- 07 avr. 2022, 17:24
#2605536
Le temps était en train de s'arrêter autour d'eux. Presques immobiles au milieu de cette masse mouvante.
Sans vouloir la réduire à un bout de viande (ce qu'elle était pourtant bel et bien), ma femme était une proie de qualité dans un endroit pareil. Une femme brune au grands yeux bleux et aux lèvres pulpeuses. La quarantaine, 1m70, armée d'un 95E sur un corps parfaitement proportionné et dont les talons finissaient d'aiguiser la silouhette. Elle contrastait dans ce décors peuplés de gens majoritairement masculin et dont l'âge ne devait pas excéder la trentaine. Une vrai MILF. Un fantasme pour ce type de public. On ne pouvait qu'avoir envie de la goûter...
Il me semblait tout à fait logique dans ce que je connaissait du règne animal que cette espèce de mâle alpha soit celui qui en prenne possession sans contestation de ses congénères.
Ses amis, restés plus loin sur leur banquette, commentaient cette "belle prise".
Mais ce n'était pas gagné pour lui me dis-je... quoiqu'elle semblait avoir mordu à l'hameçon.
L'un de ses 2 potes vînt vers moi. Il me demanda: "c'est ta meuf?". "Non, c'est une amie" - il me répondit "tant mieux". Je lui proposais de lui offrir une clope. Je devais en savoir plus sur cet homme qui abordait ma femme à quelques mètres de moi.
Il accepta et je lui demandais : "C'est ton pote? Il s'appelle comment?"
"Il s'appelle Mehdi, t'inquiète on est pas méchants. Moi c'est Farid" me dit-il comme s'il avait senti mon appréhension.
En effet, là, on jouait avec le feu. On pouvait vite se faire embrouiller. Son pote nous rejoint et s'installa sur le tabouret devant moi. De sorte que je ne voyais plus ma femme.
Il était 2h du matin. J'étais à moitié bourré, elle aussi certainement. Il était venu avec sa bouteille et son pichet de Coca.
Lui ne m'adressa pas la parole.
Je me décalais pour pouvoir voir à nouveau ma femme.
Ils s'étaient rapprochés, ils parlaient toujours. Il avait sa main sur sa hanche. Qu'est-ce qu'il pouvait bien lui raconter?...
Elle lui pris la main et l'enmena jusqu'à notre endroit. Il me serra fermement la main et ils se posèrent l'un à côté de l'autre sur la banquette sur laquelle j'étais aussi.
"Ca va ?" Lui lançais-je.
Elle me répondait par le signe qu'utilise les plongeurs pour dire que tout est ok.
Je me levais alors pour aller m'installer sur un tabouret face à eux. Je lui souris.
Je l'entendis d'ici lui dire "T'es grave belle" - "T'es pas mal non plus" lui dit elle assez fort en retour sûrement pour que je l'entende.
Il posa sa main sur sa cuisse et elle fit de même. Il se tourna vers elle et l'embrassa. Elle tourna doucement la tête pour faciliter l'accès à ses lèvres.
Il y eu d'abord 3 smacks. Le dernier, bouche entre-ouverte puis, leurs langues s'entremêlèrent.
"Quel beau spectacle" me dis-je.
Il passa sa main sous son débardeur pour lui caresser le ventre. Il semblait savoir y faire.
Sachant ma femme pompette, je n'avais aucun doute sur le fait qu'elle fût excitée. Elle lui tenait le visage tout en lui caressant la joue de son pouce.
Plus ça allait plus ses caresses étaient appuyées, insistantes. Elle le repoussait un peu quelques fois. Mais la résistance était faible.
J'aurai aimé pouvoir constater l'état dans lequel se trouvait sa culotte...
Ce petit jeu dura un moment. Je ne saurai dire combien de temps... pendant ce temps je me servais directement dans la bouteille de nos "amis", l'un d'eux me dit "vas-y fait comme chez toi mec".
Le même, Farid, finit par lancer "On va y aller nous, c'est pas qu'on se fait chier mais... Hey Mehdi?? On va chez toi?".
Il répondit en souriant: "JE vais chez moi. Vous, vous démerdez. Moi, j'embarque la miss!"
Merde... Je rétorquais immédiatement "Non non, je la ramène, elle est bourrée, je la ramène chez elle!".
Elle tourna la tête vers moi et me fît un signe négatif avec son index. "Quoi??!"
Puis elle lui dit quelque chose à l'oreille.
Pendant ce temps, les 2 autres lascars partaient de leur côté.
Mehdi, montrait des signes d'incompréhension et fronçait légèrement les sourcils.
Elle lui caressait le visage en même temps qu'elle lui parlait.
Je m'approchais d'elle en me cognant le genoux sur la table - en m'asseyant et sur un ton énervé, je lui répétais "Quoi??! T'es sérieuse là??!! Comment ça non ??!!? Tu lui as dit quoi ??!!" Je lui pris fermement le bras.
