- Aujourd’hui, 09:01
#2914955
Bonjour,
Merci pour vos retours.
Oui que ma femme se fasse traiter dans le feu de l'action c'est excitant mais je n'étais pas la lorsque c'est arrivé. Pas de possibilités d'en parler.
Nos relations intimes sont toujours à l'arrêt, la semaine dernière j'ai fait des examens et j'ai un déchirement d'un ligament. C'est compliqué mais nous sommes toujours autant complices et amoureux.
Je continue nos aventures:
Après la venue ratée du frustré le samedi 22 novembre, il n'a pas arrêté de m'écrire toute la semaine suivante.
Nous avons pas mal échangés et pour résumer il nous a invités chez lui le week-end d'après, le 29 novembre.
Outre que le fait qu'avec tout ces week-ends olé olé et mon accident, nous n'avons vu aucun de nos amis ni famille les week-ends, depuis le mois d'août. En plus ont avaient refourgué plusieurs fois nos plus jeunes enfants. Et la grande qui demande qui on vois et ce qu'on fait de nos week-ends.
Le frustré nous à dit que sa femme partait les 29 et 30 à un enterrement de vie de jeune fille. C'était l'occasion.
Pendant tous ces échanges, ma femme fut sur des "Mouais" et pas vraiment convaincue vu le résultat du week-end précédent.
Moi, j'ai tenté aussi un coup de poker en disant au frustré que si c'était pour je n'assiste à rien, que je ne me déplacerai pas. J'ai demandé aussi à ma femme si elle préférais être seule avec lui ou avec ma présence, elle ne veux rien faire seule (Yes !).
Finalement on avait accepté, nous voila chez le frustré le samedi soir.
Ma femme est partie avec une robe rouge, texture un peu pull épais et de longues bottes.
Ils habitent à plus de 30 minutes de chez nous et nous les voyions plus avant qu'ils déménagent.
On arrive, il nous fait visiter la maison puis nous étions à table. Simple avec un rôti, des pommes dauphines et 2 bouteilles de vins rouges.
On mange, ils boivent un peu plus d'une bouteille à 2. Juste de quoi les détendre. Le frustré semblait avoir compris pour l'alcool. c'était un point positif.
De tout le repas, on ne parle pas du week-end précédent.
Tout ça dure une bonne heure qui finalement passe vite.
Puis le frustré se lève, tire la chaise de ma femme tel un gentleman et nous invite à monter à l'étage.
On va dans leur chambre d'amis, le lit prenait toute la place. On va s'asseoir sur un bord avec ma femme. Le frustré debout nous dit un truc dans le genre: "J'ai merdé samedi dernier et je voulais me rattraper."
De dos, il va ouvrir une commode en nous disant vouloir nous montrer un truc.
Moi j'en profite, je pose mon téléphone sur une étagère, j'étais tourné et je lance une appli audio, mine de rien et me rassois.
Vraiment tous ces événements commencent à me matraquer la tête. J'ai une bonne mémoire mais à force, j'ai peur d'oublier des détails. Le son m'aide à ne rien oublier et tout écrire après.
Je reprends, le frustré se retourne avec un god noir énorme, un truc de presque 30 cm avec un espèce de gros gland sculpté au bout.
Ma femme: "C'est quoi ça ??"
Lui: "Je l'avais acheté pour (sa femme), elle m'avait envoyé chier mais je l'ai déjà retrouvé à l'envers"
Moi: "A l'envers ?"
Lui qui tient son truc dans la main horizontalement "Je le range comme ça", il le retourne: "Je le retrouve après que (sa femme) soit seule, avec le bout de l'autre côté. Je vérifie à chaque fois"
Ma femme pouffe de rire et le frustré lui apporte, elle recule en rigolant, elle se colle à moi en évitant de toucher ce gourdin. Je l'entoure d'un bras et elle reste blottie contre moi.
Lui: "T'as peur ?" En lui brandissant à bout portant. Ma femme rigole et se cache le visage.
