- 16 août 2016, 20:48
#1932626
Je ferme la porte derrière moi.. ( et non elle est pas en plein gang bang avec 4 beaux mâles Dan... tssss ) Elle est là, elle me tourne le dos. Le temps s'arrête. J'étudie chaque courbes de son corps divin, si emprunt aux caresses. Elle ne bouge plus, je vois à sa respiration, qu'elle n'est pas rassurée. Lentement je me rapproche. Je mémorise chaque détails. Il faut dire que cette petite robe noire souligne vraiment ses formes.. Comment lui résister ?
Je décide d'éteindre la lumière. Lise sursaute. Je viens me placer dans son dos. Elle ne bouge toujours pas. Je caresse son dos.. nu.. sa peau est si douce, comme de la soie. Un frisson la parcours. J'aime l'effet que ça lui fait. Je remonte sur ses épaules. Puis une question me vient à l'esprit.
"Sait elle qui est avec elle dans la cuisine, plongée dans le noir ? Et si elle s'attendait à Mika ? Je vais pour retirer ma main de ses épaules, mais elle rattrape ma main, et la serre contre elle. J'entends des rires dans le salon. Cette fois je me colle contre elle. Aucune réaction. Je m’enivre de son parfum, à la fois frais, et entêtant, un mélange d'épices.
Je retire ma main de la sienne et vient poser mes mains sur ses hanches, et mes lèvres sur ses épaules. Ce sont de doux baisers que je lui offre. Si j'étais un homme, je crois que j'aurai une queue très dure coller contre son cul de folie. Mais je suis une femme, et je sens mes sens s'emballer.
Lise se retourne... nous sommes face à face. La lune éclaire tout juste la pièce, mais je devine son sourire, celui qui n'a eut de cesse que de me faire succomber à ses charmes toute la journée. Ma main droite vient se poser sur sa joue gauche ( @gentilvoyeur je t'ai pas perdu non ? mdr). Ses lèvres viennent se nicher au creux de ma main. Cette fois c'est moi qui frissonne.
Je redresse son visage, et avec douceur, mes lèvres goûtent les siennes. Un baiser sucré... doux... plein de tendresse. Je sens mon sang qui commence à bouillir, des Lépidoptères pleins le ventre. Très vite nos langues se cherchent, se trouvent, se mêlent. Mais mains se posent sur ses hanches, je la presse contre moi. Ses seins fièrement dressés me rendent folle. Tout tourne.. je suis bien, j'aime ce que son corps me fait.
Mes mains remontent le long de ses cotes, s'attardent sur sa poitrine. Je perçois ses tétons tout durs sous sa robe. Je reprends mon exploration, et vient défaire le nœud de sa robe, situé sur sa nuque. Nos langues sont toujours aussi avides l'une de l'autre. La température grimpe très vite. Les deux pans de sa robe tombe sur ses hanches... et m'offre une vision intense en émotion qui me laisse toute chose...
La porte s'ouvre.. et..
A lui, à jamais