Le patron de mon mari,
Philippe m’a demandé de vous raconter la fameuse rencontre avec le grand patron. Cela s’est déroulé sur un week-end dans la demeure de ce dernier…
Ce directeur que nous nommerons ici Xavier avait invité les collaborateurs ayant été promut à des postes plus importants au sein de leur société. Les épouses étaient également les bienvenues pour un week-end convivial au sein d’une grande demeure à une heure de Paris.
Nous sommes arrivés durant la matinée du samedi comme l’ensemble des autres convives. La demeure était gigantesque au sein d’un grand parc. Je n’avais jamais vu une telle propriété.
Nous nous sommes donc retrouvés avec quatre autres couples et deux célibataires (je précise un homme et une vieille femme).
Xavier et sa femme nous ont reçu dans un petit salon avant de nous laisser découvrir nos chambres.
Philippe m’avait préparé à ce rendez-vous et était en demande. J’avais alors interrogé mon mari sur cette pseudo excitation de sa part car je ne comprenais pas. Un week-end normalement très « select » et basé sur le sérieux de la profession. Pour autant Philippe m’avoua que ce Directeur était largement connu pour ses « besoins » auprès de la gent féminine. Tout était plus clair !
Les propres mots de mon époux étaient : « Si tu arrive à avoir les faveurs de Xavier durant ce cours week-end, j’en serais très heureux ».
Vous pouvez donc comprendre tout l’intérêt de notre couple pour cette invitation. LOL
Dès notre premier rendez-vous dans un autre petit salon pour prendre un apéritif tous ensemble me fie penser que je ne laissais pas indifférent ce directeur aux yeux coquins.
L’épouse de Xavier était une grande et belle femme d’une cinquantaine d’années. D’aspect très froide elle avait pour autant un mot gentil pour chacun. Xavier était un homme de petite taille, je dirais moins d’un mètre soixante-dix avec un visage fade et sans beauté. Son physique était quelconque voir transparent, sans aucun attrait.
Nous sommes passés ensuite à table dans une grande salle à manger digne des plus grandes familles de gens riches. Xavier était très imbu de cette richesse et cela rajoutait une laideur au personnage.
Bref, tout ça pour vous dire que je n’étais pas très « ouverte » face à un tel personnage.
Mon mari attendait beaucoup de ce week-end et connaissant, comme vous maintenant, mes possibilités dans le domaine du jeu érotique ou de celui bien plus hard du sexe brut, je me devais de laisser la porte ouverte à tout cela…
Dés ce premier repas je senti le regard de cet homme sur moi. Je répondais aux nombreux sourires que celui-ci m’adressait. Mon mari et moi étions éloigné de lui et cela changea dès le repas suivant…
Le repas terminé, nos hôtes nous proposèrent de prendre le café ou autres digestifs dans un salon aussi luxueux que la pièce où nous avions mangé. Nous étions peu d’épouse à accepter l’invitation, prétextant de faire une pause avant la balade proposée par Xavier pour nous faire visiter le parc dans l’après-midi. Seulement l’épouse du Directeur et de la vieille femme célibataire ainsi que moi-même accompagnèrent l’ensemble des hommes dans ce salon.
Cela parla plus fort avec des sujets moins sérieux. Ce fut l’épouse de Xavier qui nous quitta pour se reposer. Cet à ce moment là que j’en ai profiter pour régaler mon mari… Ainsi que ce cochon de Xavier !
L’ayant en face de moi, j’ai pu aisément faire remonter doucement ma jupe qui était déjà à la hauteur de mes genoux. Xavier comme Philippe remarquèrent rapidement ce détail, alors que les autres hommes n’y firent aucun cas. Cela passait tellement inaperçu auprès des autres que je me suis retrouvée rapidement avec la jupe en haut de mes cuisses. La seule qui me fusilla du regard fut la vieille célibataire.
Lorsque nous avons quitté ce salon, il ne restait plus que Xavier, deux autres hommes, mon mari et moi. En sortant de là, Philippe prétexta aller chercher quelque chose dans notre voiture. Il me laissa ainsi seule en compagnie de son Directeur.
Cela ne dura que quelques minutes mais ce dernier eu le temps de passer à l’offensive. Je sentais un homme sûr de lui, n’ayant que rarement de refus de la part des hommes et des femmes qu’il sollicitait pour quelques soit la raison. Là, le sujet fut très vite exposé.