Il poursuit: "Vas-y prends le"
Ma femme se redresse, le prend dans une main et dit: "C'est lourd... C'est quoi l'idée ? Parce que j'utiliserai pas ça"
Le frustré s'assoit: "Pourquoi ? Ça te dirait pas ?"
Elle: "Un truc pareil ne rentrerai pas, en plus (sa femme) l'a déjà utilisé, c'est crade"
Lui: "Vas-y sent le"
Ma femme le renifle.
Lui: "Je l'ai lavé, il est propre"
Elle: "Je sais pas comment elle fait, moi ça me ferait saigner" et elle rigole.
Il se penche vers ma femme et elle recule contre moi. Moi je recule aussi, sur le lit pour m'adosser assis contre la tête de lit. Ma femme vient s'adosser contre moi, elle est dans mes bras.
Lui arrive debout sur le lit, face à nous. Il se baisse pour attraper les manches longues de la robe de ma femme. Elle lève les bras, se décolle de moi, lève ses fesses et la robe rouge disparaît. Après elle se réinstalle assise contre moi.
Elle avait un ensemble de lingerie noir, simple.
Moi je la sentais toute contre moi avec le haut de sa tête au niveau de mon menton. Je voyais plus son visage mais la position m'allait parfaitement, j'étais aux premières loges.
Après s'être débarrassé de la robe, le frustré arrive face à nous, il avait une tête de sadique qui avait une idée en tête.
Il attrape la culotte de ma femme et la tire, elle leva les fesses pour le laisser faire.
J'avais la vue sur ses seins d'en haut, ils étaient posés dans le soutien gorge et je voyais un début d'auréoles.
Puis le frustré se mets à plat ventre et s'attaque au minou de ma femme. Je ne vois pas ce qu'il fait d'où je suis.
Ma femme sursaute dès qu'il la touche, et moi je l'entoure de mes bras sous sa poitrine. Elle pose une main sur mon bras et me pince plus ou moins en fonction de ce que le frustré lui faisait. Tous ça avec sa respiration qui commençait à monter.
Elle commença à bouger et lâcher quelques légers "Hum", "Hou" en bougeant de plus en plus.
Elle me pousse les bras comme pour se dégager, je la lâche et elle se décale, s'allonge sur le dos. J'enlève difficilement ma jambe sous elle et vais me mettre à l'autre bout du lit.
Elle était allongé sur le lit et le frustré se redresse, attrape son gourdin et frotte le bout sur le vagin de ma femme. Je voyais tout cette fois.
Ma femme relève la tête: "Ça rentrera pas"
Le frustré sort du lit, va dans la commode et on le regarde faire.
Ma femme: "C'est quoi ?"
Lui qui montre un tube: "De la vaseline"
il revient sur le lit et badigeonne le gourdin noir. Je le regarde et ma femme aussi, avec sa tête toujours relevée.
Il recommence à frotter son truc noir sur le sexe de ma femme. Elle remet sa tête sur le lit face au plafond, ferme les yeux. Elle avait ses mains posées au dessus de sa poitrine, comme une momie.
Je la vois plisser les yeux plusieurs fois.
Elle se redresse: "C'est trop gros"
Lui: "Essaye" en lui donnant.
Elle attrape le gros god et se rallonge, ferme les yeux.
Elle place le god sur son sexe et le balade de haut en bas tout doucement, c'était un spectacle dingue !
Lui descend du lit et enlève tous ses habits du bas. Il avait un sexe long mais maigre comme lui, il était en érection et je me rend compte que moi aussi.
Il me fait signe de faire de même. Je sors du lit mais j'enlève que mon pantalon, je crois être pudique.
Il remonte sur le lit à genoux en se rapprochant de ma femme.
Elle était en biais, allongée sur le dos, portant uniquement son soutien gorge et elle avait le gourdin dans une main. Elle le montait et le descendait contre son sexe, yeux fermés, bouche semi ouverte. On aurait dit qu'elle était seule et je me demandais si elle faisait ça aussi à la maison, quand je n'étais pas là.
