- 11 nov. 2014, 16:40
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Ayant initié la demande, ils m'ont dit de choisir, mais j'ai personnellement une préférence pour la lingerie élégante et ce n'est pas l'endroit pour trouver ça, du coup j'ai proposé à son amant que j'en choisisse une et qu'il en choisisse une autre, dans tous les cas ce n'était vraiment pas cher.
J'ai opté pour un string minimaliste au possible, noir, une ficelle brodée autour de la taille et une autre de la même largeur verticale avec un petit noeud au croisement. Je sais que ce n'est pas ce qu'elle porte d'habitude et c'était le but pour changer.
Son amant a lui choisit une culotte brillante fine, rose bonbon, avec de petits volets sur les côté et échancrée derrière.
A la caisse notre butin était maigre et le vendeur nous a demandé si on avait besoin de rien d'autre.
Voyant son ventre il a félicité ma femme, demandant lequel de nous deux était le futur papa.
Il a demandé si on voulait un sac, ma femme a dit non, et le vendeur a immédiatement ajouté "c'est pour porter tout de suite" mi question mi affirmation.
Ma femme n'a pas répondu, mais dans son dos son amant à répondu oui, j'ai vu un coup de coude discret aller dans sa direction.
Je n'ai pu m'empêcher de sourire également.
Le vendeur semblait en tout cas sympathique, et a dit gentiment à l'intention de ma femme qu'il ne fallait pas être genée.
Il semblait surtout s'ennuyer fermement derrière son comptoir.
Je l'ai vu venir au moment pile où il enchainé.
En prenant notre monnaie il s'est penché les bras croisées sur son comptoir et en regardant ma femme il lui a dit qu'il nous faisait 10% si elle en mettait une dans le magasin.
Elle était très gênée et indirectement moi aussi pour elle, mais je ne pouvais d'un autre côté m'empêcher de sourire.
C'était de son seul fait à elle, si le vendeur lui demandait ça.
Si elle avait mis une robe moins sexy il n'y aurait peut être rien eu.
J'ai un peu honte de le dire, mais j'avoue l'avoir un peu laissée se débrouiller toute seule à ce moment là, son amant toujours derrière elle, souriait aussi et ne semblait pas non plus partisan pour l'aider.
Elle a répondu non plusieurs fois et ses joues devenant cramoisies ne l'aidait pas non plus.
Le vendeur a semblé lui laisser quelques secondes, et il est en fait revenu gentiment à la charge et lui a dit qu'il lui offrirait un petit cadeau si elle le faisait.
Dans la boutique une personne était partie mais il restait un couple qui paraissaient concentrés devant leur rayon mais je voyais les regards en coin dans notre direction.
Mettant la monnaie sur le comptoir il a insisté une dernière fois lui disant qu'en quinze secondes même pas elle aurait eu le temps de le faire.
Son amant s'est penché vers mon oreille et m'a demandé si il pouvait essayer.
Je lui ai répondu machinalement si il voulait.
Il s'est rapproché derrière ma femme et a approché son visage de son oreille, il lui a demandé si elle lui faisait confiance.
Elle n'a pas répondu, son amant a approché sa main du comptoir et a demandé laquelle au vendeur, il lui a tendu celle que j'avais choisit (évidemment).
La Miss maugréait et je l'ai entendu dire à son amant qu'elle lui ferait payer mais elle s'est à ma surprise tout de même laissé faire.
Son amant s'est baissé à ses pieds et a fait passé l'un après l'autre le string à travers se talons puis il s'est relevé et l'a remonté jusqu'à ses hanches, le bas de sa robe avec.
Je n'avais pas prévu ça quand j'ai choisit le string, et ce fut encore plus vrai une fois porté que la ficelle était si fine.
Le vendeur a poussé le vice jusqu'à demander si elle pouvait faire un demi tour sur elle même.
En tout cas elle a reçu pas mal de compliments, le vendeur lui a dit que ça n'avait pas été si dur.
En cadeau il nous à donné à chacun une mini sucette en forme de sexe...
Une fois à l'extérieur et éloigné de la boutique, ma femme nous a reproché de ne pas l'avoir aidée.
Son amant lui a demandé si elle était sincèrement fâchée, elle a répondu non, mais qu'elle se demandait encore comment elle avait pu le faire.
Essayant de décoincer la situation son amant a dit qu'elle avait assuré (ce sur quoi j'ai été d'accord) et que la prochaine fois peut être qu'elle arrivera a avoir un rabais encore meilleur et d'autres sucettes...
En marchant en direction de nos voitures, son amant nous a fait tourner dans une ruelle pour couper
, après quelques dizaines de mètres il a pousser ma femme de son épaule vers un petit renfoncement.
Il m'a dit qu'il avait vu en entrant que c'était une impasse.
Elle était calme et apparemment déserte, pas d'entrée ou autre.
Son amant m'a décalé contre le mur dos à eux, et derrière moi ils ont pu profiter du petit espace en renfoncement et de moi faisant en partie écran au cas où.
Ma femme a été surprise sur le moment mais elle a compris une poignée de secondes plus tard.
