- 17 janv. 2023, 01:53
#2683406
Je me trouvais au Moyen Orient, il faisait une chaleur insupportable dans ce pays. Je logeais dans un hôtel minable pourtant considéré comme ce qu’il y avait de mieux ! La clim’ faisait un bruit de Boeing dans la chambre et je dormais mal. Pendant une nuit d’enfer (c’était le 5 août 1974 d’après mon « journal de bord ») j’ai rêvé que V.. couchait avec notre ami P. ! Dans ce rêve je ne voyais pas le couple mais je l’entendais, et je voulais intervenir mais une personne qui m’accompagnait – probablement mon double - m’a dit « laisse la jouir ». Le rêve s’est arrêté là. Je me suis brutalement réveillé, le cœur battant violemment. Je me suis calmé en me disant que ce n’était qu’un cauchemar, mais j’ai été perturbé toute la journée d’autant plus qu’aucune communication avec V. n’était possible (sauf par télex, inenvisageable !). Je suis rentré une semaine plus tard. V est venue me chercher à l’aéroport. J’étais épuisé par ce voyage et je retrouvais une épouse pimpante, de bonne humeur, enthousiaste. En l’embrassant je ne décelai une odeur que je ne reconnaissais pas.. Durant le trajet du retour chez nous elle m’interrogea mais de façon un peu agité sur ce que j’avais fait durant mon séjour. Je la sentais un peu fébrile et lui demandai si tout allait bien « Oui oui t’inquiète ! » Une fois chez nous, après les retrouvailles avec les gosses, je me suis reposé dans la chambre et elle m’y a rejoint. Nous nous sommes pris dans les bras, j’avais envie d’elle. En lui racontant mon rêve, elle n’eut aucune réaction : elle semblait frappée de stupeur! Je lui ai demandé si elle se sentait bien… Elle m’a demandé quand j’avais fait ce rêve, je le lui ai dit. C’est alors qu’elle m’a avoué : « ce jour-là j’ai couché avec P ! Mon rêve avait été prémonitoire ! Mais pourquoi ? Mais comment ? Et combien ? « Plusieurs fois… ». Puisque j’étais cocu, il fallait que je sache tout, et elle m’a tout dit. Elle m’a dit qu’elle s’était sentie très seule et abandonnée durant mon absence et que c’était très pénible pour elle. Heureusement qu’elle avait ce travail au bureau de P.
P était – et est toujours - un ami très proche, nous avons été à l’école ensemble, ses parents et les miens étaient amis de longue date. Je l’avais présenté à ma future épouse, elle le trouvait très sympa. Il était marié avec une très belle femme, qu’il trompait déjà ; il avait beaucoup de succès féminins, ayant la réputation d’être très bien « monté » ! Mais jamais je n’aurais imaginé qu’un ami aussi proche aurait pu séduire mon épouse.
Elle m’a donc dévoilé ce qui s’était passé. Lors de la pause de midi, ils allaient régulièrement déjeuner tous les deux dans un troquet, ce dont j’étais au courant et il m’arrivait de les accompagner. Un lundi, après un week-end déprimant (le fameux 5 août), il lui proposa de venir chez lui, c’est tout proche du bureau, prendre un café et faire une sieste, ce qu’elle accepta. J’ai dû insister pour connaître les détails de la suite. Ils ont fait une petite sieste sur le lit de V, l’un contre l’autre. Dans un élan de tendresse elle se serra contre lui ; il l’embrassa et elle le lui rendit –sur la bouche ?- oui, sur la bouche. Des mains mâles entr’ouvrirent son chemisier et lui caressèrent les seins (elle ne portait pas de soutien depuis toujours), puis plus bas.. Il l’a déshabilla en douceur, chemisier, jupe, introduisit une main sous son slip et fit glisser deux doigts dans sa fente. Elle me dit qu’elle protesta mais ce fut de pure forme car elle ne résista pas et le laissa faire. Le slip s’envola, elle se retrouva nue !
P était – et est toujours - un ami très proche, nous avons été à l’école ensemble, ses parents et les miens étaient amis de longue date. Je l’avais présenté à ma future épouse, elle le trouvait très sympa. Il était marié avec une très belle femme, qu’il trompait déjà ; il avait beaucoup de succès féminins, ayant la réputation d’être très bien « monté » ! Mais jamais je n’aurais imaginé qu’un ami aussi proche aurait pu séduire mon épouse.
Elle m’a donc dévoilé ce qui s’était passé. Lors de la pause de midi, ils allaient régulièrement déjeuner tous les deux dans un troquet, ce dont j’étais au courant et il m’arrivait de les accompagner. Un lundi, après un week-end déprimant (le fameux 5 août), il lui proposa de venir chez lui, c’est tout proche du bureau, prendre un café et faire une sieste, ce qu’elle accepta. J’ai dû insister pour connaître les détails de la suite. Ils ont fait une petite sieste sur le lit de V, l’un contre l’autre. Dans un élan de tendresse elle se serra contre lui ; il l’embrassa et elle le lui rendit –sur la bouche ?- oui, sur la bouche. Des mains mâles entr’ouvrirent son chemisier et lui caressèrent les seins (elle ne portait pas de soutien depuis toujours), puis plus bas.. Il l’a déshabilla en douceur, chemisier, jupe, introduisit une main sous son slip et fit glisser deux doigts dans sa fente. Elle me dit qu’elle protesta mais ce fut de pure forme car elle ne résista pas et le laissa faire. Le slip s’envola, elle se retrouva nue !