Le frustré arrive pour lui toucher son autre bras, elle s'arrête, ouvre les yeux..Elle sortait de sa bulle. Il prend la main de ma femme et la mets sur son sexe à lui. Elle le prends en main et referme les yeux.
Donc le rajout dans ce tableau incroyable est qu'elle tenait le sexe du frustré en même temps qu'elle se faisait du bien avec le gourdin.
Elle ne faisait que de tenir le sexe du frustré, elle paraissait plus concentrée sur le gourdin.
Le frustré bougeait son bassin pour la motiver, sans succès.
A ce moment là elle commençait des petits bruits comme des "hum" tout en gardant le rythme sur son vagin.
Le frustré bouge pour aller en bas, ma femme lui lache le sexe.
Il se mets à genoux devant la scène du gourdin qui montait et descendait.
Il attrape les jambes de ma femme, elle sursaute et arrête tout. Le frustré lui prends le gourdin pour le poser sur le lit.
Mais ma femme se retourne sur le ventre, elle roule et arrive de mon côté. Une fois à plat ventre elle me saisit une de mes jambes comme pour s'accrocher. Moi j'osais pas bouger.
Le frustré lui écarte les jambes et la touche un peu. Je voyais pas la tête de ma femme sous ses cheveux mais elle n'avait pas de réaction visible ou sonore.
Il arrête et enfile un préservatif, je l'avais vu poser un truc sur le lit au tout début, j'avais pas vu que c'était ça.
Le frustré se redresse à genoux, il remonte les fesses de ma femme en la soulevant par le ventre. Elle avait les fesses relevées par le haut et le reste écrasé sur le lit.
Puis il la pénétre, ma femme émet un petit "Haann" et me serre fort la cuisse.
Il commence à faire ce qu'il a à faire avec une vitesse modéré, j'étais aux premières loges. Ma femme me tenait la jambe fermement et soufflait fort la tête cachée dans ses cheveux.
Je voyais la tête du frustré, le bruit des fesses de ma femme contre son ventre à lui, c'était très bizarre, moi aussi je découvrais plein de choses.
Il stoppe, sort d'elle, ça faisait même pas une minute... Puis il la touche et je vois les fesses de ma femme bouger, elle souffle fort, puis le volume sonore augmente. Elle semblait plus réceptive à cela que la pénétration auparavant. Sincèrement, ça m'aurait fait de la peine, si j'étais à sa place.
Lui: "Encore ?"
Les fesses de ma femme bougent.
Il se replace derrière afin de la pénétrer de nouveau, ma femme me resserre la jambe et lui repart sur des mouvements plus rapides avant de prendre son pied. Il râlait comme un animal en allant vite et tenant les fesses de ma femme. Elle n'avait émis aucun son, que de la respiration élevée.
Temps de l'opération, 2 bonnes minutes en elle en tout et pour tout. Ont étaient plus du tout sur un professionnel cette fois.
Ma femme retombe sur le lit à plat ventre et lui plus loin dans le lit, il faisait un nœud avec le préservatif.
Je caressais les cheveux de ma femme, je voyais pas son visage et j'avais de la peine pour elle. Tout ça pour ça, finalement avec ses pannes la dernière fois, elle semblait avoir pris plus de plaisir dans notre chambre.
Il revient vers elle et saisit le gourdin noir au passage, il le plonge vers le sexe de ma femme.
Lorsqu'il arrive au contact, elle se tourne un peu et se remet sur le dos.
Elle écarte un peu plus les jambes et lui était en train d'essayer de lui enfiler le truc.
Elle tend la main et le frustré lui donne le gourdin, elle recommence de le faire glisser de haut en bas sur son sexe mais avec des arrêts ou elle essaie le le rentrer.
Elle semblait avoir espoir qu'il se passe quelque chose.
