- 24 juin 2011, 16:25
#559643
La suite....
Il l’a retourna ensuite et s’installa entre ses jambes. Il lui caressa alors les seins les hanches, les cuisses puis ses mains descendirent entre les jambes pour remonter vers sa chatte. « Ecartes les cuisses ma belle…. » lui dit-il et elle s’exécuta. Sa chatte était ouverte et gonflée de plaisir. Ses doigts s’attardèrent sur son clito avant de la pénétrer et de la « fouiller ». Elle gémissait et se tordait de plaisir. « Tu aimes ça ma belle… », « oh oui » soupira-t-elle… Après une longue séance de caresses il l’amena au milieu de la chambre et la fît mettre à genoux. « Tu vas me sucer ma belle pour me mettre « en forme » et après je vais te défoncer la chatte…. ». Elle se mît à genoux ignorant ma présence du fait de son bandeau. Philippe lui planta sa queue dans la bouche et elle se mît à le lécher et à le sucer langoureusement. Sa verge reprenait une belle raideur. Elle s’appliquait prenant visiblement beaucoup de plaisir, et moi aussi…. Puis Philippe se dégagea la pris par le bras et l’amena sur le lit. « A genoux salope ! » Elle s’exécuta une fois de plus. Je la voyais si belle, bien cambrée la croupe offerte…. Philippe l’a fît languir quelques secondes le temps de chausser un préservatif et de faire monter l’excitation entre nous trois. J’allais assister à la « saillie » de ma femme. Philippe la positionna pour que rien ne m’échappe. Il se glissa alors derrière elle sa queue généreuse était tendue de désir. « Tu veux faire ton mari cocu ? » lui dit-il ? «Réponds ! ». « Oui….. » souffla-t-elle. « Tu sais qu’il t’attend en bas et qu’il faudra que tu lui racontes comment on lui a mis ses premières cornes ? ». « Oui » répondit-elle de nouveau sans savoir que j’étais là tout proche témoin de cette scène surréaliste et d’une intensité extrême. « Alors écartes tes cuisses ! ». Il saisi ses hanches fermement puis il l’a fit glisser en arrière pour l’empaler sur sa queue tendue. Elle gémit sous la poussée. Il commença alors les va et vient lents puis accéléra lui infligeant ses coups de boutoir qui la firent crier de plaisir. Il la baisa de longues, très longues minutes. C’était très fort je bandais comme un fou et j’avais envie de les rejoindre mais nous avions convenu que je ne la toucherai pas c’était « mon cocufiage ». Philippe excité par ma présence redoublait d’énergie. Elle se tordait de plaisir… Puis il me fit signe de sortir, je m’éclipsais donc discrètement et redescendais dans le salon les laissant seuls de nouveaux.
Modifié en dernier par Calys89 le 26 juin 2011, 20:47, modifié 1 fois.
