- 15 sept. 2025, 15:24
#2900277
Pseudo : S.
Âge : 47 ans
Statut : En couple depuis 22 ans — marié à B., mère de mes enfants, femme de ma vie… et depuis peu, complice de mes ombres.
Il y a eu un avant. Et puis le 28 juillet.
Avant, c’était l’usure douce, le poids du quotidien, les disputes absurdes, les silences lourds, la libido effacée. Une vie de famille bien remplie, oui, mais une intimité fanée, une complicité abîmée. J’avais l’impression d’être devenu un père plus qu’un amant, un partenaire logistique plus qu’un homme. Et je pense qu’elle, de son côté, s’était résignée à une forme de désert sensuel, comme beaucoup de femmes mariées le font, sans bruit.
Et puis, tout a explosé.
Le 28 juillet, j’ai tout appris. Ses messages. Ses rendez-vous. Ses "récréations". Ce mot, au début, m’a giflé. Il sonnait comme une trahison ludique, une moquerie de mon propre manque. Mais après la colère, quelque chose d’inattendu s’est produit. On a parlé. Longtemps. Profondément. Sans filtres. Plus que jamais. Comme si la vérité avait désactivé la peur. Et là, au milieu des larmes, des cris, des tremblements… on s’est retrouvés.
Je l’ai vue pour la première fois depuis longtemps : désirante, vivante, vibrante. Elle m’a regardé comme elle ne m’avait pas regardé depuis des années. Et j’ai compris qu’en perdant le contrôle, j’avais retrouvé l’accès à son feu.
Depuis ce jour, notre relation a changé de dimension. Nous sommes plus complices, plus érotiques, plus joueurs, plus honnêtes aussi. Le sexe n’a jamais été aussi intense. On parle. On rit. On bande et on mouille rien qu’en se parlant. On crée des rituels. On se raconte des fantasmes. On explore des territoires inédits, à deux, sans fards.
La douleur n’a pas disparu. Mais elle est devenue le prix d’entrée d’un autre monde. Un monde où nous sommes de nouveau amants. Où elle est une femme libre, et moi un homme qui choisit de rester. Non par faiblesse. Mais parce que ce lien-là est plus fort que mon ego. Et plus profond que mes peurs.
Ce qui m’a frappé, une fois le choc passé, c’est à quel point B. avait mis en place des règles strictes.
Pour se protéger, et pour nous protéger.
Il n’y a jamais eu d’orgasme avec lui, jamais de débordement affectif, jamais d’enjeu amoureux.
Son plaisir à elle est ailleurs : il naît du pouvoir de l’excitation, dans ce jeu subtil qu’elle appelle “ses récréations”.
Ce qui la fait vraiment vibrer, c’est de le sentir bander après un simple message, une photo, une phrase bien placée.
Il n’est pas un amant, mais un outil — un levier de sa propre libido qu’elle assume aujourd’hui avec une liberté nouvelle.
Elle me l’a dit clairement : elle pensait que je la trompais à la moindre occasion, et elle a cru rétablir un équilibre.
Mais elle n’a jamais ressenti de sentiments pour lui, et le fait que ce soit un ami a justement facilité cette confiance : elle savait qu’il ne partirait pas en vrille, qu’il ne tomberait pas amoureux, qu’il resterait exactement à la place qu’elle lui donnait.
Un jouet bien rangé quand la cloche sonne.
Pourquoi je suis ici
Je ne me définis pas (encore) comme candauliste à 100 %.
Je suis peut-être un scénariste de l’ombre, un voyeur contrarié, un amant blessé qui apprend à jouir autrement.
Mais une chose est certaine :
J’éprouve une excitation profonde à l’idée qu’elle soit désirée par un autre, qu’elle le provoque, qu’elle me le raconte, qu’elle l'excite pour le faire monter en tension.
Depuis cette révélation, nous avons vécu :
des conversations brûlantes,
des crises d’angoisse dévastatrices,
des jeux où elle me raconte ce qu’ils ont fait, pendant que je suis en elle,
des nuits où je lui demande de me décrire tout, dans les moindres détails,
des matins où je me sens perdu, coupable, excité, fier, honteux.
des baises puissantes,
des récits érotiques où elle devient ma maîtresse, ma pute, ma confidente,
des jours de doutes,
et des nuits d’éveil charnel.
Je suis ici pour m’inspirer, échanger, comprendre.
Pas pour exposer gratuitement.
Pas pour convaincre.
Mais pour explorer ce que cette faille a ouvert en moi.
Ce que je cherche ici
Des idées de jeux mentaux, de récits érotiques à lire ou écrire à deux.
Des stratégies pour canaliser la jalousie, la frustration, le besoin de contrôle.
Des échanges sincères sur les contradictions du désir.
Et peut-être des clés pour transformer une blessure en moteur érotique.
Si tu t’es déjà dit :
“Et si cette douleur était la clé d’un plaisir plus vrai ?”
“Et si le fantasme, bien canalisé, sauvait l’amour au lieu de le détruire ?”
Alors on a sûrement des choses à se dire.