- « Vous êtes une femme charmante. Philippe ne dévoile pas la chance de partager sa vie avec une telle beauté. »
- « Vous me flattée ».
- « J’aimerais faire, avec vous bien plus que cela… M’y autoriserez-vous ? »
Ce fut, à peu prés nos mots avant que Philippe ne revienne de la voiture. Ainsi n’ayant pas pu répondre à son directeur je me suis juste fendu d’un : « Je l’espères autant que vous… Cette petite visite de votre domaine nous en dira sûrement plus, à tout de suite. »
Cet homme avait sûrement l’habitude d’avoir ce qu’il veut, mais ma réponse aussi directe le surpris et se reprenant il me fit un grand sourire.
Mon mari était ravi quand je lui confiai ces quelques mots en son absence. Pour autant Philippe me demanda de faire les choses sans que son Directeur ne soupçonne le fait que la demande était de lui. Juste lui faire croire à une épouse infidèle et un mari bêtement cocu…
La visite du domaine lors de cette après-midi fut une logue marche car le parc était grand puis Xavier voulu nous montrer l’ensemble de ces installations. Terrain de tennis, piscine, petit gymnase avec un ensemble de petites salles de sport pour le renforcement musculaire, le yoga et autres pratiques.
Tous ne firent pas la totalité de la visite. A la fin, il ne restait plus que Xavier avec nous et deux autres couples.
C’est à ce moment que Xavier proposa de nous faire la visite de sa grande bibliothèque. Tout le restant des participants refusa prétextant prendre du repos après une telle balade. Je fus la seule à dire au Directeur : « Je suis une grande lectrice et les livres sont ma passion, pourriez-vous me faire cette visite dans quelques minutes. Me laissant le temps de repasser à notre chambre ? ».
Je vis son regard s’illuminé encore bien plus quand mon mari prétexta une fatigue et l’honnêteté d’avouer le peu d’intérêt qu’il porte à la littérature.
Ainsi je regagné la chambre avec Philippe pour savoir jusqu’où il voulait que j’aille avec son cochon de directeur. Après avoir compris la demande de mon amour, je suis allée rejoindre Xavier.
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Il m’accueillit dans une pièce immense. Sa bibliothèque était à coupé le souffle. Au-delà du fait que cet homme devait être un véritable vicieux ais il était sûr qu’il aimait les livres !
J’étais subjugué par la pièce et de ce qu’elle contenait, mais Xavier était intéressé par autre chose que les bons mots ou les belles histoires. Il ne me parla pas mais je senti sa main faire monter ma jupe. Je lui lançai un regard froid qui ne le déstabilisa pas.
Pour autant je ne dis mot. Il continua a faire remonter ma jupe jusqu’à découvrir mon entre-jambe…
Mon regard restait froid dans ce silence.
C’est lui qui brisa cette absence de bruit : « Vous êtes merveilleuse. Vous ne portez jamais de dessous ? »
Je répondis, tout en continuant de soutenir son regard : « jamais ! »
Il m’embrassa tout en laissant sa main fouiller mon intimité. Au bout d’un moment j’ai commencé à lui ouvrir un peu plus mes cuisses, puis un bruit me fit le repousser. Rien, ni personne mais c’était l’occasion de le faire patienter…
- « Pas ici, si quelqu’un rentré. Mon mari serait fou de rage… »
Il m’accorda, malgré son envie de me posséder, que l’endroit était trop exposé à la venue des uns et des autres. Il me demanda si je voulais que l’on se donne rendez-vous ce soir, dans une des chambres de sa grande demeure ?
Je lui répondis par l’affirmative, mais qu’il devrait me rejoindre dans ma chambre. Il fut surpris mais compris après mon explication. Je lui fis gober que Philippe était un ronfleur invétéré et que nous avions pour habitude de faire chambre séparée. A ce propos mon mari n’avait pas pris le temps de lui demander une autre chambre, mais que je lui en avais fait la demande avant d’accepter de venir ici.
Il goba tout et sourit tout en disant qu’une femme de ménage viendrai pour lui mettre à disposition une autre chambre.
Une fois revenu dans ma chambre et après avoir tout raconté à mon époux nous nous sommes moqués de ce petit homme ingrat et incrédule face à une femme vicieuse et libertine… LOL
Nous sommes descendus pour le repas puis prit le temps d’un moment avec les convives jusque vers 22heures. Ensuite je suis remontée seule en chambre laissant mon mari continuer la discussion avec d’autres qui n’avait pas encore sommeil. Je ne fus pas très surprise de voir rentrer dans ma chambre quelques minutes plus tard le fameux Xavier.
