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Dans cette section dédiée aux fantasmes du candaulisme et du cuckolding, nous vous invitons à partager avec la communauté du forum vos envies et aspirations les plus secrètes en matière d'épanouissement sexuel au sein de votre couple.

Le candaulisme et le cuckolding, bien que tabous et méconnus, représentent pour de nombreux couples un puissant stimulant de leur vie intime et amoureuse. Il s'agit d'explorer, au-delà des sentiers battus de la sexualité à deux, de nouveaux horizons riches en sensations fortes et en plaisir recherché.

Que ce soit le fait de voir son conjoint avec un ou une autre partenaire, de l'imaginer dans les bras d'un amant fictif, de partager vos ébats avec un voyeur consentant ou d'assister en simple observateur aux étreintes de votre moitié avec un tiers, les variations possibles offrent un vaste champ d'expression aux penchants plus ou moins exhibitionnistes de chacun.

Les membres de notre communauté sont invités à s'exprimer sans tabou ni retenue sur les scénarios, images mentales ou souvenirs qui titillent leur libido et alimentent leurs jeux de séduction à deux. Qu'il s'agisse de confidence, de témoignage, de questionnement ou de recherche de conseils avisés, cet espace se veut un lieu d'échange privilégié sur ces pratiques parfois mal comprises.

N'hésitez pas à partager avec nous, dans le détail suggestif ou cru de votre choix, ces petites « perversions » intimes qui subliment votre complicité de couple et boostent votre épanouissement sexuel. Car, il faut bien le reconnaître, le fantasme reste le meilleur moteur d'une sexualité épanouie !
#2016805
Je me la taperai bien avec ma salope a moi, je serai assez directif, elle devra nous etre soumise, elle commencera par bouffer la chatte de ma femme puis elle préparera le cul de ta chienne et elle se fera enculer direct, .....
#2017072
Elle arrive pour m'être présentée. Elle ne sait pas qui va assouvir sur elle ses fantasmes. Elle entre dans un bureau et immédiatement tu lui bande les yeux. puis tu me la présente. Elle est debout immobile, entend la présence, ressent les caresses mais ne sait toujours pas qui.. puis les caresses se font insistantes, pressantes, intimes. Elle se fait mettre à genoux et prend le sexe tendu en bouche.. puis ....
#2026312
Salut...
Va faire un tour sur mon annonce elle pourrait t'intéresser ...
n'hesites pas à me faire un retour Meme si tu ne souhaites pas de rencontre réelle.

XXXXXXXXXXXXXXXXXX

Les liens externes sont interdits merci de lire les CGU
La modération
#2041242
Un petit scénario à 3 voix pour toi, @Jaoa

Richard

Par une belle matinée de juin, je croisai Jason « par hasard ». Il se promenait au bord du lac avec sa femme Charlène, j’étais à vélo. Il me présenta à Charlène comme étant un de ses anciens profs de fac, perdu de vue depuis. Ce n’était pas tout à fait exact, puisque nous avions imaginé ensemble ce scénario…

- Si tu es dispo, nous pourrions prendre un apéro…
- J’ai mieux à vous proposer : un couple d’amis devait venir déjeuner chez moi avec ses deux gosses, et ils viennent de se décommander pour cause de gastro. Si une blanquette de St Jacques vous tente…

Ils se consultèrent du regard, et Charlène accepta d’un sourire. Leur voiture étant garée tout près, ils me ramenèrent, moi et mon vélo. Le tartare de saumon et la blanquette parurent leur plaire, et plus encore le Meursault qui les accompagna et le Pommard servi avec le fromage. Vers 16 heures, je regardai ma montre.

- Désolé ! Mes parents partent en vacances demain, et j’ai promis de passer chercher leurs clefs pour m’occuper du chat et arroser les plantes…
- Nous allions partir, de toutes façons…
- Ce ne serait pas raisonnable (j’indiquai les bouteilles vides). Je n’en ai que pour une petite heure. Eliminez en m’attendant. Si vous voulez vous reposer, il y a la chambre d’amis…

Je la leur montrai, raflai mes clefs de voiture et disparu.

Jason

La chambre était sympa. Charlène avait l’œil pétillant et tanguait un peu. Je lui proposai de s’allonger, l’y aidai et m’assis auprès d’elle. Je défis les deux premiers boutons de son corsage.