Il m'attrapa violemment par le col et me lança "Vas-y calme toi!" Prenant la défense de ma femme. Elle ne s'interposa pas et me repondit: "La vérité Tom!! Que t'es pas un ami, qu'on est marié, que tu es bourré, que moi aussi. On va pas prendre la bagnole chéri. On va aller chez lui terminer la nuit".
Que pouvais-je répondre à cela? On allait sortir des frontières du scénario. On allait effectivement pas prendre la voiture dans cet état. Je pensais aller à l'hôtel.. mais bon... Et puis, s'il acceptait... après tout ce sont ses limites à elle qu'elle décidait de franchir. Moi, la situation m'excitait... je lui en voulais surtout de ne pas respecter ses propres règles.
Il interrompit la scène par un "Aller on se casse".
Il nous fît monter dans sa voiture, une Golf puissante. Elle à l'avant, moi à l'arrière. Il alluma une cigarette, il conduisait nerveusement. Elle le regardait de temps en temps. Elle lui demanda "Tu fais quoi dans la vie?"
"Plein de choses Miss! Plein de choses.. pas grand chose de légal. Des petits boulots de cité... je deal quoi.. "
On arrivait justement dans une cité de l'Est de la ville.
Un endroit dans lequel un couple comme nous ne se baladait pas généralement..
Il s'arrêta sur une place de parking prêt de l'entrée d'une tour.
Il se tourna vers moi et me dit "Profites mec". Il descendit sa braguette, dégraffa son jean et sortit son membre à demi dur et dit à ma femme d'un ton directif: "Suce moi".
Elle obéit sans broncher. Elle se pencha et sentit d'abord son gland. Embrassa le dessous de sa verge qui commençait à gonfler tout en continuant de la hûmer. Cela pouvait paraître étrange mais ça m'excitait qu'elle fasse cela. J'imaginais du coup qu'il ne devait pas sentir la rose. Mais cela n'avait pas l'air de la dégouter. Bien au contraire, puisqu'elle finit par l'engloutir avec délectation.
Il posa alors sa tête sur l'appui tête pour profiter des sensations que lui procurait la chaleur de sa bouche.
La tête de ma femme commença à prendre un rythme lent de bas en haut et de petits bruits gutturaux se faisaient entendre.
Il se mit à passer ses doigts dans ses cheveux puis à tirer sa tête en arrière pour qu'elle cesse et lui dit: "Me fait pas jouir tout de suite, on va chez moi".
Nous prenions l'ascenseur tous les trois. J'osais aller embrasser ma femme. Elle sentait fort la bite.. il ne devait pas être du genre à beaucoup la secouer après avoir uriné.... était-elle excitée par cette odeur pour avoir pu le sucer et accepter de monter?
Il nous fît entrer chez lui, sortit une bouteille de Vodka et nous en servit accompagné de jus de pomme. C'était le bordel dans son appart. Ça sentait le shit à plein nez. Il se roula un joint qu'il partagea avec nous. Bu encore. S'en roula un autre, l'alluma, et se rassit contre ma femme sur son canapé.
Il partagea ce deuxième joint juste avec elle. Moi, j'étais sur une chaise en face. Spectateur. Entre l'alcool, le shit et la situation, je commençais sérieusement à ne plus du tout être clair.
Une fois fini, elle retira son soutien-gorge habilement sans enlever son débardeur.
Il écrasa le mégo puis il commença à lui peloter les seins avec ses grandes mains puissantes , souleva le tissu et lui lécha les téton.
Il descendit ensuite sa main droite vers son entre-jambes et la glissa sous sa jupe. Il dût à peine forcer pour qu'elle ouvre les cuisses. Elle s'affala un peu pour un lui offrir accès plus facile.
Il lui massa son vagin en faisant des mouvements circulaires par dessus sa culotte en dentelle blanche qu'il finit par écarter pour la doigter. Elle ferma les yeux et se mit à gémir tout en lui caressant le crâne.
Il lui demanda ensuite de se lever pour qu'il puisse déplier le canapé.
J'étais en train d'espérer que l'un d'entre eux ait des préservatifs. Car moi, je n'en avais pas...
Ils s'allongèrent encore habillés. Il se mit sur elle et se frotta. Elle écartait les jambes comme pour accepter cet acte qui allait avoir lieu de manière maintenant certaine.
Elle le repoussa sur le côté et ôta son débardeur. Puis se mit debout sur ses talons qu'elle enleva alors.
Toujours couché sur le dos, il admirait son nouveau jouet.
Là voilà en bas et en culotte. Culotte, j'en étais persuadé, déjà souillée par son désir pour lui.
"Comme t'es bonne sérieux" lança t-il.
