- 19 nov. 2014, 00:37
#1698065
Il l'a taquinnée en lui répondant qu'il fallait qu'elle soit sache ce qu'elle demande et qu'elle devait se débrouiller le cas échéant.
La chambre était plutôt spacieuse, le lit était grand mais beaucoup plus bas que le nôtre, et rien pour s'assoir, hormis sur le lit ou par terre.
Elle l'a ensuite déshabillé comme elle pouvait, ensuite son amant l'a allongée sur le lit, je me suis du coup assis à côté du matelas et près d'elle.
Son amant est venu à nouveau goûter son sexe, écartant encore une fois ses cuisses le plus possible.
La Miss tenait ma main fermement dans la sienne et m'écrasait presque les doigts.
Puis il est retourné dans l'entrée quelques secondes, il est revenu avec le sac de ce que l'on avait acheté plus tôt.
Il a dit en revenant que c'était parfait pour agrémenter la salade, ce qui à fait rire tout le monde.
Il m'a demandé de lui passer la boite de préservatif dans le tiroir de la table de nuit.
Il a demandé à ma femme si elle préférait qu'il prenne le petit ou plus gros, elle a bien sûr répondu le plus petit déjà ça sera bien.
Elle a retourné son visage vers moi et a levé les sourcils.
J'ai vu que de l'autre côté son amant avait mis le préservatif sur le plus gros sans qu'elle prête attention.
Son amant a alors demandé à ma femme si elle pouvait même pour un court moment se mettre à quatre pattes sur le lit, sachant qu'elle fatiguerait rapidement.
On a échangé de main et elle s'est exécuté.
Son amant a légèrement appuyé sur le haut de son dos afin qu'elle se cambre et elle a tourné la tête vers moi.
Je me suis un peu décalé vers l'arrière du lot, pour pouvoir voir un minimum, aussi loin que la main de ma femme me laissait aller.
Elle m'a lancé un "alors?".
Je lui ai répondu que honnêtement je ne la pensais pas capable, elle a dit pareil, son amant lui n'a rien dit.
Je l'ai vu présenter son sexe à l'entrée de ses lèvres, ma femme s'est raidie et son amant lui a dit de se détendre, qu'elle le connaissait assez pour savoir qu'il ne lui ferait pas de mal.
Son dos s'est détendu et ses épaules se sont relâchées.
Il a alors doucement appuyé l'extrémité de son sexe contre ses lèvres, poussant tranquillement jusqu'à ce que son sexe soit totalement rentré.
Il est ensuite ressorti puis l'a pénétrée à nouveau cette fois sans aucun a-coup jusqu'au bout.
M'a femme de son côté lui a lancé qu'elle savait que c'était lui.
Il s'est retiré à nouveau puis a dévoré le sexe de ma femme.
Elle s'est cambrée encore d'avantage, je voyais par intermittence ses petites lèvres ouvertes et luisantes, comme pour inviter à venir en elle.
Après un long moment à la dévorer littéralement, son amant est revenu à la charge en faisant glisser son gland juste à l'entrée de ses lèvres.
A son visage elle semblait fort apprécier.
Puis il a intervertit et avec sa main, il a présenté l'extrémité du concombre, faisant toujours des va et viens le long de ses lèvres.
Il a ensuite doucement appuyé, faisant rentrer le début de l'extrémité, j'ai senti sa main écraser la mienne.
Son amant lui a demandé si cela lui faisait mal, elle a répondu non mais que d'aspect c'était plus dur qu'elle ne l'avait anticipé.
Il a demandé si il pouvait continuer, et elle lui a dit que pour l'instant il pouvait.
Il a alors demandé à ma femme de se remettre sur le dos, il m'a passé le concombre et m'a demandé de l'aider quand il me ferait signe.
Il a ensuite pris les cuisses de la Miss dans ses mains et l'a pénétré de manière rapide avec son sexe.
Elle m'a demandé de revenir plus près d'elle et a attiré mon visage pour m'embrasser.
Les mouvements de son amant nous faisaient bouger tous les deux, et les lèvres de sa bouche effleuraient les miennes au gré des ses va et viens.
Après plusieurs longues minutes, son amant m'a fait signe, il s'est retiré, et je l'ai remplacé par ce que je tenais dans la main.
J'ai appliqué une légère pression sans forcer, la Miss a baissé les yeux pour me regarder faire.
De toute évidence ça ne semblait pas vouloir rentrer, son amant a voulu essayé lui aussi mais sans succès non plus.
Ma femme a rit et à dit a son amant qu'il lui en devait une belle.
