- 13 janv. 2023, 19:38
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Pour ma part, ma femme m’a proposé de me faire porter la cage trois ans avant que l’on finisse par pratiquer le candaulisme. On explorait alors le milieu libertin, en tant que voyeur et exhib en club, sans échanger.
En fait, ma femme ressentait alors l’envie de cultiver son côté dominatrice, avec moi comme cobaye forcément!!! De mon côté, j’ai toujours très apprécié le lâcher prise et l’abandon de soi impliqué par les jeux BDSM soft. On jouait beaucoup à ces jeux alors qu’on se fréquentait 10 ans plus tôt, et malheureusement, la routine avait eu raison de ces pratique.
Bref, sous l’impulsion de ma femme, nous avons dévalisé le sex shop de tous ces accessoires de domination. Cravache, fouet, cordes, menottes, gode ceinture, butt plug et bien sûr cage de chasteté.
Bien comprendre que ça faisait partie de jeux, et non de notre routine. Je ne portais donc pas la cage en tout temps, mais souvent lors de sorties en public, resto ou cinéma.
Très excitant pour moi, j’adorais.
Puis, un jour elle m’offre un tablier, genre tablier de cuisine très féminin pour que je lui fasse la cuisine ni avec ça.
A noter que je ne lui avais jamais demandé de porter des vêtements féminins.
Et après le tablier, elle m’offre un string.
Et cette fois ci, elle a été incapable d’enfiler la cage tellement j’étais bandé à l’idée de porter un string.
Ça m’excitait terriblement.
Elle a joué plusieurs fois à me féminiser de la sorte, surtout pendant le confinement, et j’adorais ça.
Tout cela a culminé quand elle m’a proposé d’aller voir une dominatrice professionnelle en couple.
Un moment d’une rare intensité pour moi, tellement j’ai découvert le plaisir fou de me faire travestir par une inconnue en latex.
Mais malheureusement, à force de jouer avec le feu, de me mettre en cage et de me vêtir de dessous féminin, ma femme a arrêté de me voir comme un homme viril. Et on a arrêté ces jeux là avant qu’il ne soit trop tard.
Je n’ai plus porté de cage depuis, ni même un dessous féminin.
Quelques mois plus tard, on découvrait le candaulisme.