- Hier, 23:39
#2911379
Bonjour à tous,
Moi, Y, 43 ans et elle, V, 46 ans.
Nous nous sommes rencontrés au lycée il y a 26 ans. Nous sommes notre première fois pour tous les 2. Parents de 2 filles adolescentes adorables.
Une vie confortable financièrement et matériellement.
Comme beaucoup de couples de notre configuration s’étant rencontré très jeune, j’ai au bout de 10 ans de relation commencé à développer un fantasme candauliste. N’étant pas vraiment doué au lit, je visualisais ma femme prendre un plaisir infini dans les bras d’autres hommes sous mes yeux ébahis.
Outre ce fantasme, j’étais obsédé à l’idée qu’elle ne puisse connaitre que mon corps de toute sa vie, alors qu’elle est belle comme un cœur et que beaucoup de très beaux hommes la désiraient. J’avais l’impression qu’elle était enfermée dans une exclusivité physique avec moi qui n’avait pas beaucoup de sens. Surtout que notre amour était absolument robuste et que je n’avais pas vraiment peur pour notre couple de parenthèses physiques endiablées avec des amants redoutables. Je n’avais qu’une crainte. Que sur son lit de mort, elle regrette de ne pas en avoir profité quand elle le pouvait.
Nous sommes très complices et échangeons beaucoup. Je n’ai donc pas hésité longtemps à lui faire part de mon fantasme et lui expliquer l’ensemble de mes réflexions.
Elle n’a pas vraiment été choquée, ni été jugeante. Elle comprenait la démarche. Pour autant elle m’a clairement fait comprendre que c’était hors de question. Qu’elle n’en avait pas l’envie, que je lui suffisais et que pour elle il était impossible de dissocier baise et amour. Et comme elle m’aimait… impossible de coucher avec un autre.
Pour autant j’ai essayé très rapidement durant nos ébats d’insérer l’idée qu’un tiers ressemblant à un dieu grec se joignait à nous pour lui faire l’amour. Je pouvais alors constater une excitation certaine.
Puis, quelques mois (années ?) plus tard je lui fis découvrir chatroulette. Après moultes hésitations elle accepta de regarder de beaux hommes s’exhiber devant elle. Elle-même accepta quelques exhibitions des plus excitantes. Mais très rapidement elle m’expliqua vouloir cesser cette expérience. Frustration évidente pour moi, ayant l’impression de prendre un stop définitif. Il est vrai que ce site est un repère d’hommes mal éduqués et avant de tomber sur le bon il fallait y passer des heures… ce qu’elle n’appréciait pas du tout.
Je tentais alors une nouvelle approche avec l’idée de découvrir le naturisme sur les plages du Var. Ce qu’elle accepta volontiers. Voir ma femme nue sur une plage bondée n’a fait qu’accentuer mon fantasme. Je prenais déjà beaucoup de plaisir. Et elle, appréciait ce moment de liberté totale.
En parallèle, je la tannais sur le ton de l’humour d’essayer les clubs libertins. Ce qu’elle refusa bien évidemment. Ce petit jeu de relance dura plusieurs années.
Le candaulisme est un véritable marathon…
Puis à force d’échanges, il y a 4-5 ans, je finis par percevoir au fond de ses yeux comme une hésitation. Je lui avais montrer l’existence d’une boite de nuit, traditionnelle en première approche, qui réservait des coins câlins à l’étage. Elle me dit être prête à tester. Mon cœur battait la chamade comme jamais. Afin de la rassurer définitivement, j’édictais une règle. C’est elle qui commandait. Si elle se sentait mal, même après avoir tout juste franchi le seuil de la porte, et qu’elle demandait à faire demi-tour, je devais m’exécuter immédiatement. Aucune négociation possible. Je conseille cette simple règle à ceux d’entre vous qui s’avèrent être encore en « négociation » avec madame.
Habillée d’une robe noire courte avec décolleté plongeant, elle entra avec moi dans cet établissement. Nous nous y sentîmes très rapidement à l’aise. L’âge moyen était relativement jeune. Ce n’était qu’ouvert aux couples. Pas d’hommes seuls. Des gens très beaux et très sexy dans l’ensemble. Aucune approche de mort de faim qui aurait pu l’importuner. Nous avons visité les coins câlins et fait un peu de voyeurisme. Elle m’emmena dans une cabine qui se fermait à clé. Nous avons fait l’amour de manière très intense. Elle était hyper excitée. Expérience validée ! Nous avons depuis recommencé dans cette même boite et même dans des saunas libertins, étant adeptes de naturisme.
En revanche c’était toujours le même scenario. On se balade, on regarde mais on finit entre nous dans l’intimité d’une salle fermée. Elle était toujours énormément excitée.
Nous sommes également devenus des accros du naturisme en prenant nos habitudes sur l’ile du levant, où quelques coins peuvent s’avérer être très chauds. Nous n’avons plus peurs de les fréquenter. C’est notre parenthèse annuelle. Au final nous réalisons 2 à 3 sorties par an dans des lieux coquins. Peu d’excès. Tout en contrôle. On finit toujours exclusivement entre nous.
Voilà 15 ans d’évolution, lentes, mais réalisées dans la confiance, le respect et l’amour. Beaucoup d’excitation et de plaisirs. Mais toujours aucun passage à l’acte avec un autre homme.
Et puis…et puis, survint l’année 2025, l’année de la révolution… (suite au prochain épisode dans la section récit).
Moi, Y, 43 ans et elle, V, 46 ans.
Nous nous sommes rencontrés au lycée il y a 26 ans. Nous sommes notre première fois pour tous les 2. Parents de 2 filles adolescentes adorables.
Une vie confortable financièrement et matériellement.
Comme beaucoup de couples de notre configuration s’étant rencontré très jeune, j’ai au bout de 10 ans de relation commencé à développer un fantasme candauliste. N’étant pas vraiment doué au lit, je visualisais ma femme prendre un plaisir infini dans les bras d’autres hommes sous mes yeux ébahis.
Outre ce fantasme, j’étais obsédé à l’idée qu’elle ne puisse connaitre que mon corps de toute sa vie, alors qu’elle est belle comme un cœur et que beaucoup de très beaux hommes la désiraient. J’avais l’impression qu’elle était enfermée dans une exclusivité physique avec moi qui n’avait pas beaucoup de sens. Surtout que notre amour était absolument robuste et que je n’avais pas vraiment peur pour notre couple de parenthèses physiques endiablées avec des amants redoutables. Je n’avais qu’une crainte. Que sur son lit de mort, elle regrette de ne pas en avoir profité quand elle le pouvait.
Nous sommes très complices et échangeons beaucoup. Je n’ai donc pas hésité longtemps à lui faire part de mon fantasme et lui expliquer l’ensemble de mes réflexions.
Elle n’a pas vraiment été choquée, ni été jugeante. Elle comprenait la démarche. Pour autant elle m’a clairement fait comprendre que c’était hors de question. Qu’elle n’en avait pas l’envie, que je lui suffisais et que pour elle il était impossible de dissocier baise et amour. Et comme elle m’aimait… impossible de coucher avec un autre.
Pour autant j’ai essayé très rapidement durant nos ébats d’insérer l’idée qu’un tiers ressemblant à un dieu grec se joignait à nous pour lui faire l’amour. Je pouvais alors constater une excitation certaine.
Puis, quelques mois (années ?) plus tard je lui fis découvrir chatroulette. Après moultes hésitations elle accepta de regarder de beaux hommes s’exhiber devant elle. Elle-même accepta quelques exhibitions des plus excitantes. Mais très rapidement elle m’expliqua vouloir cesser cette expérience. Frustration évidente pour moi, ayant l’impression de prendre un stop définitif. Il est vrai que ce site est un repère d’hommes mal éduqués et avant de tomber sur le bon il fallait y passer des heures… ce qu’elle n’appréciait pas du tout.
Je tentais alors une nouvelle approche avec l’idée de découvrir le naturisme sur les plages du Var. Ce qu’elle accepta volontiers. Voir ma femme nue sur une plage bondée n’a fait qu’accentuer mon fantasme. Je prenais déjà beaucoup de plaisir. Et elle, appréciait ce moment de liberté totale.
En parallèle, je la tannais sur le ton de l’humour d’essayer les clubs libertins. Ce qu’elle refusa bien évidemment. Ce petit jeu de relance dura plusieurs années.
Le candaulisme est un véritable marathon…
Puis à force d’échanges, il y a 4-5 ans, je finis par percevoir au fond de ses yeux comme une hésitation. Je lui avais montrer l’existence d’une boite de nuit, traditionnelle en première approche, qui réservait des coins câlins à l’étage. Elle me dit être prête à tester. Mon cœur battait la chamade comme jamais. Afin de la rassurer définitivement, j’édictais une règle. C’est elle qui commandait. Si elle se sentait mal, même après avoir tout juste franchi le seuil de la porte, et qu’elle demandait à faire demi-tour, je devais m’exécuter immédiatement. Aucune négociation possible. Je conseille cette simple règle à ceux d’entre vous qui s’avèrent être encore en « négociation » avec madame.
Habillée d’une robe noire courte avec décolleté plongeant, elle entra avec moi dans cet établissement. Nous nous y sentîmes très rapidement à l’aise. L’âge moyen était relativement jeune. Ce n’était qu’ouvert aux couples. Pas d’hommes seuls. Des gens très beaux et très sexy dans l’ensemble. Aucune approche de mort de faim qui aurait pu l’importuner. Nous avons visité les coins câlins et fait un peu de voyeurisme. Elle m’emmena dans une cabine qui se fermait à clé. Nous avons fait l’amour de manière très intense. Elle était hyper excitée. Expérience validée ! Nous avons depuis recommencé dans cette même boite et même dans des saunas libertins, étant adeptes de naturisme.
En revanche c’était toujours le même scenario. On se balade, on regarde mais on finit entre nous dans l’intimité d’une salle fermée. Elle était toujours énormément excitée.
Nous sommes également devenus des accros du naturisme en prenant nos habitudes sur l’ile du levant, où quelques coins peuvent s’avérer être très chauds. Nous n’avons plus peurs de les fréquenter. C’est notre parenthèse annuelle. Au final nous réalisons 2 à 3 sorties par an dans des lieux coquins. Peu d’excès. Tout en contrôle. On finit toujours exclusivement entre nous.
Voilà 15 ans d’évolution, lentes, mais réalisées dans la confiance, le respect et l’amour. Beaucoup d’excitation et de plaisirs. Mais toujours aucun passage à l’acte avec un autre homme.
Et puis…et puis, survint l’année 2025, l’année de la révolution… (suite au prochain épisode dans la section récit).