J'ai ajouté qu'en fait il avait même prévu deux faveurs dans ce cas là.
La miss a ajouté qu'elle lui en ferait voir pour son argent, elle semblait contente de l'avoir eu, mais son amant n'avait pas l'air rancunier, il s'est penché sur elle pour l'embrasser.
Elle souriait toujours pendant qu'il essayait de lui arracher un baiser, et voyant sûrement qu'elle se moquait (gentiment) de lui, je l'ai entendu lui dire que pour le moment, encore, il avait toujours le dessus sur la situation.
Ce qui a fait l'a faite rire à nouveau.
Elle n'est pas du genre à se laisser faire, sauf si elle le veut, et en général ce genre de réaction à le don par expérience, de produire l'effet inverse chez elle.
Et ça n'a pas manqué.
Elle lui a répondu que ça, ça n'avait pas été décidé jusqu'à preuve du contraire.
Elle s'est détaché de sous son amant comme elle a pu, puis elle l'a poussé où elle était allongée quelques secondes plus tôt.
Juste après, elle s'est avancée à califourchon au dessus de lui, jusqu'à avoir ses fesses quasiment au dessus de son torse et ses jambes rabattues de chaque côté de sa tête.
Ensuite, je ne sais pas si elle l'a fait volontairement ou pas, mais elle s'est servit de sa main droite qui tenait toujours la mienne et elle a, avec ses doigts écarté ses petites lèvres, glissant son doigt sur toute leur longueur.
Elle a enfin avancé encore son bassin, pour venir rencontrer la bouche de son amant.
Elle maintenait toujours ses lèvres entrouvertes, je la sentais brulante sous ma paume, et le bout de mes doigts commençaient à être inondés.
La miss a ensuite faufilé l'index de sa main libre entre les lèvres de la bouche de son amant jusqu'à atteindre son clitoris qu'elle a lentement pressé.
Après quelques instants elle a ramené ses doigts à sa bouche et ma main avec elle, ses doigts étaient aussi tout humides, voir plus encore que les miens.
Elle les a essuyés sur ses lèvres, m'a regardé et a approché son visage autant qu'elle le pouvait de moi.
Elle est venu à ma rencontre, mais son baiser a été interrompu et nos lèvres sont restées en suspend .
J'ai levé les yeux vers les siens et j'ai vu qu'elle les avait clos, l'expression de son visage lui donnait l'air de lutter contre une envie d'émettre un gémissement.
La chambre était plutôt spacieuse, le lit était grand mais beaucoup plus bas que le nôtre, et rien pour s'assoir, hormis sur le lit ou par terre.
Elle l'a ensuite déshabillé comme elle pouvait, ensuite son amant l'a allongée sur le lit, je me suis du coup assis à côté du matelas et près d'elle.
Son amant est venu à nouveau goûter son sexe, écartant encore une fois ses cuisses le plus possible.
La Miss tenait ma main fermement dans la sienne et m'écrasait presque les doigts.
Puis il est retourné dans l'entrée quelques secondes, il est revenu avec le sac de ce que l'on avait acheté plus tôt.
Il a dit en revenant que c'était parfait pour agrémenter la salade, ce qui à fait rire tout le monde.
Il m'a demandé de lui passer la boite de préservatif dans le tiroir de la table de nuit.
Il a demandé à ma femme si elle préférait qu'il prenne le petit ou plus gros, elle a bien sûr répondu le plus petit déjà ça sera bien.
Elle a retourné son visage vers moi et a levé les sourcils.
J'ai vu que de l'autre côté son amant avait mis le préservatif sur le plus gros sans qu'elle prête attention.
Son amant a alors demandé à ma femme si elle pouvait même pour un court moment se mettre à quatre pattes sur le lit, sachant qu'elle fatiguerait rapidement.
On a échangé de main et elle s'est exécuté.
Son amant a légèrement appuyé sur le haut de son dos afin qu'elle se cambre et elle a tourné la tête vers moi.
Je me suis un peu décalé vers l'arrière du lot, pour pouvoir voir un minimum, aussi loin que la main de ma femme me laissait aller.
Elle m'a lancé un "alors?".
Je lui ai répondu que honnêtement je ne la pensais pas capable, elle a dit pareil, son amant lui n'a rien dit.
Je l'ai vu présenter son sexe à l'entrée de ses lèvres, ma femme s'est raidie et son amant lui a dit de se détendre, qu'elle le connaissait assez pour savoir qu'il ne lui ferait pas de mal.
Son dos s'est détendu et ses épaules se sont relâchées.
