©FORUM CANDAU - N'oubliez pas de liker !
Il existe de multiples façons de pratiquer le candaulisme, elles sont extrêmement diverses et variées, et chacun est libre d'explorer son candaulisme comme il le souhaite selon ce qui lui convient le mieux.

Le candaulisme peut s'exprimer de différentes manières, allant des pratiques les plus élémentaires aux expériences les plus élaborées. Chaque couple ou individu peut développer sa propre approche en matière de candaulisme, en fonction de ses propres fantasmes et désirs. Les possibilités sont infinies et il n'y a pas de limites autres que celles que l'on s'impose soi-même ou avec son/sa partenaire.

Vous êtes invités à échanger sur ces différentes pratiques candaulistes dans cette section du forum, qu'il s'agisse de celles que vous avez déjà expérimentées ou que vous aimeriez simplement explorer. N'hésitez pas à partager vos récits, vos questions, vos conseils ou vos réflexions sur ce que vous appréciez ou non dans le cadre de vos expériences candaulistes. Le candaulisme se décline sous de multiples facettes, à chacun de trouver ce qui lui correspond le mieux.

Profitez de cette zone d'échange pour discuter des pratiques candaulistes, des plus simples aux plus poussées, de ce qui est envisageable ou non envisageable selon vos propres critères. Le candaulisme est une pratique subjective que chacun peut modeler à sa guise.
#41264
Je remercie tous ceux qui se sont exprimés sur mon premier témoignage. J’en suis, croyez-le bien, aussi surprise que flattée.
Il semble donc que ma trace féminine ici demande à être poursuivie. Je livre un souvenir récent, puisqu’il date de ce week-end…

C’était en début de soirée, je devais retrouver un amant à la gare. Ce n’est pas si courant : être la première femme qui accueille un homme à son arrivée chez lui…
C’est pour moi l’heure grise, quand la lumière du jour décline et que les maisons, éclairées par la seule lumière des téléviseurs, se referment sur leurs occupants. Rejoindre à cette heure ordinaire les désirs d’un homme et aller librement au-devant des miens est une grande excitation. Le sentiment d’agrandir le champ de mon existence et d’enfreindre l’ordre des vies réglées par l’habitude, la peur ou la morale.
J’étais sexy, la chaleur des derniers jours se prêtait au dévoilement : robe blanche minimale, jambes hauts perchés et légèrement bronzées des premières journées au soleil. Il y avait du monde à la gare, mais il m’a vue tout de suite. Il a eu ce geste inattendu : il a laissé tomber ses bagages et m’a longuement embrassé au milieu de la foule. Un moment intense. Nous étions comme un couple. Et j’imagine que pour les voyageurs autour de nous, ce spectacle des amoureux qui se retrouvent était aussi évident qu’il l’était sous mes paupières.
Nous avions toute la nuit devant nous. Bien que beau garçon, libertin et vivant avec une copine, il n’a jamais retrouvé ailleurs l’intensité de nos ébats. Il dit même que c’est « à cause » de femmes comme moi qu’il ne peut se stabiliser dans sa vie de couple. Un compliment….
Nous avons récupéré ma voiture au parking, mais je lui ai demandé de prendre le volant… J’avais une petite surprise pour lui ! Une fois sur la route, j’ai dégrafé son pantalon. Je l’ai branlé doucement en l’embrassant dans le cou. Et puis je l’ai pris dans ma bouche. Tout le temps où nous avons roulé, je l’ai sucé, sucé. J’y ai mis toute ma sciences et les paumes de mes mains pesaient sous ses couilles le poids de leur dépendance.
Un instant, j’ai pensé à mon mari, au froid de mon absence dans son lit pendant que la chaleur d’un autre sexe emplissait ma bouche. Au même moment, deux hommes m’espéraient de tout leur désir, au-delà du plaisir ou du tourment que je leur donnais. Je me sentais belle, irrésistible, prête à tout. Je faisais jouir, je faisais souffrir et nul ne m'aimait moins pour cela. J’avais ce privilège d’effacer la frontière entre le bien et le mal et le pouvoir de me comporter comme une garce sans que jamais ma séduction ait à en souffrir.
Ce soir-là, je crois que ma bouche a fait des prodiges. Nous avons roulé jusque chez lui (mais qui conduisait réellement l’autre ?). Quand nous sommes arrivés, il faisait nuit. Et jusqu’au lendemain matin, rien n’a compté au monde que la joie de nous mêler…
Modifié en dernier par cassandra le 27 mai 2010, 11:46, modifié 4 fois.
#42178
Très bien écrit. Vivement la suite de la nuit. :twisted:
Quel plaisir de lire vos experiences, Mesdames, surtout quand ils sont de cette qualité.

Notre boutique candauliste 100% sécurisée