Il me confia que Philippe était en grande discussion et qu’il espérait un acompte. Je ne l’ai pas laissé espérer longtemps car j’ai écarté mes jambes, exposant ainsi ma chatte déjà bien ouverte et ruisselant de désir. Il avança son visage vers elle et me gratifia d’un petit cunnilingus. Ce fut moi qui pris les devants pour le stopper et lui dégrafa son pantalon pour faire sortir son petit sexe et le prendre en bouche. Sa queue, malgré mes efforts, ne grandit pas bien plus !
Après quelques minutes je confiai à ce nouvel amant que mon mari allait passer par ma chambre avant de rejoindre la sienne.
Il me demanda de lui envoyer un texto dès que je serais libre. Nous avons échangé nos numéros de téléphone puis il s’éclipsa…
Philippe remonta une heure après le départ de Xavier. Il était plein de joie et me confia qu’il se doutait qu’après le retour de Xavier au salon, il était venu me « visiter » et mon époux à pris un certain plaisir à faire perdurer la discussion. Il me confia que son Directeur fulminait sur son fauteuil dans l’attente de notre départ… Nous avons beaucoup ri. Nous avons également un peu parler et je lui dis que son patron attendait mon texto, mais que cela ne m’excitait pas de me retrouver seule avec lui. Je demandai alors à Philippe de rester caché dans cette grande chambre pour ne rien rater de ce rendez-vous coquin. Mon mari ne voulait prendre aucun risque, mais je lui trouvai une solution car au vu du petit pénis de Xavier et de sa grosse excitation, je misai sur un effort intense mais surtout bref… LOL
Nous avons mise la chambre dans une profonde pénombre. Mon mari était caché dans un coin de cette grande chambre derrière une petite banquette.
J’ai donc envoyé le fameux sms : « Je vous attends. Je suis nue sous mes draps. Je ne vous demande qu’une seule chose, c’est de n’allumer aucune lumière. J’angoisse que mon mari puisse revenir s’il voit une faible lumière. Vous comprenez il n’imagine pas ma réelle nature. Je suis excité et vous attends… Je me permets juste de vous avouer mon envie d’être prise comme la salope que je suis ! »
Mon mari et moi n’avions peur qu’une seule chose, un fou rire de l’un d’entre nous !
Cela n’arriva pas car la scène que nous proposa ce patron fut brève mais intense, comme je l’avais prédit à mon mari. Pour faire simple, Xavier rentra dans la chambre, ôta ces affaires et me rejoint dans le lit. Il m’écarta les cuisses sans aucune autre forme de préliminaire et me pénétra en gardant la position du missionnaire. Il éjacula et se retira de moi très vite. Il enfila une sorte de bas de pyjama et me demanda s’il pouvait revenir si nos corps en faisaient la demande. Je ne me rappelle vraiment plus si j’ai répondu à sa question, pour autant il est bien revenu cette nuit-là.
Je n’ai d’ailleurs pas parler de ces autres visites lors de cette nuit à mon mari. C’est quelques mois après que j’ai raconté à Philippe, le comportement de son patron.
Xavier avait fait une nouvelle entrée dans ma chambre une à deux heures après sa première venue.
Mon époux avait rejoint sa chambre pour ne pas se faire démasquer.
Il me réveilla quand je le vis au pied de mon lit en train de baisser son pyjama. Il se masturba pour donner vigueur à son petit sexe. Sans un mot il me prit comme la dernière fois mais ajouta des paroles salaces et vulgaire, sûrement pour s’exciter ou pouvoir bander. Son érection était molle. Il me demanda de le sucer, ce que je fis. Il me dit alors que j’étais une petite salope de bas étage, puis se ravisa et se tu. Il me baisa jusqu’à nouveau jouir en moi.
L’homme m’avait fait un peu peur.
Il revient une troisième fois sans réellement bander. Il avait envie mais sans pouvoir. Il m’avait masturbé de ses doigts longuement en me demandant sans cesse d’écarter toujours plus mes cuisses. Puis parti !
Il est vrai que jusque là cette expérience avait été plus rigolote qu’autre chose, mais après le petit déjeuné nous avons prétexté un souci familial pour partir avant la fin de journée.
Xavier ne fit aucun cas de moi le lendemain et nous sommes parti ainsi.
Encore une expérience de l’être humain et des désirs et pratiques de chacun.
A bientôt, peut-être…
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