Il a alors doucement appuyé l'extrémité de son sexe contre ses lèvres, poussant tranquillement jusqu'à ce que son sexe soit totalement rentré.
Il est ensuite ressorti puis l'a pénétrée à nouveau cette fois sans aucun a-coup jusqu'au bout.
M'a femme de son côté lui a lancé qu'elle savait que c'était lui.
Il s'est retiré à nouveau puis a dévoré le sexe de ma femme.
Elle s'est cambrée encore d'avantage, je voyais par intermittence ses petites lèvres ouvertes et luisantes, comme pour inviter à venir en elle.
Après un long moment à la dévorer littéralement, son amant est revenu à la charge en faisant glisser son gland juste à l'entrée de ses lèvres.
A son visage elle semblait fort apprécier.
Puis il a intervertit et avec sa main, il a présenté l'extrémité du concombre, faisant toujours des va et viens le long de ses lèvres.
Il a ensuite doucement appuyé, faisant rentrer le début de l'extrémité, j'ai senti sa main écraser la mienne.
Son amant lui a demandé si cela lui faisait mal, elle a répondu non mais que d'aspect c'était plus dur qu'elle ne l'avait anticipé.
Il a demandé si il pouvait continuer, et elle lui a dit que pour l'instant il pouvait.
Il a alors demandé à ma femme de se remettre sur le dos, il m'a passé le concombre et m'a demandé de l'aider quand il me ferait signe.
Il a ensuite pris les cuisses de la Miss dans ses mains et l'a pénétré de manière rapide avec son sexe.
Elle m'a demandé de revenir plus près d'elle et a attiré mon visage pour m'embrasser.
Les mouvements de son amant nous faisaient bouger tous les deux, et les lèvres de sa bouche effleuraient les miennes au gré des ses va et viens.
Après plusieurs longues minutes, son amant m'a fait signe, il s'est retiré, et je l'ai remplacé par ce que je tenais dans la main.
J'ai appliqué une légère pression sans forcer, la Miss a baissé les yeux pour me regarder faire.
De toute évidence ça ne semblait pas vouloir rentrer, son amant a voulu essayé lui aussi mais sans succès non plus.
Ma femme a rit et à dit a son amant qu'il lui en devait une belle.
J'ai ajouté qu'en fait il avait même prévu deux faveurs dans ce cas là.
La miss a ajouté qu'elle lui en ferait voir pour son argent, elle semblait contente de l'avoir eu, mais son amant n'avait pas l'air rancunier, il s'est penché sur elle pour l'embrasser.
Elle souriait toujours pendant qu'il essayait de lui arracher un baiser, et voyant sûrement qu'elle se moquait (gentiment) de lui, je l'ai entendu lui dire que pour le moment, encore, il avait toujours le dessus sur la situation.
Ce qui a fait l'a faite rire à nouveau.
Elle n'est pas du genre à se laisser faire, sauf si elle le veut, et en général ce genre de réaction à le don par expérience, de produire l'effet inverse chez elle.
Et ça n'a pas manqué.
Elle lui a répondu que ça, ça n'avait pas été décidé jusqu'à preuve du contraire.
Elle s'est détaché de sous son amant comme elle a pu, puis elle l'a poussé où elle était allongée quelques secondes plus tôt.
Juste après, elle s'est avancée à califourchon au dessus de lui, jusqu'à avoir ses fesses quasiment au dessus de son torse et ses jambes rabattues de chaque côté de sa tête.
Ensuite, je ne sais pas si elle l'a fait volontairement ou pas, mais elle s'est servit de sa main droite qui tenait toujours la mienne et elle a, avec ses doigts écarté ses petites lèvres, glissant son doigt sur toute leur longueur.
Elle a enfin avancé encore son bassin, pour venir rencontrer la bouche de son amant.
Elle maintenait toujours ses lèvres entrouvertes, je la sentais brulante sous ma paume, et le bout de mes doigts commençaient à être inondés.
La miss a ensuite faufilé l'index de sa main libre entre les lèvres de la bouche de son amant jusqu'à atteindre son clitoris qu'elle a lentement pressé.
Après quelques instants elle a ramené ses doigts à sa bouche et ma main avec elle, ses doigts étaient aussi tout humides, voir plus encore que les miens.
Elle les a essuyés sur ses lèvres, m'a regardé et a approché son visage autant qu'elle le pouvait de moi.
Elle est venu à ma rencontre, mais son baiser a été interrompu et nos lèvres sont restées en suspend .
J'ai levé les yeux vers les siens et j'ai vu qu'elle les avait clos, l'expression de son visage lui donnait l'air de lutter contre une envie d'émettre un gémissement.