- 23 janv. 2018, 01:01
#2121306
Avec mon ex nous avions également ce fantasme. Hélas, nous nous sommes séparés avant de le concrétiser.
J'imaginais rencontrer ce jeune homme à la plage. De trouver un motif, pour qu'il s'assoit avec nous, puis de retirer le haut du maillot de ma femme et de demander à ce jeune homme qui n'a rien demandé comment il trouve les seins de ma femme. J'aurais adoré le voir gêné, voir sa queue se tendre à travers son maillot.
Je l'aurai travaillé en douceur pour ne pas l'effaroucher. Je lui aurais dit qu'il ne doit pas avoir honte de bander, que ça me flatte qu'il désire ma femme et que ma femme l'est également.
Nous l'aurions invité chez nous pour prendre un verre. Ma femme aurait mis un petit haut moulant et une culotte qu'elle aurait portée trop basse de manière à ce qu'on voit le haut de ses fesses. Elle aurait pris toutes sortes de prétexte pour se lever et que l'on voit son cul.
À chaque fois que ma femme serait passé à ma portée, j'aurais caressé ce magnifique petit cul. J'aurais expliqué à ce jeune homme qu'elle fait ça pour attirer son attention, je lui aurais proposé de carresser son cul.
Je ne sais pas comment nous serions entré dans le vif du sujet mais j'aurais aimé lui dire qu'il n'a pas le choix, que lorsqu'une femme affiche aussi ostensiblement son désir, il a le devoir de l'honorer. Lorsqu'il aurait été en elle, j'aurais tant aimé l'inviter à lui dire des obscenites. Lui dire "vas y baise là, c'est une salope, baise là comme une pute", ce genre de choses.
Je crois qu'après cette scéance, un débriefing ce serait imposé pour expliquer à ce jeune homme que nous sommes un couple avec une sexualité particulière, que cette sexualité, si elle n'a rien de honteuse, n'est pas nécessairement représentative et qu'il ne doit pas s'attendre à ce genre de chose tous les 4 matins.
Si l'expérience s'était avéré concluante, nous l'aurions invité une dernière fois. Mais ce coup ci, pas question de baiser ma femme comme une vulgaire putain. Cette fois, il aurait son soumis et je lui aurais ordonner de se prosterner devant elle, et de s'adresser à elle avec les égards dû à une reine.