- 22 déc. 2012, 15:02
#1260546
Je suis sortie seule ce soir au prétexte que c’était le repas de Noël qu’offrait mon patron à ses cadres dirigeants. Mes bas rouges, sans culotte avec une jupe à fermeture éclair tout le long étaient des indices suffisants : J’allais prendre du plaisir avec un autre homme que mon mari, sans lui.
En le quittant, je lui ai dit que je lui téléphonerai durant la soirée.
Mon patron me proposa de me raccompagner avec un autre cadre. J’acceptai et il me proposa de prendre place à l’arrière de la voiture. Et compte tenu de l’exiguïté du coupé Aston Martin, il me dit :
- Ouvrez un peu plus votre fermeture éclair pour passer et installez-vous au milieu vous serez plus confortable.
Et me voici assise à l’arrière, les jambes de part et d’autre du tunnel de transmission, les deux hommes aux places avant.
- Mettez-vous à l’aise, adossez-vous confortablement. Me dit mon patron.
Et ce faisant, je le vis régler son rétroviseur sur mes cuisses plutôt que sur la vitre arrière !
Il déposa d’abord l’autre personne en me disant :
- Restez donc à l’arrière, vous êtes si bien installée.
A peine reparti, il me proposa de prendre un dernier verre chez lui prétextant me faire déguster un Champagne de ses vignes. J’acceptai volontiers avec un sourire coquin qui ne lui échappa pas. Il me dit alors :
- Mettez vous encore plus à l’aise et faites-vous plaisir, juste pour le plaisir des yeux.
Je remontais suffisamment ma jupe, m’adossait confortablement le cul au bord des sièges, et écartait largement mes cuisses pour qu’il puisse se rincer l’œil dans le rétroviseur.
- Quel joli spectacle, mais donnez vous du plaisir que je vous entende, ainsi je garderai les yeux sur la route.
Cette situation était tellement surréaliste que je me suis branlée si fort que j’ai trempée la belle moquette de l’Aston.
Après m’avoir entendu jouir, il me dit :
- Remettez vos vêtements, nous arrivons.
Une fois la porte de son appartement refermé, il me dit :
- Déshabille toi complètement et mets toi à genoux. Je vais te bander les yeux et te faire déguster mon Champagne.
- Je dois d’abord téléphoner à mon mari, je le lui ai promis.
- Tu lui téléphones, tu lui dis de ne pas raccrocher et tu poses le téléphone sur la table basse.
Je me suis exécutée pour me retrouver nue à genoux devant la table basse, et au moment de me bander les yeux, il dit à voix forte pour bien être entendu par mon mari au téléphone :
- Bonsoir cher monsieur, je suis entrain de bander les yeux de votre femme qui est là à genoux, nue devant moi. Ensuite je lui ferais déguster mon Champagne !
Je restais là, sans voix quand il me dit :
- Ouvre grand la bouche !
Et en guise de Champagne, les propos et/ou sujet traitant d'urologies sont strictement interdit ici!! baigna ma bouche puis ruissela sur mon corps, tandis qu’il dit à voix forte :
- Maintenant xxxxxxx, je vais m’en servir d’objet sexuel toute la nuit. Je vous la rapporterai au petit matin avec des croissants.
Il raccrocha le téléphone, m’ôta le bandeau et me baisa jusqu’à l’aube.
Le lendemain matin, mon cocu fit le café et dégusta les croissants offerts par mon patron.
Elle
En le quittant, je lui ai dit que je lui téléphonerai durant la soirée.
Mon patron me proposa de me raccompagner avec un autre cadre. J’acceptai et il me proposa de prendre place à l’arrière de la voiture. Et compte tenu de l’exiguïté du coupé Aston Martin, il me dit :
- Ouvrez un peu plus votre fermeture éclair pour passer et installez-vous au milieu vous serez plus confortable.
Et me voici assise à l’arrière, les jambes de part et d’autre du tunnel de transmission, les deux hommes aux places avant.
- Mettez-vous à l’aise, adossez-vous confortablement. Me dit mon patron.
Et ce faisant, je le vis régler son rétroviseur sur mes cuisses plutôt que sur la vitre arrière !
Il déposa d’abord l’autre personne en me disant :
- Restez donc à l’arrière, vous êtes si bien installée.
A peine reparti, il me proposa de prendre un dernier verre chez lui prétextant me faire déguster un Champagne de ses vignes. J’acceptai volontiers avec un sourire coquin qui ne lui échappa pas. Il me dit alors :
- Mettez vous encore plus à l’aise et faites-vous plaisir, juste pour le plaisir des yeux.
Je remontais suffisamment ma jupe, m’adossait confortablement le cul au bord des sièges, et écartait largement mes cuisses pour qu’il puisse se rincer l’œil dans le rétroviseur.
- Quel joli spectacle, mais donnez vous du plaisir que je vous entende, ainsi je garderai les yeux sur la route.
Cette situation était tellement surréaliste que je me suis branlée si fort que j’ai trempée la belle moquette de l’Aston.
Après m’avoir entendu jouir, il me dit :
- Remettez vos vêtements, nous arrivons.
Une fois la porte de son appartement refermé, il me dit :
- Déshabille toi complètement et mets toi à genoux. Je vais te bander les yeux et te faire déguster mon Champagne.
- Je dois d’abord téléphoner à mon mari, je le lui ai promis.
- Tu lui téléphones, tu lui dis de ne pas raccrocher et tu poses le téléphone sur la table basse.
Je me suis exécutée pour me retrouver nue à genoux devant la table basse, et au moment de me bander les yeux, il dit à voix forte pour bien être entendu par mon mari au téléphone :
- Bonsoir cher monsieur, je suis entrain de bander les yeux de votre femme qui est là à genoux, nue devant moi. Ensuite je lui ferais déguster mon Champagne !
Je restais là, sans voix quand il me dit :
- Ouvre grand la bouche !
Et en guise de Champagne, les propos et/ou sujet traitant d'urologies sont strictement interdit ici!! baigna ma bouche puis ruissela sur mon corps, tandis qu’il dit à voix forte :
- Maintenant xxxxxxx, je vais m’en servir d’objet sexuel toute la nuit. Je vous la rapporterai au petit matin avec des croissants.
Il raccrocha le téléphone, m’ôta le bandeau et me baisa jusqu’à l’aube.
Le lendemain matin, mon cocu fit le café et dégusta les croissants offerts par mon patron.
Elle
Modifié en dernier par pierrotmartine01 le 24 déc. 2012, 09:05, modifié 1 fois.
Raison : sujet d'urologies