À bientôt,
S.
Âge : 47 ans
Statut : En couple depuis 22 ans — marié à B., mère de mes enfants, femme de ma vie… et depuis peu, complice de mes ombres.
Il y a eu un avant. Et puis le 28 juillet.
Avant, c’était l’usure douce, le poids du quotidien, les disputes absurdes, les silences lourds, la libido effacée. Une vie de famille bien remplie, oui, mais une intimité fanée, une complicité abîmée. J’avais l’impression d’être devenu un père plus qu’un amant, un partenaire logistique plus qu’un homme. Et je pense qu’elle, de son côté, s’était résignée à une forme de désert sensuel, comme beaucoup de femmes mariées le font, sans bruit.
Et puis, tout a explosé.
Le 28 juillet, j’ai tout appris. Ses messages. Ses rendez-vous. Ses "récréations". Ce mot, au début, m’a giflé. Il sonnait comme une trahison ludique, une moquerie de mon propre manque. Mais après la colère, quelque chose d’inattendu s’est produit. On a parlé. Longtemps. Profondément. Sans filtres. Plus que jamais. Comme si la vérité avait désactivé la peur. Et là, au milieu des larmes, des cris, des tremblements… on s’est retrouvés.
Je l’ai vue pour la première fois depuis longtemps : désirante, vivante, vibrante. Elle m’a regardé comme elle ne m’avait pas regardé depuis des années. Et j’ai compris qu’en perdant le contrôle, j’avais retrouvé l’accès à son feu.
Depuis ce jour, notre relation a changé de dimension. Nous sommes plus complices, plus érotiques, plus joueurs, plus honnêtes aussi. Le sexe n’a jamais été aussi intense. On parle. On rit. On bande et on mouille rien qu’en se parlant. On crée des rituels. On se raconte des fantasmes. On explore des territoires inédits, à deux, sans fards.
La douleur n’a pas disparu. Mais elle est devenue le prix d’entrée d’un autre monde. Un monde où nous sommes de nouveau amants. Où elle est une femme libre, et moi un homme qui choisit de rester. Non par faiblesse. Mais parce que ce lien-là est plus fort que mon ego. Et plus profond que mes peurs.
Ce qui m’a frappé, une fois le choc passé, c’est à quel point B. avait mis en place des règles strictes.
Pour se protéger, et pour nous protéger.
Il n’y a jamais eu d’orgasme avec lui, jamais de débordement affectif, jamais d’enjeu amoureux.
Son plaisir à elle est ailleurs : il naît du pouvoir de l’excitation, dans ce jeu subtil qu’elle appelle “ses récréations”.
Ce qui la fait vraiment vibrer, c’est de le sentir bander après un simple message, une photo, une phrase bien placée.
Il n’est pas un amant, mais un outil — un levier de sa propre libido qu’elle assume aujourd’hui avec une liberté nouvelle.
Elle me l’a dit clairement : elle pensait que je la trompais à la moindre occasion, et elle a cru rétablir un équilibre.
Mais elle n’a jamais ressenti de sentiments pour lui, et le fait que ce soit un ami a justement facilité cette confiance : elle savait qu’il ne partirait pas en vrille, qu’il ne tomberait pas amoureux, qu’il resterait exactement à la place qu’elle lui donnait.
Un jouet bien rangé quand la cloche sonne.
Pourquoi je suis ici
Je ne me définis pas (encore) comme candauliste à 100 %.
Je suis peut-être un scénariste de l’ombre, un voyeur contrarié, un amant blessé qui apprend à jouir autrement.
Mais une chose est certaine :
J’éprouve une excitation profonde à l’idée qu’elle soit désirée par un autre, qu’elle le provoque, qu’elle me le raconte, qu’elle l'excite pour le faire monter en tension.
Depuis cette révélation, nous avons vécu :
des conversations brûlantes,
des crises d’angoisse dévastatrices,
des jeux où elle me raconte ce qu’ils ont fait, pendant que je suis en elle,
des nuits où je lui demande de me décrire tout, dans les moindres détails,
des matins où je me sens perdu, coupable, excité, fier, honteux.
des baises puissantes,
des récits érotiques où elle devient ma maîtresse, ma pute, ma confidente,
des jours de doutes,
et des nuits d’éveil charnel.
Je suis ici pour m’inspirer, échanger, comprendre.
Pas pour exposer gratuitement.
Pas pour convaincre.
Mais pour explorer ce que cette faille a ouvert en moi.
Ce que je cherche ici
Des idées de jeux mentaux, de récits érotiques à lire ou écrire à deux.
Des stratégies pour canaliser la jalousie, la frustration, le besoin de contrôle.
Des échanges sincères sur les contradictions du désir.
Et peut-être des clés pour transformer une blessure en moteur érotique.
Si tu t’es déjà dit :
“Et si cette douleur était la clé d’un plaisir plus vrai ?”
“Et si le fantasme, bien canalisé, sauvait l’amour au lieu de le détruire ?”
Alors on a sûrement des choses à se dire.
À bientôt,
S.