- 08 avr. 2018, 11:47
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Même si j'ai eu quelques maîtresses, ai tiré quelques bons coups en soirées libertines, je me revendique du candaulisme .
Aujourd'hui parce que, plus âgé que ma femme, mes moyens ne sont-plus au niveau de ces envies, mais dans le passé car j'aime qu'elle profite au maximum de la vie qui est si courte. J'ajoute qu'elle est si belle quand elle jouit sous les puissants coups de bite d'un amant que je ne vois aucune raison de la limiter.
Même si elle n'a jamais voulu l'avouer, elle recèle en elle de fortes tendances exhibitionnistes.
Nos « aventures » n'avaient commencées que depuis deux/ trois ans quand j'en ai eu la révélation.
Un gentils garçon était devenu un de ses amants ….. intermittents. On le voyais de temps à autre, chez nous ou chez lui. Elle le rejoignait quelquefois, souvent dans un petit hôtel quand ils avaient tous deux un moment de liberté alors que je devais travailler. Bien sûr j'étais toujours au courant et souvent l'amant me téléphoner pour me confirmer le plaisir qu'ils avaient pris ensemble.
Un jour donc (un samedi soir) il nous appelle pour nous inviter à dîner ensemble dans un restaurant Bavarois qui n'existe plus, sur les Champs Élysées (Le Lowenbrau pour ceux qui connaissent). Orchestre Bavarois, bière choucroute, ambiance festive.
Bien sur il précise qu'on prendra un dernier verre chez lui (il faut décoder : il la baisera sur la moquette avant qu'on ne partage la bouteille de champagne qui attend dans son seau), et il lui demande de s'habiller aussi sexy qu'elle l'ose.
Facile, elle est grande, fine, jeune et belle, et elle adore les robes minis avec de profonds décolletés.
Comme il est arrivé qu'on finisse la nuit chez lui, je propose de passer le chercher au pied de son immeuble, vers Roissy, à l'exact opposé de nous (Vanves).
Donc tout va bien, on va le chercher, on va sur les Champs, on passe une bonne première partie de soirée au resto … tout va bien.
Bien sur quelques voisins regardent cette belle fille court vêtue, qui rit de bon cœur et que le compagnon embrasse à pleine bouche souvent (en l’occurrence le « compagnon » c'est l'amant. Moi le mari je suis assis en face d'eux mais çà, nos voisins ne peuvent le savoir).
Repas terminé nous retournons prendre la voiture au parking souterrain. C'est déjà arrivé deux/trois fois, il montent tous les deux à l'arrière de ma Simca (et oui, c'est l'époque) – je pense qu'ils vont flirter …. normal .
Mon itinéraire, autant profiter de Paris un samedi soir aux environs de minuit (donc pas le périph.), je descend les Champs, Place de la Concorde, rue Royale, boulevard des Capucines, Opéra, Galeries Lafayette, rue La Fayette, gare du Nord, et enfin autoroute du Nord.
Je vous tout cela pour que vous compreniez bien qu'on traverse tout Paris en diagonale, un samedi soir (plein de monde) dans une voiture bien vitrée ,,,, et je dois ajouter que ce qu'il font n'est pas longtemps un flirt, même appuyé, mais devient rapidement une partie de sexe à l'état pur.
D'abord (sur les Champs) il lui enlève sa robe. Et comme ne porte rien d'autre, elle est assise complètement nue à l'arrière droit de la voiture …. il la doigte jusqu'à la Madeleine. Là c'est elle qui lui descend le pantalon au pied et se baisse pour le sucer. Pile poil dans mon rétro, je vois la queue bien dure en partie cachée par la bouche qui monte et descend autour.
C'est pendant que je contourne l'Opéra pour aller le plus vite possible rue La Fayette heureusement bien moins fréquentée, qu'il ôte sa chemise. Ils sont ainsi nus tous les deux. Et heureusement qu'elle est plus sombre et moins fréquentée cette rue …. parce qu'elle n'hésite-pas à l'enfourcher, un genou de part et d'autre du gars sur la banquette, elle descend pour bien s'emmancher sur sa queue.
Maintenant ils baisent. Elle assure le va et vient en montant et descendant, sa figure face à la lunette arrière, et ils deviennent bruyants.
C'est juste en contournant la gare du Nord que je suis obligé de patienter un moment à un feu rouge qui me paraît interminable alors qu'une voiture s'arrête à ras de la mienne. A l'intérieur plusieurs gars qui ne doivent-pas en croire leurs yeux n'en perdent pas une miette. Ils ne doivent-pas trouver çà désagréable et sont hilares. Je démarre très vite au vert. Cette fois les rues sont noires et quasi désertes. Ils s'en moquent totalement et continuent à prendre leur plaisir dans lequel ils sont totalement isolés du monde extérieur.
Enfin l'autoroute du Nord – pas beaucoup de circulation, les voitures roulent vite et ne doivent-pas se rendre compte. J'adopte une allure calme pour qu'ils puissent ne pas être distraits.
Une petite idée, pas très risquée, me vient. Il y a quelques poids lourds, de gros semi-remorques et je m'en rappelle bien, le premier devant moi est Anglais.
Je le double tout doucement, arrive au pied de sa cabine, et là je me met à sa vitesse …. il n'a qu'à baisser les yeux pour plonger par la lunette arrière sur une femme nue en train de s'agiter sur le mec qui la baise …. je reste deux minutes au pied de ce poids lourd et accélère pour faire de même avec le suivant. Je fait çà jusqu'à Roissy ou justement, ils se désaccouplent. Une bonne douzaine de routiers. J'ai eu droit à des appels de phare, des coups de klaxon, des gestes dans le rétro. En tout cas aucun n'a eu l'air mécontent. C'est ce jour là que j'ai eu l'idée d'acheter une C.B. (mode de l'époque) car je suis sur qu'on y a du beaucoup parler de nous ,,,,