- Nous éliminerions peut-être plus vite en faisant un peu de sport, non ?
- Chez ton ami ? Tu n’y penses pas !
- Oh, si ! Je ne pense même qu’à ça. Et d’ailleurs, tu sais, cette chambre, elle a dû en voir de belles ! Richard est un joyeux célibataire, et puis…
- Et puis ?
- Ben, on a fait du foot ensemble…
- Et ?
- Quand tu le vois sous la douche, tu comprends les raisons de son succès…
- Ah !
- Ben oui : y’en a qui sont plus gâtés que d’autres par Mère Nature…
- Tu m’en diras tant ! En tout cas je n’oserai jamais… Ou alors, il faudrait que…
- Que ?
- Que tu abuses de moi !
- S’il n’y a que çà…

Je me levai, ouvris un placard où pendaient deux robes de chambre. Je récupérai leurs ceintures, et défis les embrasses des doubles rideaux. Je revins vers Charlène et finis de la déshabiller. Elle était allongée sur le dos. Je lui attachai les poignets et les chevilles, jambes écartées, aux barreaux métalliques du lit. Je me déshabillai à mon tour, et commençai à la caresser, à la léchouiller, à la pétrir. Elle gémissait doucement. Je finis par m’installer à califourchon sur son ventre…

Charlène

…il prit son… son sexe en main, je ne l’avais jamais vu aussi dur. Et…, et il m’arrosa les seins.

- Mais, Jason… et moi ?
- Désolé, je n’y tenais plus.
- Ben oui, mais…

Je me tortillais en essayant de serrer les cuisses. Il me sourit :

- Faudrait peut-être appeler Richard, je crois qu’il vient de rentrer…
- Tu n’y penses pas ?
- Et toi ?
- Je rougis abominablement. Si tu crois….

Il enfila son caleçon, ouvrit la porte et appela son ami, qui apparut aussitôt. Il lui expliqua la situation à voix basse … Richard me sourit, se déshabilla, vint s’asseoir près de moi et commença à me caresser… Je constatai de visu qu’Jason ne m’avait pas menti quant à la taille du… Je n’y tenais plus. Richard non plus, apparemment, parce qu’il s’installa à califourchon sur mon ventre et… se finit comme Jason, sauf qu’il m’arrosa visage et cheveux !

- Désolé, tu m’excitais trop…
- Ben oui, mais…
- Je sais, je sais. Faudrait du renfort… Je pourrais demander à mes voisins du dessous, trois étudiants en coloc, ils sont sympas…
- …
- Je vais les chercher…

Sympas, les trois étudiants, effectivement, et serviables avec çà. Sauf qu’eux aussi me traitèrent de la même façon. Quand Richard les invita à aller prendre un verre au salon et qu’ils eurent quitté la pièce, je ne pus me retenir et hurlai :

- Je n’en peux plus. J’ai envie de me faire BAISER !
- Oui, ma chérie, mais comme tu le sais, la nature a ses exigences, et il nous faut un peu de temps pour recharger nos batteries. La seule chose que je puisse faire, c’est de…

Jason me détacha la main droite, puis tira un fauteuil qu’il installa à côté du lit. Richard fit de même de l’autre côté. J’avais toujours dit à mon mec que je ne me masturbais jamais, ce qui n’était pas tout à fait exact, mais je m’en repentais toujours et m’en confessais régulièrement. Mais là… je fermai les yeux, ma main gagna mon sexe, qui émit aussitôt des bruits de clapotis qui me firent honte, mais m’excitèrent encore plus. Je jouis violemment, une fois, deux fois, trois fois… je m’arrêtai pour laisser mon rythme cardiaque redescendre. Un coup d’œil me montra un Jason bien excité.

- Est-ce que tu vas enfin me baiser, espèce de connard !

Il sourit, vint s’agenouiller entre mes cuisses et me pénétra d’un coup de reins. Il me besogna rapidement, mais mon sexe était tellement dilaté et mouillé que je le sentais à peine. Il se retira pour jouir à nouveau sur mes seins. Richard ne se fit pas prier pour le remplacer. Il me remplit bien plus à fond, comme je ne l’avais jamais été, et me fourra beaucoup plus longtemps. Les étudiants lui succédèrent. La dernière chose dont je me souviens, avant de sombrer, c’est de Jason me détachant.

Quand je refis surface, j’étais toujours couchée sur le dos, jambes écartées, mains croisées sous la nuque, la vraie pute lascive, quoi… Je ressentais une torpeur bienheureuse, comme après un long footing, des vagues de chaleur irradiaient de mon sexe. J’ouvris un œil, l’autre paupière restant obstinément collée. Mon corps, couvert d’une mince couche de sperme séché me faisait ressembler à un bonbon sous cellophane, ou à un gros hanneton avec ses élytres. Jason était assis dans le fauteuil, à mon côté. Je lui souris et ne sus que dire :

- Quel dommage de ne pas avoir filmé tout çà…
- On y pensera la prochaine fois…

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