Le frustré à un mètre la regardait faire, il avait l'air épuisé de tous ses efforts.
Elle essaye mais pas longtemps avant de poser le god sur le lit, malheureusement cela ne fonctionnait pas non plus apparemment.
Et moi, j'étais déçu pour elle mais tellement au bord, alors j'essaie de faire abstraction du frustré, je me lève sur le lit et enlève mon caleçon, puis je pars saisir les jambes de ma femme et les écarter.
Elle me regarde étonnée et me laisse rentrer en elle. Ça sentait la vaseline partout par les sensations et l'odeur. Lorsque je rentre, elle bouge la tête vers la gauche en fermant les yeux et un "hannnhumm"
Je la prends en missionnaire et elle reprenait ses "han" à chaque coup de rein, cette fois plus de position de vieux couple marié, je participais pour la première fois à la fête.
En même temps le frustré arrive à notre droite à genoux, il se contorsionne pour mettre son sexe vers la bouche de ma femme.
Mais cette fois, dès qu'elle le sent arriver contre ses lèvres, elle ouvre les yeux tourne la tête à l'opposé. Le frustré avait eu moins de chances que le kiné. Elle n'était pas d'accord et lui avait mis un gros vent.
Mais lui ne se démonte pas, il change de stratégie et remet la main de ma femme sur son sexe à lui, c'était trop pour moi comme spectacle. Alors pour tout prolonger et ne plus rien voir, je me baisse pour me coller contre ma femme, je lui embrasse le cou puis on s'emballe. Je sentais les armatures de son soutien gorge me faire un peu mal, tellement on était serrés.
Nos corps ne faisaient qu'un, ça semblait long mais que 4 minutes d'après l'audio.
Je me relève et la regarde, elle avait la tête écrasée dans le lit entourée de ses cheveux, avec les yeux fermés.
Et à côté, le frustré à genoux, ma femme lui tenait le sexe et le branlait de manière très grossière.
Ça y est c'était la goutte d'eau, j'ai commencé à envoyer la sauce et elle m'a suivi. C'était tellement fort que j'ai quitté la pièce pour le ciel un petit moment. On prenait nos pieds ensemble, je me disait qu'elle aura eu un orgasme au moins.
Je m'extrais d'elle, je m'assoie dans le lit et j'atterrissais. Premier pseudo trio on va dire, encore un truc que j'imaginais pas comme ça et encore moins avec le frustré.
Ma femme se redresse, puis tout le monde se rhabille.
On descend et ma femme voulait partir. J'ai été aux toilettes pour stopper l'application qui enregistre et la relancer pour le trajet en voiture, mais avec 12% de batterie, c'était pas possible.
On prend la route et sur les premiers kilomètres c'était le silence, puis on a parlé.
J'ai dit à ma femme que j'étais désolé pour elle, que encore une fois, le frustré n'était pas un bon coup.
Elle m'a dit qu'elle n'a pas eu de supers sensations avec lui, c'était limite mieux la première fois chez nous, comme je l'imaginais. Elle m'a dit qu'elle avait stoppé avec le god lorsqu'elle sentait que ça allait rentrer, elle ne voulait pas le faire et se donner en spectacle. Et dernière chose, elle a pris seulement un peu de plaisir quand lui prenait son pied en elle parce qu'il lui mettait un doigt dans l'anus, en même temps.
Avec moi c'était bien mais tout ça fut trop court pour elle.
Je lui ai dit qu'il fallait choisir des personnes expérimentés, j'ai remis une couche sur internet et les clubs sans succès. Elle n'est toujours pas d'accord et c'est son choix, je lui ai dit le respecter.
On rentre et on se couche, elle me demande si j'étais éventuellement d'attaque pour réessayer. Moi c'était compliqué alors elle a pris sa magic wand, elle se la mettait et moi je me suis occupé d'elle. Elle a finalement pris 2 orgasmes. Obligée de faire cela après une soirée organisée, c'est dommage !
