Celles et ceux qui ont déjà tenté d'organiser ce type de rencontre récréative (que j'évoquais plus haut) savent peut-être à quel point ce n'est pas une science exacte, et surtout en rien garanti.
Alors imaginez ma fébrilité lorsque je me retrouvai à devoir assumer cette "cerise sur le gâteau" à la dernière minute pendant un Weekend qu'elle jugeait parfait à tous les niveaux, au beau milieu d'un territoire que nous ne parcourions que depuis 36 heures... Pression, pression...
J'avais pris soin de prendre quelques contacts et de modifier notre lieu de vie sur un site partenaire (ou ex-partenaire) bien connu.
J'avais cinq pistes, sachant pertinemment que si l'une aboutissait ce serait un petit miracle.
Il faut dire que depuis notre arrivée je n'étais pas concentré à 100% sur ce dossier, vivre le moment sans avoir les yeux rivés sur son smartphone est non seulement préférable, mais aussi une preuve de respect pour la femme qui vit à vos côtés.
Le cahier des charges était suffisamment complexe pour me laisser peu d'espoir:
Nous avions convenu de ne pas recevoir dans notre (belle) chambre, par peur de ne pas pouvoir faire de "bruit", bien que la promiscuité ne fût pas extrême, la miss ne se sentait pas très à l'aise à l'idée...
Il fallait donc trouver à être reçus, ou bien étant donnée la météo clémente, un lieu adapté en extérieur. Or je n'en connaissais bien évidemment aucun.
Après de nombreux messages échangés avec les prétendants, j'avoue avoir outre perdu un peu de temps, quasiment abandonné l'idée. L'un pouvait recevoir mais finalement non, l'autre proposait un plan au bord d'une rivière à la fréquentation très (trop) familiale, le troisième était à plus de 150km, le quatrième ne répondait plus du tout, le cinquième était en déplacement...
... Puis le miracle prit forme sous les traits de notre cinquième larron qui, à la réflexion et après avoir demandé à revoir les photos de notre fiche, jugea que finalement il pouvait reporter de quelques heures son départ. Belle motivation !
Il nous proposa même un lieu en fin d'après midi, une sorte de sanctuaire mégalithique dont le parking était tout indiqué pour faire connaissance. Les montagnes russes dans le coeur de ma belle n'en furent que plus jubilatoires à observer, puisqu'une demi-heure après avoir jeté l'éponge, je lui glissai un "fais-toi belle nous partons et tu auras les yeux bandés":
Sa déception se mua illico en une excitation fébrile, cherchant à connaître les détails alors qu'elle s'apprêtait, mais je restai muet un léger sourire énigmatique sur les lèvres, anticipant nos prochaines heures, et pour tout dire fantasmant cette rencontre à peine naissante.
Je pris beaucoup de plaisir à la voir tomber son maillot de bain, prendre sa douche, mettre en valeur chaque détail de son corps par des crèmes délicates aux arômes subtils, parachever son vernis, son maquillage, choisir une tenue chic et élégante, se parer de dessous et de bijoux sexy.
Durant le trajet elle resta tout d'abord silencieuse, attitude que je connais bien lorsqu'elle tente de maîtriser ses émotions pour ne pas tremper sa culotte par anticipation. Mais je ne lui laissai pas le loisir de retrouver son calme et caressant sa cuisse lisse d'une main, j'attisai par quelques questions son excitation, qu'elle m'avoua finalement de bon gré, et je sentis ses cuisses se frotter l'une contre l'autre, signe que le feu prenait. Je soufflai sur les braises avec une vicieuse délectation.
Arrivés sur notre lieu de rendez-vous, je répérai sans peine notre complice, et sur le parking désert baigné d'un doux soleil, entrepris de bander les yeux de la belle, puis de sortir à la rencontre de notre sauveur.
Bel homme, grand, élégant et visiblement courtois, nous échangeons quelques secondes avant que je prenne l'initiative de lui présenter mon épouse.
Nous avançons et je vois son regard s'allumer: il ne regrette pas son sacrifice... Elle sourit timidement, lui hardiment, et très vite les présentations se font tactilement dans un premier temps:
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J'avais pour ma part pris un peu de recul pour mieux admirer cet échange, et notre homme en profita pour diriger cette approche à sa façon. Jaugeant tout d'abord la bonne volonté de la petite épouse sage qui lui était offerte, décidant que sa veste était de trop, puis lui faisant adopter une position qui lui permettait d'accéder sans réserve aux trésors que la belle avait cachés sous un fin tissu de dentelle.
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Encouragé par son langage corporel explicite et sans équivoque, il ne tarda pas à pousser son exploration vers une intimité qui comme je m'en étais douté, arborait une moiteur immpossible à démentir.
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