- 15 févr. 2010, 11:59
#21911
Les rares fois où son mari l'a prise durant cette période, elle se débrouillait pour se faire prendre en levrette en gardant son string afin qu'il ne remarque pas sa chatte épilée.
Raconter toutes nos turpitudes de cette période prendrait beaucoup de temps, car étalés sur 18 mois environ. Cela remonte au tout début des années 2000 et je ne me souviens même plus de tout en plus
Pour ma part, je poussais le bouchon de plus en plus loin avec son mari.
J'obligeais Carole à sortir de la maison sans culotte et avec bas pour venir me rejoindre pour la soirée et une grande partie de la nuit (la première année, elle ne découchait pas complètement). Jamais il n'est venu à l'idée de ce dernier de mettre sa main sous sa jupe quand elle partait. Pourtant, nous passions à cette époque une soirée par semaine ensemble.
Une fois, une seule, je lui ai ordonné de sortir carrément nue sous son manteau. Elle l'a fait. Je l'attendais dans la voiture devant chez elle et elle n'avait ni le temps ni l'endroit pour se désaper et ranger ses fringues entre sa sortie de la maison et l'arrivée à la voiture: elle est donc passée devant son mari à poil sous un manteau.
Puis j'ai commencé à réguler leurs rapports conjugaux : elle ne devait s'occuper de lui que quand je l'avais décidé et comme je l'avais décidé. Elle obéissait et je le savais.
Jusqu'à ce que je lui interdise d'avoir des rapports avec lui, au cours de l'été suivant.
Elle commençait à cette époque à goûter avec moi à la pluralité masculine. Je me souviens notamment d'une fois oùm nous avions passé la nuit dans une boîte à cul où je l'avais offerte à trois types. Je la ramenais chez elle et nous avons croisé presqu'à hauteur de sa maison son mari qui rentrait d'une soirée entre potes, en titubant et visiblement saoul. Nous ne pensons pas qu'ils nous aient vus bien que nous l'ayons carrément croisé en remontant la rue ; je me suis garé dans un parking un peu plus loin et j'ai une dernière fois baisé Carole dans la voiture en lui disant bien qu'elle allait rentrer avec mon foutre dans sa chatte.
Raconter toutes nos turpitudes de cette période prendrait beaucoup de temps, car étalés sur 18 mois environ. Cela remonte au tout début des années 2000 et je ne me souviens même plus de tout en plus
Pour ma part, je poussais le bouchon de plus en plus loin avec son mari.
J'obligeais Carole à sortir de la maison sans culotte et avec bas pour venir me rejoindre pour la soirée et une grande partie de la nuit (la première année, elle ne découchait pas complètement). Jamais il n'est venu à l'idée de ce dernier de mettre sa main sous sa jupe quand elle partait. Pourtant, nous passions à cette époque une soirée par semaine ensemble.
Une fois, une seule, je lui ai ordonné de sortir carrément nue sous son manteau. Elle l'a fait. Je l'attendais dans la voiture devant chez elle et elle n'avait ni le temps ni l'endroit pour se désaper et ranger ses fringues entre sa sortie de la maison et l'arrivée à la voiture: elle est donc passée devant son mari à poil sous un manteau.
Puis j'ai commencé à réguler leurs rapports conjugaux : elle ne devait s'occuper de lui que quand je l'avais décidé et comme je l'avais décidé. Elle obéissait et je le savais.
Jusqu'à ce que je lui interdise d'avoir des rapports avec lui, au cours de l'été suivant.
Elle commençait à cette époque à goûter avec moi à la pluralité masculine. Je me souviens notamment d'une fois oùm nous avions passé la nuit dans une boîte à cul où je l'avais offerte à trois types. Je la ramenais chez elle et nous avons croisé presqu'à hauteur de sa maison son mari qui rentrait d'une soirée entre potes, en titubant et visiblement saoul. Nous ne pensons pas qu'ils nous aient vus bien que nous l'ayons carrément croisé en remontant la rue ; je me suis garé dans un parking un peu plus loin et j'ai une dernière fois baisé Carole dans la voiture en lui disant bien qu'elle allait rentrer avec mon foutre dans sa chatte.
Bernard68 a liké