- 10 sept. 2016, 14:11
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une rêverie
à l’invitation de cplcurieux j’arrive le soir prévu, très curieux et excité à l’idée de les rencontrer.
Ils sont là, ils sont beaux, je connaissais Fuki de corps mais son visage complète maintenant sa silhouette. Autour d’un verre de bulles légère je leur décrit l’émotion que j’ai ressenti à la vue de certaines photos et des phantasmes qu’elles ont suscité. On dirait bien que ça leur plaît et très vite, lui, le mari se met en devoir de me montrer sa femme, ils m’expliquent l’excitation qu’ils ont éprouvé certains soirs aux commentaires à propos des photos de fui et comme ils ont explosé au lit ensuite pour relâcher cette excitation. Sur complicité elle belle à voir, à regarder.
On dirait bien que ces deux-là s’aiment au plus haut point de leur plaisir. Le mari demande Fuki de se déshabiller, ce qu’elle fait lentement en observant l’effet qu’elle produit sur son mari et sur moi, puis sur son mari qui me voit la regarder avec de plus en plus d’avidité, puis sur moi qui les observe tous les deux, il lui parle de manière plus stricte comme si elle lui était soumise, il dirige les poses et puis me montre avec fierté les corps de sa femme, il est fort excité à l’idée d’ hexiber ainsi sa femme, il est fier, elle lui plaît encore plus parce que je la convoite et que lui la possède.
Mais le jeu change quand Fuki qui voit mon érection patente, demande à son mari de me dire de me dégrafer. Je crois que ça lui plaît de voir à quel point elle m’excite. Elle, parlant seulement à son mari, qu’elle aime qu’on bande ainsi, plus sèche elle lui intime l’ordre de s’approcher et sans ménagement embouche le sexe de son mari. Ils sont beau et je ne peux m’empêcher de me caresser doucement. Elle semble surtout chercher à le faire monter au bout de l’excitation, mais sans risquer de le faire jouir. Elle me montre délibérément sa croupe, elle s’expose elle expose son couple. De plus en plus stricte, elle lui demande de s’écarter et de la regarder me sucer, d’imaginer ce que sa peut me faire. Je le voit qui brûle, une sorte de malaise. Elle lui dit de se d déshabiller et de se caresser en nous regardant. Elle ne semble ne s’intéresser à mon sexe que dans la mesure de l’embarras de son mari, peu importe elle me suce si bien que je sans monter une ivresse, mais elle s’interrompt, le mari est maintenant nu, il se masturbe elle le regarde, dans les yeux, elle lui dit: « tu te branles de me voir faire une pipe à ce type? tu aimes ça que je le suce devant toi? branles toi plus vite! » elle revient vers moi et embouche ma bite, elle morille la hampe, flatte mes couilles avec la main, il s’ est approché de nous et il se branles ouvertement à hauteur de mon visage.
Elle lui dit: « c’est mon son sexe… goute le toi aussi »
Un moment d’hésitation puis le mari se met à me sucer. Il suce bien, mais elle n’en reste pas là, elle me présente son cul, elle écarte délicatement ses fesses pour me montrer l’étoile de chair magnifique dont je me rappelle si bien.
Elle dit: « il te suce bien mon mari? et toi tu suce bien aussi? tu as envie de mon cul? Tu veux me lécher le cul? »
Mais ce ne sont pas des questions, il n’y a pas de réponse à lui faire. Ce sont des incantations pour son mari qui apprécie.
Elle me présente son cul et sans plus aucune manière elle me dit de la lâcher de la sucer, d’y enfoncer ma langue. J’y prend un plaisir infini mais je sui sur le point de tout lâcher dans la bouche de son mec. Elle le sens et dit à son mari d’arrêter immédiatement, elle le gronde, elle l’insulte (et moi aussi au passage). Depuis qu’elle se faisait bouffer le cul, ses doigt, glissaient, pressaient , triturait les lèvres de son sexe et revenaient régulièrement agacer son clito. Elle me dit: « tu vas voir si mon mari est une lopette » et elle me fourre les doigts dans la bouche. Elle lache à son mari: « toi prends moi maintenant » et comme il vient presser son membre contre son con elle miaule « non, pas là » il pouce son sexe contre l’anus de Fuki et doucement s’enfonce dans le cul que je vient de bien lubrifier.
Ils sont beaux. Ils sont ensemble, ils ne me voient plus, ils sentent seulement que je me branle en les regardant. Elle lui dit d’y aller, de la remplir, elle se frotte frénétiquement le clitoris avec les doigts. Lui lui prend les hanches et la bucheronne:" tu l’as bien sucé mais là je te la mets bien profond"
elle se lache : « oui dans mon cul, bien au fond de mon cul » …
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