La suite on s'en doutera fut celle de la possession de mon épouse par ce jeune amant à qui je l'avais offerte en dessous et amenée jusqu'à son lit, pour le plaisir que tous deux voulaient consommer ardemment. Saisissant sa croupe divine enserrée de satin il la pénétra et, pour le dire simplement, baisa ma femme aux reins cambrés, aux cheveux lâchés comme son abandon, aux mains crispées sur les draps, sur ma main d'époux chéri et sur ma queue droite d'excitation...
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