Les ébats se poursuivent sous mon oeil ravi, je passe de la vidéo à la photo et vice-versa sous les gémissements des deux amants qui se chuchotent parfois de petits mots à l'oreille, entrecoupés de cavalcades plus poussées qui semblent la ravir.
Notre homme sait y faire pour alterner les rythmes lents et doux bien en profondeur, puis enchaîner sur un pilonnage en staccato rapide pour parvenir à l'orée de l'explosion sans la déclencher.
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Il est aussi plutôt du genre imaginatif (un genre peu représenté à notre grand désarroi), et diablement équipé en accessoires divers dont on devine que d'autres bénéficient régulièrement et bénéficieront sous peu à l'avenir :
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En connaisseur, il alterne les caresses, les fessées, fait une pause pour parcourir le corps de madame de son éperon rotatif, puis finit par sortir un womanizer de sa besace, mais plutôt que de l'utiliser de sa propre main il lui ordonne de rester empalée sur lui pendant qu'elle se l'applique. Le garnement sait bien qu'il va de ce fait lui-même ressentir les vibrations ainsi que les contractions de sa chatte soumise à un traitement aussi délicieux que radical.
L'effet ne se fait pas attendre, et chauffée à blanc depuis un petit moment déjà, elle entre dans une transe orgasmique de plusieurs minutes, enchaînant les pics de jouissance dont ses cris seront un témoin incontestable.
Elle finit repue et presque ivre, se retire de sa queue presqu'en catastrophe, moment qu'il saisit pour lui porter le coup de grâce en enfonçant deux doigts dans sa chatte ouverte et sur-sensibilisée par le traitement de faveur dont elle vient d'être l'objet.
En temps normal elle repousserait l'assaut, mais à ma surprise elle se laisse aller sous la stimulation experte de son point G, sa tête part en arrière, ses yeux se ferment et elle ne tarde pas à exprimer une satisfaction extatique.
J'ai à peine le temps de mettre en garde notre hôte sur le déluge qu'il s'apprête "innocemment" à provoquer que jaillit sans prévenir un flot de nectar inondant à la fois le lit et l'amant. Il m'avouera penser à prévoir une logistique appropriée pour une prochaine fois
Après quelques instants à reprendre ses esprits, je me doute qu'il manque un petit quelque chose à son apaisement, que son appétit pour la semence ne saurait négliger, une sorte de dessert après ce copieux repas en quelque sorte... Lui se serait contenté d'en rester là, satisfait d'avoir su provoquer tant de bonheur, mais c'est mal la connaître, et à la lueur démoniaque apparue dans ses yeux, à son sourire gourmand, je devine déjà qu'elle ne repartira pas sans avoir goûté à son tour à son nectar. Elle le prend par la queue, le dirige vers le salon où tout a débuté, s'agenouille à ses pieds, il se met à bander comme à ses 20 ans, et devant ce témoignage d'avidité vorace, il est pris à son tour par le démon du stupre.
Les voilà repartis dans une danse où elle s'applique à le sucer avec un désir ardent. Lui, amplifiant ses mouvements pour lui donner ce qu'elle veut. Elle gémit de plus belle en sentant la rigidité surnaturelle provoquée par ses va-et-vients, la bouche pleine, elle l'encourage de ses cris étouffés, lui l'encourage à coulisser de plus belle de ses mains et de son bassin, sous les commentaires élogieux pour ses dons divins.
Inutile de vous dire que je bande moi-même très fort, et que cette partie du reportage m'a demandé un immense self-control

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Enfin, après plusieurs minutes à profiter de sa bouche, et après avoir émis plusieurs hypothèses sur l'endroit qui serait l'objet de son choix pour s'épandre, il lui saisit la tête et rentre juste à temps son sexe pour (ultime raffinement) sentir sa langue frétiller le long de son gland au moment fatidique. Je la vois profiter des jets que je devine et les avaler goulûment au fur et à mesure qu'ils lui sont offerts. Pour autant qu'on puisse ébaucher un sourire dans ces conditions, j'en saisis l'esquisse sur ses lèvres, tout à leur tâche et distendues par ce beau pieu d'homme mûr.
Je vous laisse découvrir le son qui accompagne la scène, les mots finissent par me manquer pour décrire la température qui régnait dans ce petit salon parcouru des couleurs vives de son ambiance lumineuse.
N'y tenant plus je lâchai comme souvent mes appareils. En une ultime récompense, je m'approchai de sa bouche souillée et, une fois qu'ils se furent embrassés à pleine bouche, me préparai à lui faire à mon tour offrande de mon jus en un dernier feu d'artifice que la dernière scène de la vidéo immortalise sans équivoque :
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Merci, ma chérie...
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