- 27 mars 2023, 01:39
#2701324
Bien qu’épuisée, Victoire fantasmait à l’idée de faire une petite, couleur café au lait, alors que se perdait sur le drap l’excès de semence d’Ali. Elle avait soif et demanda de l’eau. P.. la fit boire et la laissa récupérer ses esprits, avant de la prendre en douceur à son tour. Il la baisa devant un Ali échauffé, assistant à la pénétration avec fièvre. Sa queue reprenait déjà de la raideur, remarqua Victoire en la saisissant à pleine main. P.. ne résista pas longtemps et éjacula sa semence sans avoir fait jouir Victoire. Elle put se reposer un peu avant d’être reprise par Ali qui avait décidé de la satisfaire différemment. L’ayant allongée sur le ventre il voulut la pénétrer dans les reins mais P.. intervint et lui fit signe que non.. Alors il engagea son gros gland dans le vagin dilaté de Victoire et la baisa doucement en sortant complètement et replongeant, ce qu’elle aimait bien. Une jouissance vaginale la prit par surprise, Elle ne pensait pas qu’elle aurait un autre orgasme car elle se sentait fatiguée et l’avait dit à Ali.. Ils se retournèrent d’un bloc en roulant sur le côté, Victoire se retrouvant couchée, le dos sur le ventre d’Ali dont les mains la maintenaient par les seins. Tandis que les va et vient du membre d’Ali lui labourait le ventre, P.. s’approcha, ouvrant ses cuisses, lui massa la vulve et le clitoris ce qui la fit glapir de plaisir, ensuite glissa deux puis trois doigts dans son vagin. Jugeant qu’il y avait de la place pour y glisser son sexe, il l’enduisit abondamment de gel et se prépara à l’enfoncer dans son ventre, en duo avec le sexe noir d’Ali. Au moment où elle réalisa ce qui se tramait à son insu, elle entendit plusieurs déclics comme ceux d’un appareil photo, mais n’y prêta pas plus attention car elle ressentit une douleur cuisante à l’entrée de son vagin suivit d’une forte pression dans son fourreau vaginal comme si deux serpents de gros calibre s’était introduits dans son corps.. Elle comprit qu’un de ses fantasmes se réalisait. Elle ne vit pas le spectacle de ces deux queues, l’une noire et l’autre blanche, s’enfonçant de conserve dans son ventre. Elle cria autant de douleur que de plaisir tandis que les deux sexes allaient et venaient dans un flot de cyprine. La pression exercée sur le col de son utérus était telle que l’intérieur de son ventre fut malmené, pendant que deux paires de couilles lui battaient le fondement dans des claquements humides. Elle ne pensait pas que c’eut été possible, pourtant P.. lui en avait parlé, disant que c’était une expérience extraordinaire, que toutes les femmes devraient l’avoir vécue au moins une fois dans leur vie sexuelle. Il était clair que les deux compères s’étaient concertés pour lui faire cet outrage. Elle avait honte d’elle-même, n’arrêtant pas de clamer haut et fort qu’elle n’était qu’une pute, une chienne, qu’ils étaient des salauds !..… Néanmoins l’excitation montant en elle, son vagin se dilatant, la douleur fit place à la jouissance et au plaisir. La venue de l’orgasme se précisait. Soudain elle ressentit comme un lâcher-prise extrême au niveau cérébral: elle crut un moment s’évanouir, mais la jouissance la rattrapa, elle fut fulgurante, elle cria de toute la puissance de ses poumons puis reprenant son souffle elle gémit fortement deux, trois fois encore. Au moment suprême, de sa vulve fut éjecté un liquide inconnu d’elle qui gicla sur le bas ventre de P.., inondant les alentours . Elle voulut s’excuser mais les deux n’en eurent cure et n’en continuèrent pas moins à la baiser doublement jusqu’à ce qu’Ali rende les armes en jouissant bruyamment. Il persista sans fléchir jusqu’à ce que P.. jouisse à son tour et relâcha sa semence ; il roula sur le côté, dégageant le corps de Victoire. Elle resta pantelante plusieurs minutes, épuisée, le dos appuyé sur le ventre d’Ali qui la maintenait fermement par les seins, le vagin béant déversant sur lui ses humeurs.