Elle l'était vraiment d'autant plus que désinhibée comme elle l'était et malgré son regard brumeux, elle prenait des attitudes très sexy, cambrées. Sûre d'elle, déterminée à aller là où elle voulait aller cette nuit.
Il se déshabilla à son tour, lui, intégralement. Il avait un corps puissant. Il toucha son membre plus sombre que la couleur de sa peau, déjà assez imposant alors qu'il ne semblait pas encore bander complétement. Il n'était pas excessivement long mais assez large et son gland était particulièrement gros.
Elle leva un doigt en l'air comme prise d'un moment de lucidité, partit hâtivement dans le couloir où étaient entrepôsées nos affaires tout en en disant gaiement "Je reviens" et revînt quelques secondes plus tard avec 2 préservatifs qu'elle lança non loin du visage de Mehdi. Elle but au passage les 2 dernières gorgés de vodka pomme qui restaient dans son verre.
Elle monta ensuite sur le lit comme un chat, puis frottant ses seins sur lui tout le long de son corps jusqu'à sa bouche dont elle s'empara avec faim.
Soudain, il dit "et il doit pas participer Tom? Vas-y suce le miskina".
Elle me regarda et me fît signe de venir. Décidemment, elle était méconnaissable...
Le souvenirs de sa réticence lorsque je lui avais avoué mon fantasme me revenait en tête. Mon esprit souhaitant peut-être créer un contraste puissant avec l'instant présent...
Je me levais, baissait mon pantalon et mon caleçon et me dirigeait vers son visage.
Moi qui bandait comme un taureau il y a 2 minutes, je m'approchais mais.. je n'étais pas dur... merde, chié...
Je lui donnai tout de même mon membre mou qu'elle pris dans sa bouche mais malgré toute l'excitation du moment, impossible de bander. Je me mis à me toucher mais non, pas moyen.. un putain de blocage...
Elle me dit "Laisse tomber Tom" et lui se mit à rire aux éclats et dit "aaah sérieux nan, la haaaine mec. Bon bah j'vais ken ta femme tout seul hein. J'avoue je préfère".
A part "Putain" je n'eus rien d'autre à ajouter et je repartai m'assoir sur ma chaise comme un pauvre type... je me servais un verre, pensant peut-être que cela allait me faire passer ce blocage alors que bien évidemment non. Je me résignais à rester spectateur malgré mes bonnes résolutions de la dernière fois.
Elle redescendit de son côté, passant vite cette parenthèse, vers son bas ventre et se remit à le sucer. Le cul relevé vers moi. Je voyais sa fente, encore fermée qui allait bientôt être prise par notre ami.
Il l'encouragea de cette initiative en la gratifiant d'un "Vas-y oui suce moi t'as raison, tu suces bien p'tite chienne". Vu l'odeur de tout à l'heure, je ne comprenais décidemment pas comment elle faisait...
A nouveau, il l'a pris par les cheveux, d'abord pour accompagner avec délicatesse son mouvement. Puis lui tira en arrière soudainement et vigoureusement dirigeant son visage en direction du sien et lui dit: "Retire ta culotte".
Elle obéit avec lenteur et toujours souriante. Elle retira sa culotte et lui demanda s'il voulait qu'elle garde ses bas. "Oui tu les gardes".
Elle me la lança.
Je la sentis puis léchais son fluide tout en continuant d'avoir les yeux sur eux.
Elle prît l'un des préservatifs, déchira l'emballage avec les dents, le suça encore un peu, pour assurer une belle raideur au pénis de son amant puis lui enfila avec dextérité malgré la taille peu modeste du membre.
Elle s'assit sur lui, frotta un peu son vagin sur sa virilité. Puis se l'enfila avec lenteur avec l'aide d'une de ses mains. Son pénis entra sans aucune résistance.
"Ah ouaaai" dit-il comme soulagé "t'es trooop booonne".
"Attends"- il se retira alors qu'ils venaient à peine de commencer. Lui souleva le bassin, se mit derrière puis la pénétra en levrette.
Il était vraiment différent de Thierry.. beaucoup plus spontané, beaucoup plus bestial. Autant je la voyais prendre énormément de plaisir lorsqu'il lui faisait l'amour, ici, avec Medhi, je dirai qu'elle prenait son pied. Du cul quoi... je ne voyais pas où se situait le jeu de séduction dont elle me parlait et dont elle me disait avoir besoin.
Il la prenait sans ménagement. Il lui donnait de vrai coups de reins qui claquaient bruyamment sur ses fesses. Il la tenait avec force. Elle ne criait pas mais s'exprimait sans retenue.
Mise à part ma panne, c'était génial... c'était son fantasme et le mien. Que demander de plus? (Et là je pensais "que la redescente ne soit pas trop dure").
Elle se tourna soudain, face à lui, les jambes écartées et relevées, lui, à genoux, la bite raide comme du bois. Avec l'envie d'être prise ainsi. Pénétrée profondément. En missionnaire.
Il se posta au dessus d'elle, l'embrassa puis posa son gland sur l'entrée de sa chatte et entra lentement. Une fois. Puis ressortit, entièrement. Il fît cette manoeuvre 3 fois de suite. Elle respirait bruyemment et gémissait et chuchotait "oui" à chaque fois qu'il se glissait à nouveau en elle.
Lorsqu'il ressortit pour la 4ème fois, je vis la main de ma femme saisir le sexe de son amant tout en gardant la même position. Elle le branla doucement. Et puis,... je la voyais tirer doucement sur le réservoir puis vers la base de son pénis, elle retroussait la capote. Puis à nouveau tirait sur le réservoir. Il la laissait docilement faire sa manoeuvre.
Je n'osais pas croire à ce qu'elle était en de faire.
Je n'osais pas réfléchir à ce qui était en train de se passer. J'avais les yeux fixés sur cette main qui oeuvrait vers cet interdit qu'il ne nous était même pas venu à l'idée d'évoquer tant il était évident que les rapports devaient être protégés.
Le préservatif finit par être ôté complètement. Elle se caressa le visage avec en affichant un sourire démoniaque et le posa ensuite à côté d'eux. Elle entreprit de le sucer encore une fois. Semble t'il juste pour le goût puisqu'elle se remit sur le dos. A sa merci.
Elle reprit sa bite en main et frotta son gland sur sa fente humide. De bas en haut. Jouant avec l'entrée de sa chatte. Faisant une pause à cet endroit et le laissant s'enfoncer juste un peu avant le faire ressortir. Un jeu qui dura jusqu'à ce qu'il ne puisse plus s'empêcher à nouveau de la pénétrer entièrement. Et à nu, donc, cette fois-ci...
Je n'arrivais pas à bander tout à l'heure et ce fût tout l'inverse à cet instant. Un instant Aussi excitant que dangereux; aussi magique que destructeur.
Mehdi limait ma femme de plus en plus vigoureusement et elle prenait de plus en plus de plaisir. Ses coups de bite étaient profonds et assez violents. Il n'hésitait pas à lui dire régulièrement des mots comme "salope", "pute", "chienne"... C'était d'autant plus jouissif qu'elle semblait adorer cela car elle lui renvoyait des "Oh oui, vas-y baise moi', "elle est bonne ta queue", "J'aime ça", "continu", et même des "plus fort" alors qu'il la prenait déjà sauvagement.
Soudain, les pieds de ma femme se mirent à trembler fortement et ses cuisses se serrèrent autour des hanches puissantes de Mehdi. Elle bascula la tête en arrière, se cambra et répéta à haute voix rapidement "putain, putain, putain".
Un orgasme long et intense la parcourait.
Il continuait, lui, ses coups de reins tout en lui disant "Vas-jouis, prends ton pied". Puis il s'adressa à moi "T'as vu ta femme? Regarde la bien jouir".
J'étais heureux pour elle, c'était incroyable.
Le fait qu'il s'adresse à moi me satisfaisait.
Quant à elle, ses spasmes se calmaient. Elle expira longuement et lui dit "Viens".
Une chaleur monta jusqu'à mon visage.
Ce qui représentait certainement le point culminant de mon fantasme allait se produire devant moi.
La fameuse recherche "wife creampie" que j'avais tant de fois saisie sur les moteurs de recherche de sites porno...
Il continua pourtant ses ruades sans arrêter... elle se remit à gémir et lui répéta "Viens", "j'ai envie de te sentir".
En guise de réponse, ses muscles fessiers se contractèrent, il poussa un râle en même temps qu'il s'enfonça et déchargea au plus profond de ma femme.
Il cessa de bouger, mis tout son poids sur elle qui lui caressait les cheveux comme si elle le consolait. Il resta un moment comme cela.
Je me mis à me toucher choisissant ce moment particulier pour éjaculer. Il me dit "Te branle pas sur mon tapis mec, viens faire ça sur ta femme". Je m'approchais. Il se retira tel un étalon se retire de sa jument. Son membre luisant encore gros se désolidarisa d'elle et un filet de sperme coula le long de sa cuisse. Elle me stoppa et me toucha la verge avec son pied et j'éjaculai à mon tour sur ce simple contact, le regard sur sa fente luisante.
Mon esprit se désembruma immédiatement comme si quequ'un avait allumé la lumière dans la pièce. Il était 5 heures du matin. Nous étions dans le HLM dans un quartier craignos de la ville. Ma femme avec ses bas tâchés, allongée sur le lit, remplie du sperme d'une racaille de cité. Moi, pantalon baissé, bite pendante.. Qu'allait-il se passer maintenant?... Qui allions nous être demain?