Leur tournant le dos pour les cacher je ne voyais pas mais je les entendais, j'entendais le bruit de leurs bouches s'embrasser.
J'ai senti juste ensuite la main de ma femme s'appuyer sur mon épaule, et juste après j'ai entendu ses petits gémissements arriver jusqu'à moi.
Je me suis retourné un instant, elle se tenait à moi d'une main et sur l'épaule de son amant de l'autre, il l'a pénétrait déjà rapidement, sortant simplement son sexe de la braguette de son pantalon et écartant la ficelle du string de ma femme.
Elle a rapidement enlevé sa main de mon épaule pour s'accrocher autour du cou de son amant, ses gémissements étaient audibles mais restaient discrets.
Ils ont ensuite changé de position, il a guidé ma femme face à mon dos, elle a agrippé mes deux épaules avec ses mains et ils ont reprit.
Impossible là de me retourner, le bon côté étant que les va et viens de son amant l'ont rapidement poussé presque contre moi et mon dos, du coup je sentais sa poitrine contre moi et son visage à côté du mien.
C'était beaucoup moins discret si quelqu'un venait à passer, mais tout semblait désert.
Après quelques minutes je l'ai senti me lâcher, j'ai tourné rapidement la tête en arrière, elle s'était retourné et baisser vers son amant qui semblait sur le point de finir.
Quand je me suis retourné à nouveau, elle avait baissé le haut de sa robe et il avait jouit sur sa poitrine.
Mais je n'avais pas prit de quoi parer à cette éventualité, à la maison il y a toujours de quoi faire mais là je n'avais pas prévu.
Son amant a attrapé la seconde culotte qui dépassait du manteau de ma femme et s'en est servit pour essuyer.
Il lui a demandé si elle voulait la gardé, elle a répondu oui et a dit qu'elle la laverait.
Elle l'a remise dans sa poche, ils se sont rhabillés et nous sommes revenus à nos voitures.
Malgré la proximité, une fois rentrés tous trois chez nous on s'est rapidement endormi.
Le lendemain matin, on a reparlé tous les trois de la soirée, et après une douche rapide, son amant a dit qu'il allait rentrer.
Ma femme lui a rappeler pour le tatouage, ne s'étant pas rhabillée, il lui a dessiné des étoiles à droite juste au dessus du pubis.
Il nous a redemandé si le coup des faveurs nous avait amusé, on a répondu oui et il nous a demandé si nous voudrions en faire un sur la semaine jusqu'à samedi prochain.
Répondant positivement, il nous a proposé de faire un petit concours, il a attrapé ma femme par le bras et avec le feutre il a tracé un trait sur la longueur de son bras droit au centre.
Il a demandé a ma femme si elle avait eu un orgasme hier soir et elle a répondu pas loin mais non.
Son amant lui a répondu "dommage", et il a fait un trait du côté droit de la ligne.
Et il nous a dit ensuite, pour chaque orgasme que lui ou moi recevions jusqu'à samedi on ajouterait un trait, et de l'autre une croix en cas d'orgasme pour elle.
Et il a ajouté, que si samedi prochain il y avait plus de traits que de croix nous lui devrions tous les deux une grosse faveur, et si c'est l'inverse ça sera elle.
On a été tous les deux emballés.
Ensuite son amant est rentré, on a continué de discuter tous les deux de la soirée l'un contre l'autre pendant au moins une heure et on a fait l'amour.
Après ça, me revenant je lui ai demandé la faveur qu'elle était censée me demander à moi seul.
Elle m'a dit que c'était simplement une demande et qu'elle voulait me demander d'abord, et que la faveur pour son amant était celle là, mais qu'elle voulait demander les choses dans l'ordre.
Je n'avais pas du tout pensé à ça, mais elle m'a demandé si j'accepterais que l'on demande à son amant si il voulait être le parrain de notre futur petite puce.
(On ne connaît d'ailleurs toujours pas le sexe et on préfère attendre jusqu'au bout).
Il est vrai que techniquement c'est la personne qui a été après moi, la plus proche tout au long de nos tentatives et de la grossesse elle même.
Je lui ai répondu que même si par rapport à lui je n'y voyais aucun inconvénient, ça voulait dire qu'elle anticipait que l'on reste proche.
Je lui ai fait remarqué que nous avions eu de précédents amants avec qui on s'entendait très bien et que par la force des choses on s'était progressivement séparés.
Comment savoir si ça ne sera pas pareil avec lui à un moment ou un autre, ça serait alors dommage.
Elle a été d'accord avec mon argument mais m'a répondu que même si il trouvait dans un futur indéterminé quelqu'un et que l'on doive arrêter il pourrait toujours rester un bon ami très proche.
Elle avait l'air d'y avoir pas mal réfléchit et semblait déjà assez décidée sur son choix.
Je lui ai dit qu'on pouvait y réfléchir quelques jours et que si jamais on reste là dessus on l'invitera dans la semaine pour en discuter avec lui.
Elle a semblé assez contente de ma réponse.
Et j'oubliais, j'ai pu juste après, ajouter un trait et une croix sur le haut de son épaule.