Le soir même, je racontai l’ensemble de cette journée à mon époux.
Il fut très excité par mon récit et surtout quand je lui ai narré en détail le moment passé avec le jeune assistant.
« Il entra dans la chambre tel un jeune puceau avec l’envie et la chance de baiser une vieille salope !
J’étais complètement nue, j’avais même enlevé mes bas. Assise sur un petit fauteuil pratiquement face à la porte d’entrée. J’ai vu son l’envie dans ces yeux.
Je te promets, Philippe, ce jeune sortie une queue d’une telle taille que j’ai sentie mon corps s’emballer. J’avais soudain une angoisse de subir les assauts d’un tel engin.
Bref, tu me connais…
J’ai donc demandé, un peu crûment, a ce qu’il me prenne de suite.
J’ai donc senti son gland me pénétrait, puis la totalité de son sexe. Il m’a rempli de toute sa fougue et malgré le fait d’être excitée et largement lubrifiée par mon envie, il me fit d’abord mal.
Puis, me retourna, prise en levrette j’absorbai ses coups virils et sa grande excitation. La chaleur envahie de plus en plus tout mon être. Sa grosse et longue queue, me firent de plus en plus de bien jusqu’à une première jouissance.
Philippe, tu sais qu’après avoir jouie je demande souvent un temps calme, mais là…
Immédiatement, j’ai supplié ce jeune-homme de me prendre par derrière ! »
A cette explication et déjà largement excité, mon mari me demanda :
- « Mais je croyais qu’il t’avait prise en levrette… »
Voyant l’excitation ultime de mon amour, je repris mon propos :
« J’ai dit textuellement à ce jeune : - « J’ai envie… Encule moi maintenant » Ce qu’il fit !
Je te promets, Philippe, avec un tel sexe il commença lentement pour m’ouvrir l’anus avec son gros gland. Puis une fois le gland en moi, il avança lentement, doucement, me faisant monter un plaisir insoutenable… E tu me connais je jouie rapidement par le cul. »
Il faut savoir que nous avons l’habitude, quand mon époux n’est pas là pour partager mes rencontres, d’en parler le soir même autour d’un verre.
En principe notre rituel est que je dois tout raconter dans les moindres détails (ce qui excite Philippe) et mon mari écoute une fois qu’il est à l’aise avec son sexe prêt à être touché et pouvoir totalement « jouir » de ma narration.
Je continue donc (avec à peu près les mots et les phrases avec lesquels j’ai raconter cette expérience à Philippe)
« Une fois qu’il me remplit, de pratiquement toute la longueur de sa queue, ouvrant ainsi mon cul.
Il me baisa de plus en plus fort, me tirant quelques larmes de mes yeux. Mais dieu que c’était bon !
J’ai rapidement jouie et lui aussi.
Il m’a donné tellement de plaisir, qu’une fois prise une douche je lui ai dit de recommencer ! »
« - Philippe : « Recommençais ??? »
« Oui, je lui ai sucer sa queue et lui ai demandé de me la faire rentrer à nouveau dans mon cul ! »
Ainsi et pour terminer ce moment partagé avec mon mari pour lui raconter ma journée, ce dernier se masturba et jouissait en éjaculant fortement avant la fin de mon histoire.
En conclusion après avoir mettre fait « baiser » par l’assistant (et croyais moi qu’il a fait cela avec une grande vigueur) j’ai encore mis mes orifices à rude épreuve avec, cette fois, la fougue et l’excitation de mon mari.
