- il y a 36 minutes
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Bonjour,
Et non ce n'était pas fini après ce week-end.
Pour résumer la semaine qui suivait notre deuxième passage au gîte les 25/26 octobre.
Le type m'a appelé le mardi d'après, il c'est excusé de nous avoir pas dit au revoir le dimanche matin, aussi d'avoir été chiant en ayant bu la nuit avec ma femme.
Bien sur il m'avait demandé nos disponibilités pour y retourner. J'étais resté vague exprès.
Il m'a rappelé une 2e fois la semaine suivante pour nous inviter le 8 novembre, je lui avait dit que pas possible à cause des enfants. Je pense qu'il avait compris qu'ont ne voulaient pas y retourner.
J'avais raporté ces 2 appels à ma femme qui campait sur ses positions et ne voulait plus y aller effectivement.
A aucun moment je lui en aie voulu. Elle m'avait déjà tellement donnée, sur 15 jours. J'en espérait pas tant.
Mais il n'y avait pas que le type qui nous avait appelé...
Le mardi, le même jour que le premier appel du type dans la journée, j'avais à peine fait mon rapport à ma femme que je voyais le numéro du sportif s'afficher sur mon téléphone !
On était ensemble avec ma femme car il était 22h.
Je décroche et c'était elle, sa femme, la sportive.
Ma femme est venue se coller pour écouter la conversation et nous avons essayé de nous arranger pour nous voir.
Mais ce fut difficile car ils habitent très loin, ils ont aussi des enfants et pas de possibilités avant 2026...
Mais ils nous parlent d'un couple de leurs amis qui habitent à 45 minutes de chez nous et insistent pour qu'on les voit.
On avait trouvé ça bizarre.
Nous avions beaucoup réfléchis et nous y sommes allés, intrigués, le samedi 8 novembre après midi. On se disait avec ma femme que l'après-midi c'était plus propice pour faire connaissance.
Et finalement ces gens ne nous plaisait pas du tout, y'avait rien qui allait.
Ils avaient commencé à nous montrer leurs photos de voyage en Italie avec les paysages, un périple en train et le reste. Je n'ai jamais été la bas, ça à l'air beau mais c'était un moment pénible.
Ils nous on aussi fait le coups du "oups" en faisant exprès de glisser des photos d'eux nus au milieu de leur diaporama.
Comme ça a n'allait pas vraiment, nous sommes partis.
J'étais pris de court pour le retour en voiture, je ne pensais pas qu'on rentrerais aussi tôt et n'avait pas pu enregistrer. On avait pas mal parlés dans la voiture.
Mais nous avions d'abord parlé de ce couple qui nous plaisait pas, ensuite parlé de notre démarche globalement.
Alors ma femme ne voudrait pas qu'on force la chose en choisissant quelqu'un sur un site pour le rencontrer. D'une part, elle n'a pas confiance en ce que l'on pourrait trouver sur le net et elle n'a pas envie de se casser la tête avec des échanges virtuels à rallonge, même si c'est obligatoire.
Elle est consciente de pouvoir choisir mais elle ne veux pas du tout le faire.
Elle reste sur le destin et que ça arrivera si cela devait arriver. Comme pour le gîte, car pas de stress, pas de temps pour se poser des questions.
Elle pense qu'elle ferait sûrement demi tour par peur ou autre, si c'était un trucs préparé longtemps avant.
Je sais pas si j'ai bien retranscrit mais moi je comprends ce qu'elle veut dire.
Les clubs pour adultes, jamais fais et elle ne veux pas d'un endroit public avec plein de gens.
Alors nous sommes rentrés et entamés une nouvelle semaine.
Le mardi soir, c'était férié je m'en rappelle, lorsque nous étions plus que tous les 2, ma femme me dit: "J'ai réfléchi depuis ce week-end et tu sais quoi ? J'aimerais bien revoir (le frustré)"
Moi: "(le frustré) ???"
Elle: "Oui parce que malgré tout ce qui c'est passé, je crois pas être attirante et lui, lui était sans arrêt après moi"
Moi: "Je pense pas que (la femme du frustré) voudrait nous voir"
Elle: "Je m'en fout d'elle, c'est lui que j'aimerais revoir"
Moi en pensant à mes derniers échanges avec lui et que je l'avais bloqué: "T'es sûre ? Tu veux faire quoi ?"
Elle: "Tu sais je te l'ai jamais dit, il m'avait souvent fait des avances, il me parlait souvent de cul exprès"
Moi: "Et alors ?"
Elle: "Lui je sais qu'il voulait de moi, voilà tu comprends"
Bref en voici en gros la conversation et elle me demande de le contacter moi et de l'inviter à la maison ou ailleurs. Je rappelle qu'on était le 11 novembre et le lendemain j'avais le projet de le recontacter.
Dans ma tête imaginez après cette première histoire ici, toutes celles après que j'avais apprises. Ce serait la boucle bouclée mais que ferait ma femme ? Pourquoi lui ? Maintenant ? Je sais qu'elle aime rester dans un certain confort et n'envisage pas du tout d'aller en quête d'un amant inconnu, mais lui... Et en plus ça fait 8 ans qu'on ne l'a pas vu.
Le mercredi 12 je le débloque et le contacte par Facebook. 2h après il me répond.
On parle et les conversations recopiées n'ont que peu d'intérêt.
Oui il fut étonné de l'invitation et le plus simple fut qu'il vienne chez nous.
Il m'avait facilité la tâche avec sa femme en me disant, de lui même, lui mentir pour venir parce qu'elle ne voulait plus entendre parler de nous.
On a mis 2 jours à se mettre d'accord sur le samedi 22 au soir.
Tout ça, ça c'est passé lorsque j'écrivais ici à propos du gîte. Je vous avait lu entre temps.
Je le dit à ma femme le jeudi suivant que tout est calé, elle me dit "ok" d'un air détachée. Je me disait que son envie était passée, mais pas de marche arrière.
Les jours défilent dans la routine. J'ajoute un fait très important, pas de partie de jambe en l'air depuis la première fois au gîte et aucun malaise entre nous. Je laisse venir ma femme qui... Ne vient pas... Bon c'est pas grave et d'autant plus que j'ai toujours mal. Le fait de lever le bras me fait pas du bien.
La suite bientôt.