Remplie de sperme dégoulinant de sa chatte, Ali la soulevant prestement, prit son corps inerte dans ses bras et avec P.. la menèrent à la douche où ils s’enfermèrent avec elle. Ali s’agenouilla et lui lécha la vulve, avalant le mélange de semences s’écoulant de son vagin pendant que P.. la frictionnait. Complètement dans le gaz, drapée dans une grande serviette de bain, elle fut couchée sur le lit souillé de son amant et s’endormit aussitôt, encadrée par les deux hommes qui s’y allongèrent à leur tour.
Il faisait encore nuit noire lorsqu’elle fut réveillée par la sensation d’une intrusion dans son ventre. Mettant la main à son fondement, elle rencontra une paire de couilles ! Elle demanda.. « P.. c’est toi ? » Mais elle reconnu la voix d’Ali. Il se confondit en excuses et voulu se retirer mais Victoire lui demanda de rester en elle sans bouger car elle aimait le contact de son membre. Ali ne réussit pas à rester immobile, il allait et venait très doucement espérant retenir sa jouissance, mais il n’y parvint pas : sans crier gare, sans bruit, en soufflant fortement, elle sentit la queue d’Ali parcourue de spasmes : il venait de jouir en elle. Il restèrent ainsi quelque temps jusqu’à ce que Victoire lui demanda de la laisser dormir. En se retirant, il lui demanda la faveur de lécher sa vulve. Allongée sur le côté, lui tournant le dos, elle leva une cuisse puis la referma coinçant la tête d’Ali, sa bouche collée à son sexe. Malgré sa fatigue elle sentit l’envie monter, elle gémit deux ou trois fois puis, fatiguée, elle lui demanda de s’en aller, et s’endormit.. Elle était seule quand elle se réveilla tôt matin, s’habilla en hâte, et trouvant Ali qui faisait du café, elle lui demanda de la reconduire chez elle. Trop tard pour lever les enfants, dont je m’étais occupé..
Après le bain dans lequel je l’avais rejointe, nous nous sommes emballés dans une grande serviette, l’un contre l’autre, ventre contre ventre, je lui ai caressé la fente, elle m’a saisi le sexe, et nous sous sommes transportés sur le lit et là nous l’avons fait avec beaucoup de douceur, elle était irritée mais grâce au gel lubrifiant j’ai pu la faire jouir.. mais jouissait-elle avec moi ou en pensée avec l’un de ceux qui l’avait baisée, ou avec les deux ?
Elle me fit encore jurer de ne jamais en parler à personne, ni à mon frère qui est parfois mon confident. Elle en voulait à P.. de l’avoir « prêtée » à Ali ; il aurait dû lui demander avant de l’avoir mise entre ses mains, quand bien même il savait que ça faisait partie de ses fantasmes. Puis elle en vint à l’appareil photo qu’elle avait vu traîner par terre.. « tu as pris des photos de moi, j’ai entendu des déclics !» lui avait-elle dit. Il avoua en avoir pris quelques clichés d’elle avec Ali. Elle voulut avoir le film et il le lui donna. Elle m’avait demandé de le détruire, mais je l’avais convaincue de le faire développer sans l’imprimer, pour voir ce qu’il y avait dessus.
A l’époque aucun moyen n’existait pour les imprimer en privé, les scanners n’existaient pas encore..
Ce film négatif couleur, developpé, je l’ai retrouvé dans mes archives. Il ne comporte que quelques photos de Victoire, les autres clichés représentent des scènes de la famille de P.. sans intérêt. Je l’ai scanné puis j’ai montré à Victoire les quelques photos qui la concerne. « Quelle horreur, non mais ça, tu ne montres à personne, on voit tout, sa queue noire dans mon vagin de face et même de profil, non non non, tu vas me faire le plaisir de jeter tout ça au feu ». Je n’en ai rien fait évidemment, c’est trop beau !
Bien que j’adorerais avoir vos commentaires sur ces photos, je ne peux pas les poster, sauf une, elle m’en voudrait à mort ! Je sais, pour le voir sur certains posts, que vous n’êtes pas à une chatte près.