haute paire qu’elle à put supporter : 14cm. La dessus, elle me dépasse en taille mais n’est pas très à l’aise pour marcher. Quant à la jupe, elle à mis sa plus jupe la plus courte (je posterai une photo de ce jour). Elle arrive à peine à la lisière des bas debout, assisse, on voit clairement la dentelle des bas, voire un bout de peau nue. La tenue fait son effet, notre complice est tout ému. Le serveur est aussi au petit soin pour nous. Je me surprends à m’amuser le voir jeter des coup d’œil à peine discret sur les cuisses de Marion à chaque fois qu’il vient. L’autre surprise c’est qu’elle n’a pas mis de sous-vêtements. Je me demande si le serveur arrive à le voir. Je vois souvent son regard plonger dans le chemisier de Marion, je pense que même s’il ne voit pas ses seins, il voit qu’ils sont libres.
Tant bien que mal, nous arrivons à déjeuner et assez rapidement, nous nous dirigeons vers l’hôtel.
Je suis très amusé par la situation. On s’approche de la réception. La réceptionniste demande notre nom (d’emprunt of course) et nous demande combien de temps nous gardons la chambre : quelques heures seulement lui-dis-je. Elle ne parait pas gênée mais je m’amuse de la situation. 2 hommes et une femme demandant une chambre pour l’après midi ! Marion est écarlate. Je l’observe. De plus, sa tenue, même si elle ne fait pas vulgaire, est plutôt classe mais elle ne laisse pas trop de doute. Elle n’a pas l’air habillé pour faire un scrabble à 3 ! Le fait de savoir que tout le monde sait ce qui va se passer ajoute à l’excitation du moment.
La chambre est au second. Je propose de monter par les escaliers plutôt que par l’ascenseur. De façon très galante, j’invite Marion à passer la première et notre complice à la suivre. Lorsqu’elle passe devant moi, je demande à Marion de relever discrètement sa jupe durant la montée. Je passe derrière notre complice. La jupe de Marion cache à peine ses fesses, notre complice ne doit pas être loin de voir les lèvres nues et épilées de son sexe. Au début, il n’ose pas trop regarder mais peu à peu , je vois son regard franchement mater. L’excitation commence à monter en moi. Je ne savait pas quoi attendre de ce moment mais voit Marion ainsi exhibée et un homme la mater ainsi me plait énormément. Il me tarde d’être dans la chambre.
La suite prochainement si